Voyage en Espagne
Récit érotique écrit par Lispyick [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Voyage en Espagne
Coucou les amis, je commencerai par vous faire un aveu. Au début de notre histoire avec mon homme, nous nous sommes dirigés rapidement vers le monde du libertinage. Nous avions chacun un vécu, malgré tout s'est lui qui était moteur pour trouver des rencontres ou les provoquer. Les rôles se sont inversés au fil du temps. Je trouve que la vie passe trop vite, j’ai peur de me dire un jour que je n’en ai pas assez profité. J’ai décidé de croquer la vie à pleines dents, celle-ci étant trop courte.
Pour beaucoup, je suis une femme remplie de défaut, j’aime le sexe, la plongée, la chasse, les voyages, une vraie pécheresse. Si je suis en mesure de faire coïncider plusieurs passions, je ne me gêne pas.
J'avais envie de faire un voyage chasse en Espagne depuis un moment. Je regardais souvent des vidéos sur cette activité dans ce pays en sollicitant mon homme.
– Quand m’amèneras-tu en Espagne ?
– Un jour.
– Tu réponds toujours la même chose, rien n’arrive.
Je lui reproche fréquemment de ne jamais me dire non, malgré tout rien n’arrive. C'est de la mauvaise foi féminine sur le coup-là, il m’offre beaucoup de choses que j’aime, mais comme je vous le disais en début de ce récit, je souhaite tout avoir.
Nous sommes début octobre, le soleil est toujours chaud et nous vivons un été indien, Doudou est parti faire quelques courses, je m’active à faire un peu de rangement, mon téléphone sonne.
– Tu peux descendre mon bébé, dépêche-toi, merci.
Je descends rapidement, un peu anxieuse au vu du son de sa voix, il doit y avoir un problème. Je sors un peu paniquer, là, je découvre un gros 4×4 Toyota. D'un regard méduser sans comprendre le pourquoi du comment. Doudou m’invite à monter côté passager et d’ouvrir la boîte à gant où se trouve une enveloppe. Celle-ci contient une réservation pour quatre jours de chasse en Espagne entre Barcelone et Valence. Je lui saute au cou et vite pas une seconde à perdre, allons préparer les bagages sans oublier de remercier notre ami pour le prêt de ce véhicule.
Le lendemain matin, très tôt, nous prenons la route, hors de question d’arriver en retard ce soir. Les kilomètres défilent, ce véhicule est confortable ce qui m’a permis de m’endormir un bon moment. Nous échangeons sur ce voyage que j’attends depuis un moment et j’ai hâte d’y être.
L’envie de m’amuser me prend, je suis vêtu de ma minijupe blanche, vous vous souvenez dans une précédente histoire, bien entendu pas de string.
Pourquoi les routiers, que nous doublons, font-ils des appels de phare et donnent des coups de klaxon ?
J’ai retroussé ma robe, Doudou ralenti à leur hauteur, je passe mon doigt sur ma fente et ensuite, il accélère. Imaginer, la vue que j’offre à nos amis chauffeurs, cela commence sérieusement à m’exciter cette situation, l’humidité entre mes jambes le confirme.
Doudou ralenti de nouveau à la hauteur d’un camion, son chauffeur me regarde, je le fixe et passe ma langue sur mes lèvres tout en me caressant le clito. L'homme me fixe en klaxonnant et en faisant signe vers la droite, il est plutôt beau.
Doudou accélère, car nous avons des voitures qui nous collent. Je lui propose de sortir à la prochaine aire comme nous avons prévu large en temps et nous sommes bientôt à Orange, ensuite A9 via l’Espagne. Nous pouvons nous reposer un peu.
– Veux-tu que je m’arrête ?
– Oui, il n’est pas encore midi. Le GPS annonce une arrivée à 18 h 15 et l’accueil est prévu à 20 H, ralenti pour qu’il nous rattrape.
– Ok, mais nous devons repartir au maximum à 13 heures.
