Nouvelles expériences - histoire érotique

Je me demande si j'ai rêvé. Je me sens encore entre ses bras. Ce n'est pas possible, nous nous sommes quitté depuis une quinzaine de jour, pour nous revoir d'ici ce soir. Mon sexe ressent encore sa présence.
La dernière fois que nous étions ensemble, elle semblait heureuse de me quitter quelques ours, non pas pour m'oublier, mais pour vivre d'autres expériences. Sexuellement nous nous entendons très bien et c'est encore loin de la vérité. Nous ne pouvons pas passer ^plus de 24 heures sans nous faire l'amour: Dieu seul sait comment elle baise bien. Non, il y a moi aussi, Dieu ne vient qu'en deuxième place, enfin Dieu ou le diable je ne sais plus.
La dernière nuit a été sauvage. Comme souvent en jouissant elle me mordait l'épaule, me laissant des marques indélébiles. C'est justement ce que je ressentais en me réveillant tout à l'heure, une morsure. Maintenant il faut que j'explique ce qu'elle voulait: elle désire connaître d'autres façons de jouir: elle est prêt à baiser avec n'importe qui pur ça. Elle ne veut pas que je sois jaloux, moi qui le suis un peu. Normalement elle rentre ce soir. Il me tarde terriblement qu'elle soit là: j'en ai marre de me masturber en pensant à elle. J'espère qu'elle me racontera tout: nous seront excités ensemble; prêts pour une longue série de nuit d'amour, de jours aussi et certainement de masturbations communes.
Enfin elle ouvre la porte de l'appartement, le visage rayonnant, le teins un peu plus bronzé. Toujours aussi sexy, belle rayonnante avec son grand sourire.
-Elle m'embrasse la première sur la bouche. Nos langues se connaissent tellement qu'elles ne se quittent plus. Elle se colle contre moi. Je sens son ventre contre le mien: elle sait qu'elle va me faire bander ainsi posée. Je lui caresse les épaules et descend vers sa poitrine. Ses seins sont durs, je sens les tétons se raidir aussi: elle a envie de jouir. C'est elle qui m'entraîne vers la chambre qui se déshabille vite fait. J'ai à peine le temps de contempler sa nudité. Elle se couche, me tends les bras et
- Baises moi vite j'ai envie de ta queue dans mon con.
C'est très rare qu'elle me parle ainsi. A mon tour, rapidement je me mets nu pour la rejoindre sur le lit: elle n'a même pas la patience d'attendre que je la caresse là où elle aime. Elle me fait coucher sur elle, ouvre les jambes pour me donner sa chatte en entier. Elle prend ma pine pour que je la pénètre vite. C'est elle qui d'un seul coup de rein me prend au piège de sa moule. Je la baise lentement: elle n'en veut pas:" plus vite". Elle est comme une presque morte de faim à qui on donnerai un quignon de pain.
Elle jouit très vite. Elle me retient par les fesses: "encore". Je recommence à la baiser ou elle me baise, je ne sais plus.
Elle jouit encore une fois avant de se mettre en levrette:
- Encules moi maintenant, à fond.
- Déjà,
- Oui j'en meurs d'envie et j'aime ta bite.
Elle se tourne en levrette, ouvre ses fesses: je sens que son anus est mouillé de son jus à chaque jouissance. J'ai à peine le temps de poser le bout de ma pine sur son cul qu'elle me pousse déjà en elle. Je sais qu'elle aime la sodomie. J'en profite largement. Mon sexe et son cul sont tellement habitués l'un à l'autre que j'entre facilement.
- Branles moi aussi.
Habituellement c'est elle qui le fait. Ça ne me dérange pas, au contraire. Je l'encule de plous en plus vite. Sa main suit mes mouvements sur son clitoris. Elle jure comme un charretier pendant que je suis en elle. Ça non plus elle ne le faisait pas. Je sens mes couilles contre ses fesses rougeurs accueillantes. Elle jouit plusieurs fois consécutivement. Enfin je ne peux plus me retenir: je jouis au fond de son cul. Elle jouit en même temps que moi. Je me retire pour que nous puissions enfin parler.
