Nathali, Vincent et moi ( 1° partie) - histoire érotique

Pour moi la vie ne peut se mesurer que de deux façons, une fille ou un garçon dans mon lit, les deux à la fois, c’est encore mieux. J’aime l’amour, j’aime baiser et être baisée. Pour cette première histoire il faut remonter loin. J’ai 32 ans, célibataire avec amant et amante/J’ai commencé à jouir je ne me souviens plus exactement quand: je devais avoir une quinzaine d’année, donc tardive. Par contre je sais pourquoi. J’étais devant la télé quand un film vaguement érotique passait. Je le regardais du début à la fin. Plusieurs scènes évoquaient des étreintes que je devinais très agréables pour les personnages. Brusquement je sentais ma culotte de fille sage se mouiller. Je ne pouvais me retenir, il fallait que je me caresse là où ça fait du bien: j’ai ainsi découvert et ma fente et mon clitoris. La suite est normale: je recommençais souvent, j’en parlais avec une copine avec qui nos rapports amicaux se transformaient en étreinte sensuelles. Nous en étions arrivées à faire des 69, chose que j’adore toujours. Plus nos rapports duraient plus nous jouissions. Un jour, j’avais 18 ans quand je me suis donné à un homme de 40 ans. Il savait bien baiser et m’a tout appris, y compris les trios que nous faisions avec ma copine. Que de jouissances nouvelles à trois.
J’ai oublié de vous présenter ma copine Nathalie, grande et rousse aux yeux verts d’eau. Sa poitrine est un peu plus petite que la mienne. Ce que j’aime dans ses seins ce sont ces aréoles foncées et leur tétons durs, qui durcissent encore plus dès la première sollicitation. Ensuite son ventre plat qui surmonte son pubis qu’elle ne rase que depuis peu. Enfin la forme de son sexe, avec des lèvres régulières, plus que les miennes, et son clitoris saillant un peu.
Lui, Vincent a donc 40 ans, il est divorcé depuis trois ans, je crois. Il est grand, pas loin de 1 m 85, musclé, mignon, enfin pour nous. Ce qui le distingue des autres est sa bite. Elle est très longue, pas loin de 20 centimètres, pas très grosse à peine 3,5 centimètres. L’intérêt en est la longueur quand il veut nous la mettre dans le cul.
Notre première fois c’était pendant l’été, sur la plage. Nous étions, avec Nathalie nues pour bien bronzer quand il nous a vu. Nous aurions pu nous cacher, mais pourquoi le faire quand on se trouve plutôt bien physiquement. Il est venu vers nous en simple string qui ne cachait pratiquement rien, surtout la forme de sa queue. Nous en avions vue déjà pas mal et même nous n’étions plus vierge depuis longtemps en aimant baiser. Nous sommes sans doute des nymphomanes, quel honte à cet état de fait. La vue de cet homme qui montrait sa bite intentionnellement peut être nous faisait déjà mouiller.
Nathalie me disait;- J’aimerai me faire mettre par ce type, il doit bien baiser.
Ce à quoi je répondais:- Tu n’est pas la seule, moi aussi j’aimerai qu’il me la mette n’importe où, sauf sous les bras !!!
- Et si on lui faisait des signes pour qu’il vienne nous mettre.
Ce n’était pas la peine de faire de signe;, il venait spécialement pout nous.
Il s’arrêtais juste à nos pieds pour mieux nous détailler. Il était à la recherche d’un bonne fortune: nous devions lui plaire :- Salut les filles, si vous cherchez un amant je suis à votre disposition pour baiser.
- Ca dépend pour faire quoi.
- Vous la mettre à toutes les deux.
- Vous ne pourrez pas le faire à nous deux ensemble, avec une seule queue.
- J’ai en plus de ma pine une langue qui sait faire jouir les filles de votre acabit.
C’est Nathalie qui la première répond qu’elle aimerai se faire mettre dans le con. Je préfère le cul. C’est à lui de choisir.
- Je vous prend toutes les deux à la fois, une avec ma bite et l’autre avec ma bouche et mes mains.
Quel tentateur. Nous aimons ce qu’il propose. La seule chose qu’il nous demande est de nous déplacer à cause des gens qui peuvent nous voir baiser.
Tant pis, nous étions bien là. Il sait où aller: à quelques centaines de mètres de là sous des pins parasols. Pour y aller il nous tient toutes les deux par la taille en nous serrant; De temps en temps il s’arête pour nous embrasser sur la bouche. Evidemment nos langues sont aux aguets. Je pose une main sur ses fesses pour les caresser, je passe juste sous la ficelles de son string et trouve rapidement son cul. Je ne résiste pas à lui entrer mon doigt dans l’anus. Il me laisse faire en souriant:- Tu es une sacré bonne femme toi, tu doit bien aimer de faire mettre.
- Oui c’est vrai, j’aime me faire mettre.
