Pauvre Valèrie
Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Pauvre Valèrie
De mes expériences dans l’époque glorieuse du minitel, une m’a beaucoup marqué. Mais vraiment c’était très étonnant, spécial et humainement pas facile.
Je devais assurer mes fonctions parfois la nuit ou le dimanche. Le travail n’étant pas constant, pallier a des dysfonctionnements ponctuels ou gérer des interventions lointaines ce n’est pas comme être sur une chaine de montage. J’avais des moments creux et libres qu’il fallait occuper. Avoir une région entière en responsabilité n’impliquait pas un flux continu de travail. Donc, soit on lit, on satisfait une passion ou l’on fait comme moi, le minitel el quête d’une bonne occasion pour une partie de jambes en l’air. Sois-je suis chanceux soit les autres ne savent pas y faire mais j’ai collectionné les contacts, les rencontres avec des femmes seules, des hommes ou des couples. Naturellement un contact n’est pas égal a une rencontre, on a des clowns, des timides, des dingues. Mais disons que la concrétisation était de 1 sur 5 a peu près et sans véritable mauvaises surprises. Quelques déconvenues mais en général je suis tombé sur des partenaires agréables.
J’échangeais depuis une ou deux semaines avec une certaine Valérie. J’aimais beaucoup sa répartie, son humour et elle semblait être une fille joyeuse et assumée. On avait glissé vers l’intime assez rapidement et en une semaine a peu près on s’échangeait nos téléphones pour parler de vive voix le clavier çà va deux minutes et le téléphone permet des échanges très érotiques. Certes ce n’est que de la masturbation a distance, mais entendre la partenaire gémir, se faire du bien alors qu’on se branle ce n’est pas si désagréable quand on travaille et qu’on est payé pour ça.
Valérie entretenait quelques mystères et malgré mon insistance la rencontrer semblait assez difficile. E t un soir j’ai sans doute trouvé les mots justes, qui l’ont touchée, aprés un long moment coquin où l’on avait pris notre pied a plusieurs reprises. Elle finit par me demander.
- Gilles, tu voudrais toujours qu’on se rencontre ?
- Mais bien sur cela fait un moment que je suis pour tu le sais bien mais tu évites le sujet. Dis-je
- Oui c’est vrai mais j’ai une bonne raison tu sais, j’ai peur de te décevoir, mais j ne peux pas t’expliquer çà au téléphone. Face à face je pourrais te faire comprendre ces choses. Et si tu es toujours intéressé par moi, on pourra alors concrétiser certaines envies que j’ai et celles que tu as. J’aimes nos moments ensembles de plus en plus et toi aussi car tu me rappelles. Tu veux bien me faire confiance ? Je sais que ça fait un peu mystérieux mais tu comprendras sans doute, tu es intelligent, sensible, très sensuel et je crois que tu es doué avec les femmes.
Sur ce, Valérie me donne son adresse et me propose de venir chez elle le samedi après-midi suivant. Je souscris à cette option. Je l’aurais au téléphone 2 fois avant notre rencontre et je la sentais impatiente et inquiète en même temps.
Et puis on verrait bien sur place le secret de Vaérie.
Le samedi donc me voici à l’adresse qu’elle m’a donné, immeuble classique, par HLM plutôt résidence. Je sonne interphone, une voie connue a priori enjouée heureuse de me voir arriver. Ascenseur, je suis sur le palier de la belle. Elle m’a dit porte de gauche. J’y suis petit coup de sonnette et la porte s’ouvre.
Surprise, une jolie blonde cheveux courts avec de jolis yeux verts (je savais tout çà) Elle n’avait pas menti très jolie, petit sourire gênée de me voir interloqué. En effet Valérie est installée dans un fauteuil roulant.
- Mauvaise surprise Gilles ?
- Non content de te rencontrer, mais c’est vrai surpris. Très surpris.
- Je ne pouvais me résoudre à te raconter çà au téléphone. Je préfère que tu me dises tchao au revoir, sincèrement je ne t’en voudrais pas je comprends, je n’ai pas eu le courage de dire mon état. Mais tu peux entrer on va parler je vais t’expliquer.
- Avant tout je peux t’embrasser, et t’offrir ce petit bouquet peut être ?
- Ho c’est gentil des roses, j’adore !!
- Je sais tu m’en avais parlé dans nos discussions, enfin la partie sérieuse. Dis-je
- Oh l’autre partie est aussi sérieuse et très agréable, même pour toi je crois. Dit Valérie
- En effet, sinon je ne serais pas là sans doute. Répondis-je
Et là mon pauvre tu déchante, une demi –femme, une infirme. Tu dois être déçu dit elle
- Déçu ? Non car tu es exactement comme tu me l’avais dit et là je peux affirmer très jolie et superbement maquillée et habillée.
Elle portait un chemisier en dentelle, au décolleté avenant une jupe longue noire qui cachait ses jambes
- Embrassons-nous donc et merci pour les fleurs et les compliments. Je ne suis pas déçu non plus, tu as bien décrit le personnage. Je te croyais moins grand, mais maintenant tout le monde me parait immense.
Je me penchais pour embrasser ses joues, doucement de la main elle remit ma tête face à elle et posa ses lèvres sur les miennes. Chaudes et tremblantes, ses yeux vert pâle paraissaient bruler d’un feu intense.
- Tes lèvres son douces, et ta barbe aussi, je me demandais en te voyant. Passant les doigs dans ma barbe elle la caressa. Oh j’y pense il y a des situations où çà doit chatouiller non ? Dit Valérie.
- En effet çà arrive. Dis-je
- Enfin après m’avoir vu tu penses sans doute à d’autres choses ? Non ?
- Pas du tout je pense aux mêmes choses que quand je suis arrivé devant ta porte. Affirmais-je
- Vraiment ? Tu es sincère ? Dit Valérie dont les yeux s’embuaient.
- Oui pourquoi je devrais penser autrement, m’arrêter au fait que tu a sans doute eu un accident sérieux ou une chose de ce genre. Cela ne change pas la femme que tu es. Qui m’a fait autant rire que rêver et même jouir.
- Jouir c’est surtout ta main non et moi mes doigts ou un jouet. Tu sais bien j’ai tout raconté. Dit Valérie. Maintenant vient on va parler, on verra peut-être après. Dit-elle.
- Allez parlons en jolie blonde. Raconte-moi tout si tu le souhaite mais ce n’est pas obligé si tu veux rester discrète sur çà je n’y vois pas d’inconvénient. Dis-je
- Tu es encore plus gentil face à face que tu ne l’es au téléphone. Vient dans le salon. Dit Valérie.
Elle me précéde dans un petit salon coquet avec un grand canapé de cuir couvert de grosses couvertures douillettes. Valérie sauta de son fauteuil au canapé avec agilité. Elle tapota la place près d’elle pour que je la rejoigne. J’ôtais mon blouson et m’assis à côté d’elle. Elle se rapprocha de moi et posa sa main sur mon genou.
- Tu permets, j’aimes le contact. Je suis tellement heureuse que tu sois venu et surtout que tu n’es pas disparu en me voyant dans ce fauteuil. Je te demande pardon de la tromperie, je suis incapable de dire la situation au clavier même au téléphone. Là je peux voir ton visage, pour moi ce n’est pas facile mais possible.
- Encore une fois ne te force pas à un aveu difficile. Je ne me sauverais pas promis.
- Si je tiens à t’expliquer. J’ai besoin de dire les choses que tu puisses me comprendre.
