Noémie la renifleuse de queue à la FAC 5 - Le gardien me démonte

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Récit libertin : Noémie la renifleuse de queue à la FAC 5 - Le gardien me démonte Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Noémie la renifleuse de queue à la FAC 5 - Le gardien me démonte
Bonjour à tous,

Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. C’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales !


Partie 5
Le gardien me démonte

Ces mots m’excitaient et je remuais du bassin instinctivement pour sentir son gros gland parcourir les contours de mes lèvres. Ma chatte trempée ne se contrôlait plus devant son visage buriné de vieux pervers.
— Ah tu en veux obsédée.
— Oui monsieur Robert, prenez-moi avec votre grosse bite !
— Tu vas spas être déçue ma salope.
J’observais les yeux écarquillés son machin s’introduire dans ma fente. Il rentrait son gland et le ressortait. Petit à petit il s’enfonçait et mes parois vaginales s’étirer. Son mandrin énorme pourfendait lentement ma chatte qui l’absorbait avec délice. De ma gorge, des râles sourds s’échappaient alors qu’il me pénétrait profondément.
— Tu la sens ma grosse queue là hein ?
— Oh oui Monsieur Robert, je n’ai jamais été aussi comblée.
Il ressortait on engin et frotta son gland sur mon clitoris provoquant des soupirs de plaisir. Il s’amusait à le tapoter, le caresser, appuyer dessus sous mes geignements obscènes. Il se réintroduit en moi en me coupant le souffle. Il commença de doux va et viens qui me transcendait. Il prenait soin de ne pas me déchirer mon antre bouillant et je sentis son pubis poilu sur mon bassin mouillé.
— Voilà, bien au fond ma chienne.
— Oh ! Vous me remplissez bien ma chatte de pute !
— Hummm. C’est bon. Je la sens bien monsieur Robert… Encore, oui…
— Touche ton clito, trainée !
Il allait et venait doucement pendant que je frottais mon bouton en gémissant. Je le fixais droit dans les yeux en me pinçant les lèvres.
— Fais-moi renifler tes doigts.
Je passais mes ongles sous ses narines et cajolais le bout de son nez d’un geste sensuel.
— Hummm. Ce que tu pues espèce de petite crade. Comment ça se fait.
— Hum, hum, hum.
Il me pénétrait dans un rythme lent et profond.
— Je mouille beaucoup, car je suis toujours excitée et des fois je me lave pas la chatte.
— Sale chienne ! Pourquoi ?
— J’adore ça. J’aime sentir mes doigts quand je me branle…
— Une vraie cochonne !
Il continuait ses allées et venues en accélérant crescendo.
— Oui monsieur Robert, une vraie nympho, votre pute…
— C’est ça ! Pas que, tiens…
— Arghhh
Il m’assena un group coup de boutoir dans ma chatte.
— Tu en suces combien ici ? reprit-il en me baisant lentement et poussant sur mon utérus excité.
— Argh, hummm… Cinq ou six…
— Salope !
— Oui monsieur Robert, je suis une salope qui se délecte de tailler des pipes à des grosses bites comme la vôtre, répliquais-je d’un gemissement.
J’avais peur, mais j’avais envie qu’il me démonte comme un hardeur de film X. Il continua quelques minutes à me besogner presque tendrement. Je le provoquai de mon regard azur et avançais mon bassin pour m’empaler sur sa queue.
— Humm, t’en veux jeune chienne
Je lui offrais mon plus beau rictus de dépravée.
— T’en veux hein. Dis-le !
— Oui Monsieur Robert, baisez-moi, défoncer moi comme une vulgaire putain, faite moi gueuler !
Sans coup férir, il m’enfila en rodeur et me força à pousser un énorme cri qu’il s’empressa de couvrir sa main. Malgré l’heure tardive, nous nous trouvions quand même dans les toilettes de la FAC. Je couinait sous ses premiers coups. Il ne me ménageait pas et je sentais mon minou peu expérimenté s" écarteler. Ses couilles lourdes claquaient sur ma peau et résonnaient dans la pièce où je suçais tous les soirs.
— Mrphp, hummm… ah ah
Il ralentissait le temps de reprendre sa respiration, je haletais toujours en laissant échapper un râle diffus et il repartait à l’attaque tambourinant dans mon vagin. Il me pénétrait dans une cadence folle. Je poussais des plaintes étouffées par sa paluche de bucheron qui sentait l’odeur forte de ma chatte. Jamais on ne m’avait baisé ainsi. Il suait à grosse goutes, il me dégoutait et m’excitait à la fois tant il me procurait il me faisait mouiller. Je l’enlaçai par les épaules et collais mon top ruiné par ma bave et la pisse sur son poitrail. Je me réfugiai dans ses bas pendant qu’il burinait mon vagin avec son immense gland.
— Tiens ! Prends ça, sale pute. Tu vois les vieux comme il te bourrine bien cochonne !
— Ohhhh Ouiiiii… c’est booonnn. Encore Monsieur Robert, j’ai jammmmais kiffer commmmmme ça…
Une étrange sensation montait en mois pendant qu’il me percutait. Mon nez plongeait dans son coup en sueur. Il tourna la tête et il m’embrassa avec son haleine fétide, mais me trouvant tellement excitée que je répondis à son baisé ou nos langues baveuses se mélangeaient. Il me libéra et continua à me démonter en règle quand je sentis se propager en moi un sentiment indescriptible. Ma chatte en ébullitionainsi que mes tétons dressés trahissaient la venue d’un orgasme comme je n’en avais jamais connu. Je mordais sa main et criais si fort que même le recteur de l’université à l’autre bout du bâtiment aurait pu m’entendre.
