Obligations: du passé
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Obligations: du passé
J'étais marié par obligation à un type qui m'avait fait un enfant. C'était de ma faute : je ne prenais pas la moindre précaution. Ma famille m'a donc forcé à me marier. Depuis que j'étais avec lui, je ne ressentais rien, pas d'amour ni moral, ni physique. Je n'étais même pas excitée quand il me faisait "l'amour". Je pensais à autre chose pendant que lui allait et venait dans mon sexe.
Un jour j'en ai eu assez et j'ai obtenu le divorce. Je me sentais enfin libre. Tellement libre qu'enfin j'avais des envies dans mon bas ventre. J'ai commencé à partir de ce jour à me masturber. Je le faisais étant jeune en tout cas pas pendant mon mariage. Je me souviens encore de ce jour béni où j'ai passé ma main entre mes cuisses et de mes doigts qui reprenaient possession de mon con. J'écartais les lèvres avec ma main gauche pour faire ressortir mon bouton et avec deux doigts je me caressais le clitoris. J'ai arrêté plusieurs fois pour faire durer ce plaisir que j'avais oublié. J'ai du mettre facilement une heure avant de jouir. Plus tard, dans la soirée je regardais la télé et sans raisons bien précises j'ai enlevé mon slip et j'ai caressé mon bas ventre. J'ai encore eu besoin de me masturber. Je suis allée dans la chambre, me suis déshabillée et je le suis installée de façon à bien voir mon con pendant que je me branlais. Mais il me fallait quelque chose dans le con. J'ai cherché et trouvé: une serviette de bain devrait faire l'affaire. J'en posais une partie sur le con et je l'enfonçais lentement : je m’étais remplis le vagin entièrement, mieux qu'avec une bite.
Justement j'avais envie d'une vrai bite dans mon con ou mon cul: étant plus jeune un de mes ex m'avait initiée à la sodomie. J'avais besoin aussi d'une langue sur et dans mon con. J'habitais une petite ville et je ne pouvais certainement pas fréquenter un bar ou un lieu de rencontre.
Je prenais une résolution : aller dans une ville importante.
Dans un bus j'étais assise à coté d'un garçon beaucoup plus jeune que moi et je lui parlais : il me répondait. La conversation engagée, j'arrivais à le pousser à parler de baise. Je remarquais la bosse que faisait sa bite. Quitte à passe pour ce que je ne suis pas, je posais une main sur la bite. Il me regardait droit dans les yeux. Je lui disais que j'avais envie de lui. Il bandait de plus en plus et même moi je mouillais.
Je l'emmenais à mon hôtel. C'est moi qui le déshabillais. Je saisissais sa bite en le branlais. Il allait jouir. J'arrêtais mes mouvements pour à mon tour paraître comme Eve. J'étais et je suis bien faite: Ce garçon me prenait dans ses bras et m'embrassait longuement. Il me caressait mes seins et sa main venait sur mon bas ventre. Il me tardait qu'il me branle. Se ne sais ce qu'il attendait. Je le prenais par la bite et m'en servais comme d'une laisse pour qu'il vienne se coucher.
Et là, au lit, enfin il osait me branler. Ce n'était pas mal, c'était assez mal fait. Je lui demandais s'il avait branlé beaucoup de fille. Il rougissait. Je lui demandais s'il était puceau. Il était puceau. Je devais lui apprendre à baiser. Pourquoi pas après tout du moment que je jouissais. Vu son âge il devait avoir les reins solides et pouvait jouir plusieurs fois sans problème. Je commençais par lui demander de remettre sa main dans mon con et je le dirigeais. Je menais sa main juste vers mon clitoris et lentement comme l'aimais, il ma branlait. Je le faisais aller de plus en plus vite et à un moment je lui disais qu'il me faisait jouir. Je lui demandais de me doigter : il le faisait. Je l'embrassais et à ce moment là je décidais de le sucer. Il me laissait faire : ma bouche ouverte et ma langue lui donnait du plaisir. Je ne le suçais que très lentement. J'enfonçais la queue au plus profond, presque à la luette. Enfin il jouissait dans ma bouche. Il était étonné que j'avale son sperme, alors que c'est le meilleur de l'homme.
