Plaisir sous la douche - histoire érotique

J'ai rencontré par le biais d'une annonce un mec de 45 ans marié, bi, père de trois enfants qui aime se faire prendre, à ses heures perdues. Il bosse de nuit et de ce fait, il vit en décalé. Le première fois que nous avons fait un plan cul ensemble, il a bien kiffé mon morceau. Il faut dire que j'ai entre les jambes un 19 cm sur 5 qui bande bien, et qui n'est pas fainéant à la tache. Pour la rencontre , une simple annonce sur un site connu et il réponds à ma demande. Moi je suis essentiellement actif mais j'aime aussi me faire prendre. Echanges de mails et de photos et le rencard est fixé.
Un peu effrayé à la vue de mon engin lors de notre première rencontre, j'ai proposé à Cris un plan douche ensemble. On s'est désapés en se roulant des pelles et en découvrant nos corps réciproques. Celui de Cris mince 1,80 pour 70 kilos tout rasé, seules ses jambes sont poilues, mais un beau petit boule très excitant. Une queue de 17 sur trois et demi environ. Moi 50 ans 1,74 mètre pour 90 kilos. Un peu rond mais poilu de partout, sauf le sexe. On s'est paluché à se faire bander un max, puis sucés et nous sommes allé dans la douche. Idéal pour décontracter un mec. Je l'ai savonné et frotté sur tout le corps, pour en arriver à le doigter. Cris ondule du corps, mon doigt puis un second dans son antre lui font pousser des soupirs de plaisir. Il me tourne le dos pour m'offrir ses fesses. J'en ai trop envie. Je passe ma queue turgescente entre ses deux lobes. Je la prend dans ma main droite et dirige mon gland entre ses fesses. Il recule le gaillard comme s'il la voulait tout entière. Je me faufile entre ses fesses et la mousse du gel douche m'aide. Je le sens se crisper, mais au même moment je rentre lentement. Que son petit cul est étroit. C'est trop bon, j'avance en douceur et il gémit déjà. Tant mon vit le comble.
« oh, ah, ou..ou... oui» souffle t'il
Je commence à aller et venir dans son boyau. Tout en douceur comme pour bien en prendre possession car je ne suis pas encore à la garde. Il remue de la croupe et semble apprécier mon traitement.
« C'est trop bon, ça change des mecs qui veulent juste limer» ajoute t'il
« Christophe, je vais te donner et prendre du plaisir , tu ne vas pas être déçu crois moi»

