Retour d'Espagne, le Manoir
Récit érotique écrit par Lispyick [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retour d'Espagne, le Manoir
Bonjour mes amis lecteurs, Je vous ai laissé alors que nous reprenions la route en Espagne pour rentrer en France. Cette histoire nous plongera dans un monde dans lequel nous vivons dans un environnement sain et pur, agrémenté de quelques situations vécues.
Doudou m'a réveillé en me disant que nous arrivions au Perthus, si je souhaite faire quelques achats, nous nous arrêterons. Après notre départ, je me suis endormi dans un sommeil profond, quoi de plus normal après la nuit de débauche que nous venons de vivre (voir voyage en Espagne).
Il est temps de se dégourdir les jambes et de faire quelques courses, en particulier de l'alcool, qui est moins coûteux qu'en France. Une femme, vêtue d'un haut en cuir et avec un grand décolleté, se gare à côté de nous.
– Bonjour Madame, Monsieur.
– Bonjour, répondons en chœur.
– Vous avez fait une excellente route, il vous reste encore un peu de distance avant d'arriver au Cap.
Nous nous sommes interrogés sur la manière dont cette femme peut savoir que nous envisageons de s'arrêter au Cap, si j'ai retrouvé la forme.
– Comment pouvez-vous savoir que nous allons au Cap ?
– Ce n'est pas inscrit sur nos visages.
La femme rit en descendant de son véhicule, elle est belle, cheveux courts et un corps magnifique, j'aimerais avoir sa silhouette.
Elle nous propose de venir chez elle ce soir, en nous expliquant qu'elle est la propriétaire d'un club « Le Manoir ». La seule condition pour y rentrer est de boire un élixir qui rend notre corps sain, ce qui permet à tous les participants d'éviter le latex et de baiser sans retenue. Elle affirme que cette boisson ne contient ni d'alcool ni de substances illicites, donc il n'y a aucun risque sur la route.
Cependant, je suis étonnée par cette proposition, un peu anxieuse, mais curieuse. Fidèle à ma ligne de conduite, je n'ai qu'une vie, j'ouvre la bouteille et je bois son contenu d'un trait. Doudou est étonné et me fixe. Il doit se dire que je suis tombé sur la tête. Néanmoins, il me suit dans ma folie et boit à son tour.
La femme nous remercie pour notre confiance, nous donne une carte de visite avec l'adresse de son club et les coordonnées GPS. Alors, elle remonte dans sa voiture, nous souhaitant bonne route et qu'elle nous attend avec impatience ce soir.
Nous avons discuté de la soirée qui arrivait tout au long de la route qui nous menait au Manoir, partagent entre l'envie et la crainte de ce monde dans lequel le latex n'est plus présent.
Nous sommes arrivés devant une grille qui s'ouvre et nous empruntons un chemin bordé de palmiers de chaque côté pour finir devant un manoir. Un voiturier est présent devant les escaliers. Il m'ouvre la porte et m'aide à descendre, c'est très chic.
La femme de ce matin nous attend au-dessus des escaliers, vêtue d'une combinaison en latex fendue à l'entre-jambe. Ainsi, elle nous invite à la suivre et nous fait la bise, me prenant par la main.
– Tu es notre pécheresse de la soirée que nous devons remettre dans le droit chemin afin de respecter les règles qui te sont fixées.
Toutefois, je suis un peu surprise par cette entrée en matière. Doudou me regarde avec un grand sourire sans rien dire.
Nous pénétrons dans une salle, ou notre hôte, nous invite à prendre place et à regarder le livre d'or numérique dans le but de nous ôter tout doute sur ce monde sans maladie transmissible sexuellement.
Selon les résultats médicaux en annexe, les femmes, les hommes et les couples n'ont contracté aucune maladie suite aux soirées libertines sans latex, grâce à l'élixir.
Notre invité revient, une femme nommée Marie l'accompagne. Elle me prend la main et m'invite à la suivre sans mon homme. Je proteste et je reçois une claque sur mes fesses. Alors, je décide donc de lui emboiter le pas sans résistance.
