Partouze habituelle, avec ma femme

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
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Récit libertin : Partouze habituelle, avec ma femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2015 dans la catégorie Plus on est
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Partouze habituelle, avec ma femme
Ce matin, j’allais partir travailler quand ma femme me rappelle de ne pas rentrer trop tard. Nous avons rendez vous chez nous avec les Ramon. Je les avais oubliés ceux là. Pourtant nous passons toujours des moments très agréable avec eux. Ils arrivent toujours vers 20 heures. Il faut que je sois là vers 19 heures dernier carat si je veux me rendre potable: rasage, douche, changer de linge, selon ce que mettra Julie, ma femme. Avec elle je ne sais jamais sur quel pied danser. Je ne parais pas ainsi, il me tardez d’être à ce soir.
J’arrive à l’heure prévue. Ma femme me déshabille elle-même, elle me fait bander, la garce. Elle est aussi nue que moi pour aller prendre la douche. Si elle l’a déjà prise, c’est juste pour ne pas que je perde de temps. Nous entrons sous le jet: elle me lave elle-même en s’attardant aux endroit les plus stratégiques de mon anatomie. Je bandais tout à l’heure, je bande plus fort. Elle met le jet d’eau à hauteur de ma poitrine pour diriger le jet sur ma bite qu’elle tient dans sa main ouverte. Elle connait tous ce qu’une femme devrait connaitre. Elle n’attend pas longtemps le résultat: mon sperme jaillit sous le jet. Elle me donne le jet pour que je lui rende la politesse. Elle écarte les jambes et je met le jet très prêt de son sexe, en lui embrassant un sein. Elle jouit en moins de 5 minutes.
Nous sortons pour nous habiller. Elle a une mini jupes en jeans, un t-shirt pratiquement transparent: pour les Ramon, c’est même trop. Elle ne me donne qu’un pantalon en flanelle légère et un t-shirt comme le sien.
Je sais que les Ramon ne seront guère plus habillés que nous.
Julie me dit qu’aujourd’hui elle veux baiser avant tout le monde avec la femme Ramon, une belle fille rousse, Claire. Elle se donnera au mari Paul Ramon.
Elle prépare tout ce qu’il faut: quelques victuailles légères, du vin, des alcools, comme les autres fois. Elle a prévu également plusieurs godes, un pour chaque femme, un double pour les deux femmes qui aiment se les mettre soit dans le sexe, soit derrière. Elle a mis également des préservatifs particulier, non pas pour une protection quelconque: nous sommes clean tous. Ces préservatifs possèdent des picot sur la surface qui augment les jouissances féminine, particulièrement pour les sodomies.
En principe nous mangeons vite fait dans la cuisine, ensuite les réjouissances ont lieu soit dans le séjour soit dans les chambres ouvertes.
Enfin les Ramon entrent après avoir frapper à la porte. Nous nous serrons les mains avec chaleur Paul et moi. Les filles n’ont pas ces pudeurs, elles s’embrassent rapidement peut être, sur la bouche; C’est le même petit baiser que nous échangerons avec elles: elles sont après tout nos maitresses aussi.
Le repas se passe très vite. Les hommes boivent un peu de vin choisi dans ma cave: c’est-à-dire de mon crus. Les deux femmes entre deux baisers rapides boivent un peu d’alcool. Nous passons dans le séjour. C’est Julie qui attaque la première, elle est nue vite fait. Elle prend Claire dans ses bras et lui demande tout fort de baiser avec elle.
Habituellement elle veut toujours commencer par une bite dans sa chatte. Elle embrasse Claire sur la bouche, les langues sont déjà en jeu. Pendant ce baiser, sans attendre que sa compagne soit dévêtue, elle lui met la main sous la mini jupe pour arriver quelques secondes plus tard pile sur le point sensible. Nous voyions sous les déformations de la jupe quand Julie branle Claire. Elles se dirigent vers le divan et enfin Claire est nue. Physiquement elle peut être considérée comme la copie de ma femme, sauf qu’elle a des seins moins gros. Une fois assise, Claire peut enfin elle aussi passer ses doigts sur la clitoris de Julie. Avec Paul, nous les regardons, nous nous mettons bien en face des deux amantes. Je me mets nu avant que Paul en face autant. Nous ne nous regardons même pas: nous nous connaissant depuis tellement de temps que nous savons comment son faites nos bites. Paul l’a assez fine ( tout est relatif) et longue, moi, je l’ai un peu plus grosse que le sienne. Il est circoncis et moi pas. Cette circoncision le fait paraitre encore nu. Nous nous sommes branlés mutuellement une fois devant les filles parce qu’elle le demandaient avec insistance. Nous en gardons un bon souvenir sans plus.
