Olivier le candide - chapitre 3 - histoire érotique

Samedi, 14h. Olivier enfilait le Body string, et prit même plaisir à resserrer légèrement les bretelles du soutien gorge, ce qui avait pour effet de remonter un peu plus le body, et de faire entrer un peu plus fermement le string dans ses fesses. Il enfila les bas resilles, il s'était aperçu qu'ils étaient filés à un endroit. Et pour terminer, il pinça le haut des bas avec les pinces du porte-jarretelles.

Suite à sa rencontre inopinée avec Johanna, il prit soin de mettre un tee shirt suffisament large, et un pantalon qui lui descendait bien en dessous de ses chevilles. Il ne voulait pas que quiconque puisse deviner son accoutrement dans la rue.

Il s'engouffra dans le métro, et partit direction Saint-Germain. En publique, il avait l'impression que tout le monde se doutait de son petit manège. Cela l'excitait, en plus du string qu'il sentait de plus en plus cisailler son entre fesse.
Il arriva au pub avec 5 minutes d'avance, et se rappela du déroulé de la première fois qu'il avait rencontré madame. Il pénétra dans le pub, la table qu'ils occupaient la dernière fois était libre. La table permettait à un convive de s'assoire sur la banquette, ou sur une chaise. Il se tint debout, à côté de la table, sans s'assoire. Et attenda patiemment.
A 15h pétante, il vit madame entrer à son tour dans le pub. Elle était ravie de voir qu'Olivier ne s'était pas assis, mais elle ne lui montra pas. Elle prit place sur la banquette, comme la dernière fois, et claqua des doigts en désignant la chaise. Olivier pouvait s'assoire.
Madame portait un jean skinny bleu. Et un chemisier blanc. Elle ne s'était pas maquillée, et elle était sublime, pensa Olivier.
-je vais prendre comme la dernière fois, et en allant commander, depuis le bar, tu en profiteras pour me prouver que tu as bien suivi mes consignes.
Olivier se sentait pris au piège. Pour continuer cette relation, il devait faire tout ce qu'imposait madame. Mais cela lui paraissait un niveau déjà bien élevé dans la soumission, lui qui aurait voulu un apprentissage plus évolutif.
Olivier se leva, et prit la direction du bar. Une fois au comptoir, il commanda un gin tonic, et une pinte de bière. Lorsque le barman se retourna pour se saisir des verres et de la bouteille de gin, Olivier remonta son tee shirt dans le dos, laissant entrevoir la naissance du string qui plongeait dans ses fesses. Personne ne l'avait remarqué, cela avait été furtif, et il y avait peu de monde à cette heure là.
En revenant face à madame, celle-ci ne semblait pas totalement satisfaite.
-Tu ne m'as pas apporté la preuve, et de plus, je n'aurais jamais pu voir les bas. Donne ton tee shirt maintenant, et file aux toilettes prendre une photo des bas. Je te rendrais ton tee shirt quand j'aurai la photo.
Olivier n'en revenait pas, madame lui demandait de se montrer en soutif au milieu du pub. Par chance, il y avait très peu de clients, tout au plus 5 ou 6 personnes le verraient. L'entrée des toilettes se trouvait à proximité de leur table. Il retira le tee shirt d'un geste rapide, le posa sur la table, et pris la direction de la porte des toilettes.
Cette dernière était fermée à clé. Mort de honte, Olivier retourna à table, face à madame. Il était à présent en body rose, hyper moulant, et laissant entrevoir un string. Le serveur arriva au même moment.
-Ah ! Je vous reconnaîs, vous êtes l'homme au questionnaire. Je vous ai vu vous précipiter aux toilettes. Il y a un code, les toilettes sont réservés aux clients. Pour vous, c'est bon. Mais je veux d'abord m'assurer que vous n'allez pas faire de saloperie dans les toilettes. Vous me promettez de ne pas y rester 10 minutes à vous branler ?
Olivier était vert de honte. Après avoir promis au serveur qu'il ne se masturberait pas, il retint le code que lui confia ce dernier, et s'engouffra aux toilettes sous le regard de la dizaine de clients présents à ce moment là. A l'intérieur, et après avoir refermé la porte derrière lui, il baissa son pantalon, qui faisait à présent apparaître des porte jarretelles qui s'accrochaient à ses bas resilles filés. Il se prit en photo dans le miroir des toilettes, et en ressorti. Il tomba nez à nez avec une femme d'environ 60 ans, qui attendait son tour. Elle semblait à la fois surprise et désabusée.
Olivier retourna à table, et se saisit du tee shirt. Madame l'en empêcha d'un geste brusque.
-Tu ne fais rien sans mon autorisation. De plus, le deal était que je puisse constater moi-même que tu avais respecté les consignes aujourd'hui. Pour l'instant, il n'en est rien. Les photos !
Olivier sortit son téléphone de sa poche, et montra la photo. Madame ne s'en préoccupa même pas.
-Je m'en doutais que tu respecterais notre accord. Mais tu m'as déçu, tu n'as pas su me le prouver à la première occasion, et tu essayes maintenant de prendre des initiatives. Ton dressage va être long à ce rythme. Et puis, le serveur a raison, j'imagine que tu te masturbes bien trop souvent.
Elle fouilla dans son sac, et en sorti une cage de chasteté, modèle CB6000. Olivier reconnu tout de suite de quoi il s'agissait. Il avait longuement lorgné sur ces objets de fantasme cet été.
-retourne aux toilettes, enfile ça, et prouve le moi en prenant une photo.
Olivier retourna aux toilettes, sous l'œil des clients qui l'observait en body rose depuis 10 bonnes minutes maintenant.
Il avait tellement vu d'articles et de tuto, que cela lui semblait presque familier de l'enfiler. Toutefois, la mi-molle et l'excitation naissante l'empêchait d'y rentrer son sexe. Rien n'y fait, plus il se concentrait, plus il bandait. Une seule solution lui permettrait de revenir à une bite au repos : une bonne branlette. Il commença donc à se masturber. La situation, le string et les bas qu'il portait, l'idée d'enfiler une cage, tout ça le fit venir en quelques secondes. Il crachat 5 bons jets puissants dans les toilettes, se dépêcha de se laver la bite et enfila la cage. Madame lui avait fourni un cadenas, mais sans les clés bien sûr. Il le ferma avec toute la confiance qu'il lui accordait. Il n'oublia pas de prendre une photo, et ressorti des toilettes.
Il revient à table, mais attendit l'autorisation pour s'assoir. Madame parut satisfaite.
-Enfin tu sembles te comporter convenablement. Mais aujourd'hui, ce fut laborieux. Le serveur est venu me voir. Il pense que si tu es retourné aux toilettes, c'était cette fois pour y faire des saloperies. A t il eu raison ?
-Oui madame, avoua Olivier du bout des lèvres.
-Bien, c'est de toutes façons ce que j'avais imaginé aussi. Afin que tu ne recommences pas de si tôt, c'est au barman que j'ai confié les clés de ton cadenas. Je lui ai dit que je passerai les chercher une autre fois, quand tu auras retenu la leçon.
Madame se leva, lança le tee shirt au visage d'Olivier, et partie.