Orchidée. Ode à la couille.
Récit érotique écrit par Secret-Lady [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Orchidée. Ode à la couille.
Orchi- Du grec orkhis [orch(i)], testicule. Il existe aussi une origine latine "orchis" qui, employé surtout au pluriel signifie "testicules". L'orchidée doit son nom (du latin orchidis) à la forme de ses racines. En médecine et chirurgie, les mots composés avec "orchi-" en premier élément ont tous un rapport avec les testicules.
Je les aime si grosses, lourdes, pendantes, qu'il me soit impossible de les contenir toutes les deux en bouche...
Surtout, prendre le temps de les admirer, les soupeser, les gober et surtout, surtout, les renifler. Je m'y plonge, je m'y vautre, dans la suave chaleur d'un confinement prolongé au fond d'un boxer.
Pour me plaire, ni rasage ni parfum ni crème, je les veux brutes, naturelles, animales, poilues et musquées...
Le shoot irradie tout mon corps, me brûlant l'entrejambe...
En virtuose, je me délecte alors de jeuX de langue, et de bouche, voire de dents...lécher, baver, cracher, aspirer, suçoter, mordiller, souffler, les tourner sur mon palais, les ressortir très très lentement, chupa chups, puis comme une ventouse, les réabsorber... Le surprendre d'un effleurage au ralenti de la pulpe de mes doigts...Explorer les méandres...Suivre le raphé de la pointe de ma langue, cette couture magnifique et émouvante...
A ces jeux, je peux vous consacrer des heures, exaltée par votre odeur, votre texture plissée...et ces gémissements, comme une longue complainte du propriétaire de ces bonbons aphrodisiaques...
Que de burnes, roupettes, roustons, bourses, roubignoles, baloches...n'ai je soupesées goûtées dévorées avalées gobées adorées... vénérées !
De petites noix bien symétriques, à ces paquets lourds d'un surplus de peau délicieux, des lisses, des bien rondes, des roses, des brunes dans toutes les nuances jusqu'au noir profond, des dissymétriques, des si contrastantes avec la queue dont elles font le collier de 2 perles, des sèches et des humides, des hypersensibles, et des dures au lâcher-prise...
Passage sur le chemin intime et osé qui conduit la langue du gland à l'anus, je m'y arrête avant de partir doucement à l'aventure du périnée...Déceler dans les ondulations du bassin et les gémissements si la voie est offerte pour m'engouffrer dans le canyon fessier...
Alors là, messieurs, c'est l'extase ! Vous sentir vous détendre et onduler, voire vous écarter en soulevant des mains vos fesses musculeuses... Oh bordel, là est mon plaisir !
La danse commence, libre, tout le territoire m'est offert et du cul au gland, de la hampe au raphé, du périnée à l'ourlet violacé, ma bouche s'affole... En artiste, elle joue ses gammes les plus créatives. Vous satisfaire, messieurs, oui... et me sentir puissante de ça, couler de bonheur à l'écoute de vos râles...
Je sais que bientôt vos burnes pendantes claqueront sur mon cul quand vous me baiserez la chatte, et inversement...
Me gifleront peut être le visage à la faveur d'une irrumation virulente...
Et si vous m'y autorisez, je m'endormirai, épuisée, le nez plongé dans ce coussin moelleux...
Au temps de mes débuts dans ce supermarché du sexe, j'exigeais une photo, de profil, d'une main brandissant fierement votre queue: J'avais appris à reconnaître les petits rusés jouant de la contreplongée, nous pensant toujours à la recherche de la plus grosse matraque...
Maintenant, stasticienne diplômée es-burnes, ce sont vos baloches qui aimantent mon regard dans vos galeries photographiques. Exposez les, valorisez les, exhibez les, aimez les ! Elles sont magnifiques !
PS:
(A celui qui m'inspire et dont les couilles somptueuses me font faire de bien énormes conneries)
Tes couilles si lourdes me rendent cinglée, leur fumet est ma drogue, leur texture dans ma bouche et sur ma peau me fait mouiller rien qu'en pensée...
Je les veux encore sur mon visage, encore me brûler les yeux à les contempler, encore les entendre claquer en rythme soutenu sur mon cul en manque...
Garde les bien pleines, j'arrive...