J’acquiesce, tout en pensant que nous avons payé notre séjour et qu’une demi-heure en retard ne sera pas non plus un problème. De plus, j'ai un peu le feu dans le bas ventre. Nous ralentissons pour que le camion nous recolle et sortons à la première sortie, station et restaurant. Un brun ténébreux vient à notre rencontre, présentation d’usage, il nous invite à prendre un café manière de faire connaissance. Nous nous installons et commandons, pendant ce temps-là, notre nouvel ami va se rafraichir à la douche. Cela me met en confiance, nous avons les mêmes envies. Par ailleurs, j'espère que la nature l'a bien doté et qu’il sait sans servir. Je tenterais bien cette expérience, ce ne sera pas à 70 ans que j’en profiterai et mon homme pense comme moi.
Notre chauffeur, que nous appellerons Yves, revient. Plus je le regarde, plus je le trouve pas mal du tout. Nous avons terminé nos verres et il nous a proposé de visiter sa cabine, sachant qu'il doit impérativement être à 14 h de l'autre côté d'Orange pour son prochain rendez-vous.
Arrivée à son camion, il m’invite à monter la première, sous prétexte de m’aider. Bien sûr, je lui procure une vue imprenable sur mon cul. Sa main glisse sous ma jupe pour m’aider, un de ces doigts trouve l’entrée de mon puits d’amour trempé. Je remue mon bassin pour qu’il rentre bien et finit mon ascension dans la cabine. Celle-ci est spacieuse, une découverte pour moi et la couchette est plutôt bien. Yves tire les rideaux, descend et ôte son pantalon accompagné de son caleçon, Doudou a fait de même. Je découvre un beau membre de bon diamètre, mais pas très long, cela me met en appétit. Je suis incorrigible, me voilà à genou et sa queue en bouche pour parfaire la découverte de ce nouveau sexe. Je le suce sur toute sa longueur, puis le reprenant en gorge profonde tout en lui malaxant les couilles. Ce gland est parfait dans ma bouche, j’alterne avec celui de mon homme. J’hésite à continuer ma fellation pour recevoir leurs offrandes ou de satisfaire aussi ma petite chatte qui dégouline. Yves se retire, enfile un préservatif, j’en profite pour me mettre à quatre pattes. Il se positionne derrière moi, frottant son gland contre mes lèvres, je le saisis et le guide. D’un coup sec, il me pénètre jusqu’au fond. Il se cale bien au fond et je roule mes hanches, donnant le feu vert tout en embouchant dame buche (petit nom du sexe de mon mari) que je souhaite faire cracher au fond de ma gorge. Yves alterne des moments rapides et lents, dans ces moments-là, je me lance mon bassin en arrière pour le faire rentrer au plus loin afin de sentir son gland venir s’écraser bien au fond. Il me fait jouir deux fois, l’envie de me faire sodomiser pour jouir du cul pointe son nez, mais trop tard mon baiseur se retire et se vide sur mon cul. Je dévore dame bûche pour recevoir son foutre, il ne tient pas longtemps, mon Doudou appuie sur ma tête pour enfoncer sa bite bien au fond et lâche une bonne quantité de foutre que je m’empresse à avaler. Je m’écroule sur la couchette, je reprends doucement mes esprits, c’était bon et j’ai des étoiles plein les yeux. Yves est à genou à côté de moi, en gentleman, essuie mon cul plein de son foutre, ses caresses me font frissonner. J’en profite pour passer mes doigts, en exerçant des pressions sur son gland, afin d’éjecter les dernières gouttes de sperme. Je lèche mes doigts en fixant Yves tout en lui souriant, Salope vient titiller mes tympans, oui et alors, j'assume.
Je remercie Yves de ce bon moment, ainsi que mon homme, après une petite toilette grâce à mes lingettes, belle invention, nous reprenons la route.
C'est un plaisir d’avoir découvert la baise dans un camion, à refaire. Inutile de vous dire qu’une grande partie du restant du voyage se fera sans moi, je suis dans les bras de Morphée après cette partie de jambes en l'air.
