Tempêtes - 2 -
Récit érotique écrit par NAT-LM [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2014 dans la catégorie Plus on est
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Tempêtes - 2 -
Tempêtes (2) …
Suite de la 1ère nuit
Vous ne vous souvenez peut-être pas bien. Alors juste un peu de la fin du début … pour vous rappeler … ou encore mieux … relisez « Tempêtes (1) »
Je ne réalise que lorsque je sens mon homme se retirer et appuyer son gland entre mes fesses … l’habitude de mon gode et la préparation de Céline … quand-même doucement, il pénètre sans forcer … mon rêve depuis si longtemps !! Je veux dire que c’est bon, que j’aime, je ne fais que ahaner … ses mouvements, à chaque poussée, ses … tiens … tiens, les doigts de Céline dans la chatte … en même temps que je le sens exploser dans mes profondeurs… je suis submergée par un tel orgasme, tant que j’en perds connaissance … …
*************
Toujours en marche vers la maison, en pleine bordée de neige cette soirée de février, et Nadine continue de revivre sa première nuit de Madame P … …
Je n’ai peut-être pas complètement perdu connaissance, ou alors seulement quelques secondes. Je me suis entendue crier mon plaisir … mon mari est encore en moi, je le sens entre mes fesses, à l’intérieur … Céline joue toujours de ses doigts entre mes lèvres, d’abord deux, puis trois, qu’elle tourne … vrille … on dirait qu’elle veut m’élargir !
C’est un peu sensible … c’est vrai que je viens d’avoir ma première fois, j’émets quelques gémissements, puis ça passe, ça redevient agréable. Je sens Claude qui se retire de mon cul, et la sensation de vide, plus grande qu’après mon gode, c’est vrai qu’il est plus gros.
Je suis toujours à genoux, doucement Céline m’appuie sur le côté et me fait basculer … je suis sur le dos, d’une main, elle fait glisser ma robe et me la passe par-dessus la tête … je vois le reflet dans le miroir du plafond … moi, cuisses écartées, en porte-jarretelles et bas blancs, … elle, nue, allongée , reposant sur un coude, ses doigts quittent mon sexe, remontent en me frôlant, jusqu’entre mes seins, elle me les montre ….tiens, regarde … ils sont rougis … la preuve que mon mari a fait de moi une vraie femme … elle me fait asseoir au bord du lit. En me tournant, je vois sur le drap, grand carré pâle, froissé sur ce lit rond quelques tâches vermeilles bariolées de blanc …
Pendant ce temps-là, Claude est allé à la salle de bain, j’entends l’eau couler, il se douche, il se lave, j’ai un doute affreux …l’aurais-je souillé ? J’ai lu beaucoup d’histoires de sodomie, alors, sans savoir si mon espérance serait comblée, quand on s’est changés chez Céline, j’ai pris mes précautions, je me suis faite propre … je me passe une main entre les fesses pour voir …rien … ouf! Dans mes fantasmes les plus pervers je n’ai jamais été jusque-là … scato et uro, je n’ai jamais envisagé ça … les seules limites que je ne franchirais jamais. Rien qu’à y penser, je me suis repliée sur moi, enfermée dans mes bras, comme la tortue qui se réfugie dans sa carapace …
Une main de Céline dans mes cheveux, des doigts qui les effilent, les caressent d’une douceur, de la promesse de quelque chose … l’autre effleure mes bras, les desserre un peu …un peu plus, les écarte, vient sous mes seins, les prend tour à tour, les palpe, les pince, fait rouler les bourgeons entre ses doigts … ma crainte est apaisée, mon angoisse disparaît, la chaleur du désir renait, j’ai chaud, je transpire, sa langue lèche les gouttes de sueur entre mes seins, je commence à m’abandonner …
- Viens ma belle … une petite douche va nous faire du bien … la nuit est encore jeune, mais elle n’a pas trop d’heures, ne les gaspillons pas, tu as encore tant à découvrir … approche, que je te retire tes bas …
Je veux protester, j’ai envie d’elle maintenant, tout de suite, mais sa bouche sur la mienne m’empêche de répondre, mon bras qui la serre contre moi n’y peut rien, elle se lève, me prends par la main, je la suis …
Claude sort de la salle d’eau … j’ai su plus tard qu’il savait ce qui allait se passer … au moins en partie. Je regarde son sexe, cette queue qui a enfin pris possession de moi, elle est belle même au repos … je sais qu’il me désire comme j’en ai envie … je voudrais me jeter à genoux pour lui redonner vie … Céline, encore elle, me tire par la main et m‘entraîne vers la douche qui coule toujours, collées bouche à bouche, seins contre seins. ventre contre ventre, ses mains sur mes fesses, les miennes sur les siennes … l’eau chaude ruisselle sur nos peaux mêlées … on ne parle pas bien sûr, un baiser qui ne finit pas ça empêche de parler … que c’est bon ! Mais je ressens une petite gêne, de celle qui je le sais, va empêcher le plaisir de m’envahir complètement … cette gêne d’une vessie que je n’ai pas soulagée depuis longtemps … Cette gêne qui a un nom … une envie, celle de faire pipi, qui se veut être satisfaite avant toute autre … il faut … il faut …
