Virée cochonne - En chasse partie 2

Récit érotique écrit par SMART77 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Virée cochonne - En chasse partie 2
On roulait depuis dix minutes à peine. Mathieu fumait encore, la vitre entrouverte, le regard en chasse. Moi, j’étais à genoux sur le siège passager, les fesses en l’air, les seins qui pointaient sous le débardeur tendu. Je sentais ma chatte coller contre le skaï du siège. J’avais le cœur qui battait fort. Je bandais du clito. Et je n’en pouvais plus d’attendre.
— Là, regarde, souffla Mathieu. Sur le trottoir. Le type en jean, veste marron. Cinquantaine bien sale.
Je tournai la tête. Oui. Un bon client. Un vrai. Il avait l’air fatigué, un peu paumé, pas rasé. Le genre de mec qui a pas vu une chatte depuis six mois. Ou alors seulement sur des sites moisis.
Mathieu ralentit. Il se gara juste à sa hauteur, ouvrit ma vitre, puis me fit signe d’y aller.
— Vas-y, Noémie. Montre-lui ce que t’es.
Je pris une grande inspiration, me penchai à moitié dehors. Mon cul à moitié nu dépassait dans l’habitacle. Je m’adressai à l’homme.
— Bonjour monsieur… excusez-moi… je peux vous poser une question un peu spéciale ?
Le type s’arrêta, méfiant, les sourcils froncés.
— Euh… ouais ?
Je souris, la voix douce, mais tremblante de tension.
— Je suis soumise. C’est mon mari là, au volant… il me filme aujourd’hui. Et… je cherche des hommes… des hommes comme vous… pour les sucer. Dans la rue. À travers la fenêtre… si vous êtes d’accord…
Il cligna des yeux. Pas sûr de comprendre.
— Attendez… quoi ? C’est une caméra cachée ou quoi ? C’est quoi cette connerie ?
Je souris encore plus, penchée un peu plus.
— Non monsieur. C’est sérieux. Il me filme, oui. Parce que c’est lui qui m’offre… c’est lui qui m’oblige. Et j’adore ça. Je veux sentir la bite d’un inconnu. Là, maintenant. Si vous êtes sale… c’est encore mieux.
Il se figea. Sa bouche s’ouvrit un peu. Il regardait mes seins, puis mon visage maquillé, puis Mathieu qui souriait derrière le volant, son téléphone déjà prêt à filmer.
— Mais… j’ai bossé toute la journée… j’suis pas… j’suis pas frais là. J’pue sûrement du zob…
Je penchai encore plus la tête, suppliante, yeux brillants.
— C’est ce que je veux, monsieur. Je veux une bite crade. Une vraie. Une qui sent le mec, la sueur, le foutre pas lavé… je veux la sentir contre ma langue, la respirer. Je veux que mon mari me filme pendant que je me salis avec vous…
Il balaya le trottoir du regard, comme pour vérifier qu’il rêvait pas. Puis il glissa une main à sa braguette, encore hésitant.
— Putain… vous êtes tarés… Mais t’as vraiment envie de ça ?
Je souris, je tendis la langue, je reniflai l’air, comme une chienne.
— J’ai envie de sentir votre bite. Maintenant.
Il jeta un dernier coup d’œil autour de lui. Puis il ouvrit sa braguette, lentement. Et sortit sa queue. Une queue molle, marquée, à demi collée au caleçon, avec des poils gris qui dépassaient. Et l’odeur, mon dieu…
Je la sentis avant même de la voir. Une vague tiède, épaisse. Un mélange de sueur rance, d’urine séchée, de foutre ancien. L’odeur d’un homme qui s’en fout. Qui bande pas pour plaire. Qui bande pour se vider. Je gémis doucement.
— Oh putain… vous puez, monsieur… c’est dégueulasse… j’adore…
Mathieu était déjà en train de filmer. Il se pencha vers moi, me murmura à l’oreille :
— Sens-le bien, salope. Renifle. Montre-moi comme t’aimes ça.
Je sortis la langue, collai mon visage à l’ouverture. Mon nez frôla la base de sa bite. C’était chaud, poisseux. Et ça sentait exactement comme je l’espérais : une bite d’homme pressé, oubliée, punie de savon.
Je reniflai longuement, bruyamment, yeux mi-clos.
— Hmmmm… c’est bon… c’est si bon… votre queue est sale comme il faut…
Le mec grogna, surpris.
— T’es sérieuse, là ? T’aime vraiment ça ?
Je lui lançai un regard plein de perversion.
— J’adore. Je mouille juste à sentir… regardez…
Je fis glisser ma main sous la jupe, mes doigts retrouvèrent ma chatte déjà trempée. Je les ressortis luisants, les portai à mon nez.
