PLAN TRIO POUR UN APRES MIDI TRIO...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PLAN TRIO POUR UN APRES MIDI TRIO...
J’avais répondu sans trop y croire à l’annonce d’un couple sur un magazine spécial rencontre libertine. Il recherchait un jeune homme afin de découvrir le triolisme. Quelques semaines plus tard, ce fut la femme qui me répondit par l‘intermédiaire d‘un courrier. Ses photos à demi dénudée m’enchantaient. Dans sa lettre, elle m’expliquait qu’elle voulait que je leur écrive une aventure où nous serions tous trois réuni. Mon histoire avait dû beaucoup leur plaire car ils me fixèrent un rendez-vous. Et, à leur domicile. Nos foyers étaient séparés environ cent cinquante kilomètres. Ce fut à bord de ma vielle R5, que je fis le déplacement.
Bien trop irréelle cette aventure, me cessais-je de me lamenter en interne. Oscillant depuis mon départ entre érection et débandade, tremblotements et anxiété. Et cela jusqu’à ce que je frappe à la porte et que Nathalie m’accueille.
Elle avait des cheveux ondulés et châtains. Elle était vêtue sagement. Jupe droite crème laissant découverts ses genoux gainés de nylon foncés. Un corsage de la même couleur avec un petit lacet au niveau de sa poitrine ronde et pulpeuse, qui se devinait sous le fin nylon.
Elle me gratifia d'un sourire coquin. M‘invitant de passer le pas de sa porte. Sitôt cette dernière fermé, elle m‘attira à elle. Je me laissais faire. Sans qu’un seul mot ne soit encore prononcer, elle colla ses lèvres aux miennes. J’avais à peine le temps d’étirer la mâchoire que je sentais glisser sa langue. Venant à la rencontre de la mienne. J’avais faim de cette femme. Faim de sa bouche. De tout ce qu’elle cachait sous ses vêtements.
Cette présentation faite, elle me jeta un regard malicieux qui en disait long pour la suite. Sans doute ses seins durcis de plaisir. Toutes les lèvres de son corps enflammées d’allégresse. Elle m’invita de passer dans le salon où le mari m’accueillait. Il me pria de m’installer près de lui sur le divan. Nathalie prenait place en face de nous, sur un fauteuil.
J’en étais sûr maintenant, j’étais bien chez un couple qui rechercher l’aventure. Sans être un ménage bien sur tout rapport ils avaient leurs propres charmes et cela me suffisait pour ce que je m’apprêtais de faire.
Pas de boniment, nous étions rentrés au cœur du sujet. Parlant de cul, de cul et encore de cul sans aucune gêne. Comme pour nous échauffer nos sens. Nathalie de plus en plus chaude, devenait nerveuse sur son fauteuil. Au point de croiser et à décroiser ses jambes. Faisant à chaque fois remontée sa petite jupe pour le plus grand plaisir de mes rétines. Les jambes m’apparaissaient. Gainées de bas très fins tenus par une ravissante porte jarretelle blanc.
- Et si nous passions à autre chose. Fit-elle, très impatiente.
- Oui ! Fit le mari, enlèves ton corsage.
Elle n’attendait que ça. Constituant le meilleur des prétextes pour s’envoyer librement el l’air avec l’approbation totale de son époux. Pigeon. Voilà le mot qui montait direct à mon cerveau.
- Ah oui ! Fit-elle en se levant Elle exhiba ses gros seins. Une paire d’enfer. Lourds et veloutés qui donnaient vraiment envie de les caresser, de les embrasser à pleine bouche.
- Retrousse ta jupe, veux-tu… montre ce que tu caches en dessous… Les cuisses apparaissaient, le slip immaculé qui soulignait le renflement du sexe. Cette Nathalie me faisait tourner la tête. Elle obsédait mon esprit d’idées folles. Ne tenant plus, je n’avais pas pu résister de me lever de ma place, et de m’avancer jusqu’à Nathalie, dont son visage était écarlate. Mais avant de poser mes doigts sur ce corps, je devais avoir la bénédiction du mari. Que je reçus d’un signe de tête. Je passais vicieusement ma main sous l’élastique de la culotte. Mes doigts cheminaient dans la forêt de poils fins et doux, qu’ils tiraient puis faisaient mine de les friser. Continuant leurs chemins, ils trouvèrent le clitoris durci, gorgé de malice, qu’ils dégageaient de son capuchon. Mon majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite. La femme respirait bruyamment, ouvrait et refermait les cuisses. Ses yeux révulsés par la jouissance. Satisfaite de la tête aux orteils.
