Montage et démontage

- Par l'auteur HDS Lispyick -
Récit érotique écrit par Lispyick [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Montage et démontage Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Montage et démontage
Je vais vous raconter une histoire réelle qui s'est passée l'année dernière lors de l'aménagement de notre loft. Je changerai bien entendu les noms des protagonistes et resterai évasif sur les lieux avec quelques aménagements sur les faits réels.
Nous avons terminé tous les travaux dans notre loft, presque tous les meubles nous ont été livrés, les délais sont longs, plus de six mois pour certains d'entre eux. 
Le bahut, de style industriel, est livré ce matin, ce qui sera notre dernière livraison. Ainsi, je viderai les derniers cartons.
En ce milieu de matinée, la sonnette retentit et Doudou accueille nos livreurs et les invitent à prendre un café avant l'effort. Deux solides gaillards viennent me saluer, un black qui se prénomme Tristan, et son collègue Antoine. Par ailleurs, j'ai alors remarqué qu'ils ont un beau cul, mon premier regard quand je croise un homme se porte toujours sur son fessier, je suis gâtée avec ces deux-là, ressaisis-toi ma vieille.
Tristan craint que le meuble ne passe pas au niveau du palier, ses propos me font redescendre sur terre, et oui, mon esprit divaguait déjà vers le monde de la séduction et du plaisir.
Les hommes se mettent au travail, Doudou leur prêta mains fortes. Cependant, Tristan avait raison, impossible de tourner, le meuble est cinq centimètres trop longs. Je suis dépitée, pour cinq petits centimètres, cela signifie que mon bahut ne sera pas en place aujourd'hui. Une lueur d'espoir apparait avec l'idée de le passer par la fenêtre, mais trop haut et trop lourd, infaisable.
Antoine est au téléphone portable avec son responsable pour trouver une solution à notre problème. Il nous annonce que l'usine va refabriquer un autre meuble qui nous sera livré démonté.  Ils se chargeront du montage sur place lors de la livraison d'ici à six semaines. 
Le temps passe, les semaines, la déception passée, nous plaisantons souvent sur ce sujet et tirons même des avantages de cette situation, lesquels ?
Les deux beaux mâles seront présents une bonne partie de la journée, d'après les explications de Doudou. Ce meuble est en massif et chevillé, ce qui représente un peu de travail d'assemblage.
J'ai beaucoup de fantasmes pour cette journée, j'imagine ces superbes mâles me culbuter, j'essaye de me raisonner, mais je replonge à chaque fois. J'en parle à mon Doudou.
– Je ne peux pas oublier les deux livreurs, leurs culs étaient superbes.
– Tu crois que je ne l'ai pas remarqué, quand je te baise, je te parle fréquemment d'eux et tu te déchaines.
– En d'autres termes, c'est ta faute.
– Assume tes fantasmes, salope.
– Tu as raison. Je pense qu'ils ont des grosses bites, je souhaiterais les goûter.
– Tu as donc décidé de te faire baiser par eux.
– Est-ce que j'en aurai l'occasion ?
– Tu vas tout faire pour y parvenir.
– Tu seras là pour me guider et vérifier que tout se passe bien.
– Comme d'habitude mon Bébé.
Nous recevons un appel téléphonique, nous annonçant la livraison et le montage pour vendredi prochain. Le ciel me tombe sur la tête, Doudou sera absent, il doit amener sa mère à une visite de contrôle suite à une chirurgie.
Nous essayons de trouver une autre date, mais cela repousse d'une quinzaine de jours, la décision est prise, nous maintenons la date, je serai seule avec les monteurs. 
– C'est toujours nous qui devons conduire ta mère. Les autres sont simplement présents pour encaisser.
– Je sais bien, tu veux que j'annule.
– Non, mais la prochaine fois, nous refuserons.
– Rappelle-toi, je refusais d'y aller, tu m'as incité à accepter afin d'éviter les reproches habituels.
– Je reconnais que je suis un peu de mauvaise foi, depuis le temps que je fantasme sur cette journée, tout s'écroule.
– Pourquoi ?
– Tu seras absent.
– Tu sais bien que nous pouvons jouer chacun de notre côté, à condition de ne rien cacher à l'autre et avoir son accord. Je te donne le feu vert, tu l'as déjà aux fesses.