Je les aime si grosses, lourdes, pendantes, qu'il me soit impossible de les contenir toutes les deux en bouche...
Surtout, prendre le temps de les admirer, les soupeser, les gober et surtout, surtout, les renifler. Je m'y plonge, je m'y vautre, dans la suave chaleur d'un confinement prolongé au fond d'un boxer.
Pour me plaire, ni rasage ni parfum ni crème, je les veux brutes, naturelles, animales, poilues et musquées...
Le shoot irradie tout mon corps, me brûlant l'entrejambe...
En virtuose, je me délecte alors de jeuX de langue, et de bouche, voire de dents...lécher, baver, cracher, aspirer, suçoter, mordiller, souffler, les tourner sur mon palais, les ressortir très très lentement, chupa chups, puis comme une ventouse, les réabsorber... Le surprendre d'un effleurage au ralenti de la pulpe de mes doigts...Explorer les méandres...Suivre le raphé de la pointe de ma langue, cette couture magnifique et émouvante...
A ces jeux, je peux vous consacrer des heures, exaltée par votre odeur, votre texture plissée...et ces gémissements, comme une longue complainte du propriétaire de ces bonbons aphrodisiaques...
Que de burnes, roupettes, roustons, bourses, roubignoles, baloches...n'ai je soupesées goûtées dévorées avalées gobées adorées... vénérées !
De petites noix bien symétriques, à ces paquets lourds d'un surplus de peau délicieux, des lisses, des bien rondes, des roses, des brunes dans toutes les nuances jusqu'au noir profond, des dissymétriques, des si contrastantes avec la queue dont elles font le collier de 2 perles, des sèches et des humides, des hypersensibles, et des dures au lâcher-prise...
Passage sur le chemin intime et osé qui conduit la langue du gland à l'anus, je m'y arrête avant de partir doucement à l'aventure du périnée...Déceler dans les ondulations du bassin et les gémissements si la voie est offerte pour m'engouffrer dans le canyon fessier...
Alors là, messieurs, c'est l'extase ! Vous sentir vous détendre et onduler, voire vous écarter en soulevant des mains vos fesses musculeuses... Oh bordel, là est mon plaisir !
La danse commence, libre, tout le territoire m'est offert et du cul au gland, de la hampe au raphé, du périnée à l'ourlet violacé, ma bouche s'affole... En artiste, elle joue ses gammes les plus créatives. Vous satisfaire, messieurs, oui... et me sentir puissante de ça, couler de bonheur à l'écoute de vos râles...
Je sais que bientôt vos burnes pendantes claqueront sur mon cul quand vous me baiserez la chatte, et inversement...
Me gifleront peut être le visage à la faveur d'une irrumation virulente...
Et si vous m'y autorisez, je m'endormirai, épuisée, le nez plongé dans ce coussin moelleux...
Au temps de mes débuts dans ce supermarché du sexe, j'exigeais une photo, de profil, d'une main brandissant fierement votre queue: J'avais appris à reconnaître les petits rusés jouant de la contreplongée, nous pensant toujours à la recherche de la plus grosse matraque...
Maintenant, stasticienne diplômée es-burnes, ce sont vos baloches qui aimantent mon regard dans vos galeries photographiques. Exposez les, valorisez les, exhibez les, aimez les ! Elles sont magnifiques !
PS:
(A celui qui m'inspire et dont les couilles somptueuses me font faire de bien énormes conneries)
Tes couilles si lourdes me rendent cinglée, leur fumet est ma drogue, leur texture dans ma bouche et sur ma peau me fait mouiller rien qu'en pensée...
Je les veux encore sur mon visage, encore me brûler les yeux à les contempler, encore les entendre claquer en rythme soutenu sur mon cul en manque...
Garde les bien pleines, j'arrive...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau poème en prose sur les gonades masculines. J'ose imaginer que vous êtes aussi experte dans les faits que dans vos écrits, et là, je regrette de ne pas vous connaître.
Chère Secret Lady, je comprends que tu es droguée aux couilles. c'est magnifique !tu peux en user et en abuser. Aucune contre indications.
Quel plus bel hommage aux couilles, cru et poétique. Merci. Il est vrai que j'adore qu'une femme s'amuse avec les miennes, les caresse, les lèche , les mordilles et surtout les tire de toutes ses forces. ça me fait jouir comme un fou.