Pépita ... par hasard ...
Récit érotique écrit par NAT-LM [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Pépita ... par hasard ...
Pépita
Réponse à la l’écrit d’une amie .
Bonjour petite coquine …
Je vais bien, merci … toi aussi j’espère?
Contente d’avoir eu de tes nouvelles … voici un peu des miennes .
J’apprécie ton baiser sensuel de fin de lettre, ça me donne des envies à moi aussi … je suis seule … si on sonne à la porte, je ne répondrais pas … presque nue … juste un porte-jarretelles … des bas noirs diaphanes et une nuisette transparente qui ne me couvre même pas les fesses … et ne cache à peu près rien mes seins … pas de culotte … mon sexe et sa fourrure sans contrainte … je suis assise … devant mon ordi …cuisses écartées, et je commence à t’écrire … je suis un peu folle … comme promis, je te raconte … j’ai envie d’être grivoise … même un peu cochonne … je sais que tu aimes, et que rien qu’à l’idée, tu dois avoir déjà une main entre les cuisses à te triturer la chatte, et aussi tout à côté, à taquiner le petit orifice plissé dissimulé dans ta raie au milieu des poils...
Tu te souviens, je t’ai déjà parlé de cette jeune personne que le rêvais de séduire … rêve jamais réalisé … la fille de quelqu’un que je connaissais … je n’ai pas osé … toujours eu des regrets
Voilà, un jour de la semaine dernière … …
Ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vue, à peu près cinq ans, elle avait 18 ans … moi entre 35 et 36 elle était belle, je fantasmais sur elle … mes tétons se dressaient et je mouillais quand je la voyais, j’aurais voulu la dévorer, mais un jour, elle a disparu. !
Je l’ai revue en début de soirée, jeudi dernier … le hasard total!
J’ai pris le TGV pour Toulouse, au départ de Montparnasse, parce que moins long qu’en partant d’Austerlitz … en principe !
Douce ironie, à Bordeaux, nous sommes avisés qu’un incident empêche le trafic en direction d’Agen. Nous avons le choix, patienter dans le train ou dans la salle d’attente, ou nous reposer à l’extérieur et attendre celui du lendemain après-midi.
Un peu fatiguée et pas pressée, dédommagement ou pas, je décide de passer la nuit à l’hôtel. Pas loin, même pas cinq minutes à pied, tu dois connaître, un nom plutôt British, en traduction libre … le meilleur de l’ouest …
C’est là que je l’ai revue, nous nous sommes reconnues à la réception … la joie de nous revoir a été partagée, sincère … Je la trouvais encore encore plus belle, plus épanouie. Mon désir d’elle renaissait, malheureusement c’était trop tard, elle m’a dit avoir un chéri et elle paraissait heureuse … dommage …
Nous avons pris deux chambres voisines et, fatiguées toutes les deux, décidé d’attendre au lendemain pour nous raconter nos vies.
Je commence à me déshabiller mais je pense à elle, dans la chambre à côté … je me caresse et me décide … jamais d’autre occasion ne se représentera … j’ai 41 ans bientôt tu le sais,et elle 23, et elle a un amoureux … elle n’aime sûrement pas les femmes … je ne dois pas l’intéresser.
Ça peut paraître irréaliste, mais tant pis, en jupon, corsage ouvert, presque nue, je frappe à sa porte ...
- Qui est là ?
- Mireille ...
- je t’ouvre …
J’entre …
- qu’est-ce qui t’arrive ? … tu as l’air bizarre
- Ma belle, je n’ai jamais osé te le dire, mais j’ai eu tellement envie de toi il y a longtemps … te revoir aujourd’hui m’a toute retournée … déteste- moi si tu veux, si tu refuses je m’en vais mais je te désire trop pour ne pas te le dire … j’ai envie de t’embrasser, te caresser … de mes mains … … de ma bouche …
Elle ne dit rien, ne me repousse pas, le regard trouble, elle se mord la lèvre inférieure … je lui caresse les seins par-dessus son corsage … elle ferme les yeux … je suis surprise, elle a l’air d’aimer … je la retrousse jusqu’à la ceinture et la bascule doucement sur le lit et mets la main à l’intérieur de ses cuisses … elle s’écarte d’elle-même, alors je caresse son sexe à travers sa culotte déjà mouillée, puis j’y pose ma bouche … elle gémit et tend son ventre contre moi en m’appuyant sur la tête, comme pour me retenir.
Je me relève un peu la tête quand-même, pour respirer …
- Oh non … n’arrête pas …je t’en prie …continue … c’est si bon …
Je réussis à lui ôter sa culotte … je vois son clitoris, rose, raide, comme une minuscule
bite décalottée… je le suce, je le mordille en douceur… j’écarte ses grandes lèvres, je vois ses petites qui ressemblent à des pétales de roses … j’y colle ma bouche, j’aspire son jus qui devient abondant et je l’avale, puis j’ai envie de jouer avec elle un peu plus.
