une exhibition qui mène loin

- Par l'auteur HDS Edsonarantes -
Auteur homme.
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Récit libertin : une exhibition qui mène loin Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2009 dans la catégorie Plus on est
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une exhibition qui mène loin
<p>C’était il y a un an.
Avec ma femme, les parties de sexe prenaient de plus en plus d’importance et nous avions envie d’aller plus loin dans notre expérience de couple. L’exhibition ne faisait pas particulièrement partie de nos fantasmes mutuels, bien que dans certains cas nous prenions le risque de nous faire repérer pendant nos ébats.
Ce dimanche là, le temps plutôt clément nous emmena pour une promenade dans un des grands parc de notre ville. Il faisait même chaud et une tenue légère s’imposa presque pour ma femme qui passa une des robes que j’aime particulièrement, courte sans trop l’être, une rangée de boutons devant qui vont du haut en bas (faciles à enlever) et une légèreté qui la faisait voleter au moindre souffle de vent.
Il y avait du monde ce jour là. Les familles côtoyaient les couples sans enfants, les jeunes se mêlaient aux moins jeunes mais nous savions que nous allions croiser bon nombre d’hommes seuls, voyeurs ou pas, ce qui ne nous dérangeait pas, et qui sont à l’affût de la moindre parcelle de peau féminine.
La terrasse où nous étions assis pour prendre une boisson fraîche était bondée comme un oeuf, et nous avions repéré un homme seul à une dizaine de mètres de nous. Il buvait tranquillement une bière, l’air de rien, mais nous avions remarqué que son regard choisissait ses cibles. Les femmes susceptibles de lui dévoiler, volontairement ou pas, un décolleté plongeant, une cuisse découverte, voire un entrecuisses avec ou sans culotte.
Ayant observé son manège pendant une dizaine de minutes, nous sommes tombés d’accord sur une stratégie à adopter pour mener à bien un petit jeu qui, nous le pensions, nous mènerait uniquement à faire monter l’excitation qui nous amènerait à une partie de jambes en l’air.
Nous nous sommes levés et nous sommes partis pour revenir deux minutes plus tard séparément et nous asseoir chacun à une table différente. Elle, bien en face du voyeur et moi derrière lui légèrement de coté de façon à ne rien rater non plus de l’exhibition de ma femme.
Après avoir commandé une boisson, elle commença à attirer le regard de l’homme par des croisements de jambes de plus en plus hauts et fréquents. L’homme ne se fit pas prier pour fixer son regard sur ses cuisses qui se découvraient de plus en plus. Elle avait aussi déboutonné légèrement le haut de sa robe pour laisser entrevoir la naissance de ses magnifiques seins. L’homme commençait à bouger de plus en plus. Au bout d’un moment, il mit la main dans son sac et en ressorti un appareil photo muni d’un téléobjectif impressionnant.
Je pris mon téléphone portable et appelais ma femme.
- vas-y, excites-le bien. Ecarte les jambes encore plus et montre lui discrètement ton entrecuisses. Je veux qu’il se branle sur ses photos ce soir.
- comme tu veux, mon chéri.
Elle commença alors à ouvrir les cuisses. D’abord timidement puis, la famille située dans le même axe que l’homme étant partie sans même se rendre compte de quoi que ce soit, elle pu continuer tranquillement son manège pour en arriver à avoir les jambes ouvertes à 90 degrés. C’est alors que je pu voir qu’elle ne portait rien en dessous. Elle adorait me faire ce genre de surprise de temps en temps. J’avais la queue qui commençait à se dresser dans le pantalon. Je ne pouvait voir la tête de l’homme d’où j’étais, alors je l’appelais une nouvelle fois.
- génial! T’es super excitante et tu me fais bander très fort. Dis-moi quelle tête il fait.
- il est rouge et n’arrête pas de prendre des photos. Ça m’excite terriblement de savoir qu’il me mate la chatte pendant que tu regarde.
Il me vint alors une idée qui allait nous faire passer un moment inoubliable.