Mes doigts abandonnaient le bouton devenu trop sensible son petit bouton, pour continuer mon exploration. Ma main avait trouvé la fente et sentit les petites lèvres qui dépassaient, s’ouvraient, puis le trou béant du vagin brûlant. C’était d’abord mon majeur qui pénétra, suivie de l’index et enfin l’annulaire. Ma main opérait alors au plus profond de sa personne. Un massage lent et circulaire. Nathalie remua de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant des bruits obscènes de liquide qui mouillait le fond de la culotte. La femme se donnait à ma main. Poussa de petits cris plaintifs. Écartant ses cuisses tant qu‘elle le pouvait alors que ma masturbation devenait de plus en plus effrénée.
Elle avait joui à plusieurs reprises, avant que je l’allonge sur la table basse. En bois massif. Je profitais de sa position pour la déculotter, la déchausser. Lui massant lentement la voûte plantaire voilée dans du nylon moite de sueur. Elle agita ses orteils odorants. Je me penchais au-dessus, inspirant profondément le fumet qui s’en dégageait. Tout ça sous les yeux ébahi du mari. Je crus défaillir de bonheur. Je n‘avais pas pu m‘abstenir de promener ma langue sur la plante du pied. Un goût de sueur très salé emplissait ma bouche. Je lapais onctueusement ce pied nylonnée, observant la réaction de sa propriétaire, dont les yeux étaient fermés. Semblant être en transe.
Par la suite, vif, et passionné, je plaquais mon visage contre son sexe. Ma langue s‘insinua entre ses lèvres. L’explorant profondément. La léchant comme un animal. Sa fente dégoulinait. Ses cuisses s‘ouvraient. Ses orifices se dilataient. J’étais de plus en plus fougueux, aventureux. Je me défis pour me prendre en main.
Son regard avait changé. Elle était moins sage. Plus cochonne. Et je l’aimais comme cela. Son mari s’en était aperçu et essayer d’intervenir. Mais elle demanda aussitôt de regagner sagement sa place.
- Regarde, toi… je te ferai signe quand j’aurai besoin de toi… Elle voulait être la maîtresse du jeu. Un sourire curieux au coin des lèvres, elle m’ordonna d’approcher mon pénis de ses lèvres. Cette opportuniste semblait disposée à calmer mes pulsions les plus contradictoires à l’aide de sa bouche. Elle commençait par donner quelques coups de langue sur mon gland avant de le recouvrir centimètre par centimètre par ses lèvres. Puis elle gara ma verge entre sa vallée mammaire. Dans le sillon de laquelle elle me masturba comme une diablesse. Avant de me reprendre en bouche. Faisant aller et venir mon gland un coup entre ses lèvres, un coup entre ses seins, tout en entourant l’extrémité de ma verge entre le pouce et l’index. Malaxant habilement mes testicules. Son mari, lui était au bord de l’extase.
Puis elle se mit à me sucer avec frénésie. Faisait aller et venir ma queue bien au fond de sa gorge. Gonflant et dégonflant ses joues, avant de m’aspirer et de me relâcher. Mon corps se contracta. Je gémissais en me vidangeant dans sa bouche. Nathalie était heureuse de me boire. Elle prit même la peine de lécher les dernières gouttes qui sortaient du méat, alors que son époux activait sa main sur sa belle queue.
Nous attendions qu’il jouisse pour nous accorder une petite pause. Jusqu’à ce que Nathalie insatiable se mette debout face à moi, elle me présentait maintenant les fesses. Elle se trémoussait un court moment avant de se retourner pour me faire face. Faisant balloter ses seins au rythme de sa cadence. Je ne résistais pas au plaisir de les prendre en main tellement ils étaient gros et soyeux. Je les caressais. Je tirai sur les tétons qui se mettaient à durcir.