- S’il te plaît, laisse-moi aller … pas longtemps … j’ai envie …
- Aller où … tu peux faire ici … avec l’eau qui coule … laisse-toi aller…
J’ai envie mais être dans ses bras me bloque, je veux la repousser, elle me laisse un peu, touche le mitigeur, l’eau devient froide, je frissonne, je sens que je vais y arriver … elle se rapproche … une main sur le bas de mon dos, elle appuie l’autre sur le devant … je ne peux pas me retenir … un jet fort sort entre mes cuisses, juste au moment ou un doigt appuie sur l’urètre … c’est le déluge, je lui fais dans la main … elle ne la retire pas …. au contraire, elle se fait plus insistante … sa main devient caresse … pénétrante … en arrière, deux doigts accompagnent ceux du devant … les dernières gouttes s’écoulent … chaudes sur mes cuisses froides … je voulais me soulager … ce n’est plus ça, une autre envie me fait sienne, celle du plaisir … je ne la retiens pas, pas plus que les bruits qui disent ma jouissance … bruits qui deviennent reconnaissance, par ma bouche collée sur la sienne. Elle m’a fait jouir comme ça … Jamais je n’aurai imaginé … mon préjugé faiblit … je me demande déjà si elle me le refera … et comment le lui rendre …et moi qui me disait jamais … jamais çà …!
Pas de la même manière, mais ça n’a pas tardé ! Elle tourne la manette, l’eau s’arrête, j’ai quand-même la chair de poule … les frissons du froid remplacent ceux du plaisir … elle me fait tourner … d’une poussée dans le dos me fait me courber et guide mes mains sur la barre de maintien à mi-hauteur … j’ai tout naturellement les jambes écartées, ma peau est froide, la sienne aussi … je sens le devant de ses cuisses sur l’arrière des miennes … les poils de sa chatte qui se frottent aux miens … des doigts m’écartent les fesses … et c’est le jet qui m’inonde la raie …. imbibe ma touffe … longe mes lèvres avant de me réchauffer l’intérieur des cuisses et de couler jusqu’à mes chevilles … je suis en train de me faire pisser dessus … j’ai honte, je me sens humiliée … j’en ai les larmes aux yeux, et pourtant … pourtant, je n’arrive pas à protester, je trouve ça presque agréable … et moi qui me disait … …
Derrière moi, c’est fini, ça ne coule plus … Céline se frotte, comme pour s’essuyer, ça me chatouille … j’aime ça …
En tournant la tête, je vois Claude à la porte, il se caresse en nous regardant … il recommence à bander … ça l’excite … je n’ai plus honte … si ça lui plaît, je suis prête à recommencer n’importe quand … je me dis même que j’aimerai que ça vienne de lui, et aussi des deux ensemble, pourquoi pas … mais seulement comme ça ! Je ne crois pas pouvoir supporter autrement, comme écrit dans certaines histoires ! Les recevoir ailleurs …être obligée d’avaler … de les boire…. rien que d’y penser j’ai la nausée …
Céline m’enduit de gel, relève la manette, l’eau d’abord tiède, puis chaude se remet à couler … je suis frottée, frictionnée, partout … partout …. Une odeur de lavande nous enveloppe … y’en a qui disent que c’est pas un parfum de femme … et pourquoi pas … moi en tout cas j’aime bien …
À mon tour! Elle n’a pas besoin de demander, je suis contente de la parcourir de mes mains … de la rendre odorante … surtout de faire mousser la chevelure soyeuse de son ventre … bien rincée … je m’agenouille … Elle … elle m’a déjà fait, pas moi … je veux lui rendre.
… ce léger parfum de lavande mêlé au sien, je n’oublierai jamais … le premier contact de mes lèvres avec un sexe de femme … plaisir dilué par l’eau qui ruisselle … je relève la manette, je veux la goûter, elle toute seule … rien qu’elle …
Mais ce n’est pas moi qui décide.
Deux grandes serviettes chaudes … Claude nous assèche l’une et l’autre et nous ramène vers le lit … tendu d’envie, il nous place côte à côte sur le bord, à genoux, enlacées par le dos … lui, derrière, nous caresse chacune notre tour de sa raideur prometteuse … je le sens près de mes entrées, il est si près, je suis coulante … je l’attends … je me tends vers lui ...Collée à moi, contre mon flanc, Céline gémit et se met à tressaillir par à-coups réguliers … j’ai envie d’en pleurer de rage … c’est elle que mon mari est en train de baiser … il préfère sa tante à sa femme !