Je me réveille à quatre-vingts kilomètres de notre arrivée. Doudou me regarde avec un grand sourire, j’ai vraiment un homme merveilleux. Il conduit pendant que je dors suite à la réalisation d’un de mes fantasmes sexuels, tout cela pour m’amener chasser quatre jours.
Nous sommes enfin arrivées, prenons possession de notre suite. Il est 20 h 30, nous descendons pour prendre l’apéro, le dîner suivra et sera pris en commun avec l’ensemble du groupe. L’organisateur nous présente les deux guides, Jorge et Alvaro, typés méditerranéens et parlant un Français approximatif.
Nous passons à table, nos guides se placent en face de nous, je dirai qu’ils sont assez mignons malgré des visages assez rudes, maltraités par le soleil au fil des années. Doudou me rappelle que demain, je chasse et qu'il serait bon de ralentir, il a raison. Les verres de sangria défilent.
Justement demain, ce sera Jorge notre guide, le plus grand qui me fait du rentre-dedans, cela amuse ma moitié. L'organisateur appelle l'ensemble des guides.
Doudou s’amuse de la situation, il me suggère de répondre à ses avances, cela peut être bon pour l’attribution des postes. Certes, je fais un peu la prude, je dois être futée dans ces moments-là. Il m'a rappelé la séquence du routier ce midi, un point pour lui.
Effectivement, ils sont plutôt bien, si cela peut aider pour mon séjour, ce serait tout bénéfice. Nos deux compères reviennent, au premier clin d’œil de Jorge, j'appuie mon pied contre sa jambe, tout en remontant le plus haut possible. Je n’arrive pas à atteindre son entrejambe, je le fixe droit dans les yeux pour qu’il bouge. Le bougre comprend vite et se laisse glisser sur sa chaise jusqu’à que mon pied vienne au contact de son sexe, il bande le salop. Il échange en espagnol et me regarde avec un grand sourire, Alvaro me caresse la jambe.
Je leur fais une proposition d’une dernière nuit de folie, tous les quatre aux conditions suivantes :
– De me donner des postes correctes afin de voir beaucoup de gibiers.
– Ils doivent s’engager à me faire passer une nuit remplie de jouissance. Je ne prends pas de risque, vu, ce que j’ai senti sous mon pied dans le short de Jorge. Alvaro a un sourire qui en dit long et il a l’air d’être sûr de lui.
Nous quittons nos guides pour ce soir pour aller nous coucher et faisons l’amour comme des fous, fantasmant sur ma proposition à table. Il en profite pour me repeindre ma petite porte que mon routier n’a pas eu les ressources pour le faire.
Mes quatre jours de chasse se passeront divinement bien, alternant mes deux guides qui ont su faire le travail. Les honneurs sont rendus à la fin du séjour. Je me retrouve troisièmes meilleurs fusils du séjour et première femme et plein de souvenirs dans la tête. Je dois remercier mes guides comme il se doit.
Nous nous retrouvons tous les quatre dans notre suite, ayant commandé une bouteille de champagne, nous trinquons.
Nous investissons la douche italienne, très spacieuse. Les hommes me savonnent, cela m’excite, mais voilà que nos deux guides se savonnent réciproquement leurs queues. De plus, ils nous annoncent qu’ils sont bi, nous demandant si c’est un problème. Aucunement, à peine avoir répondu, Alvaro saisit la queue de mon homme et la savonne. Il lui rend la pareille, il sait que cette situation va me mettre dans une excitation de folie, nous avons déjà pratiqué. Jorge me pousse sur le lit et vient me brouter le minou, il sait y faire. Dame bûche se présente à ma bouche que je saisis. Alvaro se place derrière Jorge et s’enfonce en lui. À chaque coup de rein de son enculeur, son nez s’écrase sur mon pubis. L’orgasme arrive trop vite, c’est violent.
