Nostalgie et Nicole
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nostalgie et Nicole
J’avais à peine 21 ans quand je levais une fille que je croyais dépucelée. Dans ma chambre j’arrivais facilement, trop facilement à la convaincre de se donner à moi. Odile, n’avais à l’époque que 17 ans. Elle était bien faite, sexy et après une bonne demi heure de pelotage, je pouvais la masturber. En gémissant elle se laissait faire, elle en profitait également pour me caresser maladroitement la queue. Je venais sur elle, mettais ma bite juste à l’entrée de sa chatte. Elle devait être mal placée puisque c’est elle finalement qui après l’avoir prise en main me guidais.
J’entrais en elle comme dans une femme normale. Mais voilà; elle poussait un petit cri quand je perforais son hymen. J’allais au fond de son vagin, j’étais bien dans ce con tout neuf.
Je commençais mes allers et venues: peu de temps après elle accompagnait mes mouvements pour jouir juste avant moi.
Nous sommes restés quelques mois ensemble. Avant de nous séparer, nous avons fait l’amour une dernière fois. Elle voulait que je lui fasse tout. Tout pour moi c’était la lui mettre par derrière.
Je prenais toutes les précautions possible: quand je la sodomisais, encore une jouissance de sa part. Mon sperme partait dans son ventre pour la dernière fois. Dommage, elle suivait ses parents mutés très loin.
J’ai maintenant, à 35 ans je vois une silhouette familière. Je me demande si je rêve, il me semble voir Odile, à peine changée. Je m’approche pour voir ce fantôme.
C’est bien Odile avec des années en plus, en pleine maturité: plus belle sans doute plus sexy. Elle a pris un peu de poitrine, juste un chouïa. Surprise quand je prend son bras elle me sourit quand elle me reconnait. Un café en face de nous nous permet de bavarder devant un petit noir. Elle est mariée, en instance de divorce, elle vit seule, a un travail pas loin d’où nous sommes.
Nos relations intimes étaient excellentes, il n’y a pas de raison que de temps en temps nous ne nous voyons pas, c’est-ce que je pense. Dans ma tête je la revois quand nous baisions, son ardeur et surtout sa dernière demande de sodomie.
Je devenais timide comme un gamin, je n’osais même pas rappeler nos coucheries. Je la sentais embarrassée: elle aussi avait un poids sur elle.
Au moment de nous séparer c’est elle qui me le demande:
- Quand est-ce qu’on se voit seul à seul, pour
Je la coupe:
- Pour nous aimer ?
- Oui, pourquoi pas. Il y a longtemps que je ne me suis pas donné à un autre.
- Tu es pressée ?
- Maintenant, je vais travailler, je finis à 19 heures. On peut se retrouver ici.
Un peu avant 19 heures je suis au rendez vous. Je prends une table isolée, je n’attends pas longtemps. Elle arrive rapidement. Elle est assisse près de moi quand je l’embrasse. Ses lèvres me semblent aussi douces qu’avant. Elle prend ma tête entre ses mains comme pour me demander de continuer le baiser. Nos langues n’ont pas attendues pour se caresser. Je ne peux pas lui faire autre chose de plus excitant: il y a beaucoup de monde autour.
Nous partons chez moi. Encore chez moi. Bien sur mon royaume est en désordre, J’ai quand même fait mon lit, à part ça rien de particulier. Je ne pensais surtout pas la reconquérir si vite.
Je la fais assoir sur un fauteuil.
Nous nous racontons plus en détail. Son mari, mes ex, nos amours anciens. Surtout de nous avant. Je détaille ce que nous faisions: elle me demande de cesser:
- Arrête, tu vas m’exciter.
- Si j’ai envie de t’exciter, tu ne m’en empêchera pas.
- Tu tiens absolument à me baiser encore.
- Pourquoi tu n’aimerai pas.
- Si, bien sur, seulement tu ne connais pas ma vie actuelle.
- Tu as un amant ?
- Non
- Une amante ?
- Non plus.
- J’ai peur de recommencer: si on se sépare encore.
Ma réponse un autre baiser sur la bouche. Cette fois je peux faire à peu près de ce que veux à condition qu’elle l’accepte. Je commence à la peloter.
Il ma semble revenir en arrière. Je trouve ses seins durcis par le désir. Elle est menteuse quand elle dit qu’elle a peur. Depuis quand une femme de son âge a peur d’une bite.
Je la force à me suivre dans la chambre. Elle se laisse faire quand j’entreprends le déshabillage. Elle ne garde que sa culotte. Pour moi c’est suffisant pour prendre un sein entre mes lèvres. Je le suce en léchant son téton. Je me doutais qu’arrivée à ce stade, elle se laisserai faire.
