Nouvelles sensations

- Par l'auteur HDS Edsonarantes -
Auteur homme.
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Récit libertin : Nouvelles sensations Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Nouvelles sensations
<p>Lorsque ma femme et moi faisons l’amour, il lui arrive parfois de me doigter l’anus pendant une fellation. J’adore sentir son doigt, préalablement mouillé par le jus de sa chatte ou lubrifié par du gel, rentrer en moi, s’enfoncer de 5 ou 6 cm et faire des allers-retours au rythme de sa bouche sur ma queue. Mais lorsqu’elle essayait de m’introduire un de ses godes, je devenais réticent et l’arrêtais une fois les deux premiers centimètres passés. J’avais l’impression d’être déchiré en deux. Il faut dire que ses godes sont de belle taille. Elle s’arrêtait là à chaque fois mais, sans jamais avoir osé lui avoué, j’espérais quand même qu’elle insiste et aille plus loin. Pour voir. Après tout, je lui mettais bien ma pine dans le cul et, bien qu’au début de notre relation elle ait eu un peu de mal, elle aimait maintenant ça et en redemandait même, changeant souvent de trou elle même. Je la sentais néanmoins un peu déçue à chaque fois qu’elle ne pouvait aller au bout de son fantasme. Je savais, parce qu’elle me l’avait dit, qu’elle aimerait me faire partager cette sensation unique.
Ce soir là, je la trouvais particulièrement câline et reconnu même cet air de salope patentée qu’elle affichait à chaque fois qu’elle avait envie de cul. Elle m’avait excité toute la soirée, d’abord par sa tenue vestimentaire puis par son attitude.
Elle portait un jean taille basse hyper moulant qui laissait dépasser le haut d’un string que je ne connaissais pas. Elle avait encore dû faire des achats surprise. Tant mieux.
Perchée sur des escarpins de 10 cm, elle était très cambrée au niveau des reins ce qui avait pour effet de lui remonter les fesses bien haut et lui faisait un cul bien moulé comme j’aime. Son corsage à moitié transparent laissait apparaître la pointe de ses seins qui se dressaient fièrement sous le fin tissu. Elle sait que j’aime la mater quand elle s’habille de façon provocante. Et là, c’était réussi.
À chaque fois que nous nous croisions, elle portait sa main à mon sexe, juste pour l’effleurer, le titiller, afin de le maintenir au garde à vous en permanence. Pour ne pas être en reste, je lui passais la main sur les seins pour en faire durcir encore plus les pointes. Nous aimons ces instants qui nous amènent toujours vers des sommets d’excitation et de plaisir.
Le repas vite prit, nous nous sommes assis devant la télé pour regarder des banalités puis, après avoir prit deux ou trois verres en continuant notre manège amoureux, nous nous sommes rapprochés afin de mieux sentir le corps de l’autre prés de soi. Le canapé est large et nous avons toute la place voulue pour nos parties de jambes en l’air (nous l’avons choisi pour cela), mais nous ne sommes jamais aussi bien que l’un contre l’autre.
Ce ne fut pas long à venir.
Nous nous sommes retrouvés bientôt nus tous les deux, lui ayant quasiment arraché au final son nouveau string avec les dents. Elle était assise sur la banquette, le cul bien au bord, de façon à ce que je puisse la lécher sans problème. J’adore lui faire plaisir de cette façon, boire son jus intime qu’elle a d’ailleurs très abondant. Je profitais de cet instant d’extase, ma langue fouillant sa chatte au plus profond puis remontant sur le clitoris tendu pour finir par un baiser sur celui-ci. Puis je redescendais de chaque coté des grandes lèvres, dans le pli de l’aine, pour terminer avec la pointe de la langue que je contractais au maximum pour lui pénétrer l’anus de ma langue tout en lui branlant le bouton d’amour. Je l’ai fais jouir comme ça, recueillant sa cyprine, la buvant pour me saouler de ce jus qui me donnait tant de bonheur.
- à mon tour maintenant, dit-elle après un instant de récupération. Je vais te faire des trucs inédits. Assieds-toi bien confortablement mon chéri. Tu vas découvrir des choses ce soir !
