Péché véniel : la gourmandise
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Péché véniel : la gourmandise
Je sais que c’est un péché véniel. Malgré ma bonne volonté je n’arrive pas à m’en débarrasser. Et en plus j’y ajoute un autre péché : celui de la luxure. Les deux ensemble font que je suis gourmande de sperme.
Voici une partie de mon histoire:
Tout a commencé dans ma jeunesse quand j’ai pris conscience que je pouvais avoir LE PLAISIR, celui qu’on nomme de la Chair. Très tôt, j'ai commencé à me toucher entre les jambes. J’avais un plaisir étrange qui n’allait pas trop loin, un peu plus tard je me branlais souvent, ayant découvert au passage comme bien me masturber. Puis est venue un jour avec ma copine Alberte, plus dévoyée que moi. Nous avions 17 ans quand elle m’a appris comment nous faire du bien toutes les deux ensemble. C’est vrai que je me régalais de la caresser et me laisser caresser. J’aimais quand elle mettait sa main sur mon sexe simplement pour me caresser le clitoris. J’aimais lui rendre la pareille.
Alberte était plus au courant que moi des méthodes à employer pour jouir ensemble. Je pensais au début qu'en nous caressant ensemble était le summum du plaisir. Je savais bien qu’avec les garçon j’aurai certainement un autre plaisir. Et pourtant Albertine me montrait comment faire toutes les deux pour jouir. Elle m’apprenais la pratique du 69, chose que je fais encore. Au début j’étais rétissante à l’idée mettre ma langue sur son sexe. Ce devait être sale. Pour commencer elle m’a mit sa langue sur toute ma fente. Elle allait partout et partout elle arrivait à me faire jouir. Je lui rendais les caresses et là elle me disait de le faire ensemble en formant un 69. Je me souviens encore de son goût que je regrette quelques fois : j’étais jeune.
Par la suite j’ai baisé avec plusieurs garçons dont l’un deux était plus vicieux que les autres :
C’est avec lui que j’ai pratiqué mon premier 69 mixte, avec à l’arrivée son sperme dans la bouche, je trouvais un goût extraordinaire à ce sperme. J’en suis folle depuis.
Et puis le temps a passé. J’aime toujours baiser, pas avec n’importe qui. Je choisis toujours mes amants. Si au début je ne baisais qu’avec un seul à la fois, je me suis trouvé un jour obligé de satisfaire deux hommes. J’aurai pu agir en me faisant prendre par les deux à la fois un dans mon sexe, l’autre dans mon anus. A dire vrai j’ignorais encore les plaisirs de la double pénétration, cette bonne formule pour être totalement remplie. Je m’offrais ainsi : j’acceptais une bite dans mon vagin et l’autre je voulais la sucer. C’est-ce que j’ai fait pour cette première à deux hommes. Je me suis régalée du sperme que je recevais dans la bouche.
De fil en aiguille j’ai multiplié les expériences, jusqu’à la dernière.
A la suite d’un pari stupide je me suis retrouvée avec 5 gars à satisfaire. Nous étions tous nus. Je ne regardais même pas leur visage, je me contentais de leurs bites : elles avaient différentes formes et grosseurs. J‘étais sur un lit, assise avec leurs bites pointées vers moi. Je m‘attachais à leur donner un égal plaisir, je prenais leur bite dans la bouche telle qu’elles arrivaient près de moi, ainsi je suçais à la fois deux hommes. Je branlais lentement les autres bites pendant que le dernier se branlais en me regardant. J’arrivais à faire jouir ceux que je suçais : deux doses de sperme en moi, un véritable miracle de la nature. Je prenais maintenant ceux que je masturbais pour les sucer à leur tour. Je recevais encore leur sperme. Restait le dernier : il a été comblé puisque je n’avais que sa bite à sucer. Je lui léchais d’abord le gland violacé avant de faire passer les lèvres sur ce gland jusqu’au petit bourrelet juste après le frein. Je n’allais pas plus loin me contentant pour l’instant de le faire aller et venir entre mes lèvres, je le branlais en somme, mais avec ma bouche. Ensuite je prenais la moitié de la queue dans ma bouche, je mettais la moitié de la pine entre mes joues et ma langue. Je sentais que sa pine avait des soubresauts. Je n’en tenais pas compte car je savais qu’il n’allais pas jouir encore. Finalement je faisais come d’habitude,une gorge profonde, comme j’aime y étant très habituée. Je recevais au fond de ma gorge ce que j’attendais : son sperme qui me paraissait plus onctueux que les autres.