Valérie débuta son récit. Sportive elle aimait aller courir en campagne, elle prenait sa voiture sortait de la ville et courrait sur des chemins agricoles ou parfois en bordure de route. Elle courrait le long d’une route pour quelques centaines de mètres avant de reprendre un chemin sur le bas-côté quand une semi-remorque agricole arrivant sur la route du faire un écart pour éviter une voiture sortant d’un chemin. L’herbe mouillée la fit déraper et avec le déplacement d’air du camion se déplaçant assez rapidement. Elle chuta, ses jambes furent coincées dans le jumelage de roues et presque arrachées, au moins broyées. Elle avait perdu connaissance rapidement. Non sans avoir eu la sensation de douleur et de mort imminente.
Elle se réveillait à l’hôpital, plus de jambes au-dessous du genou sinon 2 moignons de 10 cm pas plus presque reconstruit dans l’espoir de lui fournir des prothèses. C’était arrivé il avait 10 mois. Une vie foutue en l’air, un compagnon courageux qui la quitte deux mois après l’accident. La pauvre Valérie tenait grâce aux aides et a ses parents qui assumaient les charges. Elle avait voulu garder son indépendance et son appartement. Elle devait vivre de toute façon. Et vivre ça voulait dire avoir des contacts, des rapports sexuels avec les hommes. Quand je l’avais rencontré sur Minitel elle affichait son désir de rapports sans lendemains, pour le plaisir et pas la recherche de l’amour ou un truc de ce genre.
Quand elle termina son histoire elle me regardait avec ses jolis yeux verts embués de larmes.
Je ne pouvais pas résister à l’envie d’essuyer cette larme, posant ma main sur sa joue et essuyant la goutte avec mon pouce. Elle posa ses doigts sur ma main et inclinant la tête soutenue pas ma main elle me sourit.
J’avoues que j’avais les larmes aux yeux de voir cette jolie femme, meurtrie et abandonnée me dévoiler son douloureux passé.
- Ne pleure pas surtout, je vois tes yeux qui brillent et tu as de jolis yeux vert sombre Tu me l’avais dit, mais ils sont plus beaux que je ne l’aurais pensé. dit Valérie
- Promis pas de larme, mais ton histoire me touche c’est horrible. Le pire c’est ton ami qui te laisse. Cela me met en rage.
- Tu sais il se retrouvait avec une demi-femme on peut comprendre. Tu vois il ne reste pas grand-chose dit-elle relevant sa longue jupe.
En effet elle me dévoilait deux cuisses assez jolies, des genoux qui avaient souffert et subit des opérations et deux moignons très courts.
Je ne suis pas atteint de sensiblerie mais cette vision me donna un petit frisson désagréable.
- Ma pauvre Valérie, c’est vraiment injuste ce qui t’arrive. Une si jolie femme. Mais je pense qu’ils vont pouvoir t’aider et trouver des solutions. La médecine est surprenante. Tu sais. Dis-je
- Oui bien sûr, ils espèrent pouvoir me remettre des jambes et pieds en prothèse, mais bien sur le footing c’est terminé. J’espère ne pas rester en fauteuil et pouvoir me trainer un peu debout. Dit-elle d'une voix monocorde se retenant visiblement de craquer et de pleurer.
- Je souhaite que cela se fasse en effet, ce ne sera pas facile sans doute mais tu devrais pouvoir être plus libre et autonome. Hélas tu n’es pas la seule à qui ces malheurs arrivent. Dis-je
- Oh je sais, mais tu vois maintenant pourquoi je ne t’ai rien dit. Je ne suis pas une femme qui peut faire envie a un homme. Pourtant mes envies mes désirs sont intacts. C’est dur tu sais. Dit-elle.
A la limite des pleurs elle baissa la tête avec un pâle sourire. Je la regardais, joli visage ovale, une bouche pulpeuse et sensuelle, un petit nez retroussé. Un maquillage parfait, ses cheveux blonds courts mais ondulés. Son chemiser en dentelle laisse voir une jolie poitrine, la dentelle laisse voir qu’elle n’a pas de soutient gorge et les aréoles roses sont discernables par les trous de la dentelle. Je trouve que Valérie est plutôt désirable faisant abstraction de ses jambes. Elle est meurtrie, broyée pas paralysée. En effet la surprise de la voir dans un fauteuil m’a déstabilisé. Mais je me remémore nos échanges sensuels et pornographiques de ces dernières semaines.
- J’imagine ma chérie dis-je
- Ma chérie ?
- Oui ma chérie, je t’ai donné d’autres sobriquets un peu plus crus dans nos échanges je pense tu te souviens ? Dis-je
- Oui tu m’as même appelée ma salope je crois, et j’ai adoré çà dit Valérie me regardant dans les yeux.
- Je n’ai pas changé d’avis tu sais en disant que j’aimerais bien me réveiller un matin à tes côtés. Dis-je
A ces mots Valérie se redressa et m’enlaça se rapprochant de moi, se collant a moi. Nos visages se touchaient, nez a nez ses bras autour de mon cou. Nos bouches se frôlaient.
- Embrasse-moi dit-elle haletante.
Pour toute réponse je l’enlaçais à mon tour, la pressant contre moi. Mes lèvres couvrirent les siennes, ma langue prit possession de cette bouche qu’elle m’offrait. Mon sexe durcissait rapidement. Notre baiser devenait passionné et profond. Dans mon esprit, le fauteuil, son état tout était effacé, je n’avais qu’un désir fort pour une jolie femme. Et même pas de la compassion, du désir, je sentais chez elle un désir intense, je répondais à ce désir, toutes les autres considérations s’effaçaient. Nous étions deux à la recherche du plaisir. Je répondais à ce désir.
Valérie fébrilement déboutonnait ma chemise, tandis que je faisais glisser son chemisier, dévoilant deux magnifiques seins ronds et lourds aux aréoles petites et d’un rose délicat, les tétons étaient durs dressés par le plaisir naissant. La fougue qu’elle montrait était le fruit de la frustration qui était la sienne. Lors de nos discussions elle m’avait avoué qu’elle n’avait pas fait l’amour autrement que seule depuis des mois. Depuis son accident. Elle avait satisfait ses désirs seule en se masturbant au téléphone avec moi et d’autres correspondants. J’étais le premier à la toucher depuis tout ce temps.
- Oh c’est bon de sentir des mains sur moi, tu ne peux pas imaginer. Dit Valérie
- Oh si à voir comment tu trembles je sens que ça te plait.
- Oh tu es adorable, mais ne te sens pas obligé si tu n’a pas envie de moi. Ajouta t elle
- Pas envie ? Tu n’a pas encore posé tes mains où il faut ma chérie, j’ai très envie de toi.
- Elle glissa ses mains sur mes cuisses, puis que mon entre cuisse.
- Oh mais tu bandes comme un fou, met toi à l’aise aide moi Gilles demanda Valérie
Je dégrafais ma ceinture et faisait tomber mon pantalon. Valérie semblait hypnotisée par mon sexe. Elle le regardait avec envie voire déférence. Mains tremblantes elle referma ses doigts sur ma queue me faisant frissonner.
- Oh quelle belle queue tu as, tu es si dur. Tu as tant envie de moi pour être dans cet état ? Questionna la belle femme qui était à mes côtés.
- Oui j’ai très envie de toi Valérie, tu es très jolie, depuis qu’on a commencé a jouer au téléphone j’ai envie de toi. Ce qui t’est arrivé ne change rien, je suis peiné pour toi mais ça ne m’empêche pas de te désirer d’avoir envie de te faire jouir. T’entendre jouir au téléphone me plaisait énormément, je me suis donné, tu m’as donné déjà beaucoup de plaisir. Je veux t’en donner maintenant, et te faire l’amour, je désire te posséder.