Et me voilà parti à accélérer la cadence. Il se baisse un peu plus et sa tête frappe la faïence en accompagnant le cadencement de mes hanches.
«Ou...ou....oui» lâche t' il
« oh c'est trop bon»
Il faut dire que je donne des petits va et vient, je m'immobilise et balance de gauche à droite, pour qu'il me sente bien en lui.
«Tu l'aimes ma bite hein, elle te fait trop de bien?»
Il acquiesce et pousse des petits soupirs pour que cela dure encore. J’attrape le pommeau de douche et décide de faire couler l'eau sur son corps, car je le sens frémissant. L'eau chaude le revigore et je chope sa queue par en dessous. Elle a débandée sous l'effet de la pénétration mais je lui triture les burnes et il semble là encore adhérer.
«Tu es fou» me lâche t'il « rien ne t’arrête, tu tiens un max»
Il est vrai que je l'emplafonne depuis au moins une vingtaine de minutes.
Je varie les positions en posant une jambe sur le rebord de la baignoire. Ce qui me donne davantage d'impulsion dans mes coups de hanches, et j'alterne. Il est à point Cris. Il aime trop se faire farcir la rondelle.
Je lui propose de nous sécher. Il dit oui à tout. Nous partons vers la chambre. Je l'installe en levrette sur le rebord du lit. Je repositionne une capote et je rentre sans ménagement dans son trou béant.
Punaise, je l'ai bien éclaté. Je rentre à fond et lui balance des coups rudes comme pour le déboîter. Il accepte sans dire mot. En fait sa façon de miauler me fait savoir qu'il apprécie. J'y vais allégrement pendant une dizaine de minutes, puis je lui demande de s'allonger sur le dos. Je prends ses jambes et les pose sur mes épaules . Nous voilà en missionnaire, et je m'enfonce en lui, avec le plaisir de voir son visage. Il est ailleurs et pourtant tellement présent. Les yeux mi clos , sa mâchoire supérieure pince sa lèvre inférieure. Quel spectacle que de voir un bon mâle, prendre autant de plaisir.
A genoux sur le lit, je m'enfonce un max en lui et ressors presque entièrement pour y revenir puissamment.
J'adore limer longtemps ainsi. J'écarte ses jambes un max avec mes mains pour que mes couilles cognent contre ses fesses, et je sens le contact de sa queue avec mon ventre. C'est exaltant. Je transpire un max et m'éponge de temps à autre avec la serviette que j'avais posée sur le rebord du lit. Car des gouttes de sueur, tombent sur ses épaules. J'ai encore envie de le prendre autrement.
«Lèves toi» lui dis je.
Il s'exécute tel un pantin, je le pousse contre le mur en l'embrassant, il est fébrile et prêt à tout. Je le fais pivoter, ma queue toujours bien bandée et reviens me positionner entre ses fesses. Je me laisse aller lentement, ce sont ses fesses qui reculent vers moi pour engloutir mon sexe, qui force à nouveau sa rondelle. Je me sens de mieux en mieux, pas besoin de lubrifiant, les flocs , flocs que l'on entend sont ceux du préservatif qui glisse un max car il mouille Cris. Il me tend bien ses fesses comme une offrande. Je m'immobilise bien au fond, mais ses glissements sur mon sexe m'obligent à manœuvrer.
Je titille ses pointes de seins bien dures, mais il a un geste de retrait. Je pense que cela lui est trop douloureux. Tant pis , je vais donc choper sa queue que je branle sur toute sa longueur. Il mouille du gland et se tortille de ce traitement.
Je le kiffe ce mec, il aime tellement ça . Je sens son sexe se contracter et le voilà qu'il se vide en râlant de plaisir. Moi j'ai encore plus accentuée la pression sur son sexe mais j'ai ralenti la cadence au premier jet. Son premier cri est strident et libérateur et trois râles suivent les trois jets salvateurs suivant.

Je dessert l'emprise de mon sexe et lui roule une pelle magistrale.
«A toi maintenant» susurre -t'il. En me prenant par la main pour m'allonger sur le lit. Il ôte ma capote, et embouche mon sexe. Et il y va avec ferveur. Partant de mes couilles qu'il mordille en bouche, pour remonter le long de la verge en petites succions. Puis il aspire mon gland en titillant la fente avec sa langue. De façon très suggestive. Il lève les yeux vers moi, pour me faire comprendre qu'il veux mon jus. Je me tortille sur le lit en poussant de petits soupirs. Quel talent, il me fait un bien fou. Sa main gauche épouse ma queue et se met à la branler avec délicatesse. Sa seconde main vient me titiller ma rosette. Il y rentre son majeur et me fouille l'anus. Il ne m'en faut pas plus, le désir monte encore d'un cran, je vais partir. Je ferme les yeux à ce moment là et je sens mon jus monter par saccades.
«Han....an Humm han …. oui Cris c'est trop bon»
Sa bouche avide recueille ma semence. Comme j'aime ce moment ou le désir retombe après avoir libéré cette tension sexuelle intense. Ou le gland devient douloureux si la langue se fait trop pressante. Mais sa bouche se détache et il crache dans la serviette. Et s'allonge à mes cotés, il est tremblant et je le recouvre d'une couverture pour mieux le caresser encore avec mes mains. Il love sa tête contre mon épaule et me dit.
«T'es un fou, tu m'as vidé, jamais quelqu'un m'a fait vivre cela»
Il faut savoir profiter de tels moments d'exception.