Le ton qu’elle prenait pour me dire cela m’intriguait et fit augmenter les pulsations qui agitaient ma bite. Je la savais inventive coté sexe. Elle savait toujours trouver le geste ou la situation qui me donnerait le maximum de plaisir.
Je m’exécutais donc de bonne grâce sans imaginer un instant ce qu’elle me réservait.
Elle commença par m’embrasser fougueusement avec la langue tout en me caressant partout sur le corps. J’avais des frissons de bonheur et m’attendais à une soirée grandiose.
Elle descendit petit à petit vers mon torse puis mon ventre où elle s’attarda sur le nombril tout en caressant ma queue et mes couilles. J’étais tendu comme un arc et attendais avec impatience le moment de décocher mes flèches.
Elle me fit m’allonger sur le ventre pour me lécher les fesses et s’attarder sur les plis de l’anus avec des coups de langue de plus en plus précis et fréquents. Sa main allait de ma bite à mes couilles et dans ses mouvements de va-et-vient, elle atteignait de plus en plus l’entrée de mon cul avec son pouce. Je savais qu’elle allait me pénétrer et j’attendais cela avec impatience.
Elle prit un tube de gel qui était dans l’un des tiroirs de la table basse, l’ouvrit et après s’en être largement enduit le doigt, me l’enfonça avec beaucoup de délicatesse.
Je me délectais de ce moment et me mit en position de levrette afin de faciliter sa pénétration et pour qu’elle puisse me branler en même temps. Elle me glissait des mots cochons à l’oreille. J’aime ces instants où le sexe l’emporte sur la tendresse et où tout peut arriver.
Je la laissais faire. Nous aimons tous les deux échanger nos rôles dominant/dominé. Cela met du piquant dans nos ébats.
Et en guise de piquant, j’allais être servi.
Elle guida ma main vers ma queue en me glissant à l’oreille l’ordre de me branler en gardant les yeux fermés, pris mon autre main et introduisit mon index dans mon cul avec autorité. J’étais à sa merci et je savais qu’elle me préparait une surprise, mais j’étais loin d’imaginer laquelle. Je m’astiquais donc la tige en me branlant le cul sans tricher.
Je l’entendais fouiller dans un des placards du salon mais n’ouvrais pas les yeux pour ne pas gâcher son scénario. Une de mes mains continuait de maintenir une belle érection à ma bite et l’autre s’agitait sur mon anus où l’index s’engouffrait profondément.
J’étais terriblement excité par cette situation de soumission car je savais, malgré mes yeux toujours fermés, qu’elle ne loupait rien du spectacle. J’étais son objet et j’attendais tout d’elle.
De petits bruits du genre une ceinture qu’on passe se faisaient entendre. Je pouvais capter son souffle court qui en disait long sur son état d’excitation. Elle s’approcha du canapé et, première surprise, glissa sur mes yeux toujours fermés un de ces masques qu’on nous donne dans les avions pour pouvoir dormir tranquillement afin que je ne puisse rien voir et me fit asseoir face à elle qui était restée debout, prit mes mains, les posa sur ses seins et me demanda de la caresser en descendant doucement vers sa chatte. Sa peau était douce et chaude et mes mains couraient dessus. J’aurais voulu en avoir mille pour décupler son plaisir.
Arrivé au niveau de la taille, je senti comme une lanière de caoutchouc, tâtais un peu plus vers le bas du dos et m’aperçu que la lanière se perdait dans le pli de ses fesses. Ses mains me maintenaient fermement les poignets. Je savais qu’elle voulait diriger les opérations et me laissais faire de bonne grâce.
Je tentais bien de temps en temps un coup de langue vers sa chatte mais elle reculait à chaque fois.
Voyant que je ne tiendrai pas longtemps comme ça, elle eut pitié de moi et me prit la tête dans les mains pour la diriger vers le bas de son ventre. J’eus un mouvement de recul au moment où je senti un truc dur sur mes lèvres. C’est le moment qu’elle choisit pour me retirer le masque et je me retrouvais, après quelques clignements d’yeux, devant un sexe dressé d’une quinzaine de centimètres, de diamètre moyen, doté d’un gland effilé et de deux grosses couilles à la base. Ce gode ceinture était de toute beauté.