Jorge se présente à l’entrée de ma minette, et s’enfonce, Alvaro fait de même. Je sens bien sa grosse bite et je contracte ma chatte pour en profiter un maximum. Les coups de rein d’Alvaro propulsent Jorge bien au fond de moi. J’ai de plus en plus de mal de sucer mon Doudou tellement que c’est bon. Les hommes changent de place, ils vont tous s’enculer à tour de rôle tout en me baisant. Messieurs, il est temps de s’occuper un peu plus de moi, je souhaite être prise en double, vous sentir partout. Je viens m’empaler sur dame bûche qui disparait dans mon cul, Alvaro vient se mettre en place devant moi et investit ma chatte. Les deux hommes ont une bonne cadence, je suce Jorge qui ne va pas résister à mon traitement, il se lâche une première giclée dans ma bouche, ensuite, il m’arrose copieusement mon menton et mes seins. Je jouis et demande une pause, nous sommes tous trempés de sueur avec un peu de sperme de Jorge.
Une douche réparatrice nous fait le plus grand bien. Je me remets à sucer Jorge pour lui faire reprendre de la vigueur, sans délaisser mes autres amants du jour en les masturbant pour les maintenir en forme.
Je leur demande de me prendre en triplette, un de mes fantasmes, après quelques essais, ce ne sera pas encore pour cette fois-ci, un de mes amants rendant les armes, trop molle. Les deux autres, toujours en forme, me reprennent de plus belle en double, échangeant leurs places à tour de rôle, me dilatant de partout. Je crie de plaisir, je suis comme ivre, plus mon corps reçoit, plus il en demande. Les hommes arrivant au point de rupture viennent se finir sur mon corps, l’orgasme revient au galop au contact du foutre sur ma peau, je suis moitié évanouit, rompue par la fatigue.
Au réveil, je ne me souviens plus de m’être endormie, j’ai encore plein de sperme sur le corps. Doudou me dit qu’il est temps de se lever, nous avons un long trajet à faire.
Nous prenons la route avec plein de souvenirs dans la tête et de beaux trophées ! Je suis cassée de partout, je ne vais pas demander à Doudou d’arrêter pour assouvir un fantasme. Il me questionne si un petit arrêt au Cap m’intéresse, c’est la route. Cela mérite de réfléchir, mais c'est une autre histoire, qui a dit incorrigible la fille ?
Pour beaucoup, je suis une femme remplie de défaut, j’aime le sexe, la plongée, la chasse, les voyages, une vraie pécheresse. Si je suis en mesure de faire coïncider plusieurs passions, je ne me gêne pas.
J'avais envie de faire un voyage chasse en Espagne depuis un moment. Je regardais souvent des vidéos sur cette activité dans ce pays en sollicitant mon homme.
– Quand m’amèneras-tu en Espagne ?
– Un jour.
– Tu réponds toujours la même chose, rien n’arrive.
Je lui reproche fréquemment de ne jamais me dire non, malgré tout rien n’arrive. C'est de la mauvaise foi féminine sur le coup-là, il m’offre beaucoup de choses que j’aime, mais comme je vous le disais en début de ce récit, je souhaite tout avoir.
Nous sommes début octobre, le soleil est toujours chaud et nous vivons un été indien, Doudou est parti faire quelques courses, je m’active à faire un peu de rangement, mon téléphone sonne.
– Tu peux descendre mon bébé, dépêche-toi, merci.
Je descends rapidement, un peu anxieuse au vu du son de sa voix, il doit y avoir un problème. Je sors un peu paniquer, là, je découvre un gros 4×4 Toyota. D'un regard méduser sans comprendre le pourquoi du comment. Doudou m’invite à monter côté passager et d’ouvrir la boîte à gant où se trouve une enveloppe. Celle-ci contient une réservation pour quatre jours de chasse en Espagne entre Barcelone et Valence. Je lui saute au cou et vite pas une seconde à perdre, allons préparer les bagages sans oublier de remercier notre ami pour le prêt de ce véhicule.
