On achète des toys avec sa recette de pute !

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : On achète des toys avec sa recette de pute ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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On achète des toys avec sa recette de pute !
- Et bien ma salope, j’ai eu peur que tu manques de jus, mais tu as eu ta dose !
- Pour ça oui, qu’est ce que vous m’avez mis.
- Eux plus que moi.
- C’est vrai, surtout le vieux. La première fois j’ai cru que je n’allais pas pouvoir tout avaler. Il n’éjaculait pas ce salaud, on aurait dit qu’il pissait du sperme en continu, sans jamais s’arrêter.
- Ca t’a plu ?
- Trop bien, son sperme est chaud, épais, et délicieusement parfumé. Mais pourquoi vous l’avez mal traité ?
- Parce que c’est un connard qui pense tout pouvoir acheter. Tiens au fait, c’est pour toi.
Je lui tends les billets.
- Mais je n’en veux pas de son fric, je ne suis pas une putain.
- Je croyais que tu voulais être ma petite pute
- Oui, mais votre pute à vous, alors gardez ce que je vous rapporte.
- Ok, mais je trouverai un usage pour tous les deux.
- Ca ne vous fait rien de me voir sucer d’autres mecs, vous n’êtes pas jaloux ?
- Tant que tu le fais en ma présence, avec mon accord, non. Et puis je n’ai pas les moyens d’être jaloux. Je ne suis ni jeune, ni beau, ni riche.
- Peut-être, quoique je vous trouve beaucoup de charme. Et puis vous avez d’autres qualités.
- Comme ?
- Vous êtes gentil, et vous avez réussi à me faire m’assumer. Je sais que j’étais salope mais ne voulais pas me l’avouer. Vous avez été mon déclic, et je prends mon pied sans aucun scrupule. Enfin, vous avez une bite magnifique.
- Tu me fais plaisir ma chérie, mais les deux autres ont d’autres mensurations que moi.
- Oui, un est un peu trop long, et l’autre beaucoup trop gros. Vous êtes parfaitement adapté à ma bouche et à ma chatte, la bite idéale. Ah j’oubliais, merci de lui avoir refusé ma chatte, j’ai eu peur que vous disiez oui.
- Je l’aime trop ta petite moule, je te sais étroite et ne voulais pas qu’il te déchire. Mais encore une fois tu m’appartiens, mais c’est un jeu. Tu peux dire non quand tu veux, me quitter quand tu veux. Je ne le souhaite pas pour moi, mais un jour tu partiras pour un plus jeune, et c’est normal.
- Je n’y pense pas, je suis bien avec vous pour le moment.
- Tu es mignonne.
Je lui donne un baiser furtif pour ne pas quitter la route, et on discute d’autre chose. Je lui parle de mon boulot, elle me raconte sa semaine.

On arrive chez elle vers 11h30. Le temps s’est rafraîchi depuis quelques jours, elle a coupé le chauffage vendredi matin, et il fait un froid glacial. Elle remet tout en route, on se déshabille, et on se glisse sous la couette pour se réchauffer en attendant que la température remonte. Elle est sur le côté en chien de fusil, je me colle à elle, épouse son corps grelottant, l’enveloppe dans mes bras. On fait un tendre câlin sans penser à baiser.
- Je repense à nos séances au téléphone, tu n’as jamais utilisé de godes ?
- Non, je ne me vois pas entrer dans un sex-shop.
- Il y a internet.
- Encore moins, je ne veux pas être harcelée de messages porno.
- Tu as raison, et puis c’est mieux de se rendre compte de visu. Je peux t’accompagner.
- Oui, pourquoi pas. J’y pense depuis que vous m’en avez parlé dimanche soir. Mais ça doit coûter cher.
- Il y en a à tous les prix, mais surtout on a le fric du vieux à utiliser.
Elle se laisse tenter. Il fait maintenant bon dans l’appartement, on sort de sous la couette, mange un morceau vite fait, et on surfe.
On recherche des sex-toys pour se faire une idée, on se met d’accord sur le type de produit, puis on cherche un sex-shop dans sa ville. Il y en a deux, un tout près de chez elle et l’autre loin, à l’opposé. Elle se décide pour le second, ayant moins de risque d’être reconnue. Il est 15h et nous voilà arrivés. Elle a mis un pantalon, et un blouson avec capuche pour camoufler crinière blonde. Elle voudrait ressortir avant même d’être entrée, et je la persuade de prendre son temps, de bien réfléchir pour choisir des joujoux qui peuvent changer sa vie sexuelle.
Elle se décide pour deux. Une parfaite réplique de bite, avec un joli gland, des veines nervurées, en caoutchouc rouge très souple, et dont les mensurations lui rappelleront ma queue. Un deuxième, sur mes conseils, mince, régulier, rigide, plus à voir avec un tube à essai qu’avec un sexe, pour apprivoiser son joli petit cul. Je connais ce genre d’endroit, sais qu’il y a une salle de projection, les vas et vient de plusieurs mecs me le confirme, et je demande au patron si on peut entrer gratuitement, juste cinq minutes, pour voir. Il accepte.
Joëlle est hésitante, et je la rassure. Il ne va rien se passer, c’est juste qu’elle sache à quoi s’attendre si un jour, comme je l’espère, on y revient pour qu’elle se conduise en pute gratuite.
On entre dans un couloir au bout duquel se trouve une petite salle de cinéma, une trentaine de fauteuil, et où on projette sur grand écran un porno hétéro. Au fonds de la salle il y a une pièce peu éclairée avec un lit et des trous dans les parois, à hauteur de bite. A droite de la salle principale il y a un autre couloir avec une large ouverture dans la cloison, permettant aux grands et aux petits de s’offrir à l’occupant du petit recoin placé de l’autre côté. Au fonds de ce couloir, une dernière pièce avec une banquette et quelques chaises, et qui diffuse un film gay sur une télé grand écran. Partout des boites de mouchoirs papier et des poubelles. Partout surtout des mecs qui se masturbent, s’embrassent, se sucent, s’enculent.
On ressort, et ma petite est cramoisie, le feu aux joues, et sans doute ailleurs.
- Je n’y crois pas. Vous m’avez montré des vidéos entre filles, mais tous ces mecs sont cent fois plus vicieux, et là ce n’est pas du cinéma.
- Ca t’a plu salope, je suis sûr que tu aurais aimé les sucer.
- Peut-être pas tous, mais c’est vrai qu’il y avait de belles bites.
- On y reviendra, et tu suceras toutes les queues qui se présentent, pour me faire plaisir.
- Je suis à vos ordres, je veux être votre pute, la seule et unique.
- Pour ça aucun risque, quand on en tient une comme toi on n’en cherche pas d’autre.
On rentre chez elle vers seize heures. La nuit tombe vite, je n’aime pas rouler de nuit. On se fait un 69, rapide sans être bâclé, et on se déverse l’un dans l’autre. Une longue pelle scandaleuse et je regagne ma voiture où sa petite culotte odorante m’attend dans la boite à gants.

A suivre………………………………….

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