Malgré tout, je suis excitée, de ma main libre, je me touche du mieux que je peux pour me donner le plaisir que je me fais voler … je l’entends jouir … avec plein de mots cochons, on dirait qu’elle le fait exprès pour me narguer, et moi, je n’y arrive pas … pourtant je veux … et voilà qu’il se retire d’elle et vient en moi … oh! que c’est bon de le sentir … je laisse quand-même mes doigts … je le sens glisser dessus … quelques coups seulement et il me remplit … je n’ai pas eu le temps de jouir …
Frustrée, prostrée, la tête sur le lit je veux continuer toute seule … il s’est retiré tout de suite, mais je sens une main … des doigts qui le remplacent, qui me pénètrent … une autre main qui me soulève la tête, je vois un pénis brillant de sperme qui s’approche … je le prends dans ma bouche, pendant que les doigts de Céline qui l’ont remplacé me donnent ce que j’attendais de lui … Finalement, je suis comblée … même si c’est par la main de Céline … et pour la première fois, j’ai été pleine de lui … il s’est fini dans moi … au fond de mon sexe …
Quelques mots, quelques baisers, nous nous laissons aller, le sommeil nous prend …
Une voix me réveille, et un léger bruit … Claude au téléphone, et le glissement des anneaux d’un rideau qui s’ouvre, dévoilant une fenêtre … les premières lueurs du petit matin …Dans cette demi-lumière, je vois la silhouette de Céline, nue, qui s’y découpe … tout me revient, depuis que nous sommes arrivés … je suis femme, toute entière … je suis tout … de partout … je ne me suis pas une fois demandé l’heure qu’il était … ce n’était toujours que celle de l’envie et du plaisir … un homme … une femme, qui se sont servis de moi … qui ont joui de me rendre heureuse … ce doit être çà le paradis ! … je voudrais que ça dure tout le temps …
Des coups à la porte, une voix, je la reconnais, celle de Nadia ... la soubrette ...
- Vôtre petit déjeuner messieurs dames … c’est tout ! On entend l’autre porte se refermer, elle est partie.
En peignoirs, nous allons dans l’antichambre …des céréales, des œufs bacon jambon, des rôties, beurre, confitures, marmelade, thé, café … bon petit déjeuner classique … j’avais faim, je mange de bon appétit … puis d’un seul coup, je bloque, ça me roule dans la bouche, je ne suis plus sur mon nuage ! Après tout ce qui s’est passé, nous sommes là, en train de manger, parlant peu, comme n’importe quel matin ordinaire … c’est pourtant le matin de ma nuit de noce, passée avec mon mari et une autre femme …après tout ce que nous avons fait … comme si c’était normal, subitement, j’étais inquiète de l’avenir …j’avais aimé justement, c’est vrai, mais ça ne pouvait quand-même pas être toujours comme ça ! J’ai parlé, j’ai dit mes pensées, puis, assise sur un divan entre Claude et Céline, j’ai dû les écouter …eux ont parlé, et j’ai su ce que serait ma vie … avec EUX !!
Je serai l’épouse de Claude et la « partenaire » des deux !! Et Claude m’a dit !!
Je ne me souviens pas … un jour, ou peut-être plusieurs, j’ai dû oublier de cacher ce que j’appelais le petit journal de mes rêves, rempli juste de çà, mes rêves, pas d’insignifiances journalière, non … mais de mes rêves de plaisir, d’érotisme, de sodomie … de mes entretiens avec mes doigts, mes jouets … des frissons et des orgasmes que j’anticipais …
Donc, j’ai dû oublier, et il l’a vu, et l’a lu … et ce matin-là, il m’a raconté …
Il m’a raconté qu’après avoir « lu » mes secrets, il était convaincu que j’étais la femme de sa vie … de LEURS vies !! Que je serai l’épouse idéale pour eux deux … l’épouse toute prête à être façonnée à leurs goûts pour une vie à trois. Ils savaient mes envies d’autre chose quand je le masturbais, mais attendaient que je devienne le fruit mûr qu’ils n’auraient plus qu’à déguster.
Elle, à 24 ans, toute jeune mariée, avec un mari qui s’est révélé quasi impuissant, avait succombé à l’envie d’être l’initiatrice de son neveu de 18 ans … initiation qui s’est transformée en liaison durable … du partage de fantasmes communs. Elle est devenue BI, ... et lui un peu aussi … mais que dans un sens ! Les fantaisies, les échanges … à trois, ou plus, c’était devenu la norme de leur vie sexuelle. Le mari, tout aussi naïf que couilles molles, n’a pas vu venir la séparation, ni compris le pourquoi … après à peine plus de deux ans !
Ensuite, il a quand-même fallu faire attention, être discrets, car on les voyait souvent ensemble, de vagues rumeurs voguaient dans l’entourage, complaisamment relayées par des (pas tant que ça) mauvaises langues … par chez nous, même si elles colportent des vérités, on appelle ça des langues sales !!
Un jour, chez des amis communs, nous avons fait connaissance, je les ai trouvés drôles et agréables, nous avons sympathisé. Je me suis mise à le trouver beau … de plus en plus … je pensais à lui, solitaire dans mes plaisirs, mon lit me semblait trop grand … je ne demandais qu’à être séduite.