— Vous sentez ça ? C’est ma chatte qui sue pour votre odeur, monsieur.
Il n’attendit plus. Il tendit un peu sa queue par la fenêtre, elle était maintenant mi-dure, veineuse, tachetée. Je l’attrapai doucement, puis je la suçai.
La première goulée fut immonde et délicieuse. Le goût du gland, encore tiède, mêlé à cette légère acidité de peau pas lavée. Je gémis en la prenant plus profondément. Mathieu filmait tout, zoomant sur ma bouche salie, sur mes yeux qui pleuraient déjà.
— Voilà, souffla-t-il. T’es parfaite. Une pute de rue. Une bouche pour les hommes. Continue… fais-lui sentir que t’es rien qu’un trou à saloper.
Je suçais plus fort. Je reniflais en même temps. Je voulais le sentir partout, jusqu’au fond du nez. Je voulais que son odeur me colle, me pénètre. Le mec gémissait, posait sa main sur ma tête, sans douceur.
— Putain mais… t’es en chaleur ou quoi ? T’es une vraie chienne…
Je hochai la tête en le suçant. Je voulais qu’il le dise. Qu’il me traite de salope. Qu’il me crache dessus même, s’il fallait.
Mathieu ouvrit un peu plus la vitre pour mieux filmer.
— Il va jouir, le monsieur ? Demande-lui, Noémie. Dis-lui que tu veux sa semence, là, sur ta langue sale…
Je retirai sa queue un instant, le regard plein de foutre et de supplication.
— S’il vous plaît… j’ai besoin que vous me giclez dans la bouche… c’est mon mari qui veut. Il veut voir votre foutre couler sur ma langue…
Il grogna. Sa main se referma sur sa queue, il la branla deux secondes, et d’un coup, ça jaillit. Un foutre épais, dense, chaud, qui m’éclaboussa la lèvre, le menton, le nez. Je me jetai dessus, je léchai tout.
— Oui… oui monsieur… encore… donnez tout…
Mathieu gémit presque en filmant. Sa main était déjà dans son pantalon, pressée sur sa queue dure.
Je me léchai les lèvres, puis tendis la langue dehors une dernière fois.
— Merci… merci monsieur… j’adore votre goût…
L’homme, encore un peu choqué, remit sa bite au chaud, regarda Mathieu en secouant la tête.
— Bordel… c’est une vraie folle, ta femme…
Et il partit.
Moi, j’étais là, bouche pleine, maquillage coulé, chatte en feu, et le téléphone de Mathieu toujours braqué sur moi.
— Une. murmura-t-il. Il en reste d’autres à trouver.
— Là, regarde, souffla Mathieu. Sur le trottoir. Le type en jean, veste marron. Cinquantaine bien sale.
Je tournai la tête. Oui. Un bon client. Un vrai. Il avait l’air fatigué, un peu paumé, pas rasé. Le genre de mec qui a pas vu une chatte depuis six mois. Ou alors seulement sur des sites moisis.
Mathieu ralentit. Il se gara juste à sa hauteur, ouvrit ma vitre, puis me fit signe d’y aller.
— Vas-y, Noémie. Montre-lui ce que t’es.
Je pris une grande inspiration, me penchai à moitié dehors. Mon cul à moitié nu dépassait dans l’habitacle. Je m’adressai à l’homme.
— Bonjour monsieur… excusez-moi… je peux vous poser une question un peu spéciale ?
Le type s’arrêta, méfiant, les sourcils froncés.
— Euh… ouais ?
Je souris, la voix douce, mais tremblante de tension.
— Je suis soumise. C’est mon mari là, au volant… il me filme aujourd’hui. Et… je cherche des hommes… des hommes comme vous… pour les sucer. Dans la rue. À travers la fenêtre… si vous êtes d’accord…
Il cligna des yeux. Pas sûr de comprendre.
— Attendez… quoi ? C’est une caméra cachée ou quoi ? C’est quoi cette connerie ?
Je souris encore plus, penchée un peu plus.
— Non monsieur. C’est sérieux. Il me filme, oui. Parce que c’est lui qui m’offre… c’est lui qui m’oblige. Et j’adore ça. Je veux sentir la bite d’un inconnu. Là, maintenant. Si vous êtes sale… c’est encore mieux.
Il se figea. Sa bouche s’ouvrit un peu. Il regardait mes seins, puis mon visage maquillé, puis Mathieu qui souriait derrière le volant, son téléphone déjà prêt à filmer.
— Mais… j’ai bossé toute la journée… j’suis pas… j’suis pas frais là. J’pue sûrement du zob…
Je penchai encore plus la tête, suppliante, yeux brillants.