Je la fais mettre à quatre pattes … à genoux derrière elle, je lèche avidement sa chatte détrempée … sans oublier son clitoris que je suce … il est bien dur …je lui écarte les fesses et promène ma langue dans sa raie poilue, jusqu’à son petit trou plissé … je lui lèche le cul en essayant de rendre ma langue pointue pour y pénétrer …
Je ralentis, elle gémit de plus en plus, je la sens prête à éclater … comme une prière …
- Oh que c’est bon fais-moi jouir … fais-moi jouir … je t’aime … je t’aime !!
Je me concentre sur son plaisir …. Fermement je la pénètre de trois doigts dans le vagin et d’un va et vient rapide, je la branle énergiquement tout en enfonçant doucement, mais bien profond un doigt dans son cul … elle a poussé un cri, puis un râlement continu, ravagée par une jouissance sans fin, et mes mots bien crus qui l’accompagnent … c’est ça ma belle… c’est bon hein …vas-y, laisse toi aller … c’est beau de te voir jouir comme ça … imagine que j’ai une grosse bite et que je te baise … et que je suis toujours raide …
Après un dernier râlement, elle s’est écrasée à plat ventre sur le lit, mon doigt encore entre ses fesses … à demie consciente … assommée par la force de l’orgasme !
Moi, je n’ai pas joui, toute dévouée à son plaisir à elle, mais je sais que tout à l’heure, quand elle aura retrouvé ses esprits, ce sera à moi, et si elle ne sait pas bien faire, je lui montrerais …le plaisir d’être l’initiatrice … de la rendre aussi cochonne que moi …
Son nom, Eugénie, mais je ne sais pas pourquoi, tout le monde l’appelait Pépita. Quand je saurais je te le dirais, avec la suite des conséquences de cette escale imprévue dans la capitale d’Aquitaine.
Voilà ma jolie, je n’ai pas le temps de t’en écrire plus long, figure-toi que j’ai encore un train à prendre …
Des baisers comme tu aimes …
Bien du plaisir à toi
Mireille
Réponse à la l’écrit d’une amie .
Bonjour petite coquine …
Je vais bien, merci … toi aussi j’espère?
Contente d’avoir eu de tes nouvelles … voici un peu des miennes .
J’apprécie ton baiser sensuel de fin de lettre, ça me donne des envies à moi aussi … je suis seule … si on sonne à la porte, je ne répondrais pas … presque nue … juste un porte-jarretelles … des bas noirs diaphanes et une nuisette transparente qui ne me couvre même pas les fesses … et ne cache à peu près rien mes seins … pas de culotte … mon sexe et sa fourrure sans contrainte … je suis assise … devant mon ordi …cuisses écartées, et je commence à t’écrire … je suis un peu folle … comme promis, je te raconte … j’ai envie d’être grivoise … même un peu cochonne … je sais que tu aimes, et que rien qu’à l’idée, tu dois avoir déjà une main entre les cuisses à te triturer la chatte, et aussi tout à côté, à taquiner le petit orifice plissé dissimulé dans ta raie au milieu des poils...
Tu te souviens, je t’ai déjà parlé de cette jeune personne que le rêvais de séduire … rêve jamais réalisé … la fille de quelqu’un que je connaissais … je n’ai pas osé … toujours eu des regrets
Voilà, un jour de la semaine dernière … …
Ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vue, à peu près cinq ans, elle avait 18 ans … moi entre 35 et 36 elle était belle, je fantasmais sur elle … mes tétons se dressaient et je mouillais quand je la voyais, j’aurais voulu la dévorer, mais un jour, elle a disparu. !
Je l’ai revue en début de soirée, jeudi dernier … le hasard total!
J’ai pris le TGV pour Toulouse, au départ de Montparnasse, parce que moins long qu’en partant d’Austerlitz … en principe !
Douce ironie, à Bordeaux, nous sommes avisés qu’un incident empêche le trafic en direction d’Agen. Nous avons le choix, patienter dans le train ou dans la salle d’attente, ou nous reposer à l’extérieur et attendre celui du lendemain après-midi.
Un peu fatiguée et pas pressée, dédommagement ou pas, je décide de passer la nuit à l’hôtel. Pas loin, même pas cinq minutes à pied, tu dois connaître, un nom plutôt British, en traduction libre … le meilleur de l’ouest …
C’est là que je l’ai revue, nous nous sommes reconnues à la réception … la joie de nous revoir a été partagée, sincère … Je la trouvais encore encore plus belle, plus épanouie. Mon désir d’elle renaissait, malheureusement c’était trop tard, elle m’a dit avoir un chéri et elle paraissait heureuse … dommage …
Nous avons pris deux chambres voisines et, fatiguées toutes les deux, décidé d’attendre au lendemain pour nous raconter nos vies.