Premier vrai rendez-vous, en septembre, et à part le plaisir par nos mains, rien jusqu’au mariage en Mai … et c’est seulement ce jour-là que j’ai compris, assise sur le divan !! Ils avaient attendu avant de se dévoiler. Je me suis sentie bien, les révélations des dernières heures ne resteraient pas que des souvenirs, il y aurait des lendemains … beaucoup … Je savais que je serai heureuse.
J’étais à lui, et à elle aussi … nous étions à nous … le bonheur peut-être !
Les robes de chambres s’ouvrirent et tombèrent … quatre mains et deux bouches … j’étais couverte de baiser et de caresses. Céline me mit une main sur le sexe de Claude qui recommençait à bander, puis elle me fit mettre à genoux sur le divan, et d’une main en arrière de la tête me dirigea vers lui pour que je le prenne … ma bouche l’enroba et ses mains me tenant par les cheveux rythmaient le va et vient, doucement … je lui tenais les testicules à poignée, comme si je ne voulais pas qu’il se retire … il allait profond, il fallait que je me recule pour respirer … une main de Céline me caressait les seins , l’autre le bas de mon ventre et l’intérieur de mes cuisses … je voulais la toucher moi aussi de ma main libre … mais elle n’était pas assez près, j’ai voulu quand-même, d’un petit mouvement à gauche … mon genou au bord du divan a glissé, et je suis tombée sur le tapis … plus rien dans la main ni dans la bouche, ni plus bas !!
J’étais confuse. On a ri quand-même, pas longtemps … ça ne pouvait pas se terminer comme ça !
La virilité de Claude n’était pas ramollie, et Céline que j’avais enfin réussi à toucher était mouillée. En tombant, j’avais sans le vouloir hâté la suite.
Sur le tapis, Céline allongée, jambes repliées, cuisses écartées; Claude m’a placée à genoux au milieu … a guidé ma tête sur son ventre … pas besoin de me dire … mes mains ont écarté ses lèvres, excitée de son parfum, j’y colle les miennes et je la lèche, je la déguste, son ventre se soulève … ses fesses aussi, toujours bouche soudée à son sexe, je glisse mes mains dessous pour les écarter et y faire aller un doigt que j’enfonce un peu, comme elle m’avait fait … j’avais trouvé ça si bon !
En même temps, Claude s’occupait de moi de la même manière … un doigt, puis deux … il me préparait … j’ai senti une main sur une fesse, qui guidait sa verge au seuil de ma petite entrée … j’ai aussi senti l’autre main qui prenait le coulant de ma chatte pour la lubrifier … la pénétration qui commençait et ses deux mains sur mes hanches qui me tenaient fermement pendant qu’il progressait, lentement … lentement, mais sans temps d’arrêt jusqu’à ce qu’il soit soudé à moi.
Il bougeait sans va et vient, doucement, en tournant, je sentais ses couilles rouler entre mes fesses, comme des boules de massage … au bord de l’orgasme j’ai un peu relevé la tête , aussitôt les jambes de Céline me l’ont entourée pour me ramener vers elle … j’étais enserrée entre ses cuisses … j’ai joui comme ça, la figure presque écrasée sur son sexe mouillé … la pression de ses jambes qui me tenaient contre elle et les mouvement de son bassin … ses gémissements qui augmentaient … des signes qu’elle aimait ce que je lui faisais … j’allais la faire jouir, ce serait la première fois !
Claude s’est mis à bouger, à coulisser en moi, plus fort, plus vite, marquant des arrêts, puis repartant, le plaisir me gagnait à nouveau, et il s’est retiré … encore cette sensation de vide …d’être ouverte, de l’air qui me pénètre … il ne fait que changer d’entrée, et là, il me prend
vraiment comme un femme, sa femme, plus longtemps que la première fois, me menant jusqu’à ma vraie première jouissance « normale » … et la sienne est venue, dans mon ventre, impétueuse, frapper tout au fond !
Et là, j’ai eu d’autres idées … semence, utérus, bébé, d’autres espérances, d’autres joies !
Céline a exprimé aussi son plaisir, sans retenue, avec des bruits et des mots.
Elle a libéré ma tête, toutes les deux, allongées sur le tapis, elle a recueilli de deux doigts un peu de ce qui coulait de mon sexe, l’a mis sur mes lèvres et m’a embrassée, puis j’ai fait pareil sur les siennes … nous nous sommes encore embrassées, puis Claude s’est allongé entre nous et nous avons goûté ensemble, sur lui, ce que nous venions de partager par nos mains et nos bouches.
Nous venions de jouir tous les trois ensemble, en même temps, était-ce un signe, pas seulement du plaisir partagé, mais de l’amour … du bonheur ? J’y ai cru …
Lui et elle dans moi, lui dans nous-deux, et tout le reste … il m’en restait encore beaucoup à apprendre !