Le lendemain matin, très tôt, nous prenons la route, hors de question d’arriver en retard ce soir. Les kilomètres défilent, ce véhicule est confortable ce qui m’a permis de m’endormir un bon moment. Nous échangeons sur ce voyage que j’attends depuis un moment et j’ai hâte d’y être.
L’envie de m’amuser me prend, je suis vêtu de ma minijupe blanche, vous vous souvenez dans une précédente histoire, bien entendu pas de string.
Pourquoi les routiers, que nous doublons, font-ils des appels de phare et donnent des coups de klaxon ?
J’ai retroussé ma robe, Doudou ralenti à leur hauteur, je passe mon doigt sur ma fente et ensuite, il accélère. Imaginer, la vue que j’offre à nos amis chauffeurs, cela commence sérieusement à m’exciter cette situation, l’humidité entre mes jambes le confirme.
Doudou ralenti de nouveau à la hauteur d’un camion, son chauffeur me regarde, je le fixe et passe ma langue sur mes lèvres tout en me caressant le clito. L'homme me fixe en klaxonnant et en faisant signe vers la droite, il est plutôt beau.
Doudou accélère, car nous avons des voitures qui nous collent. Je lui propose de sortir à la prochaine aire comme nous avons prévu large en temps et nous sommes bientôt à Orange, ensuite A9 via l’Espagne. Nous pouvons nous reposer un peu.
– Veux-tu que je m’arrête ?
– Oui, il n’est pas encore midi. Le GPS annonce une arrivée à 18 h 15 et l’accueil est prévu à 20 H, ralenti pour qu’il nous rattrape.
– Ok, mais nous devons repartir au maximum à 13 heures.
J’acquiesce, tout en pensant que nous avons payé notre séjour et qu’une demi-heure en retard ne sera pas non plus un problème. De plus, j'ai un peu le feu dans le bas ventre. Nous ralentissons pour que le camion nous recolle et sortons à la première sortie, station et restaurant. Un brun ténébreux vient à notre rencontre, présentation d’usage, il nous invite à prendre un café manière de faire connaissance. Nous nous installons et commandons, pendant ce temps-là, notre nouvel ami va se rafraichir à la douche. Cela me met en confiance, nous avons les mêmes envies. Par ailleurs, j'espère que la nature l'a bien doté et qu’il sait sans servir. Je tenterais bien cette expérience, ce ne sera pas à 70 ans que j’en profiterai et mon homme pense comme moi.
Notre chauffeur, que nous appellerons Yves, revient. Plus je le regarde, plus je le trouve pas mal du tout. Nous avons terminé nos verres et il nous a proposé de visiter sa cabine, sachant qu'il doit impérativement être à 14 h de l'autre côté d'Orange pour son prochain rendez-vous.
Arrivée à son camion, il m’invite à monter la première, sous prétexte de m’aider. Bien sûr, je lui procure une vue imprenable sur mon cul. Sa main glisse sous ma jupe pour m’aider, un de ces doigts trouve l’entrée de mon puits d’amour trempé. Je remue mon bassin pour qu’il rentre bien et finit mon ascension dans la cabine. Celle-ci est spacieuse, une découverte pour moi et la couchette est plutôt bien. Yves tire les rideaux, descend et ôte son pantalon accompagné de son caleçon, Doudou a fait de même. Je découvre un beau membre de bon diamètre, mais pas très long, cela me met en appétit. Je suis incorrigible, me voilà à genou et sa queue en bouche pour parfaire la découverte de ce nouveau sexe. Je le suce sur toute sa longueur, puis le reprenant en gorge profonde tout en lui malaxant les couilles. Ce gland est parfait dans ma bouche, j’alterne avec celui de mon homme. J’hésite à continuer ma fellation pour recevoir leurs offrandes ou de satisfaire aussi ma petite chatte qui dégouline. Yves se retire, enfile un préservatif, j’en profite pour me mettre à quatre pattes. Il se positionne derrière moi, frottant son gland contre mes lèvres, je le saisis et le guide. D’un coup sec, il me pénètre jusqu’au fond. Il se cale bien au fond