Je commence à me déshabiller mais je pense à elle, dans la chambre à côté … je me caresse et me décide … jamais d’autre occasion ne se représentera … j’ai 41 ans bientôt tu le sais,et elle 23, et elle a un amoureux … elle n’aime sûrement pas les femmes … je ne dois pas l’intéresser.
Ça peut paraître irréaliste, mais tant pis, en jupon, corsage ouvert, presque nue, je frappe à sa porte ...
- Qui est là ?
- Mireille ...
- je t’ouvre …
J’entre …
- qu’est-ce qui t’arrive ? … tu as l’air bizarre
- Ma belle, je n’ai jamais osé te le dire, mais j’ai eu tellement envie de toi il y a longtemps … te revoir aujourd’hui m’a toute retournée … déteste- moi si tu veux, si tu refuses je m’en vais mais je te désire trop pour ne pas te le dire … j’ai envie de t’embrasser, te caresser … de mes mains … … de ma bouche …
Elle ne dit rien, ne me repousse pas, le regard trouble, elle se mord la lèvre inférieure … je lui caresse les seins par-dessus son corsage … elle ferme les yeux … je suis surprise, elle a l’air d’aimer … je la retrousse jusqu’à la ceinture et la bascule doucement sur le lit et mets la main à l’intérieur de ses cuisses … elle s’écarte d’elle-même, alors je caresse son sexe à travers sa culotte déjà mouillée, puis j’y pose ma bouche … elle gémit et tend son ventre contre moi en m’appuyant sur la tête, comme pour me retenir.
Je me relève un peu la tête quand-même, pour respirer …
- Oh non … n’arrête pas …je t’en prie …continue … c’est si bon …
Je réussis à lui ôter sa culotte … je vois son clitoris, rose, raide, comme une minuscule
bite décalottée… je le suce, je le mordille en douceur… j’écarte ses grandes lèvres, je vois ses petites qui ressemblent à des pétales de roses … j’y colle ma bouche, j’aspire son jus qui devient abondant et je l’avale, puis j’ai envie de jouer avec elle un peu plus.
Je la fais mettre à quatre pattes … à genoux derrière elle, je lèche avidement sa chatte détrempée … sans oublier son clitoris que je suce … il est bien dur …je lui écarte les fesses et promène ma langue dans sa raie poilue, jusqu’à son petit trou plissé … je lui lèche le cul en essayant de rendre ma langue pointue pour y pénétrer …
Je ralentis, elle gémit de plus en plus, je la sens prête à éclater … comme une prière …
- Oh que c’est bon fais-moi jouir … fais-moi jouir … je t’aime … je t’aime !!
Je me concentre sur son plaisir …. Fermement je la pénètre de trois doigts dans le vagin et d’un va et vient rapide, je la branle énergiquement tout en enfonçant doucement, mais bien profond un doigt dans son cul … elle a poussé un cri, puis un râlement continu, ravagée par une jouissance sans fin, et mes mots bien crus qui l’accompagnent … c’est ça ma belle… c’est bon hein …vas-y, laisse toi aller … c’est beau de te voir jouir comme ça … imagine que j’ai une grosse bite et que je te baise … et que je suis toujours raide …
Après un dernier râlement, elle s’est écrasée à plat ventre sur le lit, mon doigt encore entre ses fesses … à demie consciente … assommée par la force de l’orgasme !
Moi, je n’ai pas joui, toute dévouée à son plaisir à elle, mais je sais que tout à l’heure, quand elle aura retrouvé ses esprits, ce sera à moi, et si elle ne sait pas bien faire, je lui montrerais …le plaisir d’être l’initiatrice … de la rendre aussi cochonne que moi …
Son nom, Eugénie, mais je ne sais pas pourquoi, tout le monde l’appelait Pépita. Quand je saurais je te le dirais, avec la suite des conséquences de cette escale imprévue dans la capitale d’Aquitaine.
Voilà ma jolie, je n’ai pas le temps de t’en écrire plus long, figure-toi que j’ai encore un train à prendre …
Des baisers comme tu aimes …
Bien du plaisir à toi
Mireille
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas doute, ce court récit confirme encore une fois que vous êtes décidément très douée pour faire voyager le lecteur loin avec une sutuation pourtant simple à la base. Tout réside dans la manière que vous avez de présentez les choses, c'est précieux, continuez !
Plein de poésie érotique. Que j'aimerais pouvoir écrire un tel texte!!!
Plaisir intense donné par une femme à une autre femme - la jouissance offerte à l'autre devrait être la première préoccupation d'un homme envers son ou sa partenaire sans penser égoïstement à lui-même. C'est trop souvent, malheureusement, exceptionnel. Très belle histoire, rafraîchissante et émouvante.