PIPE ODORANTE DANS LES TOILETTES DE LA FAC

- Par l'auteur HDS SMART77 -
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Récit libertin : PIPE ODORANTE DANS LES TOILETTES DE LA FAC Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2023 dans la catégorie Fétichisme
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PIPE ODORANTE DANS LES TOILETTES DE LA FAC
Bonjour à tous,

Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de vous livrer pour son plus grand plaisir. Plus âgé de treize c’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bite sales !

Aujourd’hui je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée sur les bancs de la fac.


Noémie la renifleuse de queue à la FAC

Partie 2
PIPE ODORANTE DANS LES TOILETTES DE LA FAC

À la fin des cours je me trouvais dans mon lieu de débauche favori comme à peu près tous les soirs. À part ceux que je pompais, personne ne se doutait que j’étais la petite suceuse de bite de la FAC. Il faisait chaud, mais à mon grand regret l’endroit ne sentait pas l’urine. Assise sur la lunette, la jupe en jean remonté sur mes cuisses, je caressai mon clito à travers mon string humide. Parfois, je reniflais mes doigts tout en pinçant mes tétons sous mon haut moulant mon 90B bien galbé. Je commençais à me demander si mon nouveau plan cul ne m’avait pas fait faux bon quand j’entendis la porte s’ouvrir. Les pas se dirigèrent directement vers ma cabine réservée aux handicapées que j’avais laissée entrouverte. Stéphane se tenait devant moi affichant sur son beau visage un sourire d’obsédé. Il ferma rapidement la porte alors que je m’empressai de poser mes mains sur sa braguette.
– Ummm. Tu es déjà dur cochon. Je peux découvrir mon cadeau ? demandai-je d’un air ingénu.
— Vas-y p’tite chienne fais toi plaisir.
Je débouclai la ceinture et fis glisser la fermeture éclair avant de jeter mon nez sur son boxer.
— Sniff… Ummm ça pu… je suis pressé de sentir le résultat de toute une journée de macération… hummmm. Sniff. Ah… trop bon…
— J’ai pas pissé depuis le début d’après-midi, mais ça sentait déjà bien fort. Tu devrais bien te régaler ma petite cochonne.
— On va voir ça, car j’adore renifler les bites bien puantes !
Je tirai son caleçon et sa queue se tendit droit sur son nombril. L’odeur se propagea dans toute la pièce et ma chatte coula d’une cyprine brulante. Le prépuce laissait voir le bout du gland brillant et humide sur lequel je passai l’index avant de le porter sous mon nez.
— Oh la vache ! Rien que comme ça, elle pue ! Et qu’est-ce qu’elle est belle, grosse, bien veinée, une bonne paire de couilles bien remplie que je vais me faire un plaisir de vider… Ummm. Tu as une queue parfaite, voyons ça de plus près.
Je m’approchai doucement en fermant les paupières et décelait une odeur virulente, mais tellement excitante. Je glissai à peine le bout du nez sur sa hampe qu’elle tressauta sous mon passage.
— Ummm. Snif snif. Ce qu’elle sent fort… Je kiffe ça. Plus ça sent fort plus je mouille.
D’en haut le beau gosse de l’université avait vue sur mes yeux bleus de salope courant tout le long de son manche. Je lui envoyai un sourire vicieux en savourant ces bons effluves de mâle en rut. Je me régalais de l’humidité de son foutre puant du matin que j’avais étalé de manière méticuleuse. Son imposante bite vibrait entre mes doigts qui peinaient à l'envelopper Je tirai délicatement la peau pour découvrir son gland en forme de grosse prune sous laquelle je collai fort ma narine.
— Snifffffff. Ummm. Sniff. Ummmm. C’est là ou ça pu le plus, je me régale.
— Faut vraiment être une sacrée chienne pour aimer l’odeur de bite sale.
— Oh que oui j’en suis une. Tu n’aimes pas que je renifle ta bonne queue puante ? demandai-je d’un air innocent.
— Oh que si. Allez maintenant tu vas la nettoyer salope.
— Oh oui.
Je la serrai fort et provoqua des gémissements de ma victime du jour.
— Ce qu’elle est dure..
Je tendis la langue sur le bout de son méat où une goutte perlait. Je la lapai comme une petite chienne en gémissant de plaisir.
— Miam. Tu es un gros juteur ?
— Ce sera la surprise ptite garce ?
Je léchai ses grosses couilles et remonta le long de sa tige pour gouter comme une glace sa boule par laquelle allait jaillir une bonne giclée.
— Allez suce maintenant sale pute !
Il attira ma tête et plongea sa matraque dans ma bouche gloutonne. Je le pompai et pompai goulument. Des bruits de succion couverts par mes gémissements obscènes emplissaient les toilettes. Je bavais sur son bâton rigide, la salive coulait sur mon menton. Parfois je plongeai mon nez dans son pubis où des odeurs nauséabondes régnaient tout en enfonçant son braquemart dans ma gorge une courte seconde. Je reprenais ma respiration en jouant avec son gland dans l’intérieur de mes joues de petite vicieuse.
Il se crispait et émettait des souffles de plaisir.
— Tu aimes comme je te suce ?
— Oh oui, tu es vraiment une bonne suceuse !
— Merci, tu vois je te l’avais dit
— Allez suce et ta gueule !
— Ummm. Ummm. Ummm.