En arrivant dans le vestiaire, Marie m'a demandé de me déshabiller et de la suivre tout en me souriant. Je m'exécute tout en rangeant mes affaires, je saisis mon paréo. Elle me le retire des mains et le met dans le placard qu'elle referme.
Nous allons à la douche qui se trouve dans la pièce suivante, elle saisit le pommeau et m'arrose en évitant les cheveux. Elle s'enduit ses mains de savon et me frotte sensuellement en insistant sur mes tétons érigés. Ses mains se déplacent sur mon corps, une dans le dos, l'autre sur mon ventre et ma chatte commence à s'humidifier, pour ne pas dire à pleurer des larmes de cyprine.
Une se fige sur mon clito, tandis que l'autre laisse glisser un puis deux doigts vers mon petit anneau plissé qui s'ouvre très vite sous la pression, aidé par le savon qui sert de lubrifiant. Elle introduit deux doigts dans ma chatte tout en continuant à masturber mon cul. J'arrive donc rapidement, à l'orgasme, sous ses mains expertes, je jouis bruyamment et m'accroche à son cou pour ne pas tomber.
Elle me rince, à laide du pommeau de douche, en insistant bien sur mon clito, ce qui déclenche un nouvel orgasme. Marie me demande de me tourner et de mettre mes mains sur les genoux, j'obéis. Elle m'enfonce un plug anal d'un seul trait, je crie sous le coup de la surprise.
Elle m'essuie, nous nous dirigeons vers une autre pièce, il est inutile de vous dire que le plug me fait du bien en marchant, mon bas ventre est en feu, je commence sérieusement à avoir faim de queue. Cette salle est équipée d'une croix fixée au mur, elle me pousse contre, tout en m'embrassant. Je réponds à son baiser en enroulant ma langue à la sienne, sans aucune méfiance, mais elle profite de ma faiblesse pour m'attacher les mains. Je n'ai rien vu venir, je suis sa prisonnière, elle se baisse et finit son travail en me menottant les pieds. En remontant, elle s'arrête au niveau de mon sexe et me mange la chatte comme une vraie reine, je repars dans le monde du plaisir.
Un bruit sourd me fait reprendre mes esprits, la paroi tourne, trois fauteuils apparaissent, trois hommes sont assis, Doudou et deux blacks, notre hôte se tient debout derrière. Elle remercie Marie et l'invite à aller rejoindre l'entrée pour la remplacer à l'accueil.
Je repère la taille des calibres, je vais déguster, heureusement que le plug a préparé le passage. Doudou s'approche, m'embrasse et me dit que je vais recevoir la punition que je mérite et le chapitre sera clos.
Les blacks frottent leurs queues contre mes cuisses et ma fente, je fixe leurs glands énormes et je n'ai plus qu'une envie les prendre en bouche. Doudou des punitions comme celle-ci, j'en redemande.
Pendant que mes futurs amants me mangent les seins, la femme revient.
– Allez-y, messieurs, n'arrêtez pas.
Ils s'arrêtent et la femme passe une bougie au-dessus de mes seins, laissant couler la cire sur eux, puis elle passe un glaçon pour les refroidir. L'opération recommence plusieurs fois, la douleur fait place à un plaisir. Mon homme a profité de cette situation pour se glisser entre mes jambes attachées et me dévorer ma minette.
Je suis aux anges, le chaud et froid sur mes seins et le cuni me font trembler de tout mon corps.
Maintenant, je souhaite et je demande à être détachée. J'ai tellement envie de les prendre et d'en profiter.
Tout ce petit monde m'ignore, la femme s'est mise à genoux, les trois hommes l'entourent et elle les suce à tour de rôle. Elle s'écarte, fait un quart de tour, invite les hommes à revenir dans sa bouche, je ne peux plus rien manquer du spectacle. Cela me rend folle d'être attachée et de ne rien pouvoir faire.
– Tu souhaiterais être à ma place, me dit-elle.
