pisse
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2010 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
pisse
Encore deux verres, et on va pouvoir passer au plan pisse.
On va à la chambre où elle enfile une jolie culotte transparente. On va à la cuisine. Elle est spacieuse, j’ai poussé la table et les chaises, et ai installé la petite piscine gonflable, vide bien sûr, avec la bâche en dessous. On enjambe le rebord, elle est debout jambes serrées, moi accroupi devant elle la tenant par les hanches.
- Pisse salope, pisse. Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps j’espère cet instant.
Pisse, dépêches toi.
Elle ouvre doucement les vannes, pisse quelques secondes et stoppe. (il faut qu’on pisse très souvent et très peu pour faire durer le plaisir.) Je suis émerveillé.
- Ohhhh ! C’est beau. C’est magnifique ta culotte qui s’emplit d’urine. Génial.
Puis je plaque ma gueule sur son slip et m’y frotte faisant dégouliner son liquide sur ses cuisses. Je me dégage, elle reremplit sa culotte, écarte les jambes. Je me place sous elle, elle écarte le tissu entre ses cuisses d’un coup sec, et je reçois sa flaque sur la gueule, chaude et odorante. J’enlève sa culotte, la trempe au sol, la tiens au dessus de mon visage penché en arrière, et la fais descendre entièrement dans ma bouche. Je la mâche pour savourer et la retire. J’en ai plein la bouche et je crache tout sur les seins.
- Salope, elle pue ta pisse, et j’aime ça. A ton tour maintenant, tu vas faire tout ce que j’ai fait.
J’enfile sa culotte, à elle de jouer. Elle répète tout à la perfection et je lui roule une longue pelle pour la féliciter.
Je me remets à genoux devant elle, elle est nue, je prends son jet doré direct dans la bouche et le remonte jusqu’à sa source. Elle stoppe net. Je reste un instant collé à elle dans la chaleur de son con, puis me retire et crache tout sur sa chatte. – Salope.
C’est à son tour. Ma queue grosse et molle trempe dans sa bouche pleine de ma liqueur, tandis qu’elle me pelote les valseuses. Elles pendent très bas tellement mes bourses gonflées sont devenues flasques après avoir déchargé généreusement, deux fois, dans son cul de chienne salace.
- Elles te plaisent mes couilles, bouge pas je vais te faire les bouffer.
Il y a quelques ustensiles dans la piscine et je prends un verre large. Je réalise qu’on n’a pas bu et je nous sers un grand verre. Il faut qu’on boive encore au fur et à mesure que l’on se vide.
Je reprends le large verre et pisse dedans. Elle est assise penchée en arrière, bouche ouverte. Je suis au dessus d’elle, trempe mes joyeuses dans le verre puis dans sa bouche, le verre, la bouche, un bon nombre de fois. Puis je vide le verre dans sa bouche, y plonge mes couilles et la maintiens contre moi, ne me retirant qu’au dernier moment pour lui éviter d’avaler.
On va maintenant se pisser dans le cul. Elle est penchée en avant le plug dans l’anus. Je l’enlève et la fouille avec une cuillère pour récupérer mon foutre et lui faire bouffer. Ce serait dommage de gaspiller. Puis je la masturbe pour bien l’ouvrir et pouvoir enfouir ma bite souple. On n’a finalement pas beaucoup pisser jusqu’à présent, et là j’ai vraiment besoin de me soulager. Je me soulage entre ses reins et elle manifeste son plaisir. Son trou est plein, çà déborde et mon urine se renouvelle en elle. Je me retire, et elle pisse par le cul pour le vider.
- Ahhhh ! Ca va mieux. Cette envie que j’avais. Salope tu n’es pas qu’un vide couilles, tu es une décharge.
Je me force à boire deux grands verres d’eau, et elle va pouvoir se soulager à son tour.
Je me mets à quatre pattes et lui autorise un doigt, mais surtout sa langue pour m’ouvrir légèrement l’œillet et y fourrer l’embout d’un entonnoir. C’est fait et je sens son urine bien chaude se répandre en moi. C’est bon. Son jet est si puissant que le trop plein ne peux remonter dans l’entonnoir et s’écoule sur mes cuisses. Elle se retire, se met à genoux bouche ouverte pour que j’y vide mon cul plein de son urine. Elle boit aussi deux verres d’eau.
On est prêt pour le 69 de pisse, sauf que je bande. Nos scènes de lavement m’ont trop excité, et il faut que je la farcisse à nouveau. J’ai envie d’enculer son fion plein de pisse. Je prends une éponge, l’entonnoir, une bouteille vide et la remplis avec le fonds de la piscine. Elle est à quatre pattes et je la monte, comme un chien monte une chienne. Je me retire régulièrement pour remplir son tuyau avant de la reprendre de plus belle. Je renouvelle la séance jusqu’à vider la bouteille. Je me déchaîne la faisant gueuler ses encouragements à l’enculer plus fort, puis je me retire :- Tournes toi salope, donnes moi ta bouche. Dépêches toi traînée, je vais jouir.