Il ne débandait pas. J'en profitais pour lui apprendre à baiser une femme dans le con. Je lui répétais qu'il ne s'agissait pas de rentrer et de sortir à toute allure de moi, mais de rester vigilant sur les progrès de mon plaisir. Je devais jouir avant lui.
Je me couchais sur le dos et j'écartais les jambes: il regardait mon con comme une bête curieuse. Je l'entrainais sur moi et guidais sa bite avec ma main vers le vagin. Je ne sais pourquoi, mais il me baisait comme je ne l'ai été que rarement: Il était à l'écoute de mon corps tout entier. Il m'a faite jouir comme une folle. J'étais agitée de transes et je sentais toujours dans ma chatte sa bite qui ramonait toujours. Il me faisait jouir encore et encore. Il faut bien avouer que depuis le temps que je n'avais pas baisé normalement c'était pour moi un véritable délice.
Je le sentais jouir dans mon vagin: ses contractions étaient puissantes. Malheureusement pour moi, il sortait de mon con, la bite défaite. Je connaissais plusieurs moyens pour le faire bander. Je lui demandais s'il se branlait. Sa réponse positive amenait une réponse de ma part: je suis comme toi, j'aime me branler.
Je me mettais bien en vue et passant ma main entre mes jambes je trouvais mon clitoris et le caressais. Je jouissais devant lui et mi je surveillais sa pine qui se relevait. Enfin j'allais pouvoir me faire sodomiser. Je lui demandais donc de venir m'enculer. Tout heureux d'être dans mon anus, il bandait plus fort. Il me semblait même que son sexe avait grossi. Je le calmais un peu. Il pensait qu'en m'enculant ce serait la même chose qu'en me baisant. Je lui mouillais la bite avec ma bouche et je l'encourageais à me cracher sur le cul pour qu'il soit bien lubrifié. Je sentais sa salive venir sur mon cul. Enfin je prenais sa bite en main pour la poser sur mon petit trou. Je lui demandais d'y aller doucement. Il rentrait très lentement: il avait peur de ma faire mal, pourtant le gland passé mon sphincter il pouvait faire ce qu'il voulait. Il appliquait ce que je lui avais dit tout à l'heure: mon plaisir avant le sien. Il me faisait jouir plusieurs fois par le cul. Enfin j'avais eu droit à une vraie baise.
Je me contente depuis de ma faire reluire avec mes doigts et depuis peu avec un godemiché vibrant qui vaut tout les amants du monde.
Un jour j'en ai eu assez et j'ai obtenu le divorce. Je me sentais enfin libre. Tellement libre qu'enfin j'avais des envies dans mon bas ventre. J'ai commencé à partir de ce jour à me masturber. Je le faisais étant jeune en tout cas pas pendant mon mariage. Je me souviens encore de ce jour béni où j'ai passé ma main entre mes cuisses et de mes doigts qui reprenaient possession de mon con. J'écartais les lèvres avec ma main gauche pour faire ressortir mon bouton et avec deux doigts je me caressais le clitoris. J'ai arrêté plusieurs fois pour faire durer ce plaisir que j'avais oublié. J'ai du mettre facilement une heure avant de jouir. Plus tard, dans la soirée je regardais la télé et sans raisons bien précises j'ai enlevé mon slip et j'ai caressé mon bas ventre. J'ai encore eu besoin de me masturber. Je suis allée dans la chambre, me suis déshabillée et je le suis installée de façon à bien voir mon con pendant que je me branlais. Mais il me fallait quelque chose dans le con. J'ai cherché et trouvé: une serviette de bain devrait faire l'affaire. J'en posais une partie sur le con et je l'enfonçais lentement : je m’étais remplis le vagin entièrement, mieux qu'avec une bite.
Justement j'avais envie d'une vrai bite dans mon con ou mon cul: étant plus jeune un de mes ex m'avait initiée à la sodomie. J'avais besoin aussi d'une langue sur et dans mon con. J'habitais une petite ville et je ne pouvais certainement pas fréquenter un bar ou un lieu de rencontre.
Je prenais une résolution : aller dans une ville importante.
Dans un bus j'étais assise à coté d'un garçon beaucoup plus jeune que moi et je lui parlais : il me répondait. La conversation engagée, j'arrivais à le pousser à parler de baise. Je remarquais la bosse que faisait sa bite. Quitte à passe pour ce que je ne suis pas, je posais une main sur la bite. Il me regardait droit dans les yeux. Je lui disais que j'avais envie de lui. Il bandait de plus en plus et même moi je mouillais.