- c’est pour toi. J’ai vraiment envie que tu essaye la sodomie. Touches-le, palpes-le. Tu verras, ce sont des sensations inoubliables.
J’étais grisé par ce que je voyais, j’avais une très forte érection et une terrible envie d’éjaculer devant cette situation inédite. Mais revenant vite à la réalité, je me pris au jeu et posais la main sur ce manche dressé devant moi. La texture était semblable à celle de ma propre queue. Il y avait même, lorsqu’on écartait un peu le bout du gland, le méat qui s’ouvrait légèrement. Les couilles étaient souples et lourdes et se balançaient à la base du manche. Elles étaient même chaudes. L’objet était tellement réaliste que le prépuce pouvait même aller et venir sur le gland. Je savais d’entrée qu’elle avait choisi ce modèle pour sa ressemblance avec une vraie bite et que, si je n’aimais pas ce qu’elle avait prévu de me faire, elle l’utiliserait pour elle plus tard.
Rendu fou de désir par son inventivité, je me mis à branler cette queue et j’avançais s’en trop réfléchir la bouche vers ce sexe tendu et, après un bref regard vers le sien où je pu lire toute son approbation, enfournais “sa bite” entre mes lèvres.
Il m’était bien arrivé quelques fois de mettre un gode dans ma bouche pour l’humidifier avant de l’introduire dans ma femme, mais là, la sensation était tout autre.
Je suçais maintenant sans retenue cette queue et je dois dire que j’y prenais un certain plaisir. Bien sur, je savais que derrière ce sexe se trouvait celui de ma femme et cela me rassurait. Mais j’étais quand même troublé par ce que je faisais.
Elle guida ma main entre ses cuisses, écarta le latex qui servait de support au gode et me fit sentir un autre gode à l’intérieur du slip qui entrait en elle et devait lui procurer autant de sensations qu’à moi. Décidément, elle avait pensé à tout.
Pris par ce que j’étais en train de faire, je me mis à malaxer les couilles, d’abord doucement puis de plus en plus jusqu’à vraiment les presser. Et là, deuxième surprise, un liquide épais et chaud me coula dans la bouche. Les couilles étaient munies d’un réservoir et pouvaient contenir du ‘sperme” que je reconnu vite comme étant du lait en tube. L’illusion était parfaite.
Elle avait vraiment trouvé l’objet idéal et j’avais l’impression de faire une pipe à un mec. Malgré la douceur de la peau de ma femme qui me rappelait que ce n’était pas le cas, je dois avouer que ce n’était pas désagréable du tout. Je relâchais la pression sur les couilles, ne voulant pas finir le jus tout de suite.
Elle me prit alors la tête à deux mains, me roula une pelle monumentale, m’allongea dos sur la banquette, les fesses au bord du coussin et me releva les jambes de façon à ce que je les tienne au creux des genoux, comme une femme prête à se faire mettre. Après m’avoir léché et enduit de gel, elle prit le gode en main et le présenta à l’orée de mon cul. Nos regards se croisèrent, une lueur d’amour total passa et je lui fis comprendre que le moment était venu, que j’étais prêt à la recevoir au plus profond de moi.
Avec une infinie douceur, elle poussa plus en avant les hanches. Je sentais le gland appuyer sur mon cul et fis mon possible pour me détendre au maximum. Elle poussa un peu plus. Le gland effilé rentra sans trop de difficulté et, une fois celui-ci complètement disparu dans mon anus, elle marqua un petit temps.
- ça va ?
- oui, ça va. Continue doucement, j’ai vraiment envie que tu le fasses.
Elle reprit alors son lent mouvement vers l’avant et je sentais mes sphincters se relâcher au fur et à mesure de sa progression. Elle en était maintenant à la moitié et pour me récompenser du trajet déjà parcouru, se mit à me caresser les couilles et la bite de ses mains maintenant libres.
C’était une sensation bizarre, mêlée à la fois d’excitation et d’un peu de honte, honte de passer pour un enculé auprès de ma femme. Mais que ne ferais-je pas pour elle.
