Surprise à forniquer
Récit érotique écrit par Edsonarantes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2009 dans la catégorie Plus on est
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Surprise à forniquer
Cela s’est passé un après-midi du mois dernier.
Ayant terminé mon travail plus tôt que prévu, je me dépêchais de rentrer à la maison afin d’y retrouver ma femme, que j’avais laissée le matin même avec des promesses de baise ardente pour le soir.
Me voilà donc devant la maison, à garer la voiture, gêné par une érection grandissante à l’approche de ce que j’imaginais comme une partie de jambes en l’air mémorable.
J’entrais dans la maison sans faire de bruit, espérant la surprendre, la queue déjà sortie du pantalon et prêt à la baiser debout là où je la trouverais. Je sais qu’elle aime ça, être prise vite fait contre un mur ou sur une table, baisée comme une salope par derrière pour, à la fin, sentir mon foutre lui couler sur le dos, puis entre les fesses et sur son trou du cul pour finir entre les lèvres de son vagin, recueilli par ses doigts agiles avec lesquels elle se branle, mêlant mon sperme à sa cyprine. Elle adore ça !
Je traverse le couloir, laissant sur place mes chaussures, mon pantalon et mon slip. La queue raide, je gravis les escaliers sans faire de bruit. Elle doit être dans la chambre à se reposer. Ou à repasser. Ou à se branler. Qu’importe, je vais la surprendre et la fourrer, lui enfoncer mon gros dard dans la moniche, lui défoncer le cul, lui faire gicler mon jus dans la bouche.
Arrivé à l’étage, je suis à poil. J’aperçois la porte de la chambre entr’ouverte mais n’entends aucun bruit. Je m’approche en silence et jette un œil par la porte entrebâillée.
Et là, mon érection manque de tomber.
Si je ne l’entendais pas, c’est parce qu’elle avait la bouche remplie par la bite d’un mec que je ne connaissais pas.
Mon premier réflexe a été de rentrer dans la chambre et de péter la gueule de ce con. Puis de foutre une mandale à cette pute qui s’envoyait en l’air derrière mon dos.
Mais très vite, je me suis ravisé. Faisant la même chose avec une copine de boulot, mariée, je me suis dis que je n’aimerais pas être interrompu par le mari de celle-ci pendant qu’on baise.
Finalement, la situation n’était pas pour me déplaire. On avait déjà baisé avec d’autres mecs, et la seule chose qui me gênait à priori, était qu’elle fasse cela sans rien me dire. Mon ego en prenait un coup, mais contre mauvaise fortune, bon cœur. En plus, je risquais de la frustrer si j’arrivais comme un cheveu sur la soupe.
Je restais donc derrière la porte, comme un collégien ayant surpris ses parents en train de forniquer.
Mon érection repris rapidement de la vigueur et je commençais à me caresser les couilles et le gland au rythme des allers-retours de la bouche de ma femme sur la queue du mec.
Il avait les yeux fermés et je savais qu’il savourait l’instant. C’est une reine de la pipe et quand elle vous aspire le poireau, vous avez l’impression qu’elle va vous vider entièrement de tout ce qui est liquide en vous. De plus, c’est une adepte de la gorge profonde et quand votre gland cogne contre le fond de sa bouche, c’est un supplice de devoir se retenir de juter. Nombre de fois, j’ai lâché la purée prématurément, mais elle aime ça et sait s’y prendre pour faire remonter popaul en un rien de temps.
Ils étaient à poil tous deux et comme elle me tournait le dos je pouvais apercevoir sa chatte bien épilée, de laquelle coulait déjà un mince filet de suc sexuel. Je ne sais pas d’où sortait ce mec, mais il avait une bite de taille plutôt flatteuse, et ma femme avait tout juste de ses deux mains pour en apprécier les contours.
Sans faire de bruit, je commençais à me branler lentement. Ses doigts agiles couraient le long du membre, s’arrêtaient sur les couilles pour les griffer doucement, descendaient vers l’intérieur des cuisses du mec pour remonter vers son anus où elle enfonçait juste une phalange.
Quand je vous dis que c’est une experte, je sais de quoi je parle.
Après une dizaine de minutes de ce traitement, elle quitta sa position pour s’allonger, jambes écartées à côté de son amant et l’attira vers elle, lui prenant la tête par les cheveux pour la diriger vers sa chatte béante.