– Je suis rassurée quand tu es là. Tu me connais une fois que je suis partie, je ne peux plus me contrôler, il y a seulement le plaisir qui compte.
– J'ai confiance en toi et tu sauras gérer, suis ton instinct.
Le jour J est arrivé, Doudou est parti à 7 heures 30, mes livreurs doivent arriver à neuf heures. Je n'ai pas laissé mon homme se lever sans lui faire une gâterie, j'ai pris ma dame bûche en bouche, je l'ai sucé, prise en gorge profonde, tout en lui mettant un doigt dans le cul. Le gland était agréable à taquiner avec ma langue, je ne l'ai pas lâché jusqu'à qu'elle propulse plusieurs jets de sperme au fond de ma gorge, un vrai régal. 
– Tu comptes avoir quelque chose à te faire pardonner.
– Qui sait peut-être ?
Je me suis assoupie, il faut me lever, dans une heure, les garçons seront là. Je suis installée avec une tasse de café à l'ilot central qui nous sert de bar. Je m'interroge sur la manière dont je vais m'habiller, classique, provocatrice, bourgeoise. Avant toute chose, je devrais déjà réfléchir à la manière dont je suis capable d'assouvir mon fantasme et ensuite me questionner sur ma tenue à porter. La sonnette retentit, je sursaute, il n'est pas encore neuf heures et je suis en peignoir. Je resserre celui-ci et j'ouvre la porte. 
– Bonjour Messieurs, vous êtes en avance, excusez-moi de vous accueillir dans cette tenue.
– Bonjour, ce n'est pas un problème.
– Oui, nous sommes un peu en avance, mais nous avons apporté les croissants.
– Parfait, je prenais mon café, installez-vous.
– Votre mari est absent.
– Oui, il avait un rendez-vous.
Nous prenons notre café tout en mangeant nos croissants, en discutant de choses et d'autres et des difficultés d'assemblage de ce meuble. Je ressens leurs regards sur mes seins et je remarque que mon peignoir s'est légèrement ouvert par inadvertance, mais je n'ai rien fait. Je les fixe afin de bien leur faire comprendre ce que j'ai remarqué. Alors, ils se lèvent pour se mettre au travail. Ce petit jeu a ravivé la flamme, j'ai ma petite minette qui se réveille. 
Je dois reprendre mes esprits, après leur avoir demandé s'ils n'avaient besoin de rien, je vais me doucher, tout en matant leurs fesses. 
Je suis excitée, je joue avec le pommeau de douche, j'arrose donc mon clito jusqu'à l'orgasme, petit qui fait du bien, mais pas suffisant. Ma décision est prise, je vais me les taper, je vais leur sortir le grand jeu. Je m'enroule dans une serviette et me rend dans la chambre. Je sors de mon tiroir à jouet, un plug que j'enduis de gel avant de me le mettre dans le cul. Je rejoins les hommes, seulement vêtue d'une serviette, mon arrivée est très remarquée. Je leur demande si tout va bien, je me baisse et tire sur ma serviette, celle-ci tombe à terre. Les garçons ont une vue sur mon postérieur et sur mon plug planté dans ma rosette. Je me redresse et je me tourne vers eux, ils ont les yeux brillants.
– Vous allez rester là sans bouger, à moins que je ne vous plaise pas.
– Nous ne voulons pas de problème avec votre mari, si cela remonte à l'entreprise, nous allons nous faire licencier.
– N'ayez aucune crainte, mon mari est au courant que j'ai envie de me faire sauter par vous. Je vais vous faire passer votre permis VAB.
– Nous ne comprenons pas.
– Il va falloir que je vous forme à ce permis Vaginal, Buccale, Anal, dans l'ordre ou le désordre, je suis sans préférence. Vous pouvez m'accompagner dans la chambre.
Ils se sont éclatés de rire et m'emboitent le pas, je suis assise sur le bord du lit et je m'empresse d'ouvrir leurs pantalons. Deux beaux membres en sortent déjà bien raides, ils sont presque identiques en longueur, mais celui de Tristan est d'un diamètre beaucoup plus imposant. Je commence par le sucer en premier, laissant ma langue courir sur toute la longueur et jusqu'aux couilles que j'aspire une après l'autre. Je n'oublie pas Antoine que je masturbe avec ma main gauche, avant de le prendre en bouche à son tour. Tristan m'allonge sur le lit, vient se placer entre mes cuisses, commence à déguster le miel de ma petite chatte qui s'écoule. De plus, il a pris mon plug en main, le sort et le rentre tout en le tournant. Je suce Antoine qui se raidit sous mes coups de langues.