– Salope, détache-moi !
– Non, tu es allé te faire baiser sans le dire à ton mari, il m'a tout raconté, donc tu mérites d'être puni.
– Je lui ai tout avoué.
– Un peu trop tard.
– Je n'ai pas baisé, mais juste sucé.
– Peu importe, tu es une salope et seul ton mari sera en mesure d'arrêter ou non cette punition. Maintenant regarde bien et ferme-la ou je te bâillonne.
Doudou s'allonge à terre, elle l'enjambe, s'empale sur dame bûche que je vois disparaitre dans ce puits d'amour. Elle se déhanche sur la bite de mon homme tout en suçant les deux blacks, leurs queues reprennent du volume sous les coups de langue de cette vorace. Je suis furieuse, non pas de jalousie, mais de ne pas pouvoir en profiter, quand je vois le plaisir qu'elle prend, j'ai la chatte qui se liquéfie.
Un black vient s'allonger sur le sol, elle quitte Doudou, pour venir s'empaler. Une fois fait, le second présente son gland à son petit œillet et s'enfonce jusqu'à la garde. Je vois son visage se crisper, pendant la pénétration, une fois que les deux pieux sont bien plantés en elle, elle recherche sa respiration. Je n'ai jamais été spectatrice d'une telle scène, même si c'est sous la contrainte et que j'aimerais plutôt être à sa place, c'est beau de les regarder, mais je me vengerai de cette punition. Doudou se place devant elle, elle saisit dame bûche et la suce. Ce petit monde se met en action, elle gémit sous les assauts des bites qui ne se ménagent pas. Ainsi, ils changent de place, tour à tour, chacun lui aura visité chaque orifice de cette salope. Elle crie de plaisir, pendant ce temps, je mouille, cela coule sur mes cuisses, mon bas ventre me fait mal tellement que j'ai envie d'être prise à mon tour.
J'engueule mon mari en lui disant qu'il va me le payer, tout en le traitant de salop. Pour seule réponse, il me regarde et rit, mais quel con.
Je vois un des hommes se raidir, je devine qu'il vient de lui lâcher tout son foutre. Notre hôte demande aux autres de l'inonder et au vu des râles que j'entends, ils ont éjaculé. Doudou tient sa tête et doit jouir au fond de sa gorge.
Elle se dégage et vient me rouler un gros patin, pour que je profite du sperme de mon homme qu'elle vient de recevoir dans sa bouche. J'en frissonne de tout mon corps tout en espérant la punition terminée, pour que je puisse en profiter à mon tour.
Je remarque que le sol se dérobe sous mes pieds et que la croix se met en position horizontale, ce qui me rappelle que j'ai le plug dans ma petite porte. Une fois couché, je le sens bien. Je suis dans un tunnel et la lumière arrive à mesure que j'avance. Je suis maintenant dans une pièce, mes yeux s'adaptent à la lumière. Deux passerelles me surplombent, des hommes nus sont dessus, leurs sexes en main, ils se masturbent. Mes yeux sont attirés par tous ces sexes tendus, les glands disparaissent selon ou les mains se trouvent, j'aimerais pouvoir aller les toucher, les sucer. J'appelle Doudou pour qu'il me détache, cela suffit ces bêtises, cela m'énerve fortement, personne ne me répond. Les mains s'accélèrent sur les queues tendues, pourvu qu'ils ne s'arrêtent pas, que je reçoive leurs foutres sur mon corps. Les premières éjaculations arrivent sur moi, je me tords de plaisir à chaque giclée qui m'arrive dessus, j'ouvre la bouche et sors ma langue pour récolter un peu de ce nectar. Je jouis, j'ai toujours des orgasmes quand je reçois du sperme sur moi, certains d'entre vous pourront le constater si nous nous croisons un jour. Je sens que l'on me détache, Marie est là et me sourit, elle m'aide à me mettre debout et me rejoint. Nous sommes à la hauteur des sexes, échangeons un regard, et nous nous jetons sur tous ces sexes pour chercher les dernières gouttes et nettoyer ces outils. Je souhaiterais qu'un ou plusieurs de ces membres reprennent de la vigueur pour me baiser. La patronne de la maison arrive, nous dit d'aller à la douche, puis de venir la rejoindre. En cas de désobéissance, je retournerai sur la croix, je n'en ai pas envie, vite à la douche.
