Patricia m'offre sa petite amie
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Patricia m'offre sa petite amie
On prend des éponges, un seau, et je l’aide à nettoyer notre orgie urinaire. On a encore envie de faire. Elle retire son string d’entre ses cuisses, le nettoie de sa bouche, enfonce ses doigts pour récupérer mon foutre et l’avaler. Elle va chercher une grande casserole, on pisse dedans.
Elle fait bouillir notre mélange pour le rendre sain, et déverse un bac de glaçons. Ca a le double avantage de rafraîchir et d’adoucir cette liqueur qui va nous servir d’apéritif et de boisson pour le repas. C’est peut-être bon pour la santé, c’est surtout bon pour le plaisir de vicieux comme nous.
On repense à nos dernières 24 heures, à nos baises insensées, et à ce plan pisse dont on rêvait chacun en secret et que l’on a enfin réalisé pour notre plus grand bonheur. On se promet de recommencer, à quatre si possible. Elle pense au vieux dégueulasse qui acceptera sans aucun doute, et moi à Joëlle que j’ai déjà un peu branchée sur le sujet.
Puis on en vient à Marie qui n’a fait que sucer hier. Elle me propose de l’appeler pour que je la prenne recto verso. Elle devra avouer son mensonge, sa fin d’après midi, sa nuit, mais tant pis.
Je l’entends parler à Marie, et lui dire ouvertement qu’elle veut nous voir baiser ensemble. Elle accepte et nous rejoint.
Elles se roulent une pelle, puis alors que j’hésite à lui faire la bise ou un petit baiser, elle se pend à mon cou et m’embrasse à pleine bouche. La salope, elle est en feu.
Patricia me propose de me mettre à l’aise sur le canapé, et elles vont à la chambre. Elles reviennent en bas et jarretelles avec chacune un joli gode en verre dont elle suce le bout, parfaite réplique d’un gland de 4 cm. Elles s’installent chacune sur un fauteuil, relèvent les jambes sur les accoudoirs et m’offrent une vue imprenable sur leur haricot magique. Elles commencent une très chaude séance de masturbation. Elles se caressent les lèvres et le bouton avec le gland, le lèche, s’introduise le gode entièrement, le suce, et recommence sans cesse avec des soupirs et gémissement qui me font triquer malgré ma fatigue :
- Ca te fait bander salaud, deux chiennes qui s’envoient en l’air. Regarde Marie comme elle ouverte, sa chatte implore ta queue. Je veux que son anus aussi te supplie, c’est une salope comme Joëlle et moi, bonne à prendre des queues par tous les trous.
Elle se lève et s’agenouille devant Marie. Elle la saisit par les hanches pour le ramener au bord du fauteuil et avoir mieux accès à son cul. Elle lui lèche la rondelle, la doigte, puis la taquine avec son gode. Peu à peu elle introduit le gland, et le petit anneau étroit et musclé se resserre sur le manche plus étroit. Elle prend le gode de Marie, et elles se lèvent. Je les suis dans la chambre, et reluque la belle petite avec le gode qui se balance entre ses miches.
Je m’allonge sur le lit, Marie me chevauche et je sens mon pieu absordé par son huître vorace. Elle se penche sur moi, et je la lime en douceur. Patricia s’amuse avec son gode anal. Elle lui enfonce dans le conduit, le retire, le suce, recommence à volonté.
Elle estime son fion prêt à me recevoir, et veux que je la défonce sans plus tarder par les deux trous. Marie se retire, est à quatre pattes au bord du lit, offerte, le gode enfouis dans le cul. Je la baise en levrette, puis retire son jouet et l’encule dans la même seconde, profond, jusqu’à la racine. Jamais ma queue n’a été aussi grosse, aussi dure. Elle va prendre la salope.
Patricia est sur le lit, et se pénètre avec les deux toys, un dans la chatte en permanence, le deuxième dans le cul, dans la bouche, et même dans la chatte pour un double vaginal.
Les trous de Marie sont une merveille. Super chauds, accueillants et étroits en même temps, huilés à la perfection de sa mouille et de ma salive dans son tube avant chaque nouvelle sodomie. Je passe d’un orifice à l’autre avec délice, et aimerais avoir deux bites.
Patricia se tortille comme un ver tellement elle se fait du bien. Elle est survoltée.