Il tira ma tête vers lui plus fortement pour venir caresser la glotte. Il tenta de me faire avaler ses vingt centimètres, mais j’étouffais, la bile s’échappait du coin de mes lèvres. Il insista et je levai des yeux larmoyants vers son visage qui exprimait toute sa perversité.
— Allez vas-y tu va y arriver, prend la entière sale pute !
— Glup glup glup
— Allez, allez !
— Grrrppp… Slurrpp
Il replongea mes narines dans se poils puants, mais me forçai a maintenir son manche dans ma gorge. Je gesticulai et frappa ses cuisses musclées. Il me libéra enfin et je ne pus me retenir de vomir quelque goutte à ses pieds. Je toussais et crachai le reste de bile sur mes genoux posés sur le carrelage humide de vieille pisse.
— Oops, je suis allé un peu fort…
— Elle est trop longue désolée…
— Ce n’est pas grave on ressayera après.
— Oui, tu peux me baiser la bouche si tu va pas trop au fond. Ça te dit ?
— Grosse pute va ! Viens là !
Il remboita son chibre dur comme du béton et encadra ma tête avec ses grandes mains. Il imprimait un va et viens avec une certaine retenue pour s’arrêter au trois quarts de son monstre qui emplissait toute ma petite bouche. Il se servait d’elle comme d’une chatte et bougeait ses hanches dans un va et viens rapide telle une mitraillette. La salive s’écoulait toute seule de mes lèvres chaudes et se répandait sur mon menton pour couler sur mon top rose. On entendait un bruit de vagin trempée et bourriner qui résonnait contre le carrelage blanc.
— Blop blop… glruuup..umm
— Tu vouais que je te bais la bouche hein sale pute !
Il me laissa respirer. Essoufflée, je lui répondis.
— Ah oui j’adore.
Il continua à enfiler sa grosse bite dans ma petite cavité baveuse.
— Tu va me faire venir sale trainée
Il accéléra encire plus vite des blop blop blop sortaient de ma gorge.
— Putain ce que c’est bon !
— Ayé, tu vas cracher ta sauce ?
— Oh oui salope !
— Vas-y baise moi en gorge profonde pour le final.
— Putain sale chienne ! Avec plaisir.
Je m’attendais au pire, mais je mouillais d’impatience. Il m’empoigna les cheveux comme un palmier au-dessus du crâne et me balança de droite à gauche, d’avant en arrière, à la manière d’une vulgaire poupée.
— Oh oui j’adore ! Utilise-moi comme un jouet !
J’adorai cette poigne et être traitée comme une femme objet. Il ne montra plus aucune pitié pour la putain que je représentais pour ce sadique de vingt ans. Il me faisait aller et venir, vite et profond. Je vomissais, des yeux noircies brillaient sur mes joues en surchauffe, mais je le laissais m’utiliser comme un trou à bite.
— Blurp blurp blurp…
Je ne devais plus ressembler à grand-chose, la sueur, la bave et les larmes mélangées au Rimmel sur mon visage. Mes cheveux blonds devaient ; ressembler à un chiffon froissé et commençait à me faire souffrir de plaisir. Il continua quelques secondes, mais il ne pouvait plus se retenir dans ma bouche de suceuse hors pair.
— Je vais te donner ta récompense, gémissait-il.
— Oh oui du foutre chaud, donne-moi ton foutre !
— Tu le veux où salope ?
— Sur ma gueule. Oui, recouvre mon visage de pute de ton bon jus de mâle !
Je quémandais comme une assoiffée de liqueur d’homme. Lui se branlait au-dessus de ma face de catin. Je pouvais sentir l’odeur de sa bite malgré un lavage au fond de ma gorge.
— On m’a jamais sucé comme ça. Déclara-t-il d’une vois tremblante.
— C’est parce que ta queue est délicieuse. J’en veux encore… allez crache ta sauce sur ma gueule de chienne en chaleur.
— Oh oouiiiii ayé tiens prend ça sale pute !!!
Je sentis un gros jet gluant tomber sur mon front, puis une salve me recouvra un œil avant de sentir une grosse trainée me balafrer la joue. Il ne s’arrêtait plus d’asperger mon visage innocent de son jus épais. Je sentis des grumeaux sur les lèvres que je dégustai d’un trait de langue.
— Oh lalala ! yen a plein ! Tout ce sperme chaud. Ummm j’adore.
Mon épaule s’émoustillait de bonheur pendant qu’il branlota son manche au-dessus de ma bouche gourmande pour que je récolte les dernières gouttes. Comme avec un pinceau il passa sa prune mouillée pour recueillir son foutre gluant avant de me faire nettoyer son objet de plaisir. Je me régalais en gémissant.
— Il est bon ton jus. Bien blanc et bien épais comme j’aime. Ta une grosse bite bien juteuse. J’espère que tu me la feras encore gouter.
— Quand tu veux ma ptite sal…
La porte des toilettes lui coupa la parole. En panique il rangea son outil ramolli et sorti de la cabine. Je l’entendis dire bonjour, mais je n’entendis aucune voix en retour. Les battements de mon cœur s’accélérèrent, mon trou bouillant sécha sur le champ. Assise, sur le trône la jupe relevée, la chatte à l’air, le visage taché de maquillage souillé et de foutre, j’écoutais les pas s’approcher. La porte s’ouvrit et je découvris avec horreur le vieux gardien devant moi qui affichait un sourire de pervers…

A suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Hâte de lire toutes vos autres aventures

Histoire Libertine
Hummm très excitant



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