Après avoir passé la douche, nous nous retrouvons dans une pièce avec un grand lit rond et des miroirs au plafond, un homme noir y est couché, son énorme sexe est tendu comme un arc. Mon cerveau ne fait qu'un tour, je cours m'empaler sur cette bite, elle rentre dans ma chatte comme dans du beurre, j'en ai vraiment envie. Je me déhanche, je remonte tout le long, pour profiter de toute sa longueur et je me laisse retomber pour que le gland tape bien au fond.
Je sens des mains se poser sur mon corps, mon plug est retiré, ensuite, on me soulève, pour venir me déposer sur une bite qui rentre directement dans mon cul, putain, elle est grosse. Je reprends mon souffle, mais pas le temps, un autre vient s'introduire dans ma chatte. Ainsi, ils me remplissent bien, ils savent y faire, je sens ces engins se croiser, même pas peur la fille, j'en veux encore, encore et je leur crie bien fort de ne pas s'arrêter.
Les deux hommes me démontrent littéralement et mes orgasmes s'enchaînent de plus en plus rapprocher. Lorsque le premier lâche la purée dans ma chatte et le second bien au fond de mon cul, c'est bon de recevoir tout ce sperme bien au fond de moi. Mon corps tremble de plaisir et j'ai des frissons qui courent tout le long de ma colonne vertébrale. Ils se retirent, laissant échapper le trop-plein qui coule déjà sur mes cuisses que je resserre pour en garder davantage en moi.
Doudou se présente devant moi, m'aide à me mettre à genoux, proposant dame bûche à ma bouche. En dépit d'une hésitation, je ne peux pas me retenir, je la saisis et l'enfile jusqu'au fond de ma gorge. Il me baise littéralement la bouche avec une énergie de fou. Je l'arrête pour reprendre mon souffle, je le fixe dans les yeux et je le branle rapidement. Sa queue se contracte, le flux de liquide va arriver, vite en bouche, les giclées successivement m'arrose les amygdales, je le garde en bouche pour tout avaler.
Il est temps de prendre une douche et de boire un verre en compagnie de notre hôte. J'ai fait quelques reproches à mon homme, car je n'ai pas pu profiter suffisamment de la soirée à cause de la punition qu'il m'a infligée.
Notre hôte me dit de ne pas lui en vouloir, que nous sommes dans son fichier, sachant qu'elle loue de villas dans toute la France afin d'organiser des soirées. Nous nous retrouverons bientôt pour de nouvelles aventures, sans punition et en tenant compte de mes désirs. Doudou est enthousiaste en me promettant de revenir rapidement dans ce monde, il est génial et je l'aime.
Doudou m'a réveillé en me disant que nous arrivions au Perthus, si je souhaite faire quelques achats, nous nous arrêterons. Après notre départ, je me suis endormi dans un sommeil profond, quoi de plus normal après la nuit de débauche que nous venons de vivre (voir voyage en Espagne).
Il est temps de se dégourdir les jambes et de faire quelques courses, en particulier de l'alcool, qui est moins coûteux qu'en France. Une femme, vêtue d'un haut en cuir et avec un grand décolleté, se gare à côté de nous.
– Bonjour Madame, Monsieur.
– Bonjour, répondons en chœur.
– Vous avez fait une excellente route, il vous reste encore un peu de distance avant d'arriver au Cap.
Nous nous sommes interrogés sur la manière dont cette femme peut savoir que nous envisageons de s'arrêter au Cap, si j'ai retrouvé la forme.
– Comment pouvez-vous savoir que nous allons au Cap ?
– Ce n'est pas inscrit sur nos visages.
