Notre aventure du mois de février de l'an 2017

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Notre aventure du mois de février de l'an 2017 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Notre aventure du mois de février de l'an 2017
Mon mari et moi expérimentons diverses variantes de libertinage.

*********

Mariza m’a téléphoné quelques jours après notre retour de notre escapade sur le Nil. Elle m’a dit qu’elle voulait nous parler – juste parler, a-t-elle précisé – mais a refusé de donner plus de précision au téléphone. Je lui ai dit que de notre côté, nous avions aussi des choses à lui raconter. Nous avons fixé un rendez-vous dans un salon de thé.

Quand elle vient à notre rencontre, elle est rayonnante. En plus de sa beauté habituelle, elle dégage une sorte de plénitude. Je crois que je devine ce qu’elle veut nous dire. Je ne veux pas la priver du plaisir de son annonce, alors je ne la devance pas. Mais je ne suis pas surprise lorsqu’elle dit :

— J’ai rencontré quelqu’un !
— Homme ou femme ? demande Caline.
— Un homme. Il s’appelle Benjamin. Il est très beau, très gentil, bon amant... Tout, quoi. Je suis peut-être même amoureuse !
— En tout cas, tu en as l’air, dis-je. Et ce beau, gentil et bon Benjamin, tu nous le présentes quand ?
— Justement, je voulais vous voir sans lui avant de vous le présenter. Il faut que vous sachiez : il est pas très partageur, si vous voyez ce que je veux dire.

Je m’essaye à compléter :

— Et tu lui as pas dit que tu avais couché avec nous, du coup tu veux nous prévenir pour pas qu’on gaffe devant lui, c’est ça ?
— Non, non, je vous ai dit que je crois qu’on commence une vraie histoire d’amour. Alors on doit tout se dire, non ? On s’est raconté nos vies, et il sait à peu près tout de moi : que je suis bisexuelle, et même que j’ai fait l’expérience du sexe à trois, avec un couple. Il y a pas de souci avec ça...

Elle devient grave, et poursuit :

— Je voulais juste vous prévenir que je ne vais plus pouvoir partager votre lit... Je suis triste de ça, vous allez me manquer... Et j’aurais pas pu vous annoncer ça comme ça, avec détachement. Du coup, si on en avait parlé en sa présence, il aurait été gêné, parce que c’est à cause de lui que je me prive de vous.
— Tu vas nous manquer aussi, dis-je. Mais si tu as trouvé quelqu’un et que tu es heureuse, on est contents pour toi. Tu peux nous le présenter, on fera rien qui puisse casser l’ambiance.

Caline ajoute :

— Avant qu’on décide de ne plus en parler, je veux te dire que j’oublierai jamais tout ce qu’on a fait ensemble : quand je fantasme sur le fait de coucher avec « une femme », cette femme restait anonyme, je ne pensais qu’à du "sexe"... Mais j’ai ressenti bien plus que ça quand on a fait l’amour toutes les deux !
— Tu sais, ça a été une expérience exceptionnelle pour moi aussi. Mais j’espère surtout que tu vas être heureuse avec ton Benjamin.

Mariza respire un grand coup, et dit sur un ton léger :

— Et vous, alors ? Tu m’as dit que tu avais des trucs à me raconter. Vous avez fait des rencontres ?
— Pas vraiment des rencontres. Mais on n’est pas restés sages !

Je raconte, alors, à Mariza notre escapade en Égypte.

—Revenons à nos moutons... Ton Benjamin, il est dans quelle catégorie  de baiseur ?
—Dans la catégorie de ceux qui te font grimper au rideau... Sinon, je serais pas amoureuse... Bon, ça n'a rien à voir avec ce que j'ai eu plaisir de vivre avec vous deux... Mais bon...

___________________

Depuis la rentrée, Caline a rencontré Guillaume sur son lieu de travail, à quelques reprises. Ils sont restés à une attitude de collègues qui se connaissent un peu. Leur interaction ne va jamais plus loin qu’un café au distributeur dans le hall. Mais lors d’une telle occasion, en prenant bien soin de ne pas être entendue par des collègues alentour, Caline lui a glissé que nous l’invitons à se joindre à nous samedi prochain. Contrairement à Mariza, Guillaume est toujours célibataire, alors sans trop de surprise, il était partant... Et deux fois plus qu'une.

Nous voici tous les trois, prêts à prendre un verre au salon. Caline en maîtresse de maison avertie, nous propose de nous asseoir sur le canapé du salon, tandis qu'elle prend le fauteuil en face de nous. Quand elle estime qu’on a assez bavardé, elle prend l’initiative : elle se lève de son fauteuil, et vient s’installer sur le canapé, entre eux nous. N’ayant pas laissé tellement de place entre nous, nous nous retrouvons un peu serrés.
À vrai dire, c’était le but. Une fois installée, Caline ne bouge plus, elle reste sage, ses mains sur ses genoux. Mais l’invitation est claire, et on ne se fait pas prier.