Maintenant, c’était à mon tour de diriger la manœuvre. Et pour cela je lui demandais de prendre place sur la table basse. Je me plaçais à genoux derrière elle pour la prendre en levrette. Je pointais mon gland à l’entrée de sa vulve béante. Sans rencontrer aucune résistance, je plongeais progressivement ma queue dans la chatte, cognant le fond du vagin. Je me mis à bouger lentement en elle au rythme de ses soupirs. Augmentant peu à peu le rythme de ma cadence. Elle semblait au point de manquer d‘air sous mes assauts brutaux et triviaux. Elle mouillait tellement que je sentais son plaisir coulait le long de mes couilles. Soudain son corps se mettait à vibrer, avant d’être foudroyé par un orgasme.
J’attendais qu’elle reprenne ses esprits pour me retirer de son intimité, ma queue luisante de mouille. Mais c’était sans compter sur la voracité de madame Nathalie, qu‘elle avait pour le sexe. Profitant de ma proximité pour s’emparer de mon gland et le diriger vers sa rosette. Son mari assis sur le divan, me fit comprendre qu’il ne souhaitait pas que je sodomise sa femme. Qui de son côté, lui ordonna de s‘occuper de son cul.
Mon engin s’enfonçait dans son anus dilaté. Fouillant très vite ses intestins à un rythme lascif, mais soutenu. Après un long moment de cette cadence, Nathalie ne tarda pas à hurler son plaisir. Sentant que j’étais sur le point moi-aussi de conclure, elle se mettait à pousser en sens contraire, et cela jusqu‘à ce que je me répande dans ses reins. À ma grande surprise ma troisième jouissance était égale à la première. Aussi forte.
Je l’abandonnais sur la table, allant me laisser tomber dans le fauteuil. Un grand besoin de me refaire une santé. Cette femme était affamée. Mon sperme s’échappait de sa rosette. Coulant le long de sa raie. Elle s’allongea sur la table et ordonna alors à son mari de la nettoyer avec sa langue.
Le tableau était jouissif. Et une nouvelle envie de foutre m’envahissait. À me faire me lever pour me placer debout devant Nathalie. Exigeant d‘elle, qu’elle me reprenne en bouche. Elle hérita d’un sexe mou, qu’elle avala pour le faire devenir fonctionnel. Avec autant d’attention je ne pouvais que retrouver de la vigueur. J’entrepris une nouvelle fois de la baiser. Pour ce faire, le mari s’effaça, me laissant sa place chaude. Heureux de reposer sa langue endolorie. J’orientais entre ses lèvres intimes ma queue turgescente et rouge. Elle me regardait faire, de tous ses yeux.
- Tu es vraiment une bonne petite salope. Disais-je. N’est-ce Pas ?
- Oui… si tu le dis… - Répète : Je suis une bonne petite salope.
Docile, elle répéta.
Je sentais que la fente glissait sous ma verge. Le jus de la chatte chuintait sur dessus. Elle appréciait cette nouvelle pénétration. Pour la première fois, elle décidait de gâter son mari en le pompant. Chacun de mes coups de riens imprimait le tempo et ses succions sur sa queue.
Le visage en feu, les lèvres rouges, meurtries, et d’une voix étouffé, elle nous invita à la prendre en sandwich. Je m’allongeais donc sur le dos, à même la moquette pour qu’elle puisse s’empaler sur ma verge. Ses jolis seins me faisant face. Le mari attendait patiemment l’instant où il pourra prendre possession du cul de sa femme. Le visage qu’il affichait témoignait de son bonheur.
Un peu plus tard, sous nos coups de bites respectifs, Nathalie jouissait. Le mari prit le relai tout de suite après. Grognant son plaisir, alors que Nathalie gigotait de plus belle sur ma verge maintenant à vif. Au point de devenir très douloureuse pour moi. La suppliant de descendre le ma monture.