Enfin elle vient sur mon épaule, souffle un moment avant de dire qu'elle a bien jouit: je m'en doute bien. Elle consent à ma raconter ses aventures:
Je suis parti en train, tu le sais, j'étais en première classe: dans le compartiment il y avait un jeune couple, des jeunes mariés sans doute. Ils n'arrêtaient pas de s'embrasser que s'en devenait gênant. Je ne sais pourquoi leur baisers m'excitais: tu me connais dès que je suis mouillée je dois me branler. Je suis aller aux toilettes, enlevé ma culotte, tu sais celle en dentelle, j'ai posé ma jambes droite sur la cuvette, me suis appuyée au lavabo, levé la jupe jusqu'à ma taille. J'ai passé ma main entre mes cuisses en les caressant; comme d'habitude. J'ai posé mon index sur le clitoris et je l'ai agité. Je n'ai pas tenu le coup bien longtemps j'ai joui bien trop vite.
De retour dans le compartiment les deux jeunes faisaient plus que s'embrasser. Il avait une main entre les cuisses ouverte de sa dulcinée qui elle le caressait par-dessus le pantalon. Ils ne se sont même pas arrêtés quand je suis arrivée. Je les regardais faire: ils étaient seuls au monde, je voyais bien la main du mari s'agiter sous la robe à hauteur du bouton de sa belle, elle avait simplement sorti la bite assez grosse, un peu comme la tienne, et le masturbait fortement. Il lui murmurait je ne sais quoi, ou tout au moins je l'au compris plus tard, elle a pris son mandrin dans sa boche pour le faire jouir. Elle a tout avalé en le regardant. Ils se sont embrassés ensuite: elle avait encore du sperme sur les lèvres.
J'étais encore excitée: heureusement que je descendais à la station suivante. Je demandais à la gare où loger pour au moins une nuit: on m'a dirigé vers un hôtel qui ne paye pas de mine qui est parait-il confortable. C'est vrai il est très bien, fréquenté quand même par des VRP et autre représentants. Avant de dîner je me suis changé, j'ai surtout enlevée ma culotte totalement humide. Je me suis dit que pour simplement aller dîner je pouvais m'en passer.
A l'heure du repas, je me suis trouvée placée presque au centre de la salle à manger. J'étais au milieu d'une horde d'hommes de tout genre. Juste en face un gars d'une quarantaine d'année pas mal du tout. Je ne sais ce qui m'a pris: j'ai écarté mes jambes: kil pouvait voir mon intimité en entier sans problème: il s'est même penché pour en voir plus. Comme je suis rasée, il en a vu pas mal. Je lui souriais prête déjà à lui céder s'il me le demandait. Je ne pensais pas à la suite. Quand je me suis levée, il m'a suivit jusque dans ma chambre. Je l'ai fait entrer sachant qu'il allait me baiser. Il n'a pas perdu de temps en salamalecs: il m'a déshabiller vite fait. Je me suis laissée faire. Il m'a embrassé, moins bien que toi. Il m'a peloté lentement, les seins, les fesses, le bas ventre avant de me branler un peu sans me faire jouir. Il m'a couché sur le lit en restant habillé, je ne sais pourquoi. Il avait juste sorti son engin, me la mit sans se préoccupe de mon plaisir. Je l'ai à peine senti quand il a jouit. Il est parti comme il est venu, en laissant la porte ouverte. Un autre est entré: la même taille que toi. Comme le premier il a sorti sa queue, me la mise un peu plus longtemps: il a réussi à me faire jouir un fois. Il est parti à son tour. Les autres sont venus: je ne me souviens même plus combien. Je sais qu'il n'était pas loin de minuit quand le dernier est entré. Lui n'a pas voulu me baiser sous prétexte que j'avais le sexe plein de sperme des autres: c'est le seul qui m'a enculée. J'étais surexcitée des baises précédentes qu'il ma faite jouir lui aussi.