- aguiches-le de plus en plus. Je veux qu’il vienne te rejoindre à ta table.
- tu es sûr? Ça peux aller loin.
- vas jusqu’où tu veux. Je suis là au cas où...
Elle commença alors à lui faire de grands sourires tout en continuant ses mouvements de jambes. Elle croisait tellement haut maintenant, qu’on voyait carrément ses lèvres sûrement déjà humides de plaisir s’ouvrir et se refermer. L’appareil photo crépitait à trois mètres de ma table. L’homme se tortillait de plus en plus sur sa chaise et ne faisait plus semblant de prendre des photos des alentours. Son objectif était pointé sur le sexe de ma femme et rien n’aurait pu l’en détourner. mais trop absorbé par ce qu'il faisait, il ne semblait pas vouloir bouger.
C’est elle qui prit l'initiative et décida de se lever. Elle passa à coté de la table de l’inconnu, fit une légère halte en arrivant à sa hauteur, passa sa main nonchalamment sur son ventre, descendit doucement jusqu'à sa chatte au travers du fin tissu de la robe, et continua son chemin, non s’en s’être retournée avec un franc sourire à l’attention de l’homme puis dans ma direction.
Le type prit rapidement son sac et, sans lâcher son appareil, entreprit de suivre ma femme qui faisait balancer son cul en marchant. Les talons hauts qu’elle portait lui donnait l’air de ce qu’elle était à ce moment : une salope prête à se faire tirer par n’importe quel mâle en rut, et l’inconnu l’avait bien compris.
Je suivais bien sûr le cortège, tout en maintenant une distance qui me permettrait d’intervenir en cas de problème. On voyait trop de pervers de nos jours et il valait mieux être prévoyant.
Mais mes craintes s’avérèrent sans fondement. Ma femme sorti du parc et regagna notre voiture tout en s’assurant que le type la suivait toujours. Elle savait que j’étais là et m’appela au téléphone.
- on fait quoi, maintenant?
- attends-le près de la voiture, on verra bien.
Elle s’arrêta et attendit. L’homme arriva à sa hauteur, s’arrêta à son tour et entama la conversation. D’où j’étais, je ne pouvais pas entendre, mais je voyais que cela avait l’air de tourner tranquillement. Isabelle riait aux propos de l’inconnu qui apparement la complimentait sur sa tenue et l’art qu’elle avait de s’en servir.
Au bout une dizaine de minutes, ma femme qui jetait de plus en plus de regards dans ma direction me fit signe de venir les rejoindre.
Ce que je fis avec empressement, voulant savoir comment les choses tournaient. Mon coeur battait la chamade et ma queue était raide à l’idée qu’un plan cul était en train de pointer son nez.
L’homme me regarda approcher, l’air quand même un peu déçu de n’être pas seul sur le coup.
- bonjour!
- bonjour! Je suis Gilbert le mari d’Isabelle.
- ah! et moi Daniel. Vous avez de la chance d’avoir une femme aussi belle et aussi peu farouche. Je vous envie même. La mienne ose à peine se déshabiller devant moi. C'est pour ça d'ailleurs que je me permets de suivre des femmes dans la rue et de prendre des photos quand je peux. Mais là, c'est la première fois qu'un truc aussi flagrant m'arrive.
- vous êtes amateur de photos et de belles femmes, ça nous plait. Si ça vous dit et si Isabelle est d’accord, on peut continuer dans un endroit un peu plus discret.
Isabelle me jeta un drôle de regard en coin, mi-figue, mi-raisin, l’air d’avoir envie d’aller plus loin avec néanmoins la crainte de ne pas assumer ce que nous allions faire.
- si madame est d’accord, c’est sans problème pour moi. J'en serais même plutôt ravi.
Daniel avait l’air plutôt gentleman et le sourire candide qui barrait son visage eut pour effet de faire tomber les dernières réticences de ma femme qui me glissa à l’oreille :
- j’espère qu’on va bien s’amuser. Je suis excitée comme une puce.