- Hummm quelle déclaration et je vois que c’est vrai, ton désir est dans mes mains, tu es dur et chaud. J’ai envie de te sucer, tu aimes ? Demanda Valérie.
- Ah si tu me prends par les sentiments, bien sûr que j’aimerais que tu me suces, j’en meurs d’envie vraiment. Tes mains sont douces. Oh c’est bon tes doigts.
Valérie se penchait sur mon sexe gonflé, sa bouche s’arrondit et elle goba mon gland, puis lentement elle prit mon sexe entier dans sa bouche. Sa langue cajolait ma bite tout le long de sa lente succion. Elle avala mon sexe entier, ses lévres posées sur mon pubis.
- Oh oui ma chérie, tu me suces bien comme çà, oui. Tu aimes çà le le sens. Ma queue au fond de ta gorge
A ces mots, Valérie descendit plus encore, enfonçant mon gland dans sa gorge. Je sentais les contractions de plus en plus fortes qu’imposait la présence de ma queue.
Elle me laissa sortir de sa bouche.
- Oh Gilles j’adore ton sexe, il est gros épais, tu es vraiment dur, mon ex ne bandait pas comme toi. Et toutes tes veines toutes gonflées c’est magnifique.
- Petite salope tu aimes bien sucer et tu es très douée. Tu es adorable. dis-je
- On serait mieux dans la chambre tu peux me porter jusque-là? Demandât elle.
- Oh mais oui ma chérie, viens tu es belle avec tes seins tout offerts.
- Je te plais vraiment alors ?
- Oui tu me plais beaucoup tu es une femme comme je les aime. Dis-je
- Toi tu es un amour, vraiment le premier homme qui est prévenant et n’est pas affolé par mon état. Et tu me porte jusqu’au lit, dit elle bécotant mes lèvres.
- Allez je veux te voir nue, je t’enlève tout çà c’est inutile.
Je dénudais Valérie qui se laissais faire avec les yeux brillants, le rouge au joues, et au-dessus de ses seins , sa gorge rougie montrait qu’elle était excitée. Je retirais sa petite culotte avec précaution, la passant pardessus ses moignons roses qui semblaient terriblement fragiles. Je caressais ses genoux et doucement le caressais ce qui restait de ses jambes. Je fus surpris quand je la vis pleurer.
- Ne pleure pas Valérie, tout va bien. Dis-je
- C’est plus fort que moi , tu viens de caresser ce qui me reste de jambes je ne pensais pas çà possible, ça me fait un effet dingue.
- Pardonne-moi si j’ai mal fait je suis désolé. Dis-je mal à l’aise.
- Oh non c’est bien, mais je ne pensais pas que l’on pourrait caresser ce qui reste de moi de cette façon. Renifla Valérie.
- Valérie, tu es une très jolie femme et sensuelle, douce tu mérites les caresses, toutes mes caresses. Tes malheurs ne sont pas un frein à mon désir. Je voudrais que çà ne soit pas arrivé, mais tu as fait naitre du désir . Tu sais je ne fais pas çà par pitié, je le fais car j’ai envie de toi.
Elle s’accrocha a moi, me serrant fort contre elle. Ses larmes coulaient contre ma poitrine. Elle sanglottais.sa joue conte mon téton, faisais naitre des ondes de plaisir en moi. Je la laissais exprimer ses sentiments. Je comprenais vraiment, son silence, le piège presque qu’elle avait tendu pour moi. Elle me raconta ensuite que plusieurs mecs étaient venus et n’étaient même pas entrés ou l’avaient traité de tous les noms. Un seul était entré et avait repris la porte après un baiser quand elle lui a montré ses jambes.
- Alors tu veux bien me faire l’amour ? A une infirme. Vraiment ?
- Valérie ne dis pas infirme comme ça, tu es meurtrie, blessée. Pourquoi cela devrait il m’arrêter. Tu es toi, ton corps est parfaitement désirable. Et je vois que ton désir est immense. Tu es tellement mouillée c’est magnifique.
- Tu aimes les femmes humides?
- J’adore.
- Là je suis mouillée comme jamais je ne l’ai été. J’ai tellement envie, te voir nu là près de moi. J’ai envie que tu me fasse l’amour, je vais redevenir une femme. Tu sais c’est important pour moi.
A cet instant j’avais du mal à ne pas craquer et à pleurer avec elle. J’ai tendance a masquer mes sentiments en général. Je donne l’impression d’être imperméable aux sentiments alors que c’est l’inverse je suis très sensible je ne le montre pas. Là je laissais transparaitre mon émotion, car je pensais qu’elle aurait besoin de ça, pour comprendre que si je lui faisais l’amour c’est par envie et non par pitié. Je mentirais si je n’admettais pas que la vision de ces jambes ravagées, détruites m’ont bouleversé.
Elle était adossée a son gros oreiller, je m’installais entre ses cuisses, sont sexe a peine ombrée par quelques poils. Ruisselait d’un mouille transparente, mais épaisse.
J’écartais les petites lèvres son vagin s’ouvrait en grand ciselé, rose tendre. Luisant dans la lumière . Elle sentait si bon, une odeur doucereuse , mais un peu épicée des touches de poivre et de piment. Son clitoris plutôt gros trônait au haut des petites lèvres, rond tendu luisant Il attirait ma langue. Je poignardais ce sexe profondément avec ma langue, je l’enfonçais au plus loin la fouillant. Le sexe de la femme est un objet sacré pour moi. Rien n’est plus beau a es yeux. Ils sont tous différents, leur odeur, leur gout est toujours nouveau. Dans ma tête des images, des sexe offerts, ouverts, béants parfois. J’ai eu des tas de femmes dans mon lit, toute ont succombé sous ma langue. Je ne peux faire l’amour a une femme qu’une fois que je l’ai fait jouir avec ma langue. C’est peut-être bête routinier. Mais la première fois je fais jouir ma partenaire avant de chercher à prendre du plaisir. Je n’agis pas comme çà avec un homme. C’est peut-être présomptueux, mais je me base sur ce que mes partenaires me disent. J’ai une langue peu commune et une façon de manger les minous qui est mémorable disent-elles. Ma femme actuelle et définitive à mon âge. A adoré ma langue depuis le premier jour, la femme de Gaston encore une Annie, souvent m’a accueilli, avec Gilles tu veux bien me lécher. Maryvone également m’a déjà accueilli en me faisant un baiser, puis se mettant dans un fauteuil, m’offrant son sexe en me disant chéri viens bouffe moi la chatte. Les hommes aussi aiment ma bouche, mais c’est plus puissant viril. Ayant tendance a être soumis avec les hommes. Je me fais souvent baiser la bouche.
La tête entre les cuisses de Valérie, je suis un homme heureux e peu de temps ma bouche est trempée comme mon nez et ma barbe est humide. Son sexe palpite et crache des flots de cyprine. Tremblante elle geint et crie quand ma langue tourne autour du clito qui gonfle a vue d’œil. Je le suçote lui tirant des cris elle s’agite les mains dans ma chevelure.
- Oh ouai putain c’est bon, oh lèches moi fort, ohh tes doigts !!!! Maman c’est bon !!!
Valérie se tortille sous mes coups de langues, elle se cambre quand je plonge mes doigts en elle, massant la zone striée sous mes doigts légèrement en arrière du méat urinaire. La plupart des femmes sont réceptive a cette caresse. Je ,e ma lâche pas, je sens que son plaisir est en train d’enfler, elle s’approche rapidement de l’orgasme. Son clito est hypersensible, je le ménage combinant ma langue et mes doigts elle devient folle. Et soudain elle se tétanise et son vagin semble vouloir macher mes doigts, convulsions, regain d’humidité dans ce con béant et suintant.