Je te demande pardon si je t'ai trompé: c'était pour toi aussi: trouver de nouvelles façon de baise. Mais être un sac à foutre ne me plaisait pas du tout.
Le lendemain soir je suis sortie dans une boite. Là un couple m'a fait des propositions que j'ai acceptées. Ils m'ont emmenée chez eux dans un bel appart bien décoré. Dès mon entrée, la femme m'a embrassée. C'était la première fille qui me faisait ça. Je n'ai pas refusé, au contraire, c'était très agréable ses lèvres sur les miennes. Son mari me caressait partout, sauf le bas ventre que s'était réservée la fille. Lui était derrière moi, la bite empire mes fesses. Je la sentais bandée contre moi. Ça m'excitait énormément. Ils m'on déshabillée: j'ai accepté parce que cette essai devait certainement m'apporter quelque chose. Il m'a donné le plaisir de baiser en trio, avec la femme qui dirigeait.
Elle m'a faite coucher sur un grand lit, son mari à mes coté qui me caressait les seins pendant que sa femme m'écartait les jambes pour me caresser le clitoris avant d'y poser ses lèvres. Elle m'a sucée plusieurs fois pour que je jouisse beaucoup. Ensuite elle s'est retournée pour poser son sexe sur ma bouche. Elle me suçait le bouton sans arrêt. J'au cherché le sien et j'ai fait comme elle. Je l'ai faite jouir. Tu te rends compte, j'ai fait jouir une autre fille et je m'en suis régalée. L'homme est venu sur nous. Il a posé sa queue sur le cul de sa femme qui le lui tendait bien. J'étais bien placée pour voir sa bite s'enfoncer lentement dans l'anus de cette femme. Tu ne peux pas savoir comme c'est excitant de vois une bite dans le cul d'une autre. Je n'ai pu me retenir pour à mon tour poser un doigt sur le cul de l'enculeur. Il m'a laissé faire quand je lui ai mis mon doigt en entier.
Nous avons baisé ainsi une bonne partie de la nuit. Lui ne m'a baisée qu'une seule fois et encore plutôt mal. Bien moins bien que toi en tout cas. Celle qui m'a donné le plus de plaisir était sa femme. Je suis resté avec eux plusieurs jours jusqu'à ce elle trouve une autre fille.
Le lendemain je suis ethnonyme dans cette boite. Deux mecs se sont intéressés à moi. Je ne savait lequel choisir: c'est eux qui ont décidé.
Cette fois je les suivais dans un hôtel de passe. Je me suis déshabillée seule devant les deux hommes qui regardaient. De leur coté une fois nus je pouvais les examiner tout nu. Leurs bites étaient plus grosses que la tienne. Ils m'ont partagés:le premier m'a baisée comme il faut: il attendait que je jouisse avant de jouir lui même. Le second nous regardait en se touchant la bite. Quand le premier a jouit, il l'a remplacé. Il agissait comme le premier en me laissant jouir la première.
La suite est moins banales en tout cas pour mois: elle répondait à un fantasme que j'ai: ils m'ont prise en sandwich. Je n'ai réagit que quand celui qui était sur moi me la mise dans le cul. Tu sais que j'aime me faire mettre par là. C'était la première fois que ej me trouvais avec une bite devant et une autre derrière. J'ai eu mal au tout début. Je me souviens encore des gémissements de plaisir que j'ai poussés et des hurlements que j'avais en jouissant et j'ai jouis longtemps et beaucoup.
Tu vois je reviens vers toi plein de nouvelles expériences.
Que dire après tous ses aveux, sinon qu'elle avait eu raison de chercher de nouveaux plaisirs. Elle s'est mise en 69, m'a pris la bute dans la bouche, sucé le gland et surprise m'a mis un doigt dans le cul que j'ai accepté: c'était finalement bon. Nous avons jouit encore.
Depuis elle cherche une ami à partager avec moi: c'est assez difficile à trouver. Nous ne désespérons pas.