Complètement essoufflés et épuisés, nous nous affalions sur la moquette et nous nous endormions. Une heure plus tard je me réveillais et la vue du corps fin et imberbe du mari me redonnait une nouvelle et forte érection tout de fois douloureuse. Je posais doucement ma main sur ses fesses et je commençais à le caresser. Après avoir enduit mon sexe de beurre, je plaçais mon gland à l’entrée de son sphincter et m’enfonçais lentement en lui. Constatant qu’il se dilatait, j’entreprenais de le branler de toute ma longueur. Au bout de quelques minutes, sans qu’il est besoin de se toucher il jouissait. Jutant à tout va. Nathalie se réveilla au moment où je déchargeais dans les entrailles de son époux.
La suite ce fut quinze jours sans utiliser ma verge, sauf pour aller pisser…
Bien trop irréelle cette aventure, me cessais-je de me lamenter en interne. Oscillant depuis mon départ entre érection et débandade, tremblotements et anxiété. Et cela jusqu’à ce que je frappe à la porte et que Nathalie m’accueille.
Elle avait des cheveux ondulés et châtains. Elle était vêtue sagement. Jupe droite crème laissant découverts ses genoux gainés de nylon foncés. Un corsage de la même couleur avec un petit lacet au niveau de sa poitrine ronde et pulpeuse, qui se devinait sous le fin nylon.
Elle me gratifia d'un sourire coquin. M‘invitant de passer le pas de sa porte. Sitôt cette dernière fermé, elle m‘attira à elle. Je me laissais faire. Sans qu’un seul mot ne soit encore prononcer, elle colla ses lèvres aux miennes. J’avais à peine le temps d’étirer la mâchoire que je sentais glisser sa langue. Venant à la rencontre de la mienne. J’avais faim de cette femme. Faim de sa bouche. De tout ce qu’elle cachait sous ses vêtements.
Cette présentation faite, elle me jeta un regard malicieux qui en disait long pour la suite. Sans doute ses seins durcis de plaisir. Toutes les lèvres de son corps enflammées d’allégresse. Elle m’invita de passer dans le salon où le mari m’accueillait. Il me pria de m’installer près de lui sur le divan. Nathalie prenait place en face de nous, sur un fauteuil.
J’en étais sûr maintenant, j’étais bien chez un couple qui rechercher l’aventure. Sans être un ménage bien sur tout rapport ils avaient leurs propres charmes et cela me suffisait pour ce que je m’apprêtais de faire.
Pas de boniment, nous étions rentrés au cœur du sujet. Parlant de cul, de cul et encore de cul sans aucune gêne. Comme pour nous échauffer nos sens. Nathalie de plus en plus chaude, devenait nerveuse sur son fauteuil. Au point de croiser et à décroiser ses jambes. Faisant à chaque fois remontée sa petite jupe pour le plus grand plaisir de mes rétines. Les jambes m’apparaissaient. Gainées de bas très fins tenus par une ravissante porte jarretelle blanc.
- Et si nous passions à autre chose. Fit-elle, très impatiente.
- Oui ! Fit le mari, enlèves ton corsage.
Elle n’attendait que ça. Constituant le meilleur des prétextes pour s’envoyer librement el l’air avec l’approbation totale de son époux. Pigeon. Voilà le mot qui montait direct à mon cerveau.
- Ah oui ! Fit-elle en se levant Elle exhiba ses gros seins. Une paire d’enfer. Lourds et veloutés qui donnaient vraiment envie de les caresser, de les embrasser à pleine bouche.
- Retrousse ta jupe, veux-tu… montre ce que tu caches en dessous… Les cuisses apparaissaient, le slip immaculé qui soulignait le renflement du sexe. Cette Nathalie me faisait tourner la tête. Elle obsédait mon esprit d’idées folles. Ne tenant plus, je n’avais pas pu résister de me lever de ma place, et de m’avancer jusqu’à Nathalie, dont son visage était écarlate. Mais avant de poser mes doigts sur ce corps, je devais avoir la bénédiction du mari. Que je reçus d’un signe de tête. Je passais vicieusement ma main sous l’élastique de la culotte. Mes doigts cheminaient dans la forêt de poils fins et doux, qu’ils tiraient puis faisaient mine de les friser. Continuant leurs chemins, ils trouvèrent le clitoris durci, gorgé de malice, qu’ils dégageaient de son capuchon. Mon majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite. La femme respirait bruyamment, ouvrait et refermait les cuisses. Ses yeux révulsés par la jouissance. Satisfaite de la tête aux orteils.
