PASSIF CHAUD III - histoire érotique

«Je vais revenir et je souhaite que tu me reçoives en femme» C'est la teneur du dernier mail de Tony. Pour resituer le contexte. Voila quelques semaines j'avais eu un contact avec ce mec 33 ans 1,70 mètre pour 60 kilos qui se disait passif et qui voulait se faire prendre. En fait j'avais été surpris de voir arriver un beur, typé mâle, brun, belle gueule d'ange super pecs et corps de rêve.
Très timide, et hyper pudique car on avait fait cela dans le noir quasi absolu. Tony c'est son pseudo est monté normal 16x4 mais elle est bien vigoureuse. J'avais kiffé et lui aussi au point ou nous avions ensuite inversés les rôles et qu'il m'avait gâté (Passif chaud I). Moi j'ai 50 ans, 1,74 mètre pour 92 kilos, plutôt banal , quand même bien conservé car on me dit souvent ne pas paraître mon age. Je suis essentiellement actif voir très actif car je suis plutôt bien pourvu 19x5 donc bien épaisse et cela ravi mes partenaires car elle est bien ferme, et je suis très endurant. J'ai pris goût à la fellation et ma bouche adore s'occuper d'une bonne teub, la téter et la faire gonfler. Et mes fesses adorent se faire ramoner aussi donc je suis désormais actif et passif ce qui ne gâte rien. Autant profiter de tous les bienfaits. J'avais revu Tony une seconde fois et là j'étais resté exclusivement passif (Passif chaud II) et j'avais pris un pieds d'enfer.
Après quelques semaines sans nouvelle à penser à ce que nous avions vécus. Son mail m'a plutôt excité. Enfin surtout l'idée de le revoir. Et j'avoue ne pas supporter les plans avec les trav. Mais l'idée de me retrouver transformée en femme m'a titillée. La perruque et le déguisement j'avais car il m'est arrivé de me travestir lors de soirées déguisées. J'ai donc répondu favorablement à sa demande. «Je veux que tu sois ma soumise sexy, maquillée, et je te baiserais à fond» indiquait-il.
Le moment est venu, j'ai revêtu une robe en strass des collants opaques, maquillé et perruqué en blonde platine. Je l'attends. La lumière est baissée un max car je sais qu'il le veut comme cela. Il est 22h45 et on sonne. J'ouvre et Tony est face à moi, il porte un jean qui lui colle bien à la peau, un pull gris et son blouson sombre avec la capuche remontée sur sa tête. Et sa belle petite gueule carrée avec sa barbe de trois jours qui me fait fondre. Il entre et je sens d'instinct ma queue comprimée dans mon string et coincée entre mes jambes qui grossit. Il ôte son blouson et je porte mes mains sur son torse au travers de son pull. Ses mains me tâtent le corps au travers de ma robe qui semble l'émoustiller. Ma main gauche caresse son sexe au travers du jean qui forme une belle bosse.
«A genoux et suces moi» me dit-il.
Je me plie et descend à hauteur de son sexe. Je palpe bien des deux mains pour le sentir tressaillir . Et j'ouvre le bouton de son jean puis fais glisser la fermeture éclair. Seul son boxer en coton noir avec une bande bleu ciel est le dernier rempart. Le jean lui collant à la peau je fais glisser le tout en tirant derrière son fessier. Sa queue apparaît, pas encore bien en forme, mais son sexe sombre rasé de prêt et circoncis m'attire. Ma langue commence à partir de sa base pour remonter jusqu'au gland. Tony se déshabille et son torse tablette de chocolat imberbe m'électrise. Ma bouche aspire son sexe pendant que mes mains caressent son corps. Puis il relève ma robe pour caresser mes jambes et atteindre mes fesses qu'il malaxe au travers de mon collant. Ma langue titille son gland, elle tourne tout autour, puis je m'enfonce son sexe en fond de gorge. Il ondule du bassin et prends plaisir car il pousse de petits murmures à chaque fois qu'elle cogne bien à fond. J'aspire et j'active ma succion. De temps à autre je viens gober ses boules et les lécher. L'odeur de son entrecuisse, et ce petit goût acre de sueur dû au frottement du jean me plaît particulièrement. J'aime cette odeur animale musquée. Et je lèche et j'enfourne comme une bonne salope à pleine bouche. De son coté il a baissé mon collant et caresse mon postérieur en insinuant ses doigts dans mon sillon.
«Viens» me dit-il. Il me redresse attrape une capote posée sur la table. Me courbe en deux pour que je lui présente mon cul, et me pousse le torse en avant sur cette table. Ça y est il va me baiser, je l'ai trop excité. Je prend le gel et m'enduit le conduit anal pendant qu'il déroule la capote sur sa verge. Et me voilà offerte à sa queue. Elle entre dés la première poussée. J'adore cette sensation de se faire remplir. Déjà Tony ondule en de petits va et vient pour prendre possession de mon boyau et pour me démontrer sa virilité. Il est fier de baiser sa femelle. Et moi je suis offert à ses coups de butoir. Il écarte bien les jambes dans mon dos et je sens ses burnes cognées sur les miennes. C'est divin.