- OOOhhhhhhh chéri je jouis !!!! Je jouissssssss !!!
Elle me tire littéralement les oreilles comme pour faire entrer ma tête dans son sexe. Le sexe palpite, s’ouvre se referme sur mes doigts. Elle a lâché quelques gouttes par le méat . Si je continues ainsi elle finira par squirter a mon avis et va m’inonder totalement. Je ne sais pas comment elle réagira, mais elle est si excitée que çà devrait aller. Au lieu de la laisser souffler je continues de plus belle à la manger. Elle ne cherche pas a me stopper. Au contraire elle m’encourage. L’intérieur de ses cuisses et son entre fesse est trempé. La mouille et ma salive dégouline de ce sexe surchauffé. La pauvre chérie a une envie féroce de jouir a nouveau. De mon autre main je suis juste assez grand pour attraper son téton tout dur que je malaxe et qui la faut hululer , j’y vais assez fort. Elle me dira apprès que ses tétons sont endoloris mais elle est dans le plaisir. Il ne me faut pas longtemps pour l’amener au seuil de l’orgasme. Et là je joues longuement, ralentissant mes caresses cessant , stoppant reprenant. Je passe un bon quart d’heure a la tenir sur la ligne de crête refusant l’orgasme puis relançant son désir.
- Ohhhhh fais-moi jouir !!! Arrêtes pas encore oh c’est bon c’est bon !!!!! hurles Valérie.
- Dis-moi que tu es une petit pute dis-moi que tu es ma salope chérie demandais-je
- Ohhhh Gilles je suis ta salope, je suis une pute oghhh fais moi jouir encore !!!
Je ne peux m’empêcher de dominer ma partenaire, je m’applique a la faire jouir une fois encore. C’est assez dantesque elle a accumulé tant de désir que c’est une nouvelle explosion atomique. Valérie est moite de sueur, elle se débat cries hurle son plaisir agitant ses pauvres jambes et en jouissant elle lache 3 gros jets d’urine que je reçois sur le visage er dans ma bouche, j’aimes. Çà. Je remonte vers elle et l’embrasse le visage trempé elle passe outre m’embrasse et lèche mon visage. Je la regarde dans les yeux regard enfiévré. Les lévres tremblantes.
- Tu est belle ma chérie, tu est une jolie salope, une petite chienne en chaleur. Tu veux jouir encore ?
- Ohhhhhh ouiiii encore fais-moi jouir encore c’est tellement bon avec toi. Tu me rends dingue !!!!!
Je replonge entre ses cuisses, on perd la notion du temps je ne sais pas combien de temps passe mais elle jouit une troisième fois avec une violence inouïe. Pour ma part ma queue est dure comme du marbre mon gland est trempé, je coule doucement. Je suis tellement tendu que j’en ai mal, je suis incapable de recapoter mon gland. Je prends garde de ne pas me frotter au drap sinon je pourrais bien éjaculer, et je veux jouir en elle. Elle semble épuisée, mais elle me ragarde et me dit.
- Viens en moi viens me prendre je veux que tu jouisses aussi. Vite viens.
- Oui chérie, je viens, tu est belle, chaude, quelle salope tu est.
Oh oui pour toi je veux être ta salope, tu me fais tellement jouir !!! Dit Valérie tendant ses bras.
Je suis au seuil de son sexe. Elle me regarde avec une intensité incroyable. Son expression est tellement sensuelle que je crains de jouir trop vite. Mais j’ai de l’expérience et je la pénètre lentement, sans à-coups Son sexe est en folie et il malaxe ma queue. Les contractions sont puissantes, son sexe n’est pas très profond et j’ai du mal à y loger tout mon sexe.
- Oh il est gros je te sens fort en moi, oh c’est bon !!!! C'est bon !!!! Jamais on ne m’a fait çà... oh amour !! Quelle queue.
- Tu es chaude, bouillante, regarde tes seins sont gonflés tes tétons dressés tu es superbe ma chérie. dis-je
- Ohhhh jouis en moi remplis moi de ton jus ne te retiens pas rest en moi surtout je veux te sentir..
Elle va avoir ce qu’elle désire car tout ça m’a sérieusement excité et je dois me vider pour faire disparaître la douleur de ma queue endolorie par une érection qui dure depuis au moins 2 heures. Je fais découvrir a Valérie ma forte sensibilité des tétons elle s’applique à me les pincer les tordre . J’adore et rapidement elle fait monter la tempête en moi. Le fourmillement dans mon bas ventre enfle, grandit. Mes coups de reins se font plus forts, plus violents.
- Ohhh oui fort, plus fort baise moi fort Crie Valérie... Vas y mets moi tout !!!!
- Ohhhh oui salope !! Tiens tu me sens je te bourre
Et enfin je sens monter le sperme dans ma tige.. Je pousse un grand cri , plante mon sexe a fond, je tapes fort au font du vagin mes mains crispées sur ses seins. C’est tellement intense que je lui laisserais des bleus sur ses jolis seins.
-Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh je jouis !!!!!! Criais-je
- Ohhhh moi aussi hurles Valérie.. En lâchant un long squirt qui lui vide la vessie m’inonde et inonde le lit. Je donne des coups de reins jusqu’à la dernière giclée de sperme.
Je me laisse aller sur elle, bouche conte bouche je reste en elle longtemps la caressant, on s’embrasse se lèche la langue comme des gosses.
Valérie est comblée, moi aussi j’avais un tel désir que j’ai eu un plaisir fantastique. Et elle a eu me dit-elle un plaisir comme elle n’en avait jamais eu. Elle exagère sans doute. Moi je suis touché par cette femme, je sais que je la reverrais je ne peux pas la laisser comme çà. Elle a besoin d’amour, de câlins. Je serais celui qui l’aidera à passer ce mauvais cap je souhaite qu’elle trouve un gars qui ne se cassera pas quand elle aura des ennuis comme le salaud qui l’a abandonnée quelques semaines après son accident. J’aurais aimé pour au moins lui dire ce que je pensais de lui ou même lui casser la gueule.
Valérie est cramponnée a moi, chatte ronronnant elle récupère de ses orgasmes.
- Jamais je n’avais jouis autant de fois si rapprochés, tu es un magicien, ta langue c’est du velours. J’ai peur de me réveiller et d’avoir rêvé. Gilles tu reste dit? Tu dors là ce soir, on va commander une pizza.
- Si tu veux, et ensuite on referra l’amour, je vais changer les draps que tu a inondé.
- Oh j’ai honte !!! Mais c’était tellement fort !!
- Ce n’est pas ta faute j’ai tout fait pour que çà arrive. Et je changerais encore les draps pour la nuit ma chérie. Tu va encore jouir très fort.
Le lendemain je m’éveillais a ses côté et nous avons fait l’amour tout le dimanche.
Je voyais Valérie 2 a 3 fois par mois. Passant notre temps nu à faire l’amour de façon débridée.
Ou quand elle m’appelait en manque de câlins, je répondais présent la plupart du temps car j’aimes sa compagnie. Puis elle a fini par retrouver un compagnon, pour autant on ne s'est pas perdus de vue. J’avais initié Valérie aux jeux a plusieurs, elle m’avait accompagnée chez mes chers amis Gaston et Annie, seule avec moi et plus tard avec son compagnon. Avec ma femme actuelle aussi nous avons fait pas mal de soirées avec elle.
