Water closed
Récit érotique écrit par Secret-Lady [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Water closed
La Cantine de la Cigale.
Pigalle, février 2023.
Le groupe était bon, et nous en étions déjà à notre 2ème fillette de leur vin bio. Nos regards se faisaient lourds, ta main sur ma cuisse produisait de l'électricité.
Tu t'es levé pour te diriger vers le bar, passer commande d'une 3ème bouteille, et mon téléphone a vibré. "Je veux voir ton cul blanc, immédiatement". J'ai souri et te regardant, mais tu discutais avec le patron, sans un coup d'œil vers ma réaction. Toi, toi, et tes délires qui me filent des uppercuts délicieux dans le bide...
Alors évidemment, j'ai foncé vers les toilettes, en tentant de prendre l'air détaché, tout en ayant la nette sensation qu'il était écrit "salope", en grand, sur mon visage. Le vin n'arrangeait pas la fluidité de ma démarche.
Faire vite.
"Message reçu, je t'attends !"
La musique couvrait le bruit des allées et venues, mais quand tu as frappé à la porte, c'est cul nu que je t'ai ouvert, certaine que c'était toi.
"Regarde nous"
Tu m'as bloquée contre le lavabo en inox, face au miroir, et je t'ai vu cracher dans tes doigts, avant de m'enculer de ta bite gluante. D'une main, tu empoignais ma hanche, l'autre a attrapé mes cheveux.
"Tu sais que j'aime que tu sois aussi vicieuse."
Évidemment, parce que tu me rends folle, je ne réfléchis plus, je fonce, soulevée par ce premier plaisir extraordinaire de ton injonction, celui d'être ta femelle à cet instant précis, avide de la fulgurante explosion que je pressens déjà, entre ces murs crades, sous ton imposante musculature, sous tes ahurissants coups de butoir, électrisée par ta voix douce d'où coulent des mots obscènes...
Ma jouissance dégoulinait dans mon pantalon à carreaux, large tache cachée plus tard sous mon manteau.
Tu sais ce que j'aime (aussi) avec toi ? Tes gémissements, tes grognements, mâle bruyant de son plaisir, et ton cri, à l'instant où ton foutre jaillit, un cri de soulagement qui évoque la souffrance d'une déchirure, d'un geyser brûlant, trop épais et trop abondant pour l'étroit passage... Ouhouuuu, mon hurlement de louve, en suspension pour surveiller le moment exact de ton tumulte.
Tu n'as pas cessé, ralenti ou accéléré ton pilonnage quand une présence a secoué la porte, ni étouffé ton chant de bête en pleine saillie. Tu as pris ton temps, je t'aime (aussi) pour ça.
Quand tu as joui, tu as serré mon cou pour plonger ton regard halluciné dans le mien, dans le miroir qui nous jetait aux visages notre danse brutale inversée.
"Serre les fesses, garde tout."
Des doigts, tu as purgé les dernières gouttes, dont tu as badigeonné ma bouche, avant de m'embrasser goulûment.
Les jeunes gens devant la porte ont souri quand notre couple désassorti a enfin cédé la place. Tu me tenais la main, fort.
Puis, laissant dans notre sillage le parfum capiteux de notre bonheur indécent, nous sommes retournés nous asseoir, indifférents aux regards amusés.
Mon cul poisseux collait à la banquette en skaï.
Sur la table, la 3ème bouteille nous attendait.
Pigalle, février 2023.
Le groupe était bon, et nous en étions déjà à notre 2ème fillette de leur vin bio. Nos regards se faisaient lourds, ta main sur ma cuisse produisait de l'électricité.
Tu t'es levé pour te diriger vers le bar, passer commande d'une 3ème bouteille, et mon téléphone a vibré. "Je veux voir ton cul blanc, immédiatement". J'ai souri et te regardant, mais tu discutais avec le patron, sans un coup d'œil vers ma réaction. Toi, toi, et tes délires qui me filent des uppercuts délicieux dans le bide...
Alors évidemment, j'ai foncé vers les toilettes, en tentant de prendre l'air détaché, tout en ayant la nette sensation qu'il était écrit "salope", en grand, sur mon visage. Le vin n'arrangeait pas la fluidité de ma démarche.
Faire vite.
"Message reçu, je t'attends !"
La musique couvrait le bruit des allées et venues, mais quand tu as frappé à la porte, c'est cul nu que je t'ai ouvert, certaine que c'était toi.
"Regarde nous"
Tu m'as bloquée contre le lavabo en inox, face au miroir, et je t'ai vu cracher dans tes doigts, avant de m'enculer de ta bite gluante. D'une main, tu empoignais ma hanche, l'autre a attrapé mes cheveux.
"Tu sais que j'aime que tu sois aussi vicieuse."
Évidemment, parce que tu me rends folle, je ne réfléchis plus, je fonce, soulevée par ce premier plaisir extraordinaire de ton injonction, celui d'être ta femelle à cet instant précis, avide de la fulgurante explosion que je pressens déjà, entre ces murs crades, sous ton imposante musculature, sous tes ahurissants coups de butoir, électrisée par ta voix douce d'où coulent des mots obscènes...
Ma jouissance dégoulinait dans mon pantalon à carreaux, large tache cachée plus tard sous mon manteau.
Tu sais ce que j'aime (aussi) avec toi ? Tes gémissements, tes grognements, mâle bruyant de son plaisir, et ton cri, à l'instant où ton foutre jaillit, un cri de soulagement qui évoque la souffrance d'une déchirure, d'un geyser brûlant, trop épais et trop abondant pour l'étroit passage... Ouhouuuu, mon hurlement de louve, en suspension pour surveiller le moment exact de ton tumulte.
Tu n'as pas cessé, ralenti ou accéléré ton pilonnage quand une présence a secoué la porte, ni étouffé ton chant de bête en pleine saillie. Tu as pris ton temps, je t'aime (aussi) pour ça.
Quand tu as joui, tu as serré mon cou pour plonger ton regard halluciné dans le mien, dans le miroir qui nous jetait aux visages notre danse brutale inversée.
"Serre les fesses, garde tout."
Des doigts, tu as purgé les dernières gouttes, dont tu as badigeonné ma bouche, avant de m'embrasser goulûment.
Les jeunes gens devant la porte ont souri quand notre couple désassorti a enfin cédé la place. Tu me tenais la main, fort.
Puis, laissant dans notre sillage le parfum capiteux de notre bonheur indécent, nous sommes retournés nous asseoir, indifférents aux regards amusés.
Mon cul poisseux collait à la banquette en skaï.
Sur la table, la 3ème bouteille nous attendait.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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C'est une belle déclaration !!