Mes doigts abandonnaient le bouton devenu trop sensible son petit bouton, pour continuer mon exploration. Ma main avait trouvé la fente et sentit les petites lèvres qui dépassaient, s’ouvraient, puis le trou béant du vagin brûlant. C’était d’abord mon majeur qui pénétra, suivie de l’index et enfin l’annulaire. Ma main opérait alors au plus profond de sa personne. Un massage lent et circulaire. Nathalie remua de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant des bruits obscènes de liquide qui mouillait le fond de la culotte. La femme se donnait à ma main. Poussa de petits cris plaintifs. Écartant ses cuisses tant qu‘elle le pouvait alors que ma masturbation devenait de plus en plus effrénée.
Elle avait joui à plusieurs reprises, avant que je l’allonge sur la table basse. En bois massif. Je profitais de sa position pour la déculotter, la déchausser. Lui massant lentement la voûte plantaire voilée dans du nylon moite de sueur. Elle agita ses orteils odorants. Je me penchais au-dessus, inspirant profondément le fumet qui s’en dégageait. Tout ça sous les yeux ébahi du mari. Je crus défaillir de bonheur. Je n‘avais pas pu m‘abstenir de promener ma langue sur la plante du pied. Un goût de sueur très salé emplissait ma bouche. Je lapais onctueusement ce pied nylonnée, observant la réaction de sa propriétaire, dont les yeux étaient fermés. Semblant être en transe.
Par la suite, vif, et passionné, je plaquais mon visage contre son sexe. Ma langue s‘insinua entre ses lèvres. L’explorant profondément. La léchant comme un animal. Sa fente dégoulinait. Ses cuisses s‘ouvraient. Ses orifices se dilataient. J’étais de plus en plus fougueux, aventureux. Je me défis pour me prendre en main.
Son regard avait changé. Elle était moins sage. Plus cochonne. Et je l’aimais comme cela. Son mari s’en était aperçu et essayer d’intervenir. Mais elle demanda aussitôt de regagner sagement sa place.
- Regarde, toi… je te ferai signe quand j’aurai besoin de toi… Elle voulait être la maîtresse du jeu. Un sourire curieux au coin des lèvres, elle m’ordonna d’approcher mon pénis de ses lèvres. Cette opportuniste semblait disposée à calmer mes pulsions les plus contradictoires à l’aide de sa bouche. Elle commençait par donner quelques coups de langue sur mon gland avant de le recouvrir centimètre par centimètre par ses lèvres. Puis elle gara ma verge entre sa vallée mammaire. Dans le sillon de laquelle elle me masturba comme une diablesse. Avant de me reprendre en bouche. Faisant aller et venir mon gland un coup entre ses lèvres, un coup entre ses seins, tout en entourant l’extrémité de ma verge entre le pouce et l’index. Malaxant habilement mes testicules. Son mari, lui était au bord de l’extase.
Puis elle se mit à me sucer avec frénésie. Faisait aller et venir ma queue bien au fond de sa gorge. Gonflant et dégonflant ses joues, avant de m’aspirer et de me relâcher. Mon corps se contracta. Je gémissais en me vidangeant dans sa bouche. Nathalie était heureuse de me boire. Elle prit même la peine de lécher les dernières gouttes qui sortaient du méat, alors que son époux activait sa main sur sa belle queue.
Nous attendions qu’il jouisse pour nous accorder une petite pause. Jusqu’à ce que Nathalie insatiable se mette debout face à moi, elle me présentait maintenant les fesses. Elle se trémoussait un court moment avant de se retourner pour me faire face. Faisant balloter ses seins au rythme de sa cadence. Je ne résistais pas au plaisir de les prendre en main tellement ils étaient gros et soyeux. Je les caressais. Je tirai sur les tétons qui se mettaient à durcir.
Maintenant, c’était à mon tour de diriger la manœuvre. Et pour cela je lui demandais de prendre place sur la table basse. Je me plaçais à genoux derrière elle pour la prendre en levrette. Je pointais mon gland à l’entrée de sa vulve béante. Sans rencontrer aucune résistance, je plongeais progressivement ma queue dans la chatte, cognant le fond du vagin. Je me mis à bouger lentement en elle au rythme de ses soupirs. Augmentant peu à peu le rythme de ma cadence. Elle semblait au point de manquer d‘air sous mes assauts brutaux et triviaux. Elle mouillait tellement que je sentais son plaisir coulait le long de mes couilles. Soudain son corps se mettait à vibrer, avant d’être foudroyé par un orgasme.