Nous sommes donc montés en voiture tous les trois, les deux hommes devant et Isabelle derrière.
Je connaissait un endroit sympa à la sortie de la ville qui surplombait la région. J’en prenais donc la direction pendant que Daniel regardait les photos qu’il avait déjà prises à la terrasse tout à l’heure.
- votre... enfin, ta femme est vraiment belle et pas farouche du tout. En plus, comme elle prenait la pose, j’ai des clichés d’une parfaite netteté pour une fois.
Dans le rétroviseur, je voyait ma femme sourire à ce que venait de dire Daniel à son sujet.
Elle avait une petite lueur de fierté dans l’oeil et les dernières barrières tombèrent immédiatement, ce qui eut pour effet de lui faire ouvrir les jambes.
Nous étions presque arrivés et la vue de ma femme, assise sur la banquette arrière, les cuisses écartées et la main qui commençait à caresser sa chatte lisse et douce comme un abricot me fit ralentir pour pouvoir profiter du spectacle.
Après un bref coup d’oeil dans ma direction, Daniel sentit qu’il se passait quelque chose. Il se retourna et poussa un cri étouffé à la vue de cette chatte gonflée de désir.
- nom de dieu! Comme c’est beau et excitant.
Il prit son appareil et recommença à shooter comme un malade.
Je garais la voiture dans ce qui ressemblait à une clairière au milieu d’un bouquet d’arbustes. De là où nous étions, nous pouvions voir la campagne environnante sans être dérangés. Pour y être venus une paire de fois pour nos ébats, nous savions, elle et moi, que c’était un endroit tranquille.
Je coupais le moteur, descendis et me dirigea vers le coffre où je savais trouver ce qu’il fallait pour notre confort.
Pendant ce temps, Daniel continuait ses photos, mitraillant ma femme qui se tordait déjà de plaisir devant cet inconnu. Sa main allait et venait entre ses cuisse au rythme de sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée. Elle avait carrément ouvert le haut de sa robe, dévoilant ainsi sa magnifique poitrine nue, et se touchait les seins de son autre main. La voir ainsi, se faire plaisir, indécente, devant un autre homme dont nous ignorions l’existence il y a encore une heure me mettait en ébullition. Bien sûr, nous avions déjà goûté à l’amour pluriel, mais toujours avec des amis que nous avions appris à connaître avant de nous lancer, mais là, c’était du brut de décoffrage.
Je m’éloignais de quelques mètres de la voiture, étalais la couverture sur l'herbe et revins chercher Isabelle et Daniel.
Ce dernier avait sorti sa queue du pantalon et la caressait. Une goutte d'excitation perlait au bout du gland qui grossissait à vue d'oeil.
Isabelle avait les yeux révulsés. Elle était au bord de l'orgasme et je la laissais faire. Le cri qu’elle poussa ne laissa aucun doute sur la puissance de son plaisir et retomba, presque inconsciente, sur la banquette arrière.
Daniel en profita pour changer la carte de son appareil photo pour, me dit-il, une carte qui pourrait en contenir plus.
Je pris Isabelle par la main et doucement, la fis sortir de la voiture. Elle me donna un baiser fougueux au passage. Son haleine avait cette odeur caractéristique de la femme en quête d'orgasme.
- on commence à peine, hein? J’ai envie de ta bite et de celle de l’autre. Vous allez me prendre comme une chienne. J'aime mon doigt, mais maintenant il me faut du concret.
- ne t’inquiète pas, avec la queue que je me trimbale, tu vas en prendre plein ton cul de petite salope. Et vu comme Daniel te regarde, il ne sera pas en reste, crois-moi.