Toujours excité comme un pou, je vis la langue du mec s’engouffrer dans la fente humide pour une série de va-et-vient rapides et soutenus. Il accompagnait son cunnilingus d’un doigt dans le cul, alternant les mouvements de plus en plus rapidement. Elle était tombée sur un bon et mon excitation n’en était que décuplée.
La sachant entre de bonnes mains, je m’abandonnais complètement à la masturbation.
Elle tendit un gode à son baiseur. Il ne se fit pas prier pour le saisir et lui enfoncer dans la chatte, rudement, d’un coup sec après lui avoir craché sur la moule, comme dans les films pornos. Elle avait les yeux révulsés et branlait sa queue avec énergie. Un jet de foutrine partit de son vagin pour atterrir son le visage du type qui eût l’air de s’en délecter. C’était un bon vivant, et je me suis surpris à penser qu’on s’entendrait bien tous les deux pour baiser ma femme.
C’est à ce moment qu’elle se redressa, et toujours en tournant le dos à la porte, enfourcha le gars.
Je vis le chibre du bonhomme s’enfoncer et disparaître dans la moniche de ma femme. Elle avait la tête en arrière et semblait prendre un pied d’enfer.
Ma main allait et venait le long de mon braquemart de plus en plus vite. Je sentais le désir et l’envie de jouir monter en moi, mais n’avais pas envie de gâcher une aussi bonne marchandise.
J’allais quand même lui faire la surprise de la prendre par derrière et de lui gicler sur le cul.
J’ouvris la porte très doucement et entrais dans la chambre. De près, la tension sexuelle se faisait ressentir encore plus. Ça sentait fort la chatte, la cyprine et les sucs foutraux.
Arrivé près du lit, le mec me vit. D’un doigt sur la bouche, je lui fis comprendre de ne rien dire à la salope qui le chevauchait de plus en plus rapidement. Un clin d’œil gêné mais finalement complice m’encouragea à m’approcher franchement sans qu’elle ne se rende compte de rien. La surprise allait être de taille. J’ouvrais le tiroir de la table de nuit et m’emparais du tube de gel pour m’en enduire largement la bite sous le regard approbateur du mec.
Elle ne s’était toujours pas rendu compte de ma présence, occupée qu’elle était à se faire ramoner et eût un cri de surprise lorsque enfin posté derrière elle, je lui mis les mains sur les seins. Elle se retourna avec une gêne énorme dans le regard, mais compris très vite à la taille de ma queue que je ne la tiendrais pas pour fautive de ce besoin de sexe qui la prenait avec un inconnu.
Je lui susurrais à l’oreille de continuer à baiser avec son amant, que cela m’excitais énormément, et que j’allais lui prendre le cul comme elle aimait. Mon dard la pénétra lentement mais profondément. Je sentais la pine du compère à travers la mince paroi qui sépare le vagin de l’anus. Elle commença à bouger fort, excitée comme une puce, sa chatte expulsant des jets de foutrine à chaque aller-retour de nos queues dans chacun de ses trous béants. Cela ne dura pas longtemps. Son compagnon de baise se retira vivement pour lui gicler sur la moniche un long jet de foutre chaud dont quelques gouttes vinrent m’asperger les burnes. Elle lui prit la bite et le branla pour en extraire les dernières gouttes qui finirent sur ses doigts. Lorsqu’elle les porta à sa bouche pour lécher le nectar, je ne pus me retenir davantage et lâcha ma semence dans son cul. Se fut trop rapide pour que j’ai le temps de me retirer et de lui mettre sur le dos comme elle aime. Elle prit tout dans l’anus. Pour lui faire payer son infidélité, je me mis debout sur le lit, la pris par les cheveux et lui fourra mon dard au fond de la gorge, lui intimant l’ordre de me nettoyer à fond.
Elle ne se fit pas prier et, tout en me suçant, continuait à branler l’autre.
Puis une idée me vint en me penchant pour regarder son cul. Mon sperme commençait à dégouliner de son trou. J’ordonnais alors à son amant de bouffer mon jus, ce qu’il fit avec un peu de réticence, mais étant beaucoup plus costaud que lui, il ne rechigna pas longtemps et sembla même y prendre goût.
Une fois sa punition terminée, il rassembla ses affaires et décampa sans demander son reste. Je pouvais toujours le retrouver par ma femme pour une autre partie de cul si elle en avait envie.
Une fois seul avec elle, je lui fis promettre de recommencer car l’aventure m’avait excité au plus haut point. Elle fût d’accord, à condition qu’elle aussi puisse me surprendre avec une autre. Mais nous en reparlerons.