Elle me prend en bouche et me suce.
- Ohhhh ! Ouihhh ! Tu es bonne salope, pute gourmande. C’est bon de se faire pomper par une enculée, et de savoir que je n’ai pas à faire gaffe, à me retenir, sauf pour prolonger mon plaisir. Je peux jouir quand je veux, sans te prévenir, gicler, éjaculer, décharger, vidanger, me soulager, vider mes couilles, balancer la purée, me dégorger le poireau. Je sais que la putain que tu es ne va pas s’en émouvoir, bien au contraire. Tu ne demande que çà, bouffer du sperme, avaler du foutre, engloutir de la semence de mecs, encore et encore, jusqu’à plus soif et au-delà. SALOPE !
Je jouis sans retenue, elle gobe tout et me nettoie.
J’ai envie de pisser et elle aussi.
On se couche en 69 sur le fonds de la piscine tout couvert de nos urines. On est couchés sur le côté, jambes repliées, la gueule entre les cuisses de l’autre, et on y contient juste.
Il nous reste prés de deux litres à éliminer, mais mécaniquement ça ne se fait pas tout seul. Par moment on a très envie, mal au ventre et ça ne vient pas. Puis c’est la libération.
On reste ainsi plus d’une heure à pisser l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, en alternance avec fellation et cunnilingus. Si nos premiers jets étaient foncés et odorants, leur couleur et senteur s’atténuent peu à peu, et on échange une urine claire, légèrement colorée, délicatement parfumée. On se boirait presque.
On se relève, et on se roule d’interminable pelles goulues le temps que nos corps s’égouttent.
Puis on enfile des tongs pour aller prendre une douche.
On se lave réciproquement, très intimement et elle en profite pour me masturber.
- Baise- moi- Désolé mais je n’en peux plus.
- J’ai la chatte en feu, tu ne vas pas me laisser comme çà.
- Je te jure, je suis crevé. Je t’ai quand même prise trois fois !
- Oui mais toujours dans le cul, à part une petite visite devant.
- C’est vrai mais trois fois c’est le maximum- Viens dans la chambre, et laisse moi faire. Tu vas battre ton record.
Je suis sur le dos, elle me branle pour me faire raidir un peu, puis m’enfourche, glisse ma queue dans sa fente, et me monte, me chevauche sans ménagement.
- Alors mon salaud, ça te plait de prendre les femmes de force. Tu vas voir ce que ça fait. Tu vas demander grâce mais je vais te baiser à fonds, jusqu’à sentir ton foutre dans mon ventre. Jouis, salaud, jouis, inonde moi, éteins mon feu salopard. Tu es pédé ou quoi ?
Elle multiplie les injures, et je comprends qu’elle cherche à m’énerver pour se faire prendre sauvagement. Elle a gagné. On bascule et je suis sur elle. Je l’éclate, la défonce, la burine, la matraque, la pilonne sans écouter ma fatigue réelle. Elle va me payer certaines de ses insultes, salope. Pour le coup c’est elle qui demande grâce, mais je m’en fous. Je la baise sans relâche et finis par jouir alors qu’elle hurle de plaisir. Je lui donne ma queue à sucer, ramasse son string et lui enfonce dans la chatte.
- Rhabille toi, sans toucher à ton huître. Je veux que tu gardes mon sperme en toi, en souvenir du pédé.
Il nous reste encore tout l’après midi, et j’ai peur de ne pas être à la hauteur.
A suivre………………….
On va à la chambre où elle enfile une jolie culotte transparente. On va à la cuisine. Elle est spacieuse, j’ai poussé la table et les chaises, et ai installé la petite piscine gonflable, vide bien sûr, avec la bâche en dessous. On enjambe le rebord, elle est debout jambes serrées, moi accroupi devant elle la tenant par les hanches.
- Pisse salope, pisse. Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps j’espère cet instant.
Pisse, dépêches toi.
Elle ouvre doucement les vannes, pisse quelques secondes et stoppe. (il faut qu’on pisse très souvent et très peu pour faire durer le plaisir.) Je suis émerveillé.
- Ohhhh ! C’est beau. C’est magnifique ta culotte qui s’emplit d’urine. Génial.