Je vous dirai, plus tard …
NAT-LM - 01/2014
Suite de la 1ère nuit
Vous ne vous souvenez peut-être pas bien. Alors juste un peu de la fin du début … pour vous rappeler … ou encore mieux … relisez « Tempêtes (1) »
Je ne réalise que lorsque je sens mon homme se retirer et appuyer son gland entre mes fesses … l’habitude de mon gode et la préparation de Céline … quand-même doucement, il pénètre sans forcer … mon rêve depuis si longtemps !! Je veux dire que c’est bon, que j’aime, je ne fais que ahaner … ses mouvements, à chaque poussée, ses … tiens … tiens, les doigts de Céline dans la chatte … en même temps que je le sens exploser dans mes profondeurs… je suis submergée par un tel orgasme, tant que j’en perds connaissance … …
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Toujours en marche vers la maison, en pleine bordée de neige cette soirée de février, et Nadine continue de revivre sa première nuit de Madame P … …
Je n’ai peut-être pas complètement perdu connaissance, ou alors seulement quelques secondes. Je me suis entendue crier mon plaisir … mon mari est encore en moi, je le sens entre mes fesses, à l’intérieur … Céline joue toujours de ses doigts entre mes lèvres, d’abord deux, puis trois, qu’elle tourne … vrille … on dirait qu’elle veut m’élargir !
C’est un peu sensible … c’est vrai que je viens d’avoir ma première fois, j’émets quelques gémissements, puis ça passe, ça redevient agréable. Je sens Claude qui se retire de mon cul, et la sensation de vide, plus grande qu’après mon gode, c’est vrai qu’il est plus gros.
Je suis toujours à genoux, doucement Céline m’appuie sur le côté et me fait basculer … je suis sur le dos, d’une main, elle fait glisser ma robe et me la passe par-dessus la tête … je vois le reflet dans le miroir du plafond … moi, cuisses écartées, en porte-jarretelles et bas blancs, … elle, nue, allongée , reposant sur un coude, ses doigts quittent mon sexe, remontent en me frôlant, jusqu’entre mes seins, elle me les montre ….tiens, regarde … ils sont rougis … la preuve que mon mari a fait de moi une vraie femme … elle me fait asseoir au bord du lit. En me tournant, je vois sur le drap, grand carré pâle, froissé sur ce lit rond quelques tâches vermeilles bariolées de blanc …
Pendant ce temps-là, Claude est allé à la salle de bain, j’entends l’eau couler, il se douche, il se lave, j’ai un doute affreux …l’aurais-je souillé ? J’ai lu beaucoup d’histoires de sodomie, alors, sans savoir si mon espérance serait comblée, quand on s’est changés chez Céline, j’ai pris mes précautions, je me suis faite propre … je me passe une main entre les fesses pour voir …rien … ouf! Dans mes fantasmes les plus pervers je n’ai jamais été jusque-là … scato et uro, je n’ai jamais envisagé ça … les seules limites que je ne franchirais jamais. Rien qu’à y penser, je me suis repliée sur moi, enfermée dans mes bras, comme la tortue qui se réfugie dans sa carapace …
Une main de Céline dans mes cheveux, des doigts qui les effilent, les caressent d’une douceur, de la promesse de quelque chose … l’autre effleure mes bras, les desserre un peu …un peu plus, les écarte, vient sous mes seins, les prend tour à tour, les palpe, les pince, fait rouler les bourgeons entre ses doigts … ma crainte est apaisée, mon angoisse disparaît, la chaleur du désir renait, j’ai chaud, je transpire, sa langue lèche les gouttes de sueur entre mes seins, je commence à m’abandonner …
- Viens ma belle … une petite douche va nous faire du bien … la nuit est encore jeune, mais elle n’a pas trop d’heures, ne les gaspillons pas, tu as encore tant à découvrir … approche, que je te retire tes bas …
Je veux protester, j’ai envie d’elle maintenant, tout de suite, mais sa bouche sur la mienne m’empêche de répondre, mon bras qui la serre contre moi n’y peut rien, elle se lève, me prends par la main, je la suis …
Claude sort de la salle d’eau … j’ai su plus tard qu’il savait ce qui allait se passer … au moins en partie. Je regarde son sexe, cette queue qui a enfin pris possession de moi, elle est belle même au repos … je sais qu’il me désire comme j’en ai envie … je voudrais me jeter à genoux pour lui redonner vie … Céline, encore elle, me tire par la main et m‘entraîne vers la douche qui coule toujours, collées bouche à bouche, seins contre seins. ventre contre ventre, ses mains sur mes fesses, les miennes sur les siennes … l’eau chaude ruisselle sur nos peaux mêlées … on ne parle pas bien sûr, un baiser qui ne finit pas ça empêche de parler … que c’est bon ! Mais je ressens une petite gêne, de celle qui je le sais, va empêcher le plaisir de m’envahir complètement … cette gêne d’une vessie que je n’ai pas soulagée depuis longtemps … Cette gêne qui a un nom … une envie, celle de faire pipi, qui se veut être satisfaite avant toute autre … il faut … il faut …
- S’il te plaît, laisse-moi aller … pas longtemps … j’ai envie …
- Aller où … tu peux faire ici … avec l’eau qui coule … laisse-toi aller…
J’ai envie mais être dans ses bras me bloque, je veux la repousser, elle me laisse un peu, touche le mitigeur, l’eau devient froide, je frissonne, je sens que je vais y arriver … elle se rapproche … une main sur le bas de mon dos, elle appuie l’autre sur le devant … je ne peux pas me retenir … un jet fort sort entre mes cuisses, juste au moment ou un doigt appuie sur l’urètre … c’est le déluge, je lui fais dans la main … elle ne la retire pas …. au contraire, elle se fait plus insistante … sa main devient caresse … pénétrante … en arrière, deux doigts accompagnent ceux du devant … les dernières gouttes s’écoulent … chaudes sur mes cuisses froides … je voulais me soulager … ce n’est plus ça, une autre envie me fait sienne, celle du plaisir … je ne la retiens pas, pas plus que les bruits qui disent ma jouissance … bruits qui deviennent reconnaissance, par ma bouche collée sur la sienne. Elle m’a fait jouir comme ça … Jamais je n’aurai imaginé … mon préjugé faiblit … je me demande déjà si elle me le refera … et comment le lui rendre …et moi qui me disait jamais … jamais çà …!