La femme rit en descendant de son véhicule, elle est belle, cheveux courts et un corps magnifique, j'aimerais avoir sa silhouette.
Elle nous propose de venir chez elle ce soir, en nous expliquant qu'elle est la propriétaire d'un club « Le Manoir ». La seule condition pour y rentrer est de boire un élixir qui rend notre corps sain, ce qui permet à tous les participants d'éviter le latex et de baiser sans retenue. Elle affirme que cette boisson ne contient ni d'alcool ni de substances illicites, donc il n'y a aucun risque sur la route.
Cependant, je suis étonnée par cette proposition, un peu anxieuse, mais curieuse. Fidèle à ma ligne de conduite, je n'ai qu'une vie, j'ouvre la bouteille et je bois son contenu d'un trait. Doudou est étonné et me fixe. Il doit se dire que je suis tombé sur la tête. Néanmoins, il me suit dans ma folie et boit à son tour.
La femme nous remercie pour notre confiance, nous donne une carte de visite avec l'adresse de son club et les coordonnées GPS. Alors, elle remonte dans sa voiture, nous souhaitant bonne route et qu'elle nous attend avec impatience ce soir.
Nous avons discuté de la soirée qui arrivait tout au long de la route qui nous menait au Manoir, partagent entre l'envie et la crainte de ce monde dans lequel le latex n'est plus présent.
Nous sommes arrivés devant une grille qui s'ouvre et nous empruntons un chemin bordé de palmiers de chaque côté pour finir devant un manoir. Un voiturier est présent devant les escaliers. Il m'ouvre la porte et m'aide à descendre, c'est très chic.
La femme de ce matin nous attend au-dessus des escaliers, vêtue d'une combinaison en latex fendue à l'entre-jambe. Ainsi, elle nous invite à la suivre et nous fait la bise, me prenant par la main.
– Tu es notre pécheresse de la soirée que nous devons remettre dans le droit chemin afin de respecter les règles qui te sont fixées.
Toutefois, je suis un peu surprise par cette entrée en matière. Doudou me regarde avec un grand sourire sans rien dire.
Nous pénétrons dans une salle, ou notre hôte, nous invite à prendre place et à regarder le livre d'or numérique dans le but de nous ôter tout doute sur ce monde sans maladie transmissible sexuellement.
Selon les résultats médicaux en annexe, les femmes, les hommes et les couples n'ont contracté aucune maladie suite aux soirées libertines sans latex, grâce à l'élixir.
Notre invité revient, une femme nommée Marie l'accompagne. Elle me prend la main et m'invite à la suivre sans mon homme. Je proteste et je reçois une claque sur mes fesses. Alors, je décide donc de lui emboiter le pas sans résistance.
En arrivant dans le vestiaire, Marie m'a demandé de me déshabiller et de la suivre tout en me souriant. Je m'exécute tout en rangeant mes affaires, je saisis mon paréo. Elle me le retire des mains et le met dans le placard qu'elle referme.
Nous allons à la douche qui se trouve dans la pièce suivante, elle saisit le pommeau et m'arrose en évitant les cheveux. Elle s'enduit ses mains de savon et me frotte sensuellement en insistant sur mes tétons érigés. Ses mains se déplacent sur mon corps, une dans le dos, l'autre sur mon ventre et ma chatte commence à s'humidifier, pour ne pas dire à pleurer des larmes de cyprine.
Une se fige sur mon clito, tandis que l'autre laisse glisser un puis deux doigts vers mon petit anneau plissé qui s'ouvre très vite sous la pression, aidé par le savon qui sert de lubrifiant. Elle introduit deux doigts dans ma chatte tout en continuant à masturber mon cul. J'arrive donc rapidement, à l'orgasme, sous ses mains expertes, je jouis bruyamment et m'accroche à son cou pour ne pas tomber.