- Vivement qu’on arrive, avant de vous la mettre je veux vous voir baiser toutes les deux, vous devez aimer ça . A propos je m’appelle Vincent? Finalement j’ai trop envie de vous je vais vous baiser, vous feraient l’amour après moi.
Il est temps: nous arrivons sous les arbres. Il choisit lui même l’emplacement, « le lieu du crime ». Un bel endroit plat garni d’aiguilles de pinsIl s’assoit, nous prend dans ses bras, embrasse Nathalie longuement en la pelotant. Il ne m’oublie pas puisqu’il a déjà une main entre mes jambes. Quand il finit d’embrasser Nathalie, il m’embrasse. Sa langue a le goût de la salive de Nathalie. Il monte sa main bien haut, jusqu’à ma chatte. Il semble oubliée Nathalie. Sa main commence à me branler le clitoris. Je le laisse faire: il branle mieux que Nathalie. Je ferme les yeux.
Il me couche sur le sol, passe sur moi pour me la mettre pour baiser. Il entre très facilement dans mon ventre tellement je suis mouillée. Je lève les jambes pour les passer sur ses hanches. Ce qu’il me fait est très jouissif.
Il demande à Nathalie, un peu jalouse de venir lui donner son sexe, pardon, son con; elle s’approche de lui, reste accroupie; il sort sa langue qui nous parait bien longue et caresse avec juste le bout le clitoris de Nathalie qui surprise par sa dextérité fait un léger saut en arrière. Elle revient bien vite. Il recommence à la lécher. Elle écarte avec ses deux mains l’entrée de la protection du bouton pour être mieux sucée encore. Placée comme elle est je peux moi aussi lui faire des choses qu’elle aime: je pose deux doigts sur son cul et les rentre. D’elle-même elle ouvre son anus pour que j’aille le plus profond en elle. Nous sommes des salopes.
Je sens ma jouissance arriver: mon orgasme est puissant. Comme celui de Nathalie.
Nous sommes quitte: une jouissance chacune. Seul Vincent n’a pas jouit. Il nous dit que c’est normal, il est très long à jouir: il pourra nous contenter toutes les deux plusieurs fois.
- Maintenant à vous les filles baisez vous devant moi: je me branlerai en vous regardant.
Savoir qu’il va nous voir nous excite terriblement. C’est vrai que nous nous mettons rapidement en 69 pour nous lécher. Nos langues ne chôment pas en passant par tout les recoins de nos sexes que nous connaissons depuis longtemps pourtant. Nous aimons nos gout de cyprine ( il nous arrive de passer plusieurs jours sans nous laver rien que pour les fortes odeurs que nous dégageons). Pour ma part je lui lèche le clitoris pour commencer, j’entre dans son con le plus possible de langue en la tournant. Cette fois je la pose aussi sur son anus: j’entre à peine dans soin cul. Elle doit me faire à peu près les même choses. Nous nous faisons jouir presque ensemble.
Vincent, sans honte est juste à mes pied, à hauteur de la figure de Nathalie. Sa main va et vient sur la queue. Soudain il pousse un grand soupir quand son sperme commence à quitter ses couilles. Le jet arrive sur la figure de Nathalie et mes fesses. Dommage pour ce sperme perdu.
Nous pensons qu’il va débander rapidement. Ce n’est pas le cas: il débande rarement en baisant. Tant mieux pour nous; Il reprend la direction: il se couche sur le dos, demande à Nathalie d’aller se planter la queue là où elle veut. Elle choisit le cul. Je la vois quand elle s’encule seule, quand le tout de la bite est dans son ventre. Pour moi, j’hérite de sa bouche. Je m’assois presque sur lui. Je sens immédiatement sa langue parcourir toute ma chatte. Je ne sais quel est son secret, il lèche comme un chat, un chat vicieux. Il me semble qu’il est partout à la fois. Je me retiens sans succès: je jouis presque sans arrêt. Je suis obligé de me pencher pour ne pas tomber en arrière. Heureusement pour moi que Nathalie est près de moi. Nos lèvres se rejoignent pour un baiser qui dure pendant que nous sommes prises par le plaisir. Nathalie ajoute à son plaisir celui de la masturbation sur son clitoris: je n’en ai pas besoin avec la langue de Vincent qui fait seule toutes les caresses.
Je ne sais si c’est normal en tout cas Vincent jouit dans le cul de Nathalie qui par contre coup jouit aussi. Il finit par me faire jouir.
Nous sommes près pour nous embrasser à notre nouvelle façon: nos langues sont sorties de nos bouches et se caressent en dehors. C’est très excitant mais tardif. Malgré notre bonne volonté nous sommes obligés de cesser.
Nous avons rendez vous ce soir vers 22 heures au bal de la station. Nous y feront une courte apparition avant de nous éclissaient pour…………baiser.