Pas de la même manière, mais ça n’a pas tardé ! Elle tourne la manette, l’eau s’arrête, j’ai quand-même la chair de poule … les frissons du froid remplacent ceux du plaisir … elle me fait tourner … d’une poussée dans le dos me fait me courber et guide mes mains sur la barre de maintien à mi-hauteur … j’ai tout naturellement les jambes écartées, ma peau est froide, la sienne aussi … je sens le devant de ses cuisses sur l’arrière des miennes … les poils de sa chatte qui se frottent aux miens … des doigts m’écartent les fesses … et c’est le jet qui m’inonde la raie …. imbibe ma touffe … longe mes lèvres avant de me réchauffer l’intérieur des cuisses et de couler jusqu’à mes chevilles … je suis en train de me faire pisser dessus … j’ai honte, je me sens humiliée … j’en ai les larmes aux yeux, et pourtant … pourtant, je n’arrive pas à protester, je trouve ça presque agréable … et moi qui me disait … …
Derrière moi, c’est fini, ça ne coule plus … Céline se frotte, comme pour s’essuyer, ça me chatouille … j’aime ça …
En tournant la tête, je vois Claude à la porte, il se caresse en nous regardant … il recommence à bander … ça l’excite … je n’ai plus honte … si ça lui plaît, je suis prête à recommencer n’importe quand … je me dis même que j’aimerai que ça vienne de lui, et aussi des deux ensemble, pourquoi pas … mais seulement comme ça ! Je ne crois pas pouvoir supporter autrement, comme écrit dans certaines histoires ! Les recevoir ailleurs …être obligée d’avaler … de les boire…. rien que d’y penser j’ai la nausée …
Céline m’enduit de gel, relève la manette, l’eau d’abord tiède, puis chaude se remet à couler … je suis frottée, frictionnée, partout … partout …. Une odeur de lavande nous enveloppe … y’en a qui disent que c’est pas un parfum de femme … et pourquoi pas … moi en tout cas j’aime bien …
À mon tour! Elle n’a pas besoin de demander, je suis contente de la parcourir de mes mains … de la rendre odorante … surtout de faire mousser la chevelure soyeuse de son ventre … bien rincée … je m’agenouille … Elle … elle m’a déjà fait, pas moi … je veux lui rendre.
… ce léger parfum de lavande mêlé au sien, je n’oublierai jamais … le premier contact de mes lèvres avec un sexe de femme … plaisir dilué par l’eau qui ruisselle … je relève la manette, je veux la goûter, elle toute seule … rien qu’elle …
Mais ce n’est pas moi qui décide.
Deux grandes serviettes chaudes … Claude nous assèche l’une et l’autre et nous ramène vers le lit … tendu d’envie, il nous place côte à côte sur le bord, à genoux, enlacées par le dos … lui, derrière, nous caresse chacune notre tour de sa raideur prometteuse … je le sens près de mes entrées, il est si près, je suis coulante … je l’attends … je me tends vers lui ...Collée à moi, contre mon flanc, Céline gémit et se met à tressaillir par à-coups réguliers … j’ai envie d’en pleurer de rage … c’est elle que mon mari est en train de baiser … il préfère sa tante à sa femme !