Elle me rince, à laide du pommeau de douche, en insistant bien sur mon clito, ce qui déclenche un nouvel orgasme. Marie me demande de me tourner et de mettre mes mains sur les genoux, j'obéis. Elle m'enfonce un plug anal d'un seul trait, je crie sous le coup de la surprise.
Elle m'essuie, nous nous dirigeons vers une autre pièce, il est inutile de vous dire que le plug me fait du bien en marchant, mon bas ventre est en feu, je commence sérieusement à avoir faim de queue. Cette salle est équipée d'une croix fixée au mur, elle me pousse contre, tout en m'embrassant. Je réponds à son baiser en enroulant ma langue à la sienne, sans aucune méfiance, mais elle profite de ma faiblesse pour m'attacher les mains. Je n'ai rien vu venir, je suis sa prisonnière, elle se baisse et finit son travail en me menottant les pieds. En remontant, elle s'arrête au niveau de mon sexe et me mange la chatte comme une vraie reine, je repars dans le monde du plaisir.
Un bruit sourd me fait reprendre mes esprits, la paroi tourne, trois fauteuils apparaissent, trois hommes sont assis, Doudou et deux blacks, notre hôte se tient debout derrière. Elle remercie Marie et l'invite à aller rejoindre l'entrée pour la remplacer à l'accueil.
Je repère la taille des calibres, je vais déguster, heureusement que le plug a préparé le passage. Doudou s'approche, m'embrasse et me dit que je vais recevoir la punition que je mérite et le chapitre sera clos.
Les blacks frottent leurs queues contre mes cuisses et ma fente, je fixe leurs glands énormes et je n'ai plus qu'une envie les prendre en bouche. Doudou des punitions comme celle-ci, j'en redemande.
Pendant que mes futurs amants me mangent les seins, la femme revient.
– Allez-y, messieurs, n'arrêtez pas.
Ils s'arrêtent et la femme passe une bougie au-dessus de mes seins, laissant couler la cire sur eux, puis elle passe un glaçon pour les refroidir. L'opération recommence plusieurs fois, la douleur fait place à un plaisir. Mon homme a profité de cette situation pour se glisser entre mes jambes attachées et me dévorer ma minette.
Je suis aux anges, le chaud et froid sur mes seins et le cuni me font trembler de tout mon corps.
Maintenant, je souhaite et je demande à être détachée. J'ai tellement envie de les prendre et d'en profiter.
Tout ce petit monde m'ignore, la femme s'est mise à genoux, les trois hommes l'entourent et elle les suce à tour de rôle. Elle s'écarte, fait un quart de tour, invite les hommes à revenir dans sa bouche, je ne peux plus rien manquer du spectacle. Cela me rend folle d'être attachée et de ne rien pouvoir faire.
– Tu souhaiterais être à ma place, me dit-elle.
– Salope, détache-moi !
– Non, tu es allé te faire baiser sans le dire à ton mari, il m'a tout raconté, donc tu mérites d'être puni.
– Je lui ai tout avoué.
– Un peu trop tard.
– Je n'ai pas baisé, mais juste sucé.
– Peu importe, tu es une salope et seul ton mari sera en mesure d'arrêter ou non cette punition. Maintenant regarde bien et ferme-la ou je te bâillonne.
Doudou s'allonge à terre, elle l'enjambe, s'empale sur dame bûche que je vois disparaitre dans ce puits d'amour. Elle se déhanche sur la bite de mon homme tout en suçant les deux blacks, leurs queues reprennent du volume sous les coups de langue de cette vorace. Je suis furieuse, non pas de jalousie, mais de ne pas pouvoir en profiter, quand je vois le plaisir qu'elle prend, j'ai la chatte qui se liquéfie.