Chacun de son côté, on commence à la caresser, à déposer de petits baisers dans son cou, sur ses épaules. Elle reste en apparence de marbre, mais elle commence à sentir une flamme entre ses cuisses. Surtout et bien naturellement, on n’en reste pas à des papouilles de collégiens.
On lui caresse les seins, les cuisses par dessus et par dessous le short assez fin qu'elle porte. Ma main se glisse sous son T-shirt, tandis que celle de Guillaume, court sur son ventre. Elle est toujours "immobile", à part lever ses bras quand on commence à lui ôter son T-shirt, rapidement tiré à quatre mains. Une fois ce vêtement à ses pieds, elle reprend son attitude neutre. Les lèvres et les langues jouent à se délecter de sa poitrine, qu’il nous faut libérer de sa prison de dentelle rouge. Elle se laisse faire, et se contente de nos nouvelles caresses, un peu plus chaudes. Sa respiration trahit son émoi, mais à part ça, elle parviens à rester de marbre.

Les mains baladeuses ont envie d’explorer plus bas.
Qu’elles ne s’en privent pas !
C’est une main de Guillaume qui s’immisce entre ses cuisses, les écartant un peu au passage. Elle s’éloigne bientôt, ma main la remplace, un peu plus hardie, qui frotte son pubis à travers le fin tissu. Elle est bien accueillie, dans un petit nid chaud et humide. Caline se mords la lèvre. La ceinture est bientôt attaquée, et se rend sans trop de résistance. Caline se montre coopérative lorsqu’il lui faut soulever un instant ses fesses pour faciliter le retrait de son short, accompagné, bien entendu, de mon string, elle lève, même, docilement les jambes pour terminer la manœuvre. Puis elle revient dans la même position qu'elle avait prise au tout début, à ceci près que elle est maintenant totalement nue sur le canapé. Nue, mais pas à découvert, car son corps est tout entier la proie de caresses et baisers.

Elle ne peut se retenir de gémir lorsque les doigts de Guillaume se glissent entre les lèvres toutes humide de sa chatte, le long de sa fente, tandis que nos deux langues roulent des patins à ses tétons érigés. Ma princesse ne cache plus son excitation d’être nue entre deux hommes qui, toujours habillés, se consacrent à son plaisir... Et quel plaisir !
Nos mains sont partout et lui donnent frisson sur frisson, spasme sur spasme. Je m’occupe de ses petites lèvres, tandis que Guillaume taquine son clitoris. Notre victime ne peut plus rester immobile, son sexe, s’avance à la rencontre de nos caresses.
La main de Guillaume descend vers l’orée de son vagin, rencontre la mienne, qui remonte vers son bouton en feu. Son vagin est pénétré par deux doigts, son clitoris est alors branlé par un index agile, ses seins sont pétris par nos deux autre mains libres, et tant bien que mal, on lèche, on mordille, on suce, son cou et mon oreille. Cette coquine de Caline ondule du bassin en cadence.
Tout comme Guillaume, je fais de mon mieux pour que son plaisir soit à la fois diffus et intense. Je ne me maîtrise plus, je sens tout son corps trembler, se tendre et s’abandonner. L’orgasme l'envahit de partout à la fois, et résonne longuement, en écho d’un bout à l’autre de mon corps.

On la laisse reprendre son souffle, en se faisant simplement câlins. Comme si on la consolait après un gros chagrin. Caline me lève du canapé mais nous ordonne de rester assis, et se plante devant nous. On la dévore de nos yeux, et elle voit distinctement que l’un comme l’autre, nous bandons grave de chez grave. Sans un mot, elle prend une main à chacun, et nous montre la suite des opérations... Ah la coquine... Elle dépose chaque main, directement, sur la bite de l’autre homme.
On ne se fait pas prier pour nous caresser réciproquement. Elle est perverse... Elle nous intime l'ordre de continuer, et commence à déboutonner la chemise de Guillaume. Elle passe ses mains sur son torse au fur et à mesure qu'elle le dénude.
Tout en me câlinant, elle me retire mon T-shirt, puis revient à Guillaume, à qui elle enlève le pantalon, mais lui laisse son boxer-short. Tout de même, ma main est bien plus à l’aise pour lui caresser la tige gorgée de sang. Elle m'ôte ensuite le pantalon, et laisse quelques instants nos mains s’emparer de nos bites à travers nos sous-vêtements.
Maintenant que nous n’avons plus que nos caleçons, les caresses nous font plus d’effet. Le plaisir se lit sur nos visages. Touche finale, Caline finit par libérer complètement nos obélisques, l’un puis l’autre.
Les bites sont aussitôt prises en main, branlées sans retenue. Tel un sculpteur, ma princesse prend un peu de recul pour contempler son œuvre. Mentalement, je débats sur son titre : «zèles symé-triques» ou «Serrons-nous la pine» ?
Toujours est-il que je suis fière de mon jeu d'acteur hybride et animé d’un mystérieux mécanisme qui fait se mouvoir nos mains souples et agiles sur des tiges assez dures pour qu’on les croit de pierre.
Sans nous interrompre, Caline nous lance :