Malgré tout, je suis excitée, de ma main libre, je me touche du mieux que je peux pour me donner le plaisir que je me fais voler … je l’entends jouir … avec plein de mots cochons, on dirait qu’elle le fait exprès pour me narguer, et moi, je n’y arrive pas … pourtant je veux … et voilà qu’il se retire d’elle et vient en moi … oh! que c’est bon de le sentir … je laisse quand-même mes doigts … je le sens glisser dessus … quelques coups seulement et il me remplit … je n’ai pas eu le temps de jouir …
Frustrée, prostrée, la tête sur le lit je veux continuer toute seule … il s’est retiré tout de suite, mais je sens une main … des doigts qui le remplacent, qui me pénètrent … une autre main qui me soulève la tête, je vois un pénis brillant de sperme qui s’approche … je le prends dans ma bouche, pendant que les doigts de Céline qui l’ont remplacé me donnent ce que j’attendais de lui … Finalement, je suis comblée … même si c’est par la main de Céline … et pour la première fois, j’ai été pleine de lui … il s’est fini dans moi … au fond de mon sexe …
Quelques mots, quelques baisers, nous nous laissons aller, le sommeil nous prend …
Une voix me réveille, et un léger bruit … Claude au téléphone, et le glissement des anneaux d’un rideau qui s’ouvre, dévoilant une fenêtre … les premières lueurs du petit matin …Dans cette demi-lumière, je vois la silhouette de Céline, nue, qui s’y découpe … tout me revient, depuis que nous sommes arrivés … je suis femme, toute entière … je suis tout … de partout … je ne me suis pas une fois demandé l’heure qu’il était … ce n’était toujours que celle de l’envie et du plaisir … un homme … une femme, qui se sont servis de moi … qui ont joui de me rendre heureuse … ce doit être çà le paradis ! … je voudrais que ça dure tout le temps …
Des coups à la porte, une voix, je la reconnais, celle de Nadia ... la soubrette ...
- Vôtre petit déjeuner messieurs dames … c’est tout ! On entend l’autre porte se refermer, elle est partie.
En peignoirs, nous allons dans l’antichambre …des céréales, des œufs bacon jambon, des rôties, beurre, confitures, marmelade, thé, café … bon petit déjeuner classique … j’avais faim, je mange de bon appétit … puis d’un seul coup, je bloque, ça me roule dans la bouche, je ne suis plus sur mon nuage ! Après tout ce qui s’est passé, nous sommes là, en train de manger, parlant peu, comme n’importe quel matin ordinaire … c’est pourtant le matin de ma nuit de noce, passée avec mon mari et une autre femme …après tout ce que nous avons fait … comme si c’était normal, subitement, j’étais inquiète de l’avenir …j’avais aimé justement, c’est vrai, mais ça ne pouvait quand-même pas être toujours comme ça ! J’ai parlé, j’ai dit mes pensées, puis, assise sur un divan entre Claude et Céline, j’ai dû les écouter …eux ont parlé, et j’ai su ce que serait ma vie … avec EUX !!
Je serai l’épouse de Claude et la « partenaire » des deux !! Et Claude m’a dit !!
Je ne me souviens pas … un jour, ou peut-être plusieurs, j’ai dû oublier de cacher ce que j’appelais le petit journal de mes rêves, rempli juste de çà, mes rêves, pas d’insignifiances journalière, non … mais de mes rêves de plaisir, d’érotisme, de sodomie … de mes entretiens avec mes doigts, mes jouets … des frissons et des orgasmes que j’anticipais …
Donc, j’ai dû oublier, et il l’a vu, et l’a lu … et ce matin-là, il m’a raconté …
Il m’a raconté qu’après avoir « lu » mes secrets, il était convaincu que j’étais la femme de sa vie … de LEURS vies !! Que je serai l’épouse idéale pour eux deux … l’épouse toute prête à être façonnée à leurs goûts pour une vie à trois. Ils savaient mes envies d’autre chose quand je le masturbais, mais attendaient que je devienne le fruit mûr qu’ils n’auraient plus qu’à déguster.
Elle, à 24 ans, toute jeune mariée, avec un mari qui s’est révélé quasi impuissant, avait succombé à l’envie d’être l’initiatrice de son neveu de 18 ans … initiation qui s’est transformée en liaison durable … du partage de fantasmes communs. Elle est devenue BI, ... et lui un peu aussi … mais que dans un sens ! Les fantaisies, les échanges … à trois, ou plus, c’était devenu la norme de leur vie sexuelle. Le mari, tout aussi naïf que couilles molles, n’a pas vu venir la séparation, ni compris le pourquoi … après à peine plus de deux ans !
Ensuite, il a quand-même fallu faire attention, être discrets, car on les voyait souvent ensemble, de vagues rumeurs voguaient dans l’entourage, complaisamment relayées par des (pas tant que ça) mauvaises langues … par chez nous, même si elles colportent des vérités, on appelle ça des langues sales !!
Un jour, chez des amis communs, nous avons fait connaissance, je les ai trouvés drôles et agréables, nous avons sympathisé. Je me suis mise à le trouver beau … de plus en plus … je pensais à lui, solitaire dans mes plaisirs, mon lit me semblait trop grand … je ne demandais qu’à être séduite.
Premier vrai rendez-vous, en septembre, et à part le plaisir par nos mains, rien jusqu’au mariage en Mai … et c’est seulement ce jour-là que j’ai compris, assise sur le divan !! Ils avaient attendu avant de se dévoiler. Je me suis sentie bien, les révélations des dernières heures ne resteraient pas que des souvenirs, il y aurait des lendemains … beaucoup … Je savais que je serai heureuse.