Un black vient s'allonger sur le sol, elle quitte Doudou, pour venir s'empaler. Une fois fait, le second présente son gland à son petit œillet et s'enfonce jusqu'à la garde. Je vois son visage se crisper, pendant la pénétration, une fois que les deux pieux sont bien plantés en elle, elle recherche sa respiration. Je n'ai jamais été spectatrice d'une telle scène, même si c'est sous la contrainte et que j'aimerais plutôt être à sa place, c'est beau de les regarder, mais je me vengerai de cette punition. Doudou se place devant elle, elle saisit dame bûche et la suce. Ce petit monde se met en action, elle gémit sous les assauts des bites qui ne se ménagent pas. Ainsi, ils changent de place, tour à tour, chacun lui aura visité chaque orifice de cette salope. Elle crie de plaisir, pendant ce temps, je mouille, cela coule sur mes cuisses, mon bas ventre me fait mal tellement que j'ai envie d'être prise à mon tour.
J'engueule mon mari en lui disant qu'il va me le payer, tout en le traitant de salop. Pour seule réponse, il me regarde et rit, mais quel con.
Je vois un des hommes se raidir, je devine qu'il vient de lui lâcher tout son foutre. Notre hôte demande aux autres de l'inonder et au vu des râles que j'entends, ils ont éjaculé. Doudou tient sa tête et doit jouir au fond de sa gorge.
Elle se dégage et vient me rouler un gros patin, pour que je profite du sperme de mon homme qu'elle vient de recevoir dans sa bouche. J'en frissonne de tout mon corps tout en espérant la punition terminée, pour que je puisse en profiter à mon tour.
Je remarque que le sol se dérobe sous mes pieds et que la croix se met en position horizontale, ce qui me rappelle que j'ai le plug dans ma petite porte. Une fois couché, je le sens bien. Je suis dans un tunnel et la lumière arrive à mesure que j'avance. Je suis maintenant dans une pièce, mes yeux s'adaptent à la lumière. Deux passerelles me surplombent, des hommes nus sont dessus, leurs sexes en main, ils se masturbent. Mes yeux sont attirés par tous ces sexes tendus, les glands disparaissent selon ou les mains se trouvent, j'aimerais pouvoir aller les toucher, les sucer. J'appelle Doudou pour qu'il me détache, cela suffit ces bêtises, cela m'énerve fortement, personne ne me répond. Les mains s'accélèrent sur les queues tendues, pourvu qu'ils ne s'arrêtent pas, que je reçoive leurs foutres sur mon corps. Les premières éjaculations arrivent sur moi, je me tords de plaisir à chaque giclée qui m'arrive dessus, j'ouvre la bouche et sors ma langue pour récolter un peu de ce nectar. Je jouis, j'ai toujours des orgasmes quand je reçois du sperme sur moi, certains d'entre vous pourront le constater si nous nous croisons un jour. Je sens que l'on me détache, Marie est là et me sourit, elle m'aide à me mettre debout et me rejoint. Nous sommes à la hauteur des sexes, échangeons un regard, et nous nous jetons sur tous ces sexes pour chercher les dernières gouttes et nettoyer ces outils. Je souhaiterais qu'un ou plusieurs de ces membres reprennent de la vigueur pour me baiser. La patronne de la maison arrive, nous dit d'aller à la douche, puis de venir la rejoindre. En cas de désobéissance, je retournerai sur la croix, je n'en ai pas envie, vite à la douche.
Après avoir passé la douche, nous nous retrouvons dans une pièce avec un grand lit rond et des miroirs au plafond, un homme noir y est couché, son énorme sexe est tendu comme un arc. Mon cerveau ne fait qu'un tour, je cours m'empaler sur cette bite, elle rentre dans ma chatte comme dans du beurre, j'en ai vraiment envie. Je me déhanche, je remonte tout le long, pour profiter de toute sa longueur et je me laisse retomber pour que le gland tape bien au fond.
Je sens des mains se poser sur mon corps, mon plug est retiré, ensuite, on me soulève, pour venir me déposer sur une bite qui rentre directement dans mon cul, putain, elle est grosse. Je reprends mon souffle, mais pas le temps, un autre vient s'introduire dans ma chatte. Ainsi, ils me remplissent bien, ils savent y faire, je sens ces engins se croiser, même pas peur la fille, j'en veux encore, encore et je leur crie bien fort de ne pas s'arrêter.