Puis je plaque ma gueule sur son slip et m’y frotte faisant dégouliner son liquide sur ses cuisses. Je me dégage, elle reremplit sa culotte, écarte les jambes. Je me place sous elle, elle écarte le tissu entre ses cuisses d’un coup sec, et je reçois sa flaque sur la gueule, chaude et odorante. J’enlève sa culotte, la trempe au sol, la tiens au dessus de mon visage penché en arrière, et la fais descendre entièrement dans ma bouche. Je la mâche pour savourer et la retire. J’en ai plein la bouche et je crache tout sur les seins.
- Salope, elle pue ta pisse, et j’aime ça. A ton tour maintenant, tu vas faire tout ce que j’ai fait.
J’enfile sa culotte, à elle de jouer. Elle répète tout à la perfection et je lui roule une longue pelle pour la féliciter.
Je me remets à genoux devant elle, elle est nue, je prends son jet doré direct dans la bouche et le remonte jusqu’à sa source. Elle stoppe net. Je reste un instant collé à elle dans la chaleur de son con, puis me retire et crache tout sur sa chatte. – Salope.
C’est à son tour. Ma queue grosse et molle trempe dans sa bouche pleine de ma liqueur, tandis qu’elle me pelote les valseuses. Elles pendent très bas tellement mes bourses gonflées sont devenues flasques après avoir déchargé généreusement, deux fois, dans son cul de chienne salace.
- Elles te plaisent mes couilles, bouge pas je vais te faire les bouffer.
Il y a quelques ustensiles dans la piscine et je prends un verre large. Je réalise qu’on n’a pas bu et je nous sers un grand verre. Il faut qu’on boive encore au fur et à mesure que l’on se vide.
Je reprends le large verre et pisse dedans. Elle est assise penchée en arrière, bouche ouverte. Je suis au dessus d’elle, trempe mes joyeuses dans le verre puis dans sa bouche, le verre, la bouche, un bon nombre de fois. Puis je vide le verre dans sa bouche, y plonge mes couilles et la maintiens contre moi, ne me retirant qu’au dernier moment pour lui éviter d’avaler.
On va maintenant se pisser dans le cul. Elle est penchée en avant le plug dans l’anus. Je l’enlève et la fouille avec une cuillère pour récupérer mon foutre et lui faire bouffer. Ce serait dommage de gaspiller. Puis je la masturbe pour bien l’ouvrir et pouvoir enfouir ma bite souple. On n’a finalement pas beaucoup pisser jusqu’à présent, et là j’ai vraiment besoin de me soulager. Je me soulage entre ses reins et elle manifeste son plaisir. Son trou est plein, çà déborde et mon urine se renouvelle en elle. Je me retire, et elle pisse par le cul pour le vider.
- Ahhhh ! Ca va mieux. Cette envie que j’avais. Salope tu n’es pas qu’un vide couilles, tu es une décharge.
Je me force à boire deux grands verres d’eau, et elle va pouvoir se soulager à son tour.
Je me mets à quatre pattes et lui autorise un doigt, mais surtout sa langue pour m’ouvrir légèrement l’œillet et y fourrer l’embout d’un entonnoir. C’est fait et je sens son urine bien chaude se répandre en moi. C’est bon. Son jet est si puissant que le trop plein ne peux remonter dans l’entonnoir et s’écoule sur mes cuisses. Elle se retire, se met à genoux bouche ouverte pour que j’y vide mon cul plein de son urine. Elle boit aussi deux verres d’eau.
On est prêt pour le 69 de pisse, sauf que je bande. Nos scènes de lavement m’ont trop excité, et il faut que je la farcisse à nouveau. J’ai envie d’enculer son fion plein de pisse. Je prends une éponge, l’entonnoir, une bouteille vide et la remplis avec le fonds de la piscine. Elle est à quatre pattes et je la monte, comme un chien monte une chienne. Je me retire régulièrement pour remplir son tuyau avant de la reprendre de plus belle. Je renouvelle la séance jusqu’à vider la bouteille. Je me déchaîne la faisant gueuler ses encouragements à l’enculer plus fort, puis je me retire :- Tournes toi salope, donnes moi ta bouche. Dépêches toi traînée, je vais jouir.
Elle me prend en bouche et me suce.
- Ohhhh ! Ouihhh ! Tu es bonne salope, pute gourmande. C’est bon de se faire pomper par une enculée, et de savoir que je n’ai pas à faire gaffe, à me retenir, sauf pour prolonger mon plaisir. Je peux jouir quand je veux, sans te prévenir, gicler, éjaculer, décharger, vidanger, me soulager, vider mes couilles, balancer la purée, me dégorger le poireau. Je sais que la putain que tu es ne va pas s’en émouvoir, bien au contraire. Tu ne demande que çà, bouffer du sperme, avaler du foutre, engloutir de la semence de mecs, encore et encore, jusqu’à plus soif et au-delà. SALOPE !