Après un regard vers elle, je pu lire dans ses yeux qu’elle prenait énormément de plaisir à ce qu’elle était en train de faire. Elle avait même l’air fière de pouvoir ainsi me dominer en me sodomisant. Et le fait que j’accepte de bonne grâce lui prouvait tout l’amour et la confiance que j’ai pour elle.
Elle reprit sa pénétration et arriva enfin au bout sans trop de mal. Le lubrifiant chauffant qu’elle m’avait appliqué jouait son rôle à la perfection.
Elle était maintenant totalement dans mon cul et je pouvais sentir les deux grosses couilles sur mes fesses. Étrange sensation tout de même que de ressentir la même chose que ce que peuvent ressentir les femmes dans cette situation.
Elle commença à bouger d’avant en arrière et je sentais cette queue frotter l’intérieur de mon anus. C’était maintenant une sensation très agréable et je regrettais aussitôt de ne pas l’avoir fait plus tôt.
Les mouvements de son bassin s’accéléraient et ça chauffait maintenant dans mon trou. Mais ce n’était pas une chaleur douloureuse d’irritation. Non, c’était une chaleur envahissante qui partait de l’intérieur de mon cul pour remonter jusque dans mon ventre en passant par ma bite qui était tendue comme jamais elle ne l’avait été. Je pouvais même sentir le veinage réaliste de cette fausse queue plus vraie que nature.
Voyant que cela me procurait du plaisir, ma femme accéléra son mouvement et me pilonnait maintenant comme un mec. Elle ne me quittait pas des yeux et, d’une main me caressait le ventre pendant que l’autre avait entamé une lente masturbation.
- t’aimes ça te faire enculer, hein mon salaud ! Tu la sens bien ma grosse bite dans ton cul de vicieux! Prends la toute, je vais te faire jouir comme jamais t’as joui!
Ses mots m’excitaient au plus haut point et je ne ressentais aucune douleur, juste le plaisir de me faire sodomiser par ma femme. Elle prenait son pied à me pénétrer de la sorte, cela se voyait dans son regard lubrique. Elle me dominait et ressentait sûrement un peu de ce sentiment de puissance que tous les mecs connaissent lorsqu’ils sodomisent une femme. Jamais plus je ne l’enculerai comme avant à partir de maintenant.
Je sentais le foutre monter et un bref regard lui fit comprendre que je n’allais pas tarder à venir. Elle mit alors sa main entre ses cuisses et pressa sur ses fausses couilles. Je senti le reste de liquide tiède me couler dans le cul, me remplir et remonter au plus profond de moi, (elle avait mit la dose pour une première) et je joui instantanément, ne pouvant contenir plus longtemps tout ce plaisir qu’elle me donnait.
Elle continuait ses allers-et-venues doucement, comme pour faire retomber la pression. Ses mains étalaient mon sperme sur mon ventre. Elle s’en léchait les doigts et s’en caressait les seins.
Elle se retira et je regrettais presque cette sensation de bien être que m’avait procuré cette queue.
Elle me releva les jambes le plus haut possible, s’abaissa et entreprit de lécher le liquide blanc qui coulait de mon cul. Elle alternait son geste avec une fellation, mélangeant le goût sucré du lait en tube avec celui plus âcre du sperme qui coulait le long de ma queue.
Nous étions arrivés à une totale intimité.
Elle remonta vers moi et m’embrassa fougueusement.
Puis, ayant quitté le gode ceinture, elle vînt s’empaler sur ma queue encore raide. Sa chatte dégoulinait de mouille et je savais qu’elle aussi avait joui.
- j’ai tout aimé, lui glissais-je à l’oreille. On recommence quand tu veux
- moi aussi j’ai adoré. Et quand tu te seras habitué à ma fausse queue, ça m’exciterait terriblement de te voir en prendre une vraie.
Sa proposition ne m’étonna même pas. Au contraire, cela ouvrait des horizons remplis de stupre et de luxure et je savais que notre complicité pouvait nous entrainer vers des chemins nouveaux.


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