Ayant terminé mon travail plus tôt que prévu, je me dépêchais de rentrer à la maison afin d’y retrouver ma femme, que j’avais laissée le matin même avec des promesses de baise ardente pour le soir.
Me voilà donc devant la maison, à garer la voiture, gêné par une érection grandissante à l’approche de ce que j’imaginais comme une partie de jambes en l’air mémorable.
J’entrais dans la maison sans faire de bruit, espérant la surprendre, la queue déjà sortie du pantalon et prêt à la baiser debout là où je la trouverais. Je sais qu’elle aime ça, être prise vite fait contre un mur ou sur une table, baisée comme une salope par derrière pour, à la fin, sentir mon foutre lui couler sur le dos, puis entre les fesses et sur son trou du cul pour finir entre les lèvres de son vagin, recueilli par ses doigts agiles avec lesquels elle se branle, mêlant mon sperme à sa cyprine. Elle adore ça !
Je traverse le couloir, laissant sur place mes chaussures, mon pantalon et mon slip. La queue raide, je gravis les escaliers sans faire de bruit. Elle doit être dans la chambre à se reposer. Ou à repasser. Ou à se branler. Qu’importe, je vais la surprendre et la fourrer, lui enfoncer mon gros dard dans la moniche, lui défoncer le cul, lui faire gicler mon jus dans la bouche.
Arrivé à l’étage, je suis à poil. J’aperçois la porte de la chambre entr’ouverte mais n’entends aucun bruit. Je m’approche en silence et jette un œil par la porte entrebâillée.
Et là, mon érection manque de tomber.
Si je ne l’entendais pas, c’est parce qu’elle avait la bouche remplie par la bite d’un mec que je ne connaissais pas.
Mon premier réflexe a été de rentrer dans la chambre et de péter la gueule de ce con. Puis de foutre une mandale à cette pute qui s’envoyait en l’air derrière mon dos.
Mais très vite, je me suis ravisé. Faisant la même chose avec une copine de boulot, mariée, je me suis dis que je n’aimerais pas être interrompu par le mari de celle-ci pendant qu’on baise.
Finalement, la situation n’était pas pour me déplaire. On avait déjà baisé avec d’autres mecs, et la seule chose qui me gênait à priori, était qu’elle fasse cela sans rien me dire. Mon ego en prenait un coup, mais contre mauvaise fortune, bon cœur. En plus, je risquais de la frustrer si j’arrivais comme un cheveu sur la soupe.
Je restais donc derrière la porte, comme un collégien ayant surpris ses parents en train de forniquer.
Mon érection repris rapidement de la vigueur et je commençais à me caresser les couilles et le gland au rythme des allers-retours de la bouche de ma femme sur la queue du mec.
Il avait les yeux fermés et je savais qu’il savourait l’instant. C’est une reine de la pipe et quand elle vous aspire le poireau, vous avez l’impression qu’elle va vous vider entièrement de tout ce qui est liquide en vous. De plus, c’est une adepte de la gorge profonde et quand votre gland cogne contre le fond de sa bouche, c’est un supplice de devoir se retenir de juter. Nombre de fois, j’ai lâché la purée prématurément, mais elle aime ça et sait s’y prendre pour faire remonter popaul en un rien de temps.
Ils étaient à poil tous deux et comme elle me tournait le dos je pouvais apercevoir sa chatte bien épilée, de laquelle coulait déjà un mince filet de suc sexuel. Je ne sais pas d’où sortait ce mec, mais il avait une bite de taille plutôt flatteuse, et ma femme avait tout juste de ses deux mains pour en apprécier les contours.
Sans faire de bruit, je commençais à me branler lentement. Ses doigts agiles couraient le long du membre, s’arrêtaient sur les couilles pour les griffer doucement, descendaient vers l’intérieur des cuisses du mec pour remonter vers son anus où elle enfonçait juste une phalange.
Quand je vous dis que c’est une experte, je sais de quoi je parle.
Après une dizaine de minutes de ce traitement, elle quitta sa position pour s’allonger, jambes écartées à côté de son amant et l’attira vers elle, lui prenant la tête par les cheveux pour la diriger vers sa chatte béante.
Toujours excité comme un pou, je vis la langue du mec s’engouffrer dans la fente humide pour une série de va-et-vient rapides et soutenus. Il accompagnait son cunnilingus d’un doigt dans le cul, alternant les mouvements de plus en plus rapidement. Elle était tombée sur un bon et mon excitation n’en était que décuplée.