Il y a longtemps qu’on n'a pas fait de galipettes mais je l’aii au téléphone de temps en temps. Je lui ai même demandé son accord pour écrire ce texte, et elle pourra lire les textes du site.
Je devais assurer mes fonctions parfois la nuit ou le dimanche. Le travail n’étant pas constant, pallier a des dysfonctionnements ponctuels ou gérer des interventions lointaines ce n’est pas comme être sur une chaine de montage. J’avais des moments creux et libres qu’il fallait occuper. Avoir une région entière en responsabilité n’impliquait pas un flux continu de travail. Donc, soit on lit, on satisfait une passion ou l’on fait comme moi, le minitel el quête d’une bonne occasion pour une partie de jambes en l’air. Sois-je suis chanceux soit les autres ne savent pas y faire mais j’ai collectionné les contacts, les rencontres avec des femmes seules, des hommes ou des couples. Naturellement un contact n’est pas égal a une rencontre, on a des clowns, des timides, des dingues. Mais disons que la concrétisation était de 1 sur 5 a peu près et sans véritable mauvaises surprises. Quelques déconvenues mais en général je suis tombé sur des partenaires agréables.
J’échangeais depuis une ou deux semaines avec une certaine Valérie. J’aimais beaucoup sa répartie, son humour et elle semblait être une fille joyeuse et assumée. On avait glissé vers l’intime assez rapidement et en une semaine a peu près on s’échangeait nos téléphones pour parler de vive voix le clavier çà va deux minutes et le téléphone permet des échanges très érotiques. Certes ce n’est que de la masturbation a distance, mais entendre la partenaire gémir, se faire du bien alors qu’on se branle ce n’est pas si désagréable quand on travaille et qu’on est payé pour ça.
Valérie entretenait quelques mystères et malgré mon insistance la rencontrer semblait assez difficile. E t un soir j’ai sans doute trouvé les mots justes, qui l’ont touchée, aprés un long moment coquin où l’on avait pris notre pied a plusieurs reprises. Elle finit par me demander.
- Gilles, tu voudrais toujours qu’on se rencontre ?
- Mais bien sur cela fait un moment que je suis pour tu le sais bien mais tu évites le sujet. Dis-je
- Oui c’est vrai mais j’ai une bonne raison tu sais, j’ai peur de te décevoir, mais j ne peux pas t’expliquer çà au téléphone. Face à face je pourrais te faire comprendre ces choses. Et si tu es toujours intéressé par moi, on pourra alors concrétiser certaines envies que j’ai et celles que tu as. J’aimes nos moments ensembles de plus en plus et toi aussi car tu me rappelles. Tu veux bien me faire confiance ? Je sais que ça fait un peu mystérieux mais tu comprendras sans doute, tu es intelligent, sensible, très sensuel et je crois que tu es doué avec les femmes.
Sur ce, Valérie me donne son adresse et me propose de venir chez elle le samedi après-midi suivant. Je souscris à cette option. Je l’aurais au téléphone 2 fois avant notre rencontre et je la sentais impatiente et inquiète en même temps.
Et puis on verrait bien sur place le secret de Vaérie.
Le samedi donc me voici à l’adresse qu’elle m’a donné, immeuble classique, par HLM plutôt résidence. Je sonne interphone, une voie connue a priori enjouée heureuse de me voir arriver. Ascenseur, je suis sur le palier de la belle. Elle m’a dit porte de gauche. J’y suis petit coup de sonnette et la porte s’ouvre.
Surprise, une jolie blonde cheveux courts avec de jolis yeux verts (je savais tout çà) Elle n’avait pas menti très jolie, petit sourire gênée de me voir interloqué. En effet Valérie est installée dans un fauteuil roulant.
- Mauvaise surprise Gilles ?
- Non content de te rencontrer, mais c’est vrai surpris. Très surpris.
- Je ne pouvais me résoudre à te raconter çà au téléphone. Je préfère que tu me dises tchao au revoir, sincèrement je ne t’en voudrais pas je comprends, je n’ai pas eu le courage de dire mon état. Mais tu peux entrer on va parler je vais t’expliquer.
- Avant tout je peux t’embrasser, et t’offrir ce petit bouquet peut être ?
- Ho c’est gentil des roses, j’adore !!
- Je sais tu m’en avais parlé dans nos discussions, enfin la partie sérieuse. Dis-je
- Oh l’autre partie est aussi sérieuse et très agréable, même pour toi je crois. Dit Valérie
- En effet, sinon je ne serais pas là sans doute. Répondis-je
Et là mon pauvre tu déchante, une demi –femme, une infirme. Tu dois être déçu dit elle
- Déçu ? Non car tu es exactement comme tu me l’avais dit et là je peux affirmer très jolie et superbement maquillée et habillée.
Elle portait un chemisier en dentelle, au décolleté avenant une jupe longue noire qui cachait ses jambes
- Embrassons-nous donc et merci pour les fleurs et les compliments. Je ne suis pas déçu non plus, tu as bien décrit le personnage. Je te croyais moins grand, mais maintenant tout le monde me parait immense.
Je me penchais pour embrasser ses joues, doucement de la main elle remit ma tête face à elle et posa ses lèvres sur les miennes. Chaudes et tremblantes, ses yeux vert pâle paraissaient bruler d’un feu intense.
- Tes lèvres son douces, et ta barbe aussi, je me demandais en te voyant. Passant les doigs dans ma barbe elle la caressa. Oh j’y pense il y a des situations où çà doit chatouiller non ? Dit Valérie.
- En effet çà arrive. Dis-je
- Enfin après m’avoir vu tu penses sans doute à d’autres choses ? Non ?
- Pas du tout je pense aux mêmes choses que quand je suis arrivé devant ta porte. Affirmais-je
- Vraiment ? Tu es sincère ? Dit Valérie dont les yeux s’embuaient.
- Oui pourquoi je devrais penser autrement, m’arrêter au fait que tu a sans doute eu un accident sérieux ou une chose de ce genre. Cela ne change pas la femme que tu es. Qui m’a fait autant rire que rêver et même jouir.
- Jouir c’est surtout ta main non et moi mes doigts ou un jouet. Tu sais bien j’ai tout raconté. Dit Valérie. Maintenant vient on va parler, on verra peut-être après. Dit-elle.
- Allez parlons en jolie blonde. Raconte-moi tout si tu le souhaite mais ce n’est pas obligé si tu veux rester discrète sur çà je n’y vois pas d’inconvénient. Dis-je
- Tu es encore plus gentil face à face que tu ne l’es au téléphone. Vient dans le salon. Dit Valérie.
Elle me précéde dans un petit salon coquet avec un grand canapé de cuir couvert de grosses couvertures douillettes. Valérie sauta de son fauteuil au canapé avec agilité. Elle tapota la place près d’elle pour que je la rejoigne. J’ôtais mon blouson et m’assis à côté d’elle. Elle se rapprocha de moi et posa sa main sur mon genou.
- Tu permets, j’aimes le contact. Je suis tellement heureuse que tu sois venu et surtout que tu n’es pas disparu en me voyant dans ce fauteuil. Je te demande pardon de la tromperie, je suis incapable de dire la situation au clavier même au téléphone. Là je peux voir ton visage, pour moi ce n’est pas facile mais possible.
- Encore une fois ne te force pas à un aveu difficile. Je ne me sauverais pas promis.
- Si je tiens à t’expliquer. J’ai besoin de dire les choses que tu puisses me comprendre.