Les autres justement reprenaient des forces à tel point que le premier, près de moi, venait sur moi pour me baiser. Quant il est entré, je sentais comme un soulagement : les fellations m’avait terriblement excitée. Je le baisais comme il me baisait. Quand il s’est tourné en m’entrainant avec lui je ne savais pas ce qu’il avait en tête : il voulait me partager. J’étais prête à sucer une autre bite. Ce n’était pas leur plan. J’avais trois orifices, j’avais déjà donna à chacun du plaisir avec la bouche, je devais leur en donner avec mon cul et mon con.
Je n’étais plus vierge de ce coté depuis longtemps, j’aimais me faire enculer, mais là avec déjà une queue dans mon con et une autre qui venait compléter dans mon cul je me sentais prise au piège. Je ne sais même pas à qui cette nouvelle pine était, je me souviens que d’une chose : il a bien mouillé mon anus avec sa salive, a posé son gland contre ma pastille. Ensuite gentiment il est entré dans mon cul. Je pensais avoir un mal de chien mais pas du tout, je découvrais ce nouveau plaisir d’avoir deux bites dans mon corps. Elles allaient et venaient en cadence, quand l’une sortait , l’autre entrait. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir. Je ne sais combien de fois j’ai joui. En tout cas je sais qu’ils se sont remplacés et qu’à la fin tous m’avaient soit baisée, soir enculée.
Si on me proposai encore la même chose je suis partante.
Voici une partie de mon histoire:
Tout a commencé dans ma jeunesse quand j’ai pris conscience que je pouvais avoir LE PLAISIR, celui qu’on nomme de la Chair. Très tôt, j'ai commencé à me toucher entre les jambes. J’avais un plaisir étrange qui n’allait pas trop loin, un peu plus tard je me branlais souvent, ayant découvert au passage comme bien me masturber. Puis est venue un jour avec ma copine Alberte, plus dévoyée que moi. Nous avions 17 ans quand elle m’a appris comment nous faire du bien toutes les deux ensemble. C’est vrai que je me régalais de la caresser et me laisser caresser. J’aimais quand elle mettait sa main sur mon sexe simplement pour me caresser le clitoris. J’aimais lui rendre la pareille.
Alberte était plus au courant que moi des méthodes à employer pour jouir ensemble. Je pensais au début qu'en nous caressant ensemble était le summum du plaisir. Je savais bien qu’avec les garçon j’aurai certainement un autre plaisir. Et pourtant Albertine me montrait comment faire toutes les deux pour jouir. Elle m’apprenais la pratique du 69, chose que je fais encore. Au début j’étais rétissante à l’idée mettre ma langue sur son sexe. Ce devait être sale. Pour commencer elle m’a mit sa langue sur toute ma fente. Elle allait partout et partout elle arrivait à me faire jouir. Je lui rendais les caresses et là elle me disait de le faire ensemble en formant un 69. Je me souviens encore de son goût que je regrette quelques fois : j’étais jeune.
Par la suite j’ai baisé avec plusieurs garçons dont l’un deux était plus vicieux que les autres :
C’est avec lui que j’ai pratiqué mon premier 69 mixte, avec à l’arrivée son sperme dans la bouche, je trouvais un goût extraordinaire à ce sperme. J’en suis folle depuis.