Marie n’en finit pas d’exprimer son plaisir, d’en demander encore.
Patricia veut que je la défonce, comme je l’ai fait avec elle le matin, sauf que je ne dois pas jouir en elle. Je me retire, et elle enfonce un joujou dans le cul de Marie qui s’allonge sur le lit, cuisses ouvertes, attendant sa saillie. J’ai la queue presque douloureuse tellement je bande.
Patricia ne résiste à l’envie de me sucer, et s’accorde quelques instant de gourmandise avec mon gourdin parfumé de son amie.
Je suis sur Marie, et la baise à fonds la caisse, dans l’espoir d’enfin jouir et débander. Patricia se gode la chatte ou le cul avec le toy restant et l’enfonce jusque dans la gorge de Marie à maintes reprises.
- Marie, ma chérie, j’aime te voir aussi salope, c’est un peu comme si je me regardais. Ca te plait trois bites en même temps. La prochaine fois qu’on fera une partouze comme hier, tu auras toutes les bites que tu veux, des vraies, bien juteuses………………….
Je pilonne toujours ma petite de plus en plus chaude et sens enfin venir l’explosion finale.
J’ai juste le temps de me retirer, me couche sur elle ma queue serrée entre nos ventres, et je libère des salves de semence jusqu’à me vider entièrement les burnes. Je reste quelques instants sur elle, que mon manche soit calme, et je me mets sur le dos à ses côtés.
Patricia nous demande de ne pas bouger, de la laisser faire. Elle commence alors un grand nettoyage :
-- ma queue qu’elle presse pour récupérer quelques gouttes.
-- la chatte de Marie et sa mouille abondante
-- le gode qu’elle retire de son cul et qu’elle turlutte avec faim
-- enfin mon sperme répandu un peu sur mon ventre, plus sur celui de Marie. Elle trempe le gland en verre dedans et le suce jusqu’à éliminer le plus gros, puis elle nous lèche jusqu’à la moindre trace.
C’est elle qui est maintenant sur le dos avec sa vulve dégoulinante, et on se partage sa liqueur avec Marie.
Je prend une douche, et m’habille. On prend un verre et je m’en vais avec promesse de se revoir. Elle ne se sont pas lavées, ni habillées, ayant l’intention de s’aimer dès mon départ.
Plus salopes tu meurs.
Elle fait bouillir notre mélange pour le rendre sain, et déverse un bac de glaçons. Ca a le double avantage de rafraîchir et d’adoucir cette liqueur qui va nous servir d’apéritif et de boisson pour le repas. C’est peut-être bon pour la santé, c’est surtout bon pour le plaisir de vicieux comme nous.
On repense à nos dernières 24 heures, à nos baises insensées, et à ce plan pisse dont on rêvait chacun en secret et que l’on a enfin réalisé pour notre plus grand bonheur. On se promet de recommencer, à quatre si possible. Elle pense au vieux dégueulasse qui acceptera sans aucun doute, et moi à Joëlle que j’ai déjà un peu branchée sur le sujet.
Puis on en vient à Marie qui n’a fait que sucer hier. Elle me propose de l’appeler pour que je la prenne recto verso. Elle devra avouer son mensonge, sa fin d’après midi, sa nuit, mais tant pis.
Je l’entends parler à Marie, et lui dire ouvertement qu’elle veut nous voir baiser ensemble. Elle accepte et nous rejoint.
Elles se roulent une pelle, puis alors que j’hésite à lui faire la bise ou un petit baiser, elle se pend à mon cou et m’embrasse à pleine bouche. La salope, elle est en feu.
Patricia me propose de me mettre à l’aise sur le canapé, et elles vont à la chambre. Elles reviennent en bas et jarretelles avec chacune un joli gode en verre dont elle suce le bout, parfaite réplique d’un gland de 4 cm. Elles s’installent chacune sur un fauteuil, relèvent les jambes sur les accoudoirs et m’offrent une vue imprenable sur leur haricot magique. Elles commencent une très chaude séance de masturbation. Elles se caressent les lèvres et le bouton avec le gland, le lèche, s’introduise le gode entièrement, le suce, et recommence sans cesse avec des soupirs et gémissement qui me font triquer malgré ma fatigue :
- Ca te fait bander salaud, deux chiennes qui s’envoient en l’air. Regarde Marie comme elle ouverte, sa chatte implore ta queue. Je veux que son anus aussi te supplie, c’est une salope comme Joëlle et moi, bonne à prendre des queues par tous les trous.