Valérie débuta son récit. Sportive elle aimait aller courir en campagne, elle prenait sa voiture sortait de la ville et courrait sur des chemins agricoles ou parfois en bordure de route. Elle courrait le long d’une route pour quelques centaines de mètres avant de reprendre un chemin sur le bas-côté quand une semi-remorque agricole arrivant sur la route du faire un écart pour éviter une voiture sortant d’un chemin. L’herbe mouillée la fit déraper et avec le déplacement d’air du camion se déplaçant assez rapidement. Elle chuta, ses jambes furent coincées dans le jumelage de roues et presque arrachées, au moins broyées. Elle avait perdu connaissance rapidement. Non sans avoir eu la sensation de douleur et de mort imminente.
Elle se réveillait à l’hôpital, plus de jambes au-dessous du genou sinon 2 moignons de 10 cm pas plus presque reconstruit dans l’espoir de lui fournir des prothèses. C’était arrivé il avait 10 mois. Une vie foutue en l’air, un compagnon courageux qui la quitte deux mois après l’accident. La pauvre Valérie tenait grâce aux aides et a ses parents qui assumaient les charges. Elle avait voulu garder son indépendance et son appartement. Elle devait vivre de toute façon. Et vivre ça voulait dire avoir des contacts, des rapports sexuels avec les hommes. Quand je l’avais rencontré sur Minitel elle affichait son désir de rapports sans lendemains, pour le plaisir et pas la recherche de l’amour ou un truc de ce genre.
Quand elle termina son histoire elle me regardait avec ses jolis yeux verts embués de larmes.
Je ne pouvais pas résister à l’envie d’essuyer cette larme, posant ma main sur sa joue et essuyant la goutte avec mon pouce. Elle posa ses doigts sur ma main et inclinant la tête soutenue pas ma main elle me sourit.
J’avoues que j’avais les larmes aux yeux de voir cette jolie femme, meurtrie et abandonnée me dévoiler son douloureux passé.
- Ne pleure pas surtout, je vois tes yeux qui brillent et tu as de jolis yeux vert sombre Tu me l’avais dit, mais ils sont plus beaux que je ne l’aurais pensé. dit Valérie
- Promis pas de larme, mais ton histoire me touche c’est horrible. Le pire c’est ton ami qui te laisse. Cela me met en rage.
- Tu sais il se retrouvait avec une demi-femme on peut comprendre. Tu vois il ne reste pas grand-chose dit-elle relevant sa longue jupe.
En effet elle me dévoilait deux cuisses assez jolies, des genoux qui avaient souffert et subit des opérations et deux moignons très courts.
Je ne suis pas atteint de sensiblerie mais cette vision me donna un petit frisson désagréable.
- Ma pauvre Valérie, c’est vraiment injuste ce qui t’arrive. Une si jolie femme. Mais je pense qu’ils vont pouvoir t’aider et trouver des solutions. La médecine est surprenante. Tu sais. Dis-je
- Oui bien sûr, ils espèrent pouvoir me remettre des jambes et pieds en prothèse, mais bien sur le footing c’est terminé. J’espère ne pas rester en fauteuil et pouvoir me trainer un peu debout. Dit-elle d'une voix monocorde se retenant visiblement de craquer et de pleurer.
- Je souhaite que cela se fasse en effet, ce ne sera pas facile sans doute mais tu devrais pouvoir être plus libre et autonome. Hélas tu n’es pas la seule à qui ces malheurs arrivent. Dis-je
- Oh je sais, mais tu vois maintenant pourquoi je ne t’ai rien dit. Je ne suis pas une femme qui peut faire envie a un homme. Pourtant mes envies mes désirs sont intacts. C’est dur tu sais. Dit-elle.
A la limite des pleurs elle baissa la tête avec un pâle sourire. Je la regardais, joli visage ovale, une bouche pulpeuse et sensuelle, un petit nez retroussé. Un maquillage parfait, ses cheveux blonds courts mais ondulés. Son chemiser en dentelle laisse voir une jolie poitrine, la dentelle laisse voir qu’elle n’a pas de soutient gorge et les aréoles roses sont discernables par les trous de la dentelle. Je trouve que Valérie est plutôt désirable faisant abstraction de ses jambes. Elle est meurtrie, broyée pas paralysée. En effet la surprise de la voir dans un fauteuil m’a déstabilisé. Mais je me remémore nos échanges sensuels et pornographiques de ces dernières semaines.
- J’imagine ma chérie dis-je
- Ma chérie ?
- Oui ma chérie, je t’ai donné d’autres sobriquets un peu plus crus dans nos échanges je pense tu te souviens ? Dis-je
- Oui tu m’as même appelée ma salope je crois, et j’ai adoré çà dit Valérie me regardant dans les yeux.
- Je n’ai pas changé d’avis tu sais en disant que j’aimerais bien me réveiller un matin à tes côtés. Dis-je
A ces mots Valérie se redressa et m’enlaça se rapprochant de moi, se collant a moi. Nos visages se touchaient, nez a nez ses bras autour de mon cou. Nos bouches se frôlaient.
- Embrasse-moi dit-elle haletante.
Pour toute réponse je l’enlaçais à mon tour, la pressant contre moi. Mes lèvres couvrirent les siennes, ma langue prit possession de cette bouche qu’elle m’offrait. Mon sexe durcissait rapidement. Notre baiser devenait passionné et profond. Dans mon esprit, le fauteuil, son état tout était effacé, je n’avais qu’un désir fort pour une jolie femme. Et même pas de la compassion, du désir, je sentais chez elle un désir intense, je répondais à ce désir, toutes les autres considérations s’effaçaient. Nous étions deux à la recherche du plaisir. Je répondais à ce désir.
Valérie fébrilement déboutonnait ma chemise, tandis que je faisais glisser son chemisier, dévoilant deux magnifiques seins ronds et lourds aux aréoles petites et d’un rose délicat, les tétons étaient durs dressés par le plaisir naissant. La fougue qu’elle montrait était le fruit de la frustration qui était la sienne. Lors de nos discussions elle m’avait avoué qu’elle n’avait pas fait l’amour autrement que seule depuis des mois. Depuis son accident. Elle avait satisfait ses désirs seule en se masturbant au téléphone avec moi et d’autres correspondants. J’étais le premier à la toucher depuis tout ce temps.
- Oh c’est bon de sentir des mains sur moi, tu ne peux pas imaginer. Dit Valérie
- Oh si à voir comment tu trembles je sens que ça te plait.
- Oh tu es adorable, mais ne te sens pas obligé si tu n’a pas envie de moi. Ajouta t elle
- Pas envie ? Tu n’a pas encore posé tes mains où il faut ma chérie, j’ai très envie de toi.
- Elle glissa ses mains sur mes cuisses, puis que mon entre cuisse.
- Oh mais tu bandes comme un fou, met toi à l’aise aide moi Gilles demanda Valérie
Je dégrafais ma ceinture et faisait tomber mon pantalon. Valérie semblait hypnotisée par mon sexe. Elle le regardait avec envie voire déférence. Mains tremblantes elle referma ses doigts sur ma queue me faisant frissonner.
- Oh quelle belle queue tu as, tu es si dur. Tu as tant envie de moi pour être dans cet état ? Questionna la belle femme qui était à mes côtés.
- Oui j’ai très envie de toi Valérie, tu es très jolie, depuis qu’on a commencé a jouer au téléphone j’ai envie de toi. Ce qui t’est arrivé ne change rien, je suis peiné pour toi mais ça ne m’empêche pas de te désirer d’avoir envie de te faire jouir. T’entendre jouir au téléphone me plaisait énormément, je me suis donné, tu m’as donné déjà beaucoup de plaisir. Je veux t’en donner maintenant, et te faire l’amour, je désire te posséder.