Celui-ci terminait les manipulations de son appareil (avec du mal, tellement il était excité) On s’est allongés, ma femme et moi sur la couverture et avons commencé à nous caresser mutuellement. Les nichons d’Isabelle étaient fermes et les pointes, dures et dressées, roulaient sous mes doigts. Elle avait ouvert ma braguette et avait sorti ma pine pour une lente et tendre masturbation. Mes yeux étaient plongés dans les siens et je voyais y poindre une lueur de lubricité qui attisa mon envie. Elle se mit à genou, quitta sa robe qui vola dans l’herbe et entreprit de me déshabiller aussi. Ses mains couraient sous mes vêtements et me donnaient des milliers de picotements nerveux. Quand elle eût fini, elle se pencha vers mon sexe et le porta à sa bouche. Ses lèvres étaient chaudes et douces et sa langue humide me léchait le dard de la base au gland. Je devenais fou et lui pris les cheveux pour lui faire accélérer le mouvement. Nous étions seuls au monde lorsque qu’un crépitement me fit revenir à la réalité.
Nous avions oublié Daniel qui était toujours là, à prendre des photos de nous, tournant autour de nous comme un vrai pro, se rapprochant même parfois pour des gros plans sur la chatte d’Isabelle ou sur ma bite qui disparaissait une fois sur deux dans sa bouche.
Il s’était déshabillé sans que nous nous en apercevions et je pouvais voir un énorme sexe, encore à moitié mou, pendre entre ses jambes. Les couilles qui étaient à sa base n’avaient rien à envier, question taille, au reste de l’objet.
Voyant cela, Isabelle, d'abord impressionnée, tendit une main un peu tremblante vers la bite de Daniel. Celui-ci s’approcha doucement pour permettre à la belle de le saisir et quand ce fût chose faite, il se laissa caresser sans bouger, pour ne pas la brusquer. Vraiment délicat de sa part, nous étions bien tombés.
Isabelle était toujours à genou et nous branlait tous les deux. Après un regard dans ma direction, elle pencha la tête vers l'autre queue qui avait atteint une taille impressionnante et commença à la sucer, d’abord doucement, puis accéléra son mouvement. Daniel bandait maintenant très fort, à tel point qu’Isabelle avait parfois des hauts-le-coeur rapport à la taille de l'engin, ce qui ne l’empêchait pas de continuer. Elle me fit signe de me lever et de venir à coté de Daniel. Une fois en place, elle alterna sa fellation, tantôt moi, tantôt Daniel, qui continuait à prendre des photos.
J’étais excité comme jamais et je savais qu’Isabelle aussi. J’entendais, au bruit de clapotis que faisait sa main entre ses cuisses, que la mouille coulait fort de sa chatte.
Elle quitta alors sa position pour se mettre à quatre pattes. Nous avions compris tout de suite ce qu’elle voulait. Daniel qui visiblement appréciait sa bouche se mit devant et je me présentais donc derrière elle, la queue tendue à l’orée de son vagin. Je la pénétrais lentement mais fermement. Devant moi, je voyait la queue de Daniel aller et venir dans sa bouche et sa main libre peloter ses nichons.
- t’es une gagneuse, toi! Tu suce comme une reine et t’as un cul d’enfer qui ne demande qu’à se faire pilonner. Tout à l’heure tu vas prendre ma pine dans le fion.
Il parlait à ma femme comme à une pute et, à ma grande surprise, cela augmenta mon plaisir .
Mais je n’étais pas le seul à réagir positivement à ses propos. Je sentais trembler légèrement Isabelle sous mes coups de boutoir et elle fini par lâcher un long jet de cyprine sur moi.
J’adorais cela, sentir son jus intime m’asperger et couler ensuite sur moi me faisait vibrer et m’amenait souvent au bord de l’éjaculation.
Daniel était passé au caméscope et se prenait maintenant pour John.B.Root.
Cela ne semblait pas déplaire à Isabelle qui commença à prendre des poses plus suggestives. Elle devait avoir l'impression de tourner dans un film de cul, ce qui y ressemblait fortement.
- changez de place maintenant! J’ai envie de la grosse bite de Daniel dans mon cul. Viens devant moi, mon chéri, je vais te pomper le dard jusqu’à ce tu vienne dans ma bouche et je boirai tout ton jus.