Les deux femelles en chaleurs ne cessent de se faire du bien: après s’être branlées, elle se mettent maintenant les godemichés: elles se baisent comme si nous n’étions pas là Une fois une première jouissance avec les godes elles en changent pour le double. Claire la première entre le bout dans le con de ma femme avant de le mettre dans le sien. Elle le fait aller et venir de plus en plus vite. Julie cri son plaisir et Claire gémit au même moment. Elles ne se donnent même pas un instant de repos, maintenant elles sont en 69. Nous pouvons intervenir: leurs positions sur le coté nous permet d’aller loger nos bites dans les culs non de nos femme, mais dans celle de l’autre. J’avoue une préférence pour le cul de Claire: elle est plus serrée que Julie.
Heureusement que ma femme m’a fait jouir avec le jet de la douche: je suis plus long à avoir l’orgasme. Il en est de même pour Paul: il aime aussi le cul de ma femme parce qu’elle aime qu’une queue sont très longues dans son anus.
Nous jouissons tous presque en même temps.
Cette fois, changement de décor: directions les chambres au premier étages. Claire passe devant et Julie joue avec les fesses de notre amante. Elle arrive même à lui mettre un doigt au cul. Paul en fait autant à ma femme. Tous les deux disparaissent dans une chambre pour baiser seuls. Avec Claire, nous allons dans la chambre où nous couchons normalement avec ma femme. Claire prévoyante a pris un des gode simple. Nous nous embrassons longuement, nos langues semblent s’aimer en se battant dans nos bouches. Ce ne sont pas des baiser d’amour, simplement des baisers d’amants qui n’éprouvent qu’un seul sentiment: jouir. Nous savons que nos conjoint, dans la pièce à coté font comme nous.
En tout cas avec Claire, nous commençons à baiser vers 22 heures pour finir très tard. Tout y passe depuis une masturbation conjointe, très efficace. Elle jouit bien plus que moi, en nombre d’orgasme. Je lui fait ouvrir les cuisses: elle m’offre tout son con. Ma langue qui pourtant le connait bien a toujours des difficulté à se fixer: elle rode depuis son anus, où elle rentre un peu, entrainant une jouissance, jusqu’à son bouton: il me plait plutôt: juste un peu enfoncé avant que ma langue l’atteigne, il grossit vite sous ma langue. Je le lèche avec gourmandise. Et puis le goût de sa fente………. Je ne m’en lasse pas. Comme je sais, parce que ma femme me l’a dit Paul aime aussi son goût. Je ne me lasse pas de la faire jouir.
Enfin elle se donne. Elle m’attire avec ses mains tendues: je vais sur elle, entre ses jambes bien ouvertes. Quand je suis sur elle, elle n’attend même pas que je sois en elle, ses jambes sont déjà sur mes reins. Je suis à peine à l’entrée de son vagin. J’entre toujours lentement pour mieux profiter de la douceur de son con. Par contre, une fois en elle, je vais et viens. Elle gémit longuement, comme si elle jouissait. Quand ça lui arrive souvent elle serre son vagin autour de ma bite. Au bout d’un moment je la fait tourner sur le ventre. Je pose mon pubis contre ses fesses qu’elle écarte en mouillant soin son anus? J’entre dans ce cul serré où j’aime mettre ma bite. Je la lui met au fond le plus possible. Et là, elle recommence à gémir. Elle me dit souvent de ne pas arrêter, qu’elle adore quand je l’encule et une foule de mots sans suite. J’aime sentir son anus se resserrer à chaque orgasme. Elle me demande de lui mettre le gode dans le con pendant que je l’encule. Elle réclame depuis longtemps une double pénétration. Elle l’aura sans doute la prochaine fois.
Nous arrêtons notre baise vers 3 heures, soit pratiquement nos sexes emboités pendant 5 heures. Nous redescendons pour trouver nos conjoints encore nus. Ils s’embrassent: la main de Paul branle encore ma femme qui le lui rend bien. Nous changeons de cavalières pour retrouver nos légitimes qui s’embrassent une dernière fois. Nous prenons des nouvelles des plaisirs que nous avons eus. Nous devons être à égalité. C’est rare de voir des couples qui ont les même amant se féliciter des performance de l’époux ou épouses.
Pour la prochaine nous devons faire une partie carrée.
En attendant dès le lendemain matin nous baisons avec Julie. Elle me raconte en détail tout ce qu’elle a comme plaisir avec Paul, surtout quand il le lui a mise au cul.

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