Je jouis sans retenue, elle gobe tout et me nettoie.
J’ai envie de pisser et elle aussi.
On se couche en 69 sur le fonds de la piscine tout couvert de nos urines. On est couchés sur le côté, jambes repliées, la gueule entre les cuisses de l’autre, et on y contient juste.
Il nous reste prés de deux litres à éliminer, mais mécaniquement ça ne se fait pas tout seul. Par moment on a très envie, mal au ventre et ça ne vient pas. Puis c’est la libération.
On reste ainsi plus d’une heure à pisser l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, en alternance avec fellation et cunnilingus. Si nos premiers jets étaient foncés et odorants, leur couleur et senteur s’atténuent peu à peu, et on échange une urine claire, légèrement colorée, délicatement parfumée. On se boirait presque.
On se relève, et on se roule d’interminable pelles goulues le temps que nos corps s’égouttent.
Puis on enfile des tongs pour aller prendre une douche.
On se lave réciproquement, très intimement et elle en profite pour me masturber.
- Baise- moi- Désolé mais je n’en peux plus.
- J’ai la chatte en feu, tu ne vas pas me laisser comme çà.
- Je te jure, je suis crevé. Je t’ai quand même prise trois fois !
- Oui mais toujours dans le cul, à part une petite visite devant.
- C’est vrai mais trois fois c’est le maximum- Viens dans la chambre, et laisse moi faire. Tu vas battre ton record.
Je suis sur le dos, elle me branle pour me faire raidir un peu, puis m’enfourche, glisse ma queue dans sa fente, et me monte, me chevauche sans ménagement.
- Alors mon salaud, ça te plait de prendre les femmes de force. Tu vas voir ce que ça fait. Tu vas demander grâce mais je vais te baiser à fonds, jusqu’à sentir ton foutre dans mon ventre. Jouis, salaud, jouis, inonde moi, éteins mon feu salopard. Tu es pédé ou quoi ?
Elle multiplie les injures, et je comprends qu’elle cherche à m’énerver pour se faire prendre sauvagement. Elle a gagné. On bascule et je suis sur elle. Je l’éclate, la défonce, la burine, la matraque, la pilonne sans écouter ma fatigue réelle. Elle va me payer certaines de ses insultes, salope. Pour le coup c’est elle qui demande grâce, mais je m’en fous. Je la baise sans relâche et finis par jouir alors qu’elle hurle de plaisir. Je lui donne ma queue à sucer, ramasse son string et lui enfonce dans la chatte.
- Rhabille toi, sans toucher à ton huître. Je veux que tu gardes mon sperme en toi, en souvenir du pédé.
Il nous reste encore tout l’après midi, et j’ai peur de ne pas être à la hauteur.
A suivre………………….
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une très bonne histoire de pisse. A l'extrème, mais j'adore. j'ai souvent rêvé des scènes plus ou moins semblables. mais j'étais seul. A ma décharge, j'ai souvent bu quelques verres de ma propre pisse, plusieurs à la suite, même, quand il s'agit de la pisse très concentrée du matin. Et un jour que j'étais seul, je me suis amusé à mesurer quelle quantité je pouvais ingurgiter dans un temps donne: 1.38 litres en une heure! Bien sûr, il a fallu boire beaucoup, mais c'est quand même pas mal.
Je me suis lancé un autre défi, non encore réalisé, savoir combien de fois je pouvais boire ma propre pisse. C'est sûrement pour bientôt.
Je me suis lancé un autre défi, non encore réalisé, savoir combien de fois je pouvais boire ma propre pisse. C'est sûrement pour bientôt.
J ai deja fait des jeux uro avec une partenaire, on se pisse mutuellement en bouche et on adorent. Lire ton histoire ma fait bander et obliger a me branler et cracher ma semence.
vraiment superbe je bande et me branle en revant que c'est moi
Je viens de me masturber seule devant votre histoire. Trop excitant ca donne envie mais je n'oserai jamais franchir le pas.
Merci quand meme j'ai pu jouir pendant que mon fiancé dors.
Merci quand meme j'ai pu jouir pendant que mon fiancé dors.
je deja branler mon mec il a pisser entre mes sein
j'amerais bien sucer du foutre
franchment ton histoire est trop forte. J'en n'ai la culotte toute mouillée. J'aimerais
tant que mon mec me fasse tout sa et me prenne de force ensuite. Ouah quel delire, j'en
suis toute retournée. Bravo continue
tant que mon mec me fasse tout sa et me prenne de force ensuite. Ouah quel delire, j'en
suis toute retournée. Bravo continue
g bien bander
j'aime bien ca moi!
trés belle histoire, bien racontée à lire et à relire, elle donne envie de se masturber