— C’est ce que je veux, monsieur. Je veux une bite crade. Une vraie. Une qui sent le mec, la sueur, le foutre pas lavé… je veux la sentir contre ma langue, la respirer. Je veux que mon mari me filme pendant que je me salis avec vous…
Il balaya le trottoir du regard, comme pour vérifier qu’il rêvait pas. Puis il glissa une main à sa braguette, encore hésitant.
— Putain… vous êtes tarés… Mais t’as vraiment envie de ça ?
Je souris, je tendis la langue, je reniflai l’air, comme une chienne.
— J’ai envie de sentir votre bite. Maintenant.
Il jeta un dernier coup d’œil autour de lui. Puis il ouvrit sa braguette, lentement. Et sortit sa queue. Une queue molle, marquée, à demi collée au caleçon, avec des poils gris qui dépassaient. Et l’odeur, mon dieu…
Je la sentis avant même de la voir. Une vague tiède, épaisse. Un mélange de sueur rance, d’urine séchée, de foutre ancien. L’odeur d’un homme qui s’en fout. Qui bande pas pour plaire. Qui bande pour se vider. Je gémis doucement.
— Oh putain… vous puez, monsieur… c’est dégueulasse… j’adore…
Mathieu était déjà en train de filmer. Il se pencha vers moi, me murmura à l’oreille :
— Sens-le bien, salope. Renifle. Montre-moi comme t’aimes ça.
Je sortis la langue, collai mon visage à l’ouverture. Mon nez frôla la base de sa bite. C’était chaud, poisseux. Et ça sentait exactement comme je l’espérais : une bite d’homme pressé, oubliée, punie de savon.
Je reniflai longuement, bruyamment, yeux mi-clos.
— Hmmmm… c’est bon… c’est si bon… votre queue est sale comme il faut…
Le mec grogna, surpris.
— T’es sérieuse, là ? T’aime vraiment ça ?
Je lui lançai un regard plein de perversion.
— J’adore. Je mouille juste à sentir… regardez…
Je fis glisser ma main sous la jupe, mes doigts retrouvèrent ma chatte déjà trempée. Je les ressortis luisants, les portai à mon nez.
— Vous sentez ça ? C’est ma chatte qui sue pour votre odeur, monsieur.
Il n’attendit plus. Il tendit un peu sa queue par la fenêtre, elle était maintenant mi-dure, veineuse, tachetée. Je l’attrapai doucement, puis je la suçai.
La première goulée fut immonde et délicieuse. Le goût du gland, encore tiède, mêlé à cette légère acidité de peau pas lavée. Je gémis en la prenant plus profondément. Mathieu filmait tout, zoomant sur ma bouche salie, sur mes yeux qui pleuraient déjà.
— Voilà, souffla-t-il. T’es parfaite. Une pute de rue. Une bouche pour les hommes. Continue… fais-lui sentir que t’es rien qu’un trou à saloper.
Je suçais plus fort. Je reniflais en même temps. Je voulais le sentir partout, jusqu’au fond du nez. Je voulais que son odeur me colle, me pénètre. Le mec gémissait, posait sa main sur ma tête, sans douceur.
— Putain mais… t’es en chaleur ou quoi ? T’es une vraie chienne…
Je hochai la tête en le suçant. Je voulais qu’il le dise. Qu’il me traite de salope. Qu’il me crache dessus même, s’il fallait.
Mathieu ouvrit un peu plus la vitre pour mieux filmer.
— Il va jouir, le monsieur ? Demande-lui, Noémie. Dis-lui que tu veux sa semence, là, sur ta langue sale…
Je retirai sa queue un instant, le regard plein de foutre et de supplication.
— S’il vous plaît… j’ai besoin que vous me giclez dans la bouche… c’est mon mari qui veut. Il veut voir votre foutre couler sur ma langue…
Il grogna. Sa main se referma sur sa queue, il la branla deux secondes, et d’un coup, ça jaillit. Un foutre épais, dense, chaud, qui m’éclaboussa la lèvre, le menton, le nez. Je me jetai dessus, je léchai tout.
— Oui… oui monsieur… encore… donnez tout…
Mathieu gémit presque en filmant. Sa main était déjà dans son pantalon, pressée sur sa queue dure.
Je me léchai les lèvres, puis tendis la langue dehors une dernière fois.
— Merci… merci monsieur… j’adore votre goût…
L’homme, encore un peu choqué, remit sa bite au chaud, regarda Mathieu en secouant la tête.
— Bordel… c’est une vraie folle, ta femme…
Et il partit.
Moi, j’étais là, bouche pleine, maquillage coulé, chatte en feu, et le téléphone de Mathieu toujours braqué sur moi.
— Une. murmura-t-il. Il en reste d’autres à trouver.
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