et je roule mes hanches, donnant le feu vert tout en embouchant dame buche (petit nom du sexe de mon mari) que je souhaite faire cracher au fond de ma gorge. Yves alterne des moments rapides et lents, dans ces moments-là, je me lance mon bassin en arrière pour le faire rentrer au plus loin afin de sentir son gland venir s’écraser bien au fond. Il me fait jouir deux fois, l’envie de me faire sodomiser pour jouir du cul pointe son nez, mais trop tard mon baiseur se retire et se vide sur mon cul. Je dévore dame bûche pour recevoir son foutre, il ne tient pas longtemps, mon Doudou appuie sur ma tête pour enfoncer sa bite bien au fond et lâche une bonne quantité de foutre que je m’empresse à avaler. Je m’écroule sur la couchette, je reprends doucement mes esprits, c’était bon et j’ai des étoiles plein les yeux. Yves est à genou à côté de moi, en gentleman, essuie mon cul plein de son foutre, ses caresses me font frissonner. J’en profite pour passer mes doigts, en exerçant des pressions sur son gland, afin d’éjecter les dernières gouttes de sperme. Je lèche mes doigts en fixant Yves tout en lui souriant, Salope vient titiller mes tympans, oui et alors, j'assume.
Je remercie Yves de ce bon moment, ainsi que mon homme, après une petite toilette grâce à mes lingettes, belle invention, nous reprenons la route.
C'est un plaisir d’avoir découvert la baise dans un camion, à refaire. Inutile de vous dire qu’une grande partie du restant du voyage se fera sans moi, je suis dans les bras de Morphée après cette partie de jambes en l'air.
Je me réveille à quatre-vingts kilomètres de notre arrivée. Doudou me regarde avec un grand sourire, j’ai vraiment un homme merveilleux. Il conduit pendant que je dors suite à la réalisation d’un de mes fantasmes sexuels, tout cela pour m’amener chasser quatre jours.
Nous sommes enfin arrivées, prenons possession de notre suite. Il est 20 h 30, nous descendons pour prendre l’apéro, le dîner suivra et sera pris en commun avec l’ensemble du groupe. L’organisateur nous présente les deux guides, Jorge et Alvaro, typés méditerranéens et parlant un Français approximatif.
Nous passons à table, nos guides se placent en face de nous, je dirai qu’ils sont assez mignons malgré des visages assez rudes, maltraités par le soleil au fil des années. Doudou me rappelle que demain, je chasse et qu'il serait bon de ralentir, il a raison. Les verres de sangria défilent.
Justement demain, ce sera Jorge notre guide, le plus grand qui me fait du rentre-dedans, cela amuse ma moitié. L'organisateur appelle l'ensemble des guides.
Doudou s’amuse de la situation, il me suggère de répondre à ses avances, cela peut être bon pour l’attribution des postes. Certes, je fais un peu la prude, je dois être futée dans ces moments-là. Il m'a rappelé la séquence du routier ce midi, un point pour lui.
Effectivement, ils sont plutôt bien, si cela peut aider pour mon séjour, ce serait tout bénéfice. Nos deux compères reviennent, au premier clin d’œil de Jorge, j'appuie mon pied contre sa jambe, tout en remontant le plus haut possible. Je n’arrive pas à atteindre son entrejambe, je le fixe droit dans les yeux pour qu’il bouge. Le bougre comprend vite et se laisse glisser sur sa chaise jusqu’à que mon pied vienne au contact de son sexe, il bande le salop. Il échange en espagnol et me regarde avec un grand sourire, Alvaro me caresse la jambe.
Je leur fais une proposition d’une dernière nuit de folie, tous les quatre aux conditions suivantes :
– De me donner des postes correctes afin de voir beaucoup de gibiers.
– Ils doivent s’engager à me faire passer une nuit remplie de jouissance. Je ne prends pas de risque, vu, ce que j’ai senti sous mon pied dans le short de Jorge. Alvaro a un sourire qui en dit long et il a l’air d’être sûr de lui.