Je profite lâchement pour accentuer mes caresses sur toute sa personne. Une fois passé ses hanches, je peux caresser ses fesses d’abord en son pubis ensuite. Je peux surtout enlever la culotte. Maintenant je peux la coucher. Enfin il me semble qu’elle se laisse faire. Elle s’abandonne à mes caresses: je peux passer ma main entre ses jambes, je caresse son entrejambe. Je cherche un peu son bouton. Dès que je le trouve, son ventre se tend vers ma main: elle demande la masturbation. Je me souviens de la pression et de la vitesse. Je reproduis mes souvenirs. Le plaisir arrive plus vite qu’avant. Par contre, nouveauté, elle ne gémissait pas. Je me demande bien pourquoi. Elle a bien gémit un peuplus tard quand trois doigts dans son sexe la masturbaient. A ce moment là elle m’a cherché et prit la queue comme avant. La seule différence est que maintenant elle sait bien branler.
Elle arrête quand je me tourne vers ses pieds: je cherche à la sucer. Nous ne l’avions jamais fait ensemble. J’espère qu’elle a apprit le 69. Je passe ma tête entre ses jambes. Je prends son clitoris entre mes dents. Je commence à la sucer quand je sens sa bouche autour de ma bite. Nous nous tournons, pour qu’elle soit dessus. C’est plus confortable pour nous deux. Je dois lui faire du bien puisque je sens ses spasmes.
Elle sait comment faire pour que je ne jouisse pas rapidement, malgré ses précautions je ne peux plus me retenir. Je l’avertis juste à temps. Elle me garde dans la bouche: elle prend toute ma semence. Quand nous nous relevons, sa bouche est vide.
Elle sait que je vais mettre un moment avant de bander encore. Elle vient contre moi, me donne sa poitrine à lécher: je trouve ses seins aussi doux qu’avant. Elle vient sur moi pour s’assoir sur ma bite, elle la met contre son sexe. Je sens ses lèvres sur ma queue. Elle la caresse uniquement avec son sexe. L’inévitable arrive: je bande.
Elle reste sur moi, prend ma bite pour se la mettre dans le ventre. Je n’ai pas à bouger, elle s’occupe de tout, tellement bien qu’elle jouit encore. Je peux lui caresser la poitrine et veux aussi caresser encore son bouton quand après une jouissance, elle se relève à peine pour changer d’endroit.
Son petit trou est toujours aussi accueillant, malgré son non usage depuis je ne sais combien de temps: elle se détend complètement quand elle se laisse descendre sur ma colonne. Je lève les genoux pour qu’elle s’y appuie. Quand elle est ainsi un peu en arrière je vois toute sa chatte. Je la vois mouillée à tel point que je peux enfin la branler. Là encore elle recommence à gémir. Je suis très excité de voir ma bite entrer et sortir de sa gaine arrière. Elle jouit de plus en plus fort quand moi aussi je lui envoies un jet de sperme dans le cul.
Cette fois c’est fini, pour le moment. J’ai envie de continuer à la voir.
Elle ne demande pas de la faire partir. Je sais ce qu’elle veut; nous réveiller ensemble.
J’entrais en elle comme dans une femme normale. Mais voilà; elle poussait un petit cri quand je perforais son hymen. J’allais au fond de son vagin, j’étais bien dans ce con tout neuf.
Je commençais mes allers et venues: peu de temps après elle accompagnait mes mouvements pour jouir juste avant moi.
Nous sommes restés quelques mois ensemble. Avant de nous séparer, nous avons fait l’amour une dernière fois. Elle voulait que je lui fasse tout. Tout pour moi c’était la lui mettre par derrière.
Je prenais toutes les précautions possible: quand je la sodomisais, encore une jouissance de sa part. Mon sperme partait dans son ventre pour la dernière fois. Dommage, elle suivait ses parents mutés très loin.
J’ai maintenant, à 35 ans je vois une silhouette familière. Je me demande si je rêve, il me semble voir Odile, à peine changée. Je m’approche pour voir ce fantôme.
C’est bien Odile avec des années en plus, en pleine maturité: plus belle sans doute plus sexy. Elle a pris un peu de poitrine, juste un chouïa. Surprise quand je prend son bras elle me sourit quand elle me reconnait. Un café en face de nous nous permet de bavarder devant un petit noir. Elle est mariée, en instance de divorce, elle vit seule, a un travail pas loin d’où nous sommes.
Nos relations intimes étaient excellentes, il n’y a pas de raison que de temps en temps nous ne nous voyons pas, c’est-ce que je pense. Dans ma tête je la revois quand nous baisions, son ardeur et surtout sa dernière demande de sodomie.
Je devenais timide comme un gamin, je n’osais même pas rappeler nos coucheries. Je la sentais embarrassée: elle aussi avait un poids sur elle.
Au moment de nous séparer c’est elle qui me le demande:
- Quand est-ce qu’on se voit seul à seul, pour
Je la coupe:
- Pour nous aimer ?
- Oui, pourquoi pas. Il y a longtemps que je ne me suis pas donné à un autre.
- Tu es pressée ?
- Maintenant, je vais travailler, je finis à 19 heures. On peut se retrouver ici.