Elle n'avait plus aucune retenue et devenait folle de cul. Je savais que ses mots égalaient sa pensée. Nous avons donc changé de position.
Il lui fallut un petit temps d’adaptation pour prendre le sexe de Daniel dans le cul. Il était énorme et, bien qu'elle ait l’habitude de mes sodomies, elle poussa quelques gémissements pendant qu’il s’enfonçait au plus profond d’elle, malgré la capote lubrifiée qu’il avait prit soin d’enfiler avant de l’enculer. Lorsqu’il parvint au bout, il resta quelques minutes sans bouger pour qu’elle s’habitue à sa présence. Elle même ne faisait plus un geste, la tête immobile, la bouche sur ma queue, je sentait sa salive couler le long de mon manche. Elle était cambrée au maximum, une main me caressant doucement les couilles et l’autre, glissée entre ses jambes, touchant celles de Daniel . Elle attendait que celui-ci soit rentré complètement. Il continuait de filmer et, subrepticement, se remit à faire de lents va-et-viens.
Elle gémissait bien encore un peu mais lorsque je vis qu’elle remuait son cul et allait à la rencontre des coups de bite, je fus rassuré. À mon tour de la forcer un peu. Je lui attrapais les cheveux et tirais dessus pour la pénétrer toujours plus profond. Je sentais mon gland taper au fond de sa gorge.
C’était maintenant une salope baisée par deux gros vicelards en pleine campagne. Je voyais déjà le titre du film de Daniel et ça me faisait fantasmer encore plus. Nous allions avoir plein de choses à montrer à nos amis les plus intimes.
Les coups de bites s’accéléraient des deux cotés, la mouille jaillissait maintenant de la chatte de ma femme et les cris qu’elle poussait en disaient long sur l’état d’excitation dans lequel elle se trouvait.
Daniel était rouge d’apoplexie, la caméra ne filmait plus grand chose, vu les mouvements qu’il lui imprimait. Puis il lâcha celle-ci d’un coup, se retira du cul de ma femme rapidement, enleva sa capote et, dans un grand cri de jouissance, lâcha un gros jet de sperme d’une puissance inouïe qui vînt s’étaler du cul jusqu’en haut du dos et sur les cheveux d’Isabelle. J’en pris même sur le ventre sous la force du jet. Il prit ensuite sa queue dans la main et la frotta entre les fesses rougies par cette sodomie sauvage pour étaler le jus encore chaud. À la vue de cet énorme bite qui glissait sur le cul de ma femme, je jouis à mon tour. Isabelle arrêta ses mouvements de tête et déglutit plusieurs fois afin de récolter toute la semence qui sortait de mon sexe. Elle releva les yeux vers moi, me fit un grand sourire et lorsqu’elle vit les gouttes de sperme que Daniel avait balancé sur moi, elle se mit à les lécher avec avidité.
Son “ménage” terminé, elle s’allongea sur le dos, nous attira prés d’elle et nous suça tendrement, comme pour nous remercier. Daniel avait reprit la caméra et filmait maintenant ses doigts qu'il glissait doucement dans le sexe de ma femme pour bien profiter de la mouille qui finissait de couler. je regardais ce spectacle en me disant que j'avais de la chance d'avoir une femme comme elle.
Nous étions tous les trois aux anges et n’avions pas envie que cela se termine.

Nous sommes restés une bonne demi-heure comme ça, allongés côte à côte, à nous caresser.
Lorsque nous sommes repartis, la nuit commençait à tomber. Nous avons déposé Daniel à sa voiture et sommes repartis, non sans lui avoir laissé nos coordonnées internet. Nous voulions absolument avoir une trace de ce merveilleux après-midi pour réchauffer les futures soirées d’hiver.
Daniel nous fit parvenir les photos et le film et nous ne l’avons jamais revu.
Nous attendons maintenant l’occasion de recommencer une autre expérience du même type, et cette fois, à la demande d’Isabelle, avec plusieurs inconnus.





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