Nous quittons nos guides pour ce soir pour aller nous coucher et faisons l’amour comme des fous, fantasmant sur ma proposition à table. Il en profite pour me repeindre ma petite porte que mon routier n’a pas eu les ressources pour le faire.
Mes quatre jours de chasse se passeront divinement bien, alternant mes deux guides qui ont su faire le travail. Les honneurs sont rendus à la fin du séjour. Je me retrouve troisièmes meilleurs fusils du séjour et première femme et plein de souvenirs dans la tête. Je dois remercier mes guides comme il se doit.
Nous nous retrouvons tous les quatre dans notre suite, ayant commandé une bouteille de champagne, nous trinquons.
Nous investissons la douche italienne, très spacieuse. Les hommes me savonnent, cela m’excite, mais voilà que nos deux guides se savonnent réciproquement leurs queues. De plus, ils nous annoncent qu’ils sont bi, nous demandant si c’est un problème. Aucunement, à peine avoir répondu, Alvaro saisit la queue de mon homme et la savonne. Il lui rend la pareille, il sait que cette situation va me mettre dans une excitation de folie, nous avons déjà pratiqué. Jorge me pousse sur le lit et vient me brouter le minou, il sait y faire. Dame bûche se présente à ma bouche que je saisis. Alvaro se place derrière Jorge et s’enfonce en lui. À chaque coup de rein de son enculeur, son nez s’écrase sur mon pubis. L’orgasme arrive trop vite, c’est violent.
Jorge se présente à l’entrée de ma minette, et s’enfonce, Alvaro fait de même. Je sens bien sa grosse bite et je contracte ma chatte pour en profiter un maximum. Les coups de rein d’Alvaro propulsent Jorge bien au fond de moi. J’ai de plus en plus de mal de sucer mon Doudou tellement que c’est bon. Les hommes changent de place, ils vont tous s’enculer à tour de rôle tout en me baisant. Messieurs, il est temps de s’occuper un peu plus de moi, je souhaite être prise en double, vous sentir partout. Je viens m’empaler sur dame bûche qui disparait dans mon cul, Alvaro vient se mettre en place devant moi et investit ma chatte. Les deux hommes ont une bonne cadence, je suce Jorge qui ne va pas résister à mon traitement, il se lâche une première giclée dans ma bouche, ensuite, il m’arrose copieusement mon menton et mes seins. Je jouis et demande une pause, nous sommes tous trempés de sueur avec un peu de sperme de Jorge.
Une douche réparatrice nous fait le plus grand bien. Je me remets à sucer Jorge pour lui faire reprendre de la vigueur, sans délaisser mes autres amants du jour en les masturbant pour les maintenir en forme.
Je leur demande de me prendre en triplette, un de mes fantasmes, après quelques essais, ce ne sera pas encore pour cette fois-ci, un de mes amants rendant les armes, trop molle. Les deux autres, toujours en forme, me reprennent de plus belle en double, échangeant leurs places à tour de rôle, me dilatant de partout. Je crie de plaisir, je suis comme ivre, plus mon corps reçoit, plus il en demande. Les hommes arrivant au point de rupture viennent se finir sur mon corps, l’orgasme revient au galop au contact du foutre sur ma peau, je suis moitié évanouit, rompue par la fatigue.
Au réveil, je ne me souviens plus de m’être endormie, j’ai encore plein de sperme sur le corps. Doudou me dit qu’il est temps de se lever, nous avons un long trajet à faire.
Nous prenons la route avec plein de souvenirs dans la tête et de beaux trophées ! Je suis cassée de partout, je ne vais pas demander à Doudou d’arrêter pour assouvir un fantasme. Il me questionne si un petit arrêt au Cap m’intéresse, c’est la route. Cela mérite de réfléchir, mais c'est une autre histoire, qui a dit incorrigible la fille ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et donc vous niquez comme ça tranquille sans capotes !!!
J'adore,vos récits sont très excitant... Un vrai plaisir de les dévorer je ne parle pas que des récits...