Je n'ai pas le temps de réagir qu'il s'est assis sur une chaise et qu'il m'attire pour que je vienne m'empaler sur lui. Humm comme j'aime. Son sexe revient en moi et je m'active en entrant et ressortant le long de sa tige. Il chope ma bite qui est dure, car les mouvements de mon corps contre son corps me font bander un max. Il la branle, il adore tenir mon manche entre ses mains. Je sens que ça l'excite. Et je soupire de plaisir, je suis haletant de tant de bonnes choses. Je sens son souffle court dans mon cou. Ah tony comme tu es bandant et excitant,et quel bien tu me fais, tu ne peux pas savoir. Il doit se sentir monter car déjà il me fait relever.
«Allonges-toi maintenant», il aime mener la danse le garçon. Je vais m'allonger sur le lit. Puis il me demande de me mettre en levrette . Il se positionne derrière moi, j'ai auparavant remis du gel car je sentais une douleur arriver. Sa lime active de mon postérieur n'y est pas étrangère. Il regagne mon fourreau et le voilà reparti, et il vient cogner brusquement sa bite dans mes tréfonds pour me baiser à fond. Et j'aime, même si sa queue n'est pas gigantesque il sait s'en servir vachement bien, c'est tellement rare. Et en plus il est endurant aussi. A chaque poussée à fond il éructe comme pour me dire tiens prends ça ...et ça. Avec un petit grondement triomphal. Il ressort de mon antre et me fait mettre sur le rebord du lit. Se réintroduit en moi et vient se mettre debout dans mon dos. Il me baise par dessus en fait, et ça aussi ça me fait un effet top. Il attrape encore mon zgeg toujours bandé et il le triture, puis chope mes burnes qu'il roulent dans sa main gauche. La droite me plaquant l'épaule pour asseoir sa force et me maintenir à sa guise.
«J'aime trop ton cul, t'es ma soumise, hein? Dis le que tu es ma soumise»
«Oh Tony, oui, tu me fais trop de bien, je suis ta soumise, mon cul est à toi» je m'entends lui répondre.
Et il redouble en me baisant un max. Il s'agenouille derrière moi m'obligeant à rabaisser mes fesses et il me prends maintenant à genoux et ressert ses cuisses entre mon fessier. Je le sens bien,et mes mains parcourent ses cuisses velues que j'affectionne. Je le caresse et ça le fait redoubler d'ardeur. Il m'empale à fond, je suis effectivement soumis à sa queue et je pousse des soupirs de salope.
«Baises-moi Tony, oui c'est trop bon quand tu me niques à fond»

Soudain il se retire, ôte la capote et me dit: «suces ça va venir, je vais bientôt jouir». J'ai trop envie de son jus, j'ouvre la bouche avance ma langue et accueille sa queue vigoureuse dans ma bouche. Et j'aspire et ma langue tourne. Il s'active en se branlant en même temps mais là, je chasse ses mains et les miennes viennent triturer ses couilles pour l'une et branler la base pour l'autre. Un doigt de ma main qui triture ses boules, descend entre ses fesses et caresse son petit trou. Et là c'est l'apothéose, je le sens se raidir et son sexe durcit encore dans ma bouche, ma gorge sent sa semence couler et j'avale goulûment cet élixir au goût très particulier. Je maintiens encore quelques secondes son sexe dans ma bouche pour bien le nettoyer. Mais déjà il file vers la salle de bain. Je branle ma queue, mais j'en veux encore. J’attrape son boxer qui git à terre et le porte à mes narines. Son odeur virile est exaltante, ça sent l'animal et le tabac en même temps. Je me lève et le retrouve alors qu'il ressort de la salle de bain.
«oh Tony j'en veux encore, tu ne veux pas rester?» lui dis je. Ma main droite soupèse son sexe.
«Re suces moi, essayes» me dit il. Il se rallonge sur le lit , mes mains caressent tout son corps et ma bouche repart à l'assaut. Et voilà ma langue qui descends sur ses testicules, puis mes lèvres les mordillent. Ma bouche reprend son sexe flasque et repu en bouche, et je m'active un max.
«qu'est ce que tu suces bien ma petite salope» et il ferme les yeux, et j'aspire et je triture. Son sexe reprend un peu de vigueur. Cela dure un bon quart d'heure et je le sens qu'il n'est pas insensible lorsque je gloutonne son gland. Il me dit sans cesse: «continues, continues» Je le ferre le petit Tony, il va cracher à nouveau. Il siffle doucement, il redouble de «han ...hah..» Le moment est proche il se masturbe, j'avance ma langue juste à coté. Il revient buter et ré entrer son gland dans ma bouche, et il ondule et je gloutonne encore et là il pousse un cri un tout petit cri et il se repend à nouveau dans ma gorge. J'ai trop kiffé. Deux bonnes rasades en une soirée. Pour ma part je me branlerais seul après son départ. Il m'a trop chauffé. Il repart une heure trente après son arrivée. Comme j'ai aimé.
Merci Tony pour ce bonheur que tu viens de m'apporter.
Mon histoire comme toutes les autres publiées est véridique. Merci de vos commentaires