Mon tour du monde 2
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon tour du monde 2
Je prends souvent l'avion pour la même direction, à savoir Paris. Je rencontre souvent une grande fille blonde qui ne me déplaît pas. A l'un des voyages je me retrouve assis à coté d'elle, toujours vers l'arrière de l'appareil, une vielle habitude. Le voyage ne dure qu'une heure et pour passer le temps j'engage la conversation portant sur tout et sur rien. Mais ce jour là retard de plus d'une heure. Vu l'heure tardive de l'arrivée, il devenait quasiment impossible de rejoindre Orly à Paris sans prendre un taxi. Je proposais à la demoiselle de prendre le même pour éviter des frais. Elle accepte avec plaisir et ce d'autant plus que nous nous rendons dans le même quartier. J'insiste pour que le taxi la dépose en premier. Je paie le taxi et elle m'invite à la rejoindre chez elle : un appartement situé au dernier étage d'un immeuble de bon standing dans le 16°.
Elle me fit asseoir dans un fauteuil très confortable. Près d'une fenêtre d'où je pouvais voir Paris dans toute sa splendeur : il faut dire que logée place du Trocadéro elle était bien placée. Elle revenait après s'être changée : une jolie robe rouge et des chaussures sans talon. J'admirais son profond décolleté. Elle m'offrit un verre : je pris un Armagnac et elle se servit un peu de porto.
Nous avons parlé de nous. J'appris qu'elle était finnoise, qu'elle vivait à Paris depuis 5 ans, qu'elle travaillait dans une boite d'import et était responsable de vente dans le sud de la France. J'étais surpris de l'entendre parler français sans accent. Elle avait fait des études en français à l'université
Je me doutais bien que son invitation à prendre un verre n'était qu'un prétexte.
Elle mis en route son lecteur de CD pour écouter un slow ravageur. Je l'invitais donc à danser : nous nous tenions enlacés très serrés l'un contre l'autre. A ce jeu je me mis à bander : elle se pressait d'avantage contre moi.
N’y tenant plus je voulais l'embrasser et je posais mes lèvres sur les siennes. Avec une sorte de rage, elle répondait en me mordillant la langue et cherchait à pénétrer ma bouche. Je la laissais faire et mes mains se mirent autour sa taille. Je cherchais le moyen de la caresser un peu. Finalement je trouvais un sein et me mis à le pétrir longuement. En reprenant sa respiration elle me dit si tu veux, parce que moi je le veux, on pourrait passer à une chose plus sérieuse. On pourrait faire… Je la coupais en lui mettant ma bouche sur la sienne et lui dis : je crois savoir ce qu'est la chose plus sérieuse : tu voudrais baiser. Bien sur fut la réponse lapidaire.
J'entrepris de la déshabiller en dégrafant la fermeture éclair jusqu'à la taille. Je la mis presque nue. Je dégrafais son soutien gorge et fut surpris de la beauté de ses seins : ses seins pointaient, étaient presque marmoréens. Les pointes se dressaient fièrement. Je les caressais tous les deux et suçais les mamelons. Elle ne restait pas immobile elle cherchait directement mon sexe gonflé par le désir de la prendre. Elle réussissait à sortir en partie de mon gland et le touchait légèrement. Pour finir, je lui ôtais sa robe : elle portait un admirable string rouge très sexy. Je me mis nu et la prenant sur mes genoux moi assis sur ce joli fauteuil, je commençais par la branler d'abord à travers son string et ensuite en la mettant nue, directement entre les lèvres de son con dont je sentais l'odeur. Elle me branlait lentement faisant preuve de beaucoup d'expérience en la matière. Elle m'avouait qu'elle aimait être branlée. Cet aveu la faisait jouir. Qu'elle était belle pendant l'orgasme !
Je me sentais en pleine forme pour la baiser, là de suite, sur ce satané fauteuil. Elle s'installait sur moi, me tournant le dos. Je la pris donc en levrette. Nos jouissances furent communes. Son expérience fut utile Elle su me faire bander par un petit jeu coquin: se masturber devant moi, debout à hauteur de mes yeux. Je rebandais elle le vit bien sur et ma demandais de l'enculer, un autre de ses plaisir préférés me disait-elle.
Je lui demandais de me décrire sa vie amoureuse, lors d'un repos. Elle me parlait de sa vie en Finlande, des rapports au début timides avec les garçon, puis son aventure assez longue avec un homme marié qui lui faisait l'amour et lui appris toutes les perversions possible. Mais elle avait toujours refusés les rapports avec une autre fille.
