Plombier en trio
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2015 dans la catégorie Plus on est
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Plombier en trio
J’entre dans l’appartement pour faire mon installation, la maitresse de maison me reçoit fort gentiment. Le lavabo à changer est, normal dans la salle de bain. Je dois me déplacer pour trouver le robinet d’arrêt d’eau, dans la cuisine de l’autre coté du logement. La maitresse des lieux me précède: je regarde ses fesses qui remuent quand elle marche. Joli popotin où j’égarerais bien mes mains. Elle ouvre le petit placard qui donne accès sous l’évier au robinet. Elle est penchée en avant, les cuisses un peu ouverte qui me laissent voir presque sa culotte. Je regarde plutôt son corps que le robinet. Je lève les yeux: je vois toute sa poitrine: elle ne porte pas de sous vêtement. Pas possible, elle doit le faire exprès. J’avais prévenu de mon arrivée, elle savait donc que je venais. Elle le fait exprès, pas possible. Si dans mon métier j’ai pas mal de tentation, avec elle je ne risque pas de partir sans lui donner un plaisir.
Quand elle veux se relever, elle trouve le moyen de tomber sur les fesses. Elle a l’air bête, ainsi sur le sol, les jambes bien écartées, sa foufoune à l’air. Je ne me gêne pas pour regarder son intimité qui ne me déplait pas du tout. Je pousse l’amabilité jusqu’à tendre ma main pour l’aider.
J’oublie simplement de la lâcher, au contraire, je l’attire vers moi. Elle ne résiste pas longtemps, pourtant je ne m’appelle pas DSK. Avant de lui faire quoique ce soit, je défais les boutons de sa blouse noire. Elle est très attirante dans ce cadre noir, sa poitrine bien apparente, son ventre plat, son pubis à peine velu.
Elle se rend compte que je commence à bander. J’avais envie d’elle avant, maintenant c’est pressant.
Si je m’écoutais je la reverserais sur le table, le dos contre, les jambes bien ouvertes et ma bite sur sa chatte. Je me retiens quand même; Je vais voir si elle va se décider à venir me provoquer.
Sinon…..quoi. Je ne vais pas me jeter sur elle.
Elle doit elle aussi avoir envie de tirer un coup, puisqu’elle vient vers moi, avec un seul pas à faire, c’est vite fait. Sa bouche cherche la mienne. Nos langues sont vite de la partie. Son mari absent ( je sais qu’elle est mariée à cause de l’alliance), elle en profite. Mes mains caressent ce qui est nu: il y en a beaucoup. Je fait tomber son peignoir: elle est parfaitement baisable, par contre je ne sais ce qu’elle vaut pendant l’amour. Je verrai bien. Nous retournons dans la salle de bain, j’ai des outils à y poser. Nous ne dépassons pas la chambre à coucher. Elle fait tomber