— Je reviens dans une minute... Et surtout... Ne soyez pas sages, les garçons !

Après une brève absence, Caline revient dans le salon, munie de son vibromasseur. Disons plutôt «godemiché», car j’ai l’impression qu'elle a en tête de l’utiliser sans le mettre en mode "vibrations". Nous avons bien obéi aux ordres de la réalisatrice : on ne se contentait plus de se branler l’un l’autre, nous sommes maintenant en soixante-neuf sur le canapé. Elle doit être aux anges cette coquine !
Elle s’installe sur le fauteuil, en face de nous, et se caresse en nous matant. Guillaume est allongé sur le dos, ma bite dans la bouche. Donc moi je suis, au-dessus, léchant les couilles de Guillaume. Du coin de l'œil, je vois qu'elle nous fixe du regard et reproduit les mes gestes sur le manche en plastique qu'elle a ramené de notre chambre... Effectivement, elle se met à le sucer comme si sa vie en dépendait. Puis elle écarte bien les jambes, et commence à passer le gode sur son minou déjà bien excité.
La vue sur les lèvres, de sa chatte ouverte, aux prises avec cette bite artificielle vaut le coup d’œil !
Vient se rajouter à nos soupirs et nos gémissements ceux de la coquine, qui petit à petit, s’enfonce le pieu, bien raide, dans son vagin. De l’autre main, elle se pince le bouts de ses seins. À cela vient se rajouter le spectacle de nos verges qui apparaissent et disparaissent à l’intérieur de nos bouches, et on voit bien qu'elle cale le rythme de la pénétration de son jouet à celui de nos fellations.
Caline ne cache pas la jouissance qui la gagne. De longs frissons de plaisir secouent nos corps, nous obligeant à s’entre-sucer avec plus d'ardeur. Caline plonge le membre en plastique profondément et sans retenue.
Je gronde et râle, mais c’est Guillaume qui, le premier, se libère dans ma bouche qui avale toutes les giclées de son bonheur sans en perdre une goutte...
Caline crie sa jouissance, quand elle comprend qu'à mon tour, je remplis le gosier de Guillaume de mon lait d'amour. Nous restons un long moment immobiles, repus. J'ai bien jouis, mais j’ai surtout envie d’applaudir, tant le spectacle était magnifique.

Se remettant, chacun de ses émotions, je me lève et propose un verre de jus de fruits, agrémenté d’un peu de rhum. Personne n’est contre, et je prépare immédiatement nos verres, que je sers avec des glaçons.
Nous buvons en bavardant un peu. Je termine mon verre le premier, et je m’approche de ma dame qui est toujours assise sur le fauteuil. Je me baisse pour l’embrasser. Elle me fait remarquer que ma langue est froide, à cause du glaçon que je viens de croquer.
Guillaume dit alors :

— Ah ouais... Pas bête, ça !

Avant qu’on ne comprenne de quoi il parle, Guillaume vient s’agenouiller entre les cuisses de notre Muse, et commence à lui lécher la fente. J’éclate de rire : il a refroidi sa langue. Mais voilà que l’effet des glaçons disparaît assez vite, et c’est bientôt la douceur de la caresse buccale qui domine.
Je profite un moment de la petite gâterie qu’offre Guillaume à cette nymphe qui porte une allience à son doigt qui atteste le lien qui nous unit elle et moi. Je commence à être bien excité, et je vois que nos sexes, à Guillaume et moi se reprendre vie et à gonfler.
Caline fait quelques bisous sur tube à sperme. Puis je propose que nous continuions cette conversation... Dans notre chambre.