Nous avons passé la nuit ensemble, ou ce qui restait de cette nuit. Au matin je fus réveillé par sa bouche qui me suçait. Je ne pouvais pas la laisser sur sa faim et nous avons fait un 69 qui a duré un bon bout de temps au moins pour la faire jouir deux fois. Mon sperme était dans sa bouche et à ma surprise elle me disait : c'est mon petit déjeuner.
Nous nous rencontrons encore dans l'avion. Nous parlons quelque fois de notre aventure mais sans parler de recommencer. Par pudeur peut-être ?
Elle me fit asseoir dans un fauteuil très confortable. Près d'une fenêtre d'où je pouvais voir Paris dans toute sa splendeur : il faut dire que logée place du Trocadéro elle était bien placée. Elle revenait après s'être changée : une jolie robe rouge et des chaussures sans talon. J'admirais son profond décolleté. Elle m'offrit un verre : je pris un Armagnac et elle se servit un peu de porto.
Nous avons parlé de nous. J'appris qu'elle était finnoise, qu'elle vivait à Paris depuis 5 ans, qu'elle travaillait dans une boite d'import et était responsable de vente dans le sud de la France. J'étais surpris de l'entendre parler français sans accent. Elle avait fait des études en français à l'université
Je me doutais bien que son invitation à prendre un verre n'était qu'un prétexte.
Elle mis en route son lecteur de CD pour écouter un slow ravageur. Je l'invitais donc à danser : nous nous tenions enlacés très serrés l'un contre l'autre. A ce jeu je me mis à bander : elle se pressait d'avantage contre moi.
N’y tenant plus je voulais l'embrasser et je posais mes lèvres sur les siennes. Avec une sorte de rage, elle répondait en me mordillant la langue et cherchait à pénétrer ma bouche. Je la laissais faire et mes mains se mirent autour sa taille. Je cherchais le moyen de la caresser un peu. Finalement je trouvais un sein et me mis à le pétrir longuement. En reprenant sa respiration elle me dit si tu veux, parce que moi je le veux, on pourrait passer à une chose plus sérieuse. On pourrait faire… Je la coupais en lui mettant ma bouche sur la sienne et lui dis : je crois savoir ce qu'est la chose plus sérieuse : tu voudrais baiser. Bien sur fut la réponse lapidaire.
J'entrepris de la déshabiller en dégrafant la fermeture éclair jusqu'à la taille. Je la mis presque nue. Je dégrafais son soutien gorge et fut surpris de la beauté de ses seins : ses seins pointaient, étaient presque marmoréens. Les pointes se dressaient fièrement. Je les caressais tous les deux et suçais les mamelons. Elle ne restait pas immobile elle cherchait directement mon sexe gonflé par le désir de la prendre. Elle réussissait à sortir en partie de mon gland et le touchait légèrement. Pour finir, je lui ôtais sa robe : elle portait un admirable string rouge très sexy. Je me mis nu et la prenant sur mes genoux moi assis sur ce joli fauteuil, je commençais par la branler d'abord à travers son string et ensuite en la mettant nue, directement entre les lèvres de son con dont je sentais l'odeur. Elle me branlait lentement faisant preuve de beaucoup d'expérience en la matière. Elle m'avouait qu'elle aimait être branlée. Cet aveu la faisait jouir. Qu'elle était belle pendant l'orgasme !
Je me sentais en pleine forme pour la baiser, là de suite, sur ce satané fauteuil. Elle s'installait sur moi, me tournant le dos. Je la pris donc en levrette. Nos jouissances furent communes. Son expérience fut utile Elle su me faire bander par un petit jeu coquin: se masturber devant moi, debout à hauteur de mes yeux. Je rebandais elle le vit bien sur et ma demandais de l'enculer, un autre de ses plaisir préférés me disait-elle.
Je lui demandais de me décrire sa vie amoureuse, lors d'un repos. Elle me parlait de sa vie en Finlande, des rapports au début timides avec les garçon, puis son aventure assez longue avec un homme marié qui lui faisait l'amour et lui appris toutes les perversions possible. Mais elle avait toujours refusés les rapports avec une autre fille.
Nous avons passé la nuit ensemble, ou ce qui restait de cette nuit. Au matin je fus réveillé par sa bouche qui me suçait. Je ne pouvais pas la laisser sur sa faim et nous avons fait un 69 qui a duré un bon bout de temps au moins pour la faire jouir deux fois. Mon sperme était dans sa bouche et à ma surprise elle me disait : c'est mon petit déjeuner.
Nous nous rencontrons encore dans l'avion. Nous parlons quelque fois de notre aventure mais sans parler de recommencer. Par pudeur peut-être ?
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