- Hummm quelle déclaration et je vois que c’est vrai, ton désir est dans mes mains, tu es dur et chaud. J’ai envie de te sucer, tu aimes ? Demanda Valérie.
- Ah si tu me prends par les sentiments, bien sûr que j’aimerais que tu me suces, j’en meurs d’envie vraiment. Tes mains sont douces. Oh c’est bon tes doigts.
Valérie se penchait sur mon sexe gonflé, sa bouche s’arrondit et elle goba mon gland, puis lentement elle prit mon sexe entier dans sa bouche. Sa langue cajolait ma bite tout le long de sa lente succion. Elle avala mon sexe entier, ses lévres posées sur mon pubis.
- Oh oui ma chérie, tu me suces bien comme çà, oui. Tu aimes çà le le sens. Ma queue au fond de ta gorge
A ces mots, Valérie descendit plus encore, enfonçant mon gland dans sa gorge. Je sentais les contractions de plus en plus fortes qu’imposait la présence de ma queue.
Elle me laissa sortir de sa bouche.
- Oh Gilles j’adore ton sexe, il est gros épais, tu es vraiment dur, mon ex ne bandait pas comme toi. Et toutes tes veines toutes gonflées c’est magnifique.
- Petite salope tu aimes bien sucer et tu es très douée. Tu es adorable. dis-je
- On serait mieux dans la chambre tu peux me porter jusque-là? Demandât elle.
- Oh mais oui ma chérie, viens tu es belle avec tes seins tout offerts.
- Je te plais vraiment alors ?
- Oui tu me plais beaucoup tu es une femme comme je les aime. Dis-je
- Toi tu es un amour, vraiment le premier homme qui est prévenant et n’est pas affolé par mon état. Et tu me porte jusqu’au lit, dit elle bécotant mes lèvres.
- Allez je veux te voir nue, je t’enlève tout çà c’est inutile.
Je dénudais Valérie qui se laissais faire avec les yeux brillants, le rouge au joues, et au-dessus de ses seins , sa gorge rougie montrait qu’elle était excitée. Je retirais sa petite culotte avec précaution, la passant pardessus ses moignons roses qui semblaient terriblement fragiles. Je caressais ses genoux et doucement le caressais ce qui restait de ses jambes. Je fus surpris quand je la vis pleurer.
- Ne pleure pas Valérie, tout va bien. Dis-je
- C’est plus fort que moi , tu viens de caresser ce qui me reste de jambes je ne pensais pas çà possible, ça me fait un effet dingue.
- Pardonne-moi si j’ai mal fait je suis désolé. Dis-je mal à l’aise.
- Oh non c’est bien, mais je ne pensais pas que l’on pourrait caresser ce qui reste de moi de cette façon. Renifla Valérie.
- Valérie, tu es une très jolie femme et sensuelle, douce tu mérites les caresses, toutes mes caresses. Tes malheurs ne sont pas un frein à mon désir. Je voudrais que çà ne soit pas arrivé, mais tu as fait naitre du désir . Tu sais je ne fais pas çà par pitié, je le fais car j’ai envie de toi.
Elle s’accrocha a moi, me serrant fort contre elle. Ses larmes coulaient contre ma poitrine. Elle sanglottais.sa joue conte mon téton, faisais naitre des ondes de plaisir en moi. Je la laissais exprimer ses sentiments. Je comprenais vraiment, son silence, le piège presque qu’elle avait tendu pour moi. Elle me raconta ensuite que plusieurs mecs étaient venus et n’étaient même pas entrés ou l’avaient traité de tous les noms. Un seul était entré et avait repris la porte après un baiser quand elle lui a montré ses jambes.
- Alors tu veux bien me faire l’amour ? A une infirme. Vraiment ?
- Valérie ne dis pas infirme comme ça, tu es meurtrie, blessée. Pourquoi cela devrait il m’arrêter. Tu es toi, ton corps est parfaitement désirable. Et je vois que ton désir est immense. Tu es tellement mouillée c’est magnifique.
- Tu aimes les femmes humides?
- J’adore.
- Là je suis mouillée comme jamais je ne l’ai été. J’ai tellement envie, te voir nu là près de moi. J’ai envie que tu me fasse l’amour, je vais redevenir une femme. Tu sais c’est important pour moi.
A cet instant j’avais du mal à ne pas craquer et à pleurer avec elle. J’ai tendance a masquer mes sentiments en général. Je donne l’impression d’être imperméable aux sentiments alors que c’est l’inverse je suis très sensible je ne le montre pas. Là je laissais transparaitre mon émotion, car je pensais qu’elle aurait besoin de ça, pour comprendre que si je lui faisais l’amour c’est par envie et non par pitié. Je mentirais si je n’admettais pas que la vision de ces jambes ravagées, détruites m’ont bouleversé.
Elle était adossée a son gros oreiller, je m’installais entre ses cuisses, sont sexe a peine ombrée par quelques poils. Ruisselait d’un mouille transparente, mais épaisse.
J’écartais les petites lèvres son vagin s’ouvrait en grand ciselé, rose tendre. Luisant dans la lumière . Elle sentait si bon, une odeur doucereuse , mais un peu épicée des touches de poivre et de piment. Son clitoris plutôt gros trônait au haut des petites lèvres, rond tendu luisant Il attirait ma langue. Je poignardais ce sexe profondément avec ma langue, je l’enfonçais au plus loin la fouillant. Le sexe de la femme est un objet sacré pour moi. Rien n’est plus beau a es yeux. Ils sont tous différents, leur odeur, leur gout est toujours nouveau. Dans ma tête des images, des sexe offerts, ouverts, béants parfois. J’ai eu des tas de femmes dans mon lit, toute ont succombé sous ma langue. Je ne peux faire l’amour a une femme qu’une fois que je l’ai fait jouir avec ma langue. C’est peut-être bête routinier. Mais la première fois je fais jouir ma partenaire avant de chercher à prendre du plaisir. Je n’agis pas comme çà avec un homme. C’est peut-être présomptueux, mais je me base sur ce que mes partenaires me disent. J’ai une langue peu commune et une façon de manger les minous qui est mémorable disent-elles. Ma femme actuelle et définitive à mon âge. A adoré ma langue depuis le premier jour, la femme de Gaston encore une Annie, souvent m’a accueilli, avec Gilles tu veux bien me lécher. Maryvone également m’a déjà accueilli en me faisant un baiser, puis se mettant dans un fauteuil, m’offrant son sexe en me disant chéri viens bouffe moi la chatte. Les hommes aussi aiment ma bouche, mais c’est plus puissant viril. Ayant tendance a être soumis avec les hommes. Je me fais souvent baiser la bouche.
La tête entre les cuisses de Valérie, je suis un homme heureux e peu de temps ma bouche est trempée comme mon nez et ma barbe est humide. Son sexe palpite et crache des flots de cyprine. Tremblante elle geint et crie quand ma langue tourne autour du clito qui gonfle a vue d’œil. Je le suçote lui tirant des cris elle s’agite les mains dans ma chevelure.
- Oh ouai putain c’est bon, oh lèches moi fort, ohh tes doigts !!!! Maman c’est bon !!!
Valérie se tortille sous mes coups de langues, elle se cambre quand je plonge mes doigts en elle, massant la zone striée sous mes doigts légèrement en arrière du méat urinaire. La plupart des femmes sont réceptive a cette caresse. Je ,e ma lâche pas, je sens que son plaisir est en train d’enfler, elle s’approche rapidement de l’orgasme. Son clito est hypersensible, je le ménage combinant ma langue et mes doigts elle devient folle. Et soudain elle se tétanise et son vagin semble vouloir macher mes doigts, convulsions, regain d’humidité dans ce con béant et suintant.