Un peu avant 19 heures je suis au rendez vous. Je prends une table isolée, je n’attends pas longtemps. Elle arrive rapidement. Elle est assisse près de moi quand je l’embrasse. Ses lèvres me semblent aussi douces qu’avant. Elle prend ma tête entre ses mains comme pour me demander de continuer le baiser. Nos langues n’ont pas attendues pour se caresser. Je ne peux pas lui faire autre chose de plus excitant: il y a beaucoup de monde autour.
Nous partons chez moi. Encore chez moi. Bien sur mon royaume est en désordre, J’ai quand même fait mon lit, à part ça rien de particulier. Je ne pensais surtout pas la reconquérir si vite.
Je la fais assoir sur un fauteuil.
Nous nous racontons plus en détail. Son mari, mes ex, nos amours anciens. Surtout de nous avant. Je détaille ce que nous faisions: elle me demande de cesser:
- Arrête, tu vas m’exciter.
- Si j’ai envie de t’exciter, tu ne m’en empêchera pas.
- Tu tiens absolument à me baiser encore.
- Pourquoi tu n’aimerai pas.
- Si, bien sur, seulement tu ne connais pas ma vie actuelle.
- Tu as un amant ?
- Non
- Une amante ?
- Non plus.
- J’ai peur de recommencer: si on se sépare encore.
Ma réponse un autre baiser sur la bouche. Cette fois je peux faire à peu près de ce que veux à condition qu’elle l’accepte. Je commence à la peloter.
Il ma semble revenir en arrière. Je trouve ses seins durcis par le désir. Elle est menteuse quand elle dit qu’elle a peur. Depuis quand une femme de son âge a peur d’une bite.
Je la force à me suivre dans la chambre. Elle se laisse faire quand j’entreprends le déshabillage. Elle ne garde que sa culotte. Pour moi c’est suffisant pour prendre un sein entre mes lèvres. Je le suce en léchant son téton. Je me doutais qu’arrivée à ce stade, elle se laisserai faire.
Je profite lâchement pour accentuer mes caresses sur toute sa personne. Une fois passé ses hanches, je peux caresser ses fesses d’abord en son pubis ensuite. Je peux surtout enlever la culotte. Maintenant je peux la coucher. Enfin il me semble qu’elle se laisse faire. Elle s’abandonne à mes caresses: je peux passer ma main entre ses jambes, je caresse son entrejambe. Je cherche un peu son bouton. Dès que je le trouve, son ventre se tend vers ma main: elle demande la masturbation. Je me souviens de la pression et de la vitesse. Je reproduis mes souvenirs. Le plaisir arrive plus vite qu’avant. Par contre, nouveauté, elle ne gémissait pas. Je me demande bien pourquoi. Elle a bien gémit un peuplus tard quand trois doigts dans son sexe la masturbaient. A ce moment là elle m’a cherché et prit la queue comme avant. La seule différence est que maintenant elle sait bien branler.
Elle arrête quand je me tourne vers ses pieds: je cherche à la sucer. Nous ne l’avions jamais fait ensemble. J’espère qu’elle a apprit le 69. Je passe ma tête entre ses jambes. Je prends son clitoris entre mes dents. Je commence à la sucer quand je sens sa bouche autour de ma bite. Nous nous tournons, pour qu’elle soit dessus. C’est plus confortable pour nous deux. Je dois lui faire du bien puisque je sens ses spasmes.
Elle sait comment faire pour que je ne jouisse pas rapidement, malgré ses précautions je ne peux plus me retenir. Je l’avertis juste à temps. Elle me garde dans la bouche: elle prend toute ma semence. Quand nous nous relevons, sa bouche est vide.
Elle sait que je vais mettre un moment avant de bander encore. Elle vient contre moi, me donne sa poitrine à lécher: je trouve ses seins aussi doux qu’avant. Elle vient sur moi pour s’assoir sur ma bite, elle la met contre son sexe. Je sens ses lèvres sur ma queue. Elle la caresse uniquement avec son sexe. L’inévitable arrive: je bande.
Elle reste sur moi, prend ma bite pour se la mettre dans le ventre. Je n’ai pas à bouger, elle s’occupe de tout, tellement bien qu’elle jouit encore. Je peux lui caresser la poitrine et veux aussi caresser encore son bouton quand après une jouissance, elle se relève à peine pour changer d’endroit.
Son petit trou est toujours aussi accueillant, malgré son non usage depuis je ne sais combien de temps: elle se détend complètement quand elle se laisse descendre sur ma colonne. Je lève les genoux pour qu’elle s’y appuie. Quand elle est ainsi un peu en arrière je vois toute sa chatte. Je la vois mouillée à tel point que je peux enfin la branler. Là encore elle recommence à gémir. Je suis très excité de voir ma bite entrer et sortir de sa gaine arrière. Elle jouit de plus en plus fort quand moi aussi je lui envoies un jet de sperme dans le cul.
Cette fois c’est fini, pour le moment. J’ai envie de continuer à la voir.
Elle ne demande pas de la faire partir. Je sais ce qu’elle veut; nous réveiller ensemble.
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