Elle se lève et s’agenouille devant Marie. Elle la saisit par les hanches pour le ramener au bord du fauteuil et avoir mieux accès à son cul. Elle lui lèche la rondelle, la doigte, puis la taquine avec son gode. Peu à peu elle introduit le gland, et le petit anneau étroit et musclé se resserre sur le manche plus étroit. Elle prend le gode de Marie, et elles se lèvent. Je les suis dans la chambre, et reluque la belle petite avec le gode qui se balance entre ses miches.
Je m’allonge sur le lit, Marie me chevauche et je sens mon pieu absordé par son huître vorace. Elle se penche sur moi, et je la lime en douceur. Patricia s’amuse avec son gode anal. Elle lui enfonce dans le conduit, le retire, le suce, recommence à volonté.
Elle estime son fion prêt à me recevoir, et veux que je la défonce sans plus tarder par les deux trous. Marie se retire, est à quatre pattes au bord du lit, offerte, le gode enfouis dans le cul. Je la baise en levrette, puis retire son jouet et l’encule dans la même seconde, profond, jusqu’à la racine. Jamais ma queue n’a été aussi grosse, aussi dure. Elle va prendre la salope.
Patricia est sur le lit, et se pénètre avec les deux toys, un dans la chatte en permanence, le deuxième dans le cul, dans la bouche, et même dans la chatte pour un double vaginal.
Les trous de Marie sont une merveille. Super chauds, accueillants et étroits en même temps, huilés à la perfection de sa mouille et de ma salive dans son tube avant chaque nouvelle sodomie. Je passe d’un orifice à l’autre avec délice, et aimerais avoir deux bites.
Patricia se tortille comme un ver tellement elle se fait du bien. Elle est survoltée.
Marie n’en finit pas d’exprimer son plaisir, d’en demander encore.
Patricia veut que je la défonce, comme je l’ai fait avec elle le matin, sauf que je ne dois pas jouir en elle. Je me retire, et elle enfonce un joujou dans le cul de Marie qui s’allonge sur le lit, cuisses ouvertes, attendant sa saillie. J’ai la queue presque douloureuse tellement je bande.
Patricia ne résiste à l’envie de me sucer, et s’accorde quelques instant de gourmandise avec mon gourdin parfumé de son amie.
Je suis sur Marie, et la baise à fonds la caisse, dans l’espoir d’enfin jouir et débander. Patricia se gode la chatte ou le cul avec le toy restant et l’enfonce jusque dans la gorge de Marie à maintes reprises.
- Marie, ma chérie, j’aime te voir aussi salope, c’est un peu comme si je me regardais. Ca te plait trois bites en même temps. La prochaine fois qu’on fera une partouze comme hier, tu auras toutes les bites que tu veux, des vraies, bien juteuses………………….
Je pilonne toujours ma petite de plus en plus chaude et sens enfin venir l’explosion finale.
J’ai juste le temps de me retirer, me couche sur elle ma queue serrée entre nos ventres, et je libère des salves de semence jusqu’à me vider entièrement les burnes. Je reste quelques instants sur elle, que mon manche soit calme, et je me mets sur le dos à ses côtés.
Patricia nous demande de ne pas bouger, de la laisser faire. Elle commence alors un grand nettoyage :
-- ma queue qu’elle presse pour récupérer quelques gouttes.
-- la chatte de Marie et sa mouille abondante
-- le gode qu’elle retire de son cul et qu’elle turlutte avec faim
-- enfin mon sperme répandu un peu sur mon ventre, plus sur celui de Marie. Elle trempe le gland en verre dedans et le suce jusqu’à éliminer le plus gros, puis elle nous lèche jusqu’à la moindre trace.
C’est elle qui est maintenant sur le dos avec sa vulve dégoulinante, et on se partage sa liqueur avec Marie.
Je prend une douche, et m’habille. On prend un verre et je m’en vais avec promesse de se revoir. Elle ne se sont pas lavées, ni habillées, ayant l’intention de s’aimer dès mon départ.
Plus salopes tu meurs.
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