La sachant entre de bonnes mains, je m’abandonnais complètement à la masturbation.
Elle tendit un gode à son baiseur. Il ne se fit pas prier pour le saisir et lui enfoncer dans la chatte, rudement, d’un coup sec après lui avoir craché sur la moule, comme dans les films pornos. Elle avait les yeux révulsés et branlait sa queue avec énergie. Un jet de foutrine partit de son vagin pour atterrir son le visage du type qui eût l’air de s’en délecter. C’était un bon vivant, et je me suis surpris à penser qu’on s’entendrait bien tous les deux pour baiser ma femme.
C’est à ce moment qu’elle se redressa, et toujours en tournant le dos à la porte, enfourcha le gars.
Je vis le chibre du bonhomme s’enfoncer et disparaître dans la moniche de ma femme. Elle avait la tête en arrière et semblait prendre un pied d’enfer.
Ma main allait et venait le long de mon braquemart de plus en plus vite. Je sentais le désir et l’envie de jouir monter en moi, mais n’avais pas envie de gâcher une aussi bonne marchandise.
J’allais quand même lui faire la surprise de la prendre par derrière et de lui gicler sur le cul.
J’ouvris la porte très doucement et entrais dans la chambre. De près, la tension sexuelle se faisait ressentir encore plus. Ça sentait fort la chatte, la cyprine et les sucs foutraux.
Arrivé près du lit, le mec me vit. D’un doigt sur la bouche, je lui fis comprendre de ne rien dire à la salope qui le chevauchait de plus en plus rapidement. Un clin d’œil gêné mais finalement complice m’encouragea à m’approcher franchement sans qu’elle ne se rende compte de rien. La surprise allait être de taille. J’ouvrais le tiroir de la table de nuit et m’emparais du tube de gel pour m’en enduire largement la bite sous le regard approbateur du mec.
Elle ne s’était toujours pas rendu compte de ma présence, occupée qu’elle était à se faire ramoner et eût un cri de surprise lorsque enfin posté derrière elle, je lui mis les mains sur les seins. Elle se retourna avec une gêne énorme dans le regard, mais compris très vite à la taille de ma queue que je ne la tiendrais pas pour fautive de ce besoin de sexe qui la prenait avec un inconnu.
Je lui susurrais à l’oreille de continuer à baiser avec son amant, que cela m’excitais énormément, et que j’allais lui prendre le cul comme elle aimait. Mon dard la pénétra lentement mais profondément. Je sentais la pine du compère à travers la mince paroi qui sépare le vagin de l’anus. Elle commença à bouger fort, excitée comme une puce, sa chatte expulsant des jets de foutrine à chaque aller-retour de nos queues dans chacun de ses trous béants. Cela ne dura pas longtemps. Son compagnon de baise se retira vivement pour lui gicler sur la moniche un long jet de foutre chaud dont quelques gouttes vinrent m’asperger les burnes. Elle lui prit la bite et le branla pour en extraire les dernières gouttes qui finirent sur ses doigts. Lorsqu’elle les porta à sa bouche pour lécher le nectar, je ne pus me retenir davantage et lâcha ma semence dans son cul. Se fut trop rapide pour que j’ai le temps de me retirer et de lui mettre sur le dos comme elle aime. Elle prit tout dans l’anus. Pour lui faire payer son infidélité, je me mis debout sur le lit, la pris par les cheveux et lui fourra mon dard au fond de la gorge, lui intimant l’ordre de me nettoyer à fond.
Elle ne se fit pas prier et, tout en me suçant, continuait à branler l’autre.
Puis une idée me vint en me penchant pour regarder son cul. Mon sperme commençait à dégouliner de son trou. J’ordonnais alors à son amant de bouffer mon jus, ce qu’il fit avec un peu de réticence, mais étant beaucoup plus costaud que lui, il ne rechigna pas longtemps et sembla même y prendre goût.
Une fois sa punition terminée, il rassembla ses affaires et décampa sans demander son reste. Je pouvais toujours le retrouver par ma femme pour une autre partie de cul si elle en avait envie.
Une fois seul avec elle, je lui fis promettre de recommencer car l’aventure m’avait excité au plus haut point. Elle fût d’accord, à condition qu’elle aussi puisse me surprendre avec une autre. Mais nous en reparlerons.
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