– Vas-y Tristan, prépare la salope, on va lui en donner.
– Elle pisse l'amour, une vraie fontaine, tu veux goûter son foutre.
Les deux compères échangent leurs places, Antoine m'a glissé deux doigts dans mon minou et me doigta comme un fou, je ne résiste pas à ce traitement et un orgasme surgit à la vitesse d'un cheval au galop.
Tout en reprenant, Tristan en bouche, Antoine s'enfonce d'un trait au fond de mon vagin, je le sens bien et mon plug étant toujours en place, l'effet est diabolique. Je suce Tristan, malgré les assauts d'Antoine qui me démonte littéralement la chatte. Je leur demande de changer, la bite de Tristan, qui est plus épaisse, me fait ressentir plus mon plug. Antoine se lâche de plus en plus, m'insultant de trainée, de grosse salope, me baise littéralement la bouche en me tirant les cheveux. Je dois violemment le pincer pour pouvoir reprendre ma respiration, Tristan ne s'arrête pas pour autant et me besogne d'une main de maître. Antoine propose de me prendre la chatte en double tout en laissant le plug en place. Je suis séduite par cette proposition, Antoine se couche sur le lit, je l'enjambe et viens m'empaler sur son pieu. Ainsi, il me fait quelques aller-retour pour me mettre bien en place, l'autre se positionne. Tristan pousse fortement pour rentrer son gland dans ma grotte, une fois fait, il s'enfonce pour rejoindre son ami au plus profond de moi.
J'ai l'impression que mon plug va exploser comme un bouchon de champagne, d'ailleurs Tristan l'a maintenu enfoncé. Ils se mettent à bouger, je suis en plein délire tellement que c'est bon.
– Allez-y, messieurs, défoncez-moi avec vos grosses queues, remuez, je veux vous sentir au fond, ouiiiiiiiiii.
De petits orgasmes s'enchainent, devenant de plus en plus violent, mon corps tremble de partout.
Tristan se retire tout en enlevant le plug, et sans aucune préparation, m'enfonce son pieu dans mon fondement d'un seul trait. Je crie de plaisir et de surprise, il ne me laisse pas le temps de m'habituer. Alors, il me pilonne avec force et détermination pendant que son collègue reprend la cadence dans ma chatte dégoulinante. Antoine veut sa part de gâteau, ou plutôt de mon cul et change avec son collègue. C'est reparti pour un round endiablé, mes orgasmes s'enchainent, ils sont bons ces deux amants, je veux leurs foutres.
– Donnez-moi votre foutre, venez sur moi, dans ma bouche, vite je vous veux.
Les garçons ne se font prier, ils sentent qu'ils sont au bout de leurs résistances. Ils sont chacun à côté de moi, il suffit de quelques aller-retour de mains sur leurs sexes pour m'envoyer la purée. Ils m'arrosent copieusement le visage et jusqu'aux seins, ce qui me donne à nouvel orgasme. Je vais les mettre en bouche à tour de rôle afin de saisir quelques gouttes de sperme. Je m'étale du foutre en frottant mes seins, mais je suis trop sensible et je n'arrive plus à me toucher. Leurs garçons m'embrassent à tout de rôle et retournent rapidement au travail pour combler le retard pris, d'ailleurs, ils ne mangeront pas le midi.
J'aurais bien remis le couvert dans l'après-midi, mais ils ont rencontré quelques contretemps d'assemblage qui ne nous l'a pas permis.
Ils m'ont exprimé leur reconnaissance pour mon accueil lors de leur départ, me précisant qu'au moindre problème de fermeture de porte ou autre, ils sont là pour effectuer le service après-vente, surtout de ne pas hésiter à les contacter.
J'ai promis de les contacter en cas de besoin, vous le comprenez, chers amis lecteurs.
Maintenant, je vais devoir faire un résumé de mes débordements
 de la journée à mon Doudou. J'ai hâte qu'il arrive, je vais recevoir.

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