J’attendais qu’elle reprenne ses esprits pour me retirer de son intimité, ma queue luisante de mouille. Mais c’était sans compter sur la voracité de madame Nathalie, qu‘elle avait pour le sexe. Profitant de ma proximité pour s’emparer de mon gland et le diriger vers sa rosette. Son mari assis sur le divan, me fit comprendre qu’il ne souhaitait pas que je sodomise sa femme. Qui de son côté, lui ordonna de s‘occuper de son cul.
Mon engin s’enfonçait dans son anus dilaté. Fouillant très vite ses intestins à un rythme lascif, mais soutenu. Après un long moment de cette cadence, Nathalie ne tarda pas à hurler son plaisir. Sentant que j’étais sur le point moi-aussi de conclure, elle se mettait à pousser en sens contraire, et cela jusqu‘à ce que je me répande dans ses reins. À ma grande surprise ma troisième jouissance était égale à la première. Aussi forte.
Je l’abandonnais sur la table, allant me laisser tomber dans le fauteuil. Un grand besoin de me refaire une santé. Cette femme était affamée. Mon sperme s’échappait de sa rosette. Coulant le long de sa raie. Elle s’allongea sur la table et ordonna alors à son mari de la nettoyer avec sa langue.
Le tableau était jouissif. Et une nouvelle envie de foutre m’envahissait. À me faire me lever pour me placer debout devant Nathalie. Exigeant d‘elle, qu’elle me reprenne en bouche. Elle hérita d’un sexe mou, qu’elle avala pour le faire devenir fonctionnel. Avec autant d’attention je ne pouvais que retrouver de la vigueur. J’entrepris une nouvelle fois de la baiser. Pour ce faire, le mari s’effaça, me laissant sa place chaude. Heureux de reposer sa langue endolorie. J’orientais entre ses lèvres intimes ma queue turgescente et rouge. Elle me regardait faire, de tous ses yeux.
- Tu es vraiment une bonne petite salope. Disais-je. N’est-ce Pas ?
- Oui… si tu le dis… - Répète : Je suis une bonne petite salope.
Docile, elle répéta.
Je sentais que la fente glissait sous ma verge. Le jus de la chatte chuintait sur dessus. Elle appréciait cette nouvelle pénétration. Pour la première fois, elle décidait de gâter son mari en le pompant. Chacun de mes coups de riens imprimait le tempo et ses succions sur sa queue.
Le visage en feu, les lèvres rouges, meurtries, et d’une voix étouffé, elle nous invita à la prendre en sandwich. Je m’allongeais donc sur le dos, à même la moquette pour qu’elle puisse s’empaler sur ma verge. Ses jolis seins me faisant face. Le mari attendait patiemment l’instant où il pourra prendre possession du cul de sa femme. Le visage qu’il affichait témoignait de son bonheur.
Un peu plus tard, sous nos coups de bites respectifs, Nathalie jouissait. Le mari prit le relai tout de suite après. Grognant son plaisir, alors que Nathalie gigotait de plus belle sur ma verge maintenant à vif. Au point de devenir très douloureuse pour moi. La suppliant de descendre le ma monture.
Complètement essoufflés et épuisés, nous nous affalions sur la moquette et nous nous endormions. Une heure plus tard je me réveillais et la vue du corps fin et imberbe du mari me redonnait une nouvelle et forte érection tout de fois douloureuse. Je posais doucement ma main sur ses fesses et je commençais à le caresser. Après avoir enduit mon sexe de beurre, je plaçais mon gland à l’entrée de son sphincter et m’enfonçais lentement en lui. Constatant qu’il se dilatait, j’entreprenais de le branler de toute ma longueur. Au bout de quelques minutes, sans qu’il est besoin de se toucher il jouissait. Jutant à tout va. Nathalie se réveilla au moment où je déchargeais dans les entrailles de son époux.
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