Je l'emmenais à mon hôtel. C'est moi qui le déshabillais. Je saisissais sa bite en le branlais. Il allait jouir. J'arrêtais mes mouvements pour à mon tour paraître comme Eve. J'étais et je suis bien faite: Ce garçon me prenait dans ses bras et m'embrassait longuement. Il me caressait mes seins et sa main venait sur mon bas ventre. Il me tardait qu'il me branle. Se ne sais ce qu'il attendait. Je le prenais par la bite et m'en servais comme d'une laisse pour qu'il vienne se coucher.
Et là, au lit, enfin il osait me branler. Ce n'était pas mal, c'était assez mal fait. Je lui demandais s'il avait branlé beaucoup de fille. Il rougissait. Je lui demandais s'il était puceau. Il était puceau. Je devais lui apprendre à baiser. Pourquoi pas après tout du moment que je jouissais. Vu son âge il devait avoir les reins solides et pouvait jouir plusieurs fois sans problème. Je commençais par lui demander de remettre sa main dans mon con et je le dirigeais. Je menais sa main juste vers mon clitoris et lentement comme l'aimais, il ma branlait. Je le faisais aller de plus en plus vite et à un moment je lui disais qu'il me faisait jouir. Je lui demandais de me doigter : il le faisait. Je l'embrassais et à ce moment là je décidais de le sucer. Il me laissait faire : ma bouche ouverte et ma langue lui donnait du plaisir. Je ne le suçais que très lentement. J'enfonçais la queue au plus profond, presque à la luette. Enfin il jouissait dans ma bouche. Il était étonné que j'avale son sperme, alors que c'est le meilleur de l'homme.
Il ne débandait pas. J'en profitais pour lui apprendre à baiser une femme dans le con. Je lui répétais qu'il ne s'agissait pas de rentrer et de sortir à toute allure de moi, mais de rester vigilant sur les progrès de mon plaisir. Je devais jouir avant lui.
Je me couchais sur le dos et j'écartais les jambes: il regardait mon con comme une bête curieuse. Je l'entrainais sur moi et guidais sa bite avec ma main vers le vagin. Je ne sais pourquoi, mais il me baisait comme je ne l'ai été que rarement: Il était à l'écoute de mon corps tout entier. Il m'a faite jouir comme une folle. J'étais agitée de transes et je sentais toujours dans ma chatte sa bite qui ramonait toujours. Il me faisait jouir encore et encore. Il faut bien avouer que depuis le temps que je n'avais pas baisé normalement c'était pour moi un véritable délice.
Je le sentais jouir dans mon vagin: ses contractions étaient puissantes. Malheureusement pour moi, il sortait de mon con, la bite défaite. Je connaissais plusieurs moyens pour le faire bander. Je lui demandais s'il se branlait. Sa réponse positive amenait une réponse de ma part: je suis comme toi, j'aime me branler.
Je me mettais bien en vue et passant ma main entre mes jambes je trouvais mon clitoris et le caressais. Je jouissais devant lui et mi je surveillais sa pine qui se relevait. Enfin j'allais pouvoir me faire sodomiser. Je lui demandais donc de venir m'enculer. Tout heureux d'être dans mon anus, il bandait plus fort. Il me semblait même que son sexe avait grossi. Je le calmais un peu. Il pensait qu'en m'enculant ce serait la même chose qu'en me baisant. Je lui mouillais la bite avec ma bouche et je l'encourageais à me cracher sur le cul pour qu'il soit bien lubrifié. Je sentais sa salive venir sur mon cul. Enfin je prenais sa bite en main pour la poser sur mon petit trou. Je lui demandais d'y aller doucement. Il rentrait très lentement: il avait peur de ma faire mal, pourtant le gland passé mon sphincter il pouvait faire ce qu'il voulait. Il appliquait ce que je lui avais dit tout à l'heure: mon plaisir avant le sien. Il me faisait jouir plusieurs fois par le cul. Enfin j'avais eu droit à une vraie baise.
Je me contente depuis de ma faire reluire avec mes doigts et depuis peu avec un godemiché vibrant qui vaut tout les amants du monde.
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