Je me précipite et je m’allonge de suite sur le lit. Et lorsque Guillaume s’approche et qu'il est à portée de main, j'attrape son sexe, et je me mets à le flatter, tout en me masturbant doucement.
Je les regarde quelques instants, pendant lesquels les sexes durcissent sous les caresses de Maxime. Puis je viens au-dessus de mon mari, en soixante-neuf. Je commence à sucer Maxime, qui me lèche le clitoris tout en continuant de branler Guillaume. C’est délicieux, mais je sais que nous n’allons pas en rester là. En effet, Guillaume s’agenouille à son tour sur le lit, et tandis que je continue le soixante-neuf avec mon mari, il me pénètre en levrette de sa queue, bien raidie par les caresses de Maxime.

Connaissant assez bien ma femme, je vois maintenant qu'elle est sur un petit nuage : j’ai ma bite dans sa bouche, tandis que son sexe est en même temps rempli par une bite et léché par une langue. Je caresse ses seins et Guillaume s’agrippe à ses hanches pour bien installer son va-et-vient.
Si j’en juge par les soubresauts et la façon qu'elle a de me sucer le sexe, je dirais que Caline est aussi excitée que moi par la situation. D’un autre côté – si je puis dire – je sens que ma langue se partage entre son clitoris et la bite de Guillaume. Laquelle entre profondément dans son vagin, puis en sort lentement pour y revenir d’un coup sec. Mécaniquement, ce rythme s’impose à la fellation qu'on me fait. Tout en jouissant de se faire prendre et lécher, Caline joue de la langue et de ses lèvres. À mon grand plaisir que je me dois d'avouer !
Le manège du sexe de Guillaume, qui entre et sort en rythme, fait que notre femelle exprime des gémissements assez bruyants. Je sens qu'elle est au bord de l’explosion.

"Sarlipipette !"... Caline interromps quelques instants ma fellation pour mieux exprimer ses gémissements alors que Guillaume, est loin de se calmer... Il la baise de plus en plus fort. Ouf... Caline reprends ma bite en bouche : la connaissant, elle doit, avoir envie de sentir les deux queue en elle en même temps. Je n’en peux plus, mon bassin s’agite tandis que ma langue danse follement sur son clitoris.
Je parviens à garder ma bite bien loge entre les lèvres de ma déesse, malgré les poussées de plus en plus rapides de Guillaume.
Je sens mon sexe qui se tend et gicle son sperme dans cette bouche qui l'avait emprisonné. Je ne cesse pour autant de lécher son sexe ni celui de Guillaume, en alternance.
Ne me suçant plus, Caline aspire l’air à grandes lampées, entre deux cris de jouissance, au rythme des coups de boutoir. Et à chaque fois, ma langue caresse le sommet de son clito pour la faire encore plus jouir. Démunie Caline entre en résonance, et se laisse guider, jusqu’à l’orgasme.

Guillaume reste longuement planté, tout au fond du puits de notre charmante complice de ces jeux érotiques. Il n’a pas joui, et bande toujours. Je lui lèche maintenant les couilles, ce qui entretient son érection. Je prends plaisir à le sentir encore dur dans son vagin, après que nous, Caline et moi, avons bien joui.
Mais que fait-elle ?
Elle retire (si je puis dire) le sexe qui est dans son vagin. Passant une main sur mon visage comme pour voir, evaluer où sont placés toutes les parties de ma figure, puis elle prend la bite et la pose contre ma bouche, qui n’attendait que ça. Tandis que je suce Guillaume, Caline glisse et s’allonge près de moi, pour partager cette bite bien chaude, la suçant chacun à notre tour, puis tous les deux ensemble...
Guillaume respire de plus en plus fort. Caline et moi continuons notre petit jeu. Lorsque je sens que Guillaume est proche de l’orgasme, je le prends résolument, et en quelques allers et retours, je le suce jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. J’adore sentir cette vibration lors de l’orgasme masculin.

Je crois que nous pouvons tous être satisfaits de cette réunion, qui jette de bonnes bases pour l’avenir proche. J’ai l’impression que je kiffe de plus en plus nos jeux avec Guillaume, avec la bite de Guillaume, lequel se plaît à baiser avec nous. Et j’y trouve bien plus que mon compte à vrai dire. Mais Caline et moi sommes d’accord sur le fait que nos expériences ne doivent pas se limiter à ce trio, aussi fécond soit-il. C’est qu’au fur et à mesure que nos fantasmes deviennent réalité, de nouveaux désirs se font jour en nous.
Et si nous souhaitons continuer à faire l’amour le plus souvent juste tous les deux, en couple amoureux que nous sommes, notre intention est bien de laisser de temps en temps le désir nous guider vers de nouvelles découvertes.


À bientôt !

Les avis des lecteurs

Adorable trio! Guillaume et Hamed sont-ils allés plus loin, pour le plus grand plaisir de Caline? A sa place c'est ce que je voudrais



Texte coquin : Notre aventure du mois de février de l'an 2017
Histoire sexe : Une rose rouge
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