J’étais à lui, et à elle aussi … nous étions à nous … le bonheur peut-être !
Les robes de chambres s’ouvrirent et tombèrent … quatre mains et deux bouches … j’étais couverte de baiser et de caresses. Céline me mit une main sur le sexe de Claude qui recommençait à bander, puis elle me fit mettre à genoux sur le divan, et d’une main en arrière de la tête me dirigea vers lui pour que je le prenne … ma bouche l’enroba et ses mains me tenant par les cheveux rythmaient le va et vient, doucement … je lui tenais les testicules à poignée, comme si je ne voulais pas qu’il se retire … il allait profond, il fallait que je me recule pour respirer … une main de Céline me caressait les seins , l’autre le bas de mon ventre et l’intérieur de mes cuisses … je voulais la toucher moi aussi de ma main libre … mais elle n’était pas assez près, j’ai voulu quand-même, d’un petit mouvement à gauche … mon genou au bord du divan a glissé, et je suis tombée sur le tapis … plus rien dans la main ni dans la bouche, ni plus bas !!
J’étais confuse. On a ri quand-même, pas longtemps … ça ne pouvait pas se terminer comme ça !
La virilité de Claude n’était pas ramollie, et Céline que j’avais enfin réussi à toucher était mouillée. En tombant, j’avais sans le vouloir hâté la suite.
Sur le tapis, Céline allongée, jambes repliées, cuisses écartées; Claude m’a placée à genoux au milieu … a guidé ma tête sur son ventre … pas besoin de me dire … mes mains ont écarté ses lèvres, excitée de son parfum, j’y colle les miennes et je la lèche, je la déguste, son ventre se soulève … ses fesses aussi, toujours bouche soudée à son sexe, je glisse mes mains dessous pour les écarter et y faire aller un doigt que j’enfonce un peu, comme elle m’avait fait … j’avais trouvé ça si bon !
En même temps, Claude s’occupait de moi de la même manière … un doigt, puis deux … il me préparait … j’ai senti une main sur une fesse, qui guidait sa verge au seuil de ma petite entrée … j’ai aussi senti l’autre main qui prenait le coulant de ma chatte pour la lubrifier … la pénétration qui commençait et ses deux mains sur mes hanches qui me tenaient fermement pendant qu’il progressait, lentement … lentement, mais sans temps d’arrêt jusqu’à ce qu’il soit soudé à moi.
Il bougeait sans va et vient, doucement, en tournant, je sentais ses couilles rouler entre mes fesses, comme des boules de massage … au bord de l’orgasme j’ai un peu relevé la tête , aussitôt les jambes de Céline me l’ont entourée pour me ramener vers elle … j’étais enserrée entre ses cuisses … j’ai joui comme ça, la figure presque écrasée sur son sexe mouillé … la pression de ses jambes qui me tenaient contre elle et les mouvement de son bassin … ses gémissements qui augmentaient … des signes qu’elle aimait ce que je lui faisais … j’allais la faire jouir, ce serait la première fois !
Claude s’est mis à bouger, à coulisser en moi, plus fort, plus vite, marquant des arrêts, puis repartant, le plaisir me gagnait à nouveau, et il s’est retiré … encore cette sensation de vide …d’être ouverte, de l’air qui me pénètre … il ne fait que changer d’entrée, et là, il me prend
vraiment comme un femme, sa femme, plus longtemps que la première fois, me menant jusqu’à ma vraie première jouissance « normale » … et la sienne est venue, dans mon ventre, impétueuse, frapper tout au fond !
Et là, j’ai eu d’autres idées … semence, utérus, bébé, d’autres espérances, d’autres joies !
Céline a exprimé aussi son plaisir, sans retenue, avec des bruits et des mots.
Elle a libéré ma tête, toutes les deux, allongées sur le tapis, elle a recueilli de deux doigts un peu de ce qui coulait de mon sexe, l’a mis sur mes lèvres et m’a embrassée, puis j’ai fait pareil sur les siennes … nous nous sommes encore embrassées, puis Claude s’est allongé entre nous et nous avons goûté ensemble, sur lui, ce que nous venions de partager par nos mains et nos bouches.
Nous venions de jouir tous les trois ensemble, en même temps, était-ce un signe, pas seulement du plaisir partagé, mais de l’amour … du bonheur ? J’y ai cru …
Lui et elle dans moi, lui dans nous-deux, et tout le reste … il m’en restait encore beaucoup à apprendre !
Je vous dirai, plus tard …
NAT-LM - 01/2014
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle écriture en espérant que vous sévirez très longtemps sur HDS
Toujours aussi gracieux, charmant, et troublant aussi biensûr. Une toujours aussi belle écriture pour une belle initiation.
Continuez, et à bientôt j'espère.
Continuez, et à bientôt j'espère.