Les deux hommes me démontrent littéralement et mes orgasmes s'enchaînent de plus en plus rapprocher. Lorsque le premier lâche la purée dans ma chatte et le second bien au fond de mon cul, c'est bon de recevoir tout ce sperme bien au fond de moi. Mon corps tremble de plaisir et j'ai des frissons qui courent tout le long de ma colonne vertébrale. Ils se retirent, laissant échapper le trop-plein qui coule déjà sur mes cuisses que je resserre pour en garder davantage en moi.
Doudou se présente devant moi, m'aide à me mettre à genoux, proposant dame bûche à ma bouche. En dépit d'une hésitation, je ne peux pas me retenir, je la saisis et l'enfile jusqu'au fond de ma gorge. Il me baise littéralement la bouche avec une énergie de fou. Je l'arrête pour reprendre mon souffle, je le fixe dans les yeux et je le branle rapidement. Sa queue se contracte, le flux de liquide va arriver, vite en bouche, les giclées successivement m'arrose les amygdales, je le garde en bouche pour tout avaler.
Il est temps de prendre une douche et de boire un verre en compagnie de notre hôte. J'ai fait quelques reproches à mon homme, car je n'ai pas pu profiter suffisamment de la soirée à cause de la punition qu'il m'a infligée.
Notre hôte me dit de ne pas lui en vouloir, que nous sommes dans son fichier, sachant qu'elle loue de villas dans toute la France afin d'organiser des soirées. Nous nous retrouverons bientôt pour de nouvelles aventures, sans punition et en tenant compte de mes désirs. Doudou est enthousiaste en me promettant de revenir rapidement dans ce monde, il est génial et je l'aime.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique histoire
Histoire vraie ?
Moi, je suis un candauliste de 55 ans marié avec une femme hyper sexuelle de 39 ans
Elle profite de tous les plan q qu'elle veut, avec ou sans ma présence, elle me raconte tout par la suite
Je l'ai vue se faire prendre par beaucoup d'hommes, et faire des gang bang, et allez dans des Glory hole etc...
Je l'a connait depuis 10 ans, elle a un amant régulier de 72 ans, qui vient la baiser 2/3 fois par semaine, c'est devenu un ami. Il est même le géniteur de notre petit garçon de 8 ans, étant stérile, il a accepté de nous donner la possibilité d'avoir un enfant
Ma femme a aussi un autre amant régulier depuis 4/5 mois, un black de 60 ans, qui l'a démonte une fois par semaine
Moi de mon côté je suis fidèle à mon épouse, je ne veux pas aller voir ailleurs, c'est mon choix, et mon épouse ne voudrais pas me partager, et je profite de la voir épanouie et prendre son pied dans les bras d'autres mecs
Plus les jours passent plus nous sommes amoureux l'un de l'autre
Je t'aime ma chérie ❤️
Histoire vraie ?
Moi, je suis un candauliste de 55 ans marié avec une femme hyper sexuelle de 39 ans
Elle profite de tous les plan q qu'elle veut, avec ou sans ma présence, elle me raconte tout par la suite
Je l'ai vue se faire prendre par beaucoup d'hommes, et faire des gang bang, et allez dans des Glory hole etc...
Je l'a connait depuis 10 ans, elle a un amant régulier de 72 ans, qui vient la baiser 2/3 fois par semaine, c'est devenu un ami. Il est même le géniteur de notre petit garçon de 8 ans, étant stérile, il a accepté de nous donner la possibilité d'avoir un enfant
Ma femme a aussi un autre amant régulier depuis 4/5 mois, un black de 60 ans, qui l'a démonte une fois par semaine
Moi de mon côté je suis fidèle à mon épouse, je ne veux pas aller voir ailleurs, c'est mon choix, et mon épouse ne voudrais pas me partager, et je profite de la voir épanouie et prendre son pied dans les bras d'autres mecs
Plus les jours passent plus nous sommes amoureux l'un de l'autre
Je t'aime ma chérie ❤️