- OOOhhhhhhh chéri je jouis !!!! Je jouissssssss !!!
Elle me tire littéralement les oreilles comme pour faire entrer ma tête dans son sexe. Le sexe palpite, s’ouvre se referme sur mes doigts. Elle a lâché quelques gouttes par le méat . Si je continues ainsi elle finira par squirter a mon avis et va m’inonder totalement. Je ne sais pas comment elle réagira, mais elle est si excitée que çà devrait aller. Au lieu de la laisser souffler je continues de plus belle à la manger. Elle ne cherche pas a me stopper. Au contraire elle m’encourage. L’intérieur de ses cuisses et son entre fesse est trempé. La mouille et ma salive dégouline de ce sexe surchauffé. La pauvre chérie a une envie féroce de jouir a nouveau. De mon autre main je suis juste assez grand pour attraper son téton tout dur que je malaxe et qui la faut hululer , j’y vais assez fort. Elle me dira apprès que ses tétons sont endoloris mais elle est dans le plaisir. Il ne me faut pas longtemps pour l’amener au seuil de l’orgasme. Et là je joues longuement, ralentissant mes caresses cessant , stoppant reprenant. Je passe un bon quart d’heure a la tenir sur la ligne de crête refusant l’orgasme puis relançant son désir.
- Ohhhhh fais-moi jouir !!! Arrêtes pas encore oh c’est bon c’est bon !!!!! hurles Valérie.
- Dis-moi que tu es une petit pute dis-moi que tu es ma salope chérie demandais-je
- Ohhhh Gilles je suis ta salope, je suis une pute oghhh fais moi jouir encore !!!
Je ne peux m’empêcher de dominer ma partenaire, je m’applique a la faire jouir une fois encore. C’est assez dantesque elle a accumulé tant de désir que c’est une nouvelle explosion atomique. Valérie est moite de sueur, elle se débat cries hurle son plaisir agitant ses pauvres jambes et en jouissant elle lache 3 gros jets d’urine que je reçois sur le visage er dans ma bouche, j’aimes. Çà. Je remonte vers elle et l’embrasse le visage trempé elle passe outre m’embrasse et lèche mon visage. Je la regarde dans les yeux regard enfiévré. Les lévres tremblantes.
- Tu est belle ma chérie, tu est une jolie salope, une petite chienne en chaleur. Tu veux jouir encore ?
- Ohhhhhh ouiiii encore fais-moi jouir encore c’est tellement bon avec toi. Tu me rends dingue !!!!!
Je replonge entre ses cuisses, on perd la notion du temps je ne sais pas combien de temps passe mais elle jouit une troisième fois avec une violence inouïe. Pour ma part ma queue est dure comme du marbre mon gland est trempé, je coule doucement. Je suis tellement tendu que j’en ai mal, je suis incapable de recapoter mon gland. Je prends garde de ne pas me frotter au drap sinon je pourrais bien éjaculer, et je veux jouir en elle. Elle semble épuisée, mais elle me ragarde et me dit.
- Viens en moi viens me prendre je veux que tu jouisses aussi. Vite viens.
- Oui chérie, je viens, tu est belle, chaude, quelle salope tu est.
Oh oui pour toi je veux être ta salope, tu me fais tellement jouir !!! Dit Valérie tendant ses bras.
Je suis au seuil de son sexe. Elle me regarde avec une intensité incroyable. Son expression est tellement sensuelle que je crains de jouir trop vite. Mais j’ai de l’expérience et je la pénètre lentement, sans à-coups Son sexe est en folie et il malaxe ma queue. Les contractions sont puissantes, son sexe n’est pas très profond et j’ai du mal à y loger tout mon sexe.
- Oh il est gros je te sens fort en moi, oh c’est bon !!!! C'est bon !!!! Jamais on ne m’a fait çà... oh amour !! Quelle queue.
- Tu es chaude, bouillante, regarde tes seins sont gonflés tes tétons dressés tu es superbe ma chérie. dis-je
- Ohhhh jouis en moi remplis moi de ton jus ne te retiens pas rest en moi surtout je veux te sentir..
Elle va avoir ce qu’elle désire car tout ça m’a sérieusement excité et je dois me vider pour faire disparaître la douleur de ma queue endolorie par une érection qui dure depuis au moins 2 heures. Je fais découvrir a Valérie ma forte sensibilité des tétons elle s’applique à me les pincer les tordre . J’adore et rapidement elle fait monter la tempête en moi. Le fourmillement dans mon bas ventre enfle, grandit. Mes coups de reins se font plus forts, plus violents.
- Ohhh oui fort, plus fort baise moi fort Crie Valérie... Vas y mets moi tout !!!!
- Ohhhh oui salope !! Tiens tu me sens je te bourre
Et enfin je sens monter le sperme dans ma tige.. Je pousse un grand cri , plante mon sexe a fond, je tapes fort au font du vagin mes mains crispées sur ses seins. C’est tellement intense que je lui laisserais des bleus sur ses jolis seins.
-Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh je jouis !!!!!! Criais-je
- Ohhhh moi aussi hurles Valérie.. En lâchant un long squirt qui lui vide la vessie m’inonde et inonde le lit. Je donne des coups de reins jusqu’à la dernière giclée de sperme.
Je me laisse aller sur elle, bouche conte bouche je reste en elle longtemps la caressant, on s’embrasse se lèche la langue comme des gosses.
Valérie est comblée, moi aussi j’avais un tel désir que j’ai eu un plaisir fantastique. Et elle a eu me dit-elle un plaisir comme elle n’en avait jamais eu. Elle exagère sans doute. Moi je suis touché par cette femme, je sais que je la reverrais je ne peux pas la laisser comme çà. Elle a besoin d’amour, de câlins. Je serais celui qui l’aidera à passer ce mauvais cap je souhaite qu’elle trouve un gars qui ne se cassera pas quand elle aura des ennuis comme le salaud qui l’a abandonnée quelques semaines après son accident. J’aurais aimé pour au moins lui dire ce que je pensais de lui ou même lui casser la gueule.
Valérie est cramponnée a moi, chatte ronronnant elle récupère de ses orgasmes.
- Jamais je n’avais jouis autant de fois si rapprochés, tu es un magicien, ta langue c’est du velours. J’ai peur de me réveiller et d’avoir rêvé. Gilles tu reste dit? Tu dors là ce soir, on va commander une pizza.
- Si tu veux, et ensuite on referra l’amour, je vais changer les draps que tu a inondé.
- Oh j’ai honte !!! Mais c’était tellement fort !!
- Ce n’est pas ta faute j’ai tout fait pour que çà arrive. Et je changerais encore les draps pour la nuit ma chérie. Tu va encore jouir très fort.
Le lendemain je m’éveillais a ses côté et nous avons fait l’amour tout le dimanche.
Je voyais Valérie 2 a 3 fois par mois. Passant notre temps nu à faire l’amour de façon débridée.
Ou quand elle m’appelait en manque de câlins, je répondais présent la plupart du temps car j’aimes sa compagnie. Puis elle a fini par retrouver un compagnon, pour autant on ne s'est pas perdus de vue. J’avais initié Valérie aux jeux a plusieurs, elle m’avait accompagnée chez mes chers amis Gaston et Annie, seule avec moi et plus tard avec son compagnon. Avec ma femme actuelle aussi nous avons fait pas mal de soirées avec elle.
Il y a longtemps qu’on n'a pas fait de galipettes mais je l’aii au téléphone de temps en temps. Je lui ai même demandé son accord pour écrire ce texte, et elle pourra lire les textes du site.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire, merci