Et puis le temps a passé. J’aime toujours baiser, pas avec n’importe qui. Je choisis toujours mes amants. Si au début je ne baisais qu’avec un seul à la fois, je me suis trouvé un jour obligé de satisfaire deux hommes. J’aurai pu agir en me faisant prendre par les deux à la fois un dans mon sexe, l’autre dans mon anus. A dire vrai j’ignorais encore les plaisirs de la double pénétration, cette bonne formule pour être totalement remplie. Je m’offrais ainsi : j’acceptais une bite dans mon vagin et l’autre je voulais la sucer. C’est-ce que j’ai fait pour cette première à deux hommes. Je me suis régalée du sperme que je recevais dans la bouche.
De fil en aiguille j’ai multiplié les expériences, jusqu’à la dernière.
A la suite d’un pari stupide je me suis retrouvée avec 5 gars à satisfaire. Nous étions tous nus. Je ne regardais même pas leur visage, je me contentais de leurs bites : elles avaient différentes formes et grosseurs. J‘étais sur un lit, assise avec leurs bites pointées vers moi. Je m‘attachais à leur donner un égal plaisir, je prenais leur bite dans la bouche telle qu’elles arrivaient près de moi, ainsi je suçais à la fois deux hommes. Je branlais lentement les autres bites pendant que le dernier se branlais en me regardant. J’arrivais à faire jouir ceux que je suçais : deux doses de sperme en moi, un véritable miracle de la nature. Je prenais maintenant ceux que je masturbais pour les sucer à leur tour. Je recevais encore leur sperme. Restait le dernier : il a été comblé puisque je n’avais que sa bite à sucer. Je lui léchais d’abord le gland violacé avant de faire passer les lèvres sur ce gland jusqu’au petit bourrelet juste après le frein. Je n’allais pas plus loin me contentant pour l’instant de le faire aller et venir entre mes lèvres, je le branlais en somme, mais avec ma bouche. Ensuite je prenais la moitié de la queue dans ma bouche, je mettais la moitié de la pine entre mes joues et ma langue. Je sentais que sa pine avait des soubresauts. Je n’en tenais pas compte car je savais qu’il n’allais pas jouir encore. Finalement je faisais come d’habitude,une gorge profonde, comme j’aime y étant très habituée. Je recevais au fond de ma gorge ce que j’attendais : son sperme qui me paraissait plus onctueux que les autres.
Les autres justement reprenaient des forces à tel point que le premier, près de moi, venait sur moi pour me baiser. Quant il est entré, je sentais comme un soulagement : les fellations m’avait terriblement excitée. Je le baisais comme il me baisait. Quand il s’est tourné en m’entrainant avec lui je ne savais pas ce qu’il avait en tête : il voulait me partager. J’étais prête à sucer une autre bite. Ce n’était pas leur plan. J’avais trois orifices, j’avais déjà donna à chacun du plaisir avec la bouche, je devais leur en donner avec mon cul et mon con.
Je n’étais plus vierge de ce coté depuis longtemps, j’aimais me faire enculer, mais là avec déjà une queue dans mon con et une autre qui venait compléter dans mon cul je me sentais prise au piège. Je ne sais même pas à qui cette nouvelle pine était, je me souviens que d’une chose : il a bien mouillé mon anus avec sa salive, a posé son gland contre ma pastille. Ensuite gentiment il est entré dans mon cul. Je pensais avoir un mal de chien mais pas du tout, je découvrais ce nouveau plaisir d’avoir deux bites dans mon corps. Elles allaient et venaient en cadence, quand l’une sortait , l’autre entrait. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir. Je ne sais combien de fois j’ai joui. En tout cas je sais qu’ils se sont remplacés et qu’à la fin tous m’avaient soit baisée, soir enculée.
Si on me proposai encore la même chose je suis partante.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très belle histoire , je suis à mon bureau , et j(ai une déformation en haut du
pantalon....
sinon j'adore les gorges profondes.
pantalon....
sinon j'adore les gorges profondes.