— Oh, tu jouis ptite garce. Vas-y prend ton pied  !
Il m’administra encore quelques coups de bite alors que je venais de connaitre le premier coït vaginal de ma courte vie de jeune baiseuse. Il ralentissait et j’avais l’impression de redescendre du septième ciel au par palier orgasmique, savourant ma jouissance. Je retrouvais mes esprits quand il me retourna face au miroir.
Je ne ressemblais plus à rien, les yeux brillant et rougi, le maquillage coulé sur mes joues, de la bave, autour de la bouche. Haletante, il m’attrapa par mes cheveux déjà en désordre.
— Regarde à quoi tu ressembles.
Je fixai la glace devant moi pendant qu’il glissait ses doigts dans mon vagin sous des bruits de clapotis. Je me contentais de gémir sous l’intrusion de sa main dans ma chatte.
— Alors, de quoi t’as l’air là !
— Une traiinnnéeee monnnnsssieuuur..
— Et quoi encire !
Il arrête de meurtri mon intérieur et je me lâchai.
— UJe ressemble à la dernière des putes monsieur, la plus grande salope qui existe, un jouet docile fait pour amuser les vieux pervers !
— Oh oui ce que tu m’excites ma Noémie ! Je vais encore te bourrer comme tu le mérites.
— Oh oui, allez-y monsieur Robert, branlez-vous dans ma chatte !
Il s’enfonça d’un énorme geste et me redéboita et je me sentais partir une nouvelle fois. Comment faisait-il pour me faire jouir autant. J’avais envie de lui, qu’il me prenne tous les jours, qu’il fasse de moi sa soumise tant j’aimais ce qu’il m’infligeait et comment il me traitait. Comme s’il lisait dans mes pensées en ralentissant ses coups de reins, il déclara dans un soupir.
— Tu va être a petite pute n’oublie pas Noémie.
J’hésitais entre deux feulements.
— Oui monsieur Robbbbert… tout ce que vous voulez.
— C’est bien tu va être à moi. Dis-le et soi convaincante sinon « jarrète tout de suite de baiser et je te donnerai pas un second orgasme.
Je ne tergiversai pas me trouvant à deux doigts, ou un gland, de partir de nouveau. Le fixant à travers le reflet du miroir, comme une catin je confirmai.
— Oui monsieur Robert je serais votre pute, votre jouet, je serais à vos ordres. Je vous sucerai, je reniflerai votre bite, je la nettoierais, vous me baiserez, mais je vous en supplie, faites-moi jouir.
— Je te prêterai à des amis, je vais faire de toi un véritable vide-couilles qui va me rapportez un max !
— Ouiiiiii
Il redoubla de vigueur, il m’emboutissait de son burin infatigable et m’envoya de nouveau dans les cieux de la débauche. Il ne m’accorda pas le temps de profiter et de reprendre mon souffle. Il m’empoigna les cheveux et me tira à ses pieds.
— Allez maintenant tu vas me finir.
— Oh oui monsieur, du bon jus chaud.
Je tendais la main pour serrer sa barre de fer volumineuse que je commençai à branler. Il était trempé et sali des traces blanchâtres que mon vagin écartelé avait laissées.
— Tu vas recevoir ta récompense. Tu la veux où ma p’tite gourmande ?
— Sur mon visage de jeune salope monsieur s’il vous plaît.
— Oui c’est bien. Toi tu me plais vraiment. Allez nettoies ma bite !
Je m’évertuai à laper les marques, léchouiller puis englober son gland poisseux dans le creux de mes joues. Il empoigna ma tignasse, pencha ma tête en arrière et branlait sa grosse mentule à un centimètre de mon nez..
— Hummmm, je vais venir… Réclame !
— Oui monsieur du jus, du jus donnez-moi votre jus je suis assoiffée de foutre !
— Ahhh je vais jouir putain de salope !
Il accélérait le mouvement de la peau sur son pruneau qui suintait.
— Oui du foutre s’il vous plaît, pitié, barbouillez la chienne que je suis…
— Ahhhhhhhhhhh.
Je vis un jet blanc sortir de son urètre qui se rependit sur mon nez, un autre macula mes yeux et m’aveuglant d’une couche épaisse.
— Ollalala c’est chaud.
— Ouiiiii salope, tiens !
Il ne s’arrêtait plus, il recouvrait mon front, mes joues de son jus visqueux. J’en avais partout, un masque se formait sur mon visage. Je glissais ma langue sur mes lèvres pour récolter sa semence gluante. Jamais ne n’avais reçu un tel torrent de sperme.
— Oh monsieur il y en a plein.
— Hummmm. Ce que je t’ai mis sale ma coquine. Ne bouge pas.
Il glissa son gland sur mon faciès enfoutré comme un pinceau puis le ramena à ma bouche à la façon d’une cuillère pour nourrir l’affamée de liqueur d’homme que j’étais.
— Nettoies ma bite sale pute !
— Hummm, hummm, slurp, slurp.
— Voilà c’est bien.
— Je me régale avec votre foutre, monsieur Robert. Je n’ai jamais vu une telle fontaine…
— Ben dit donc ! Ça promet. J’ai plein de projets pour toi. T’as aimé jeune cochonne ?
L’inquiétude me gagna. Je me demandais ce qu’il me réservait pourtant il me répugnait tout en faisant mouiller ma chatte d’étudiante nymphomane.
— Oui monsieur beaucoup. J’ai adoré m’occuper votre grosse bite et la manière dont vous m’avez baisé.
— Demain matin 7 h 30 à ma loge, je te veux en tenu d’écolière avec des couettes et te lave pas le minou, compris trainée ?
— Oui mon sieur Robert, dis-je en baissant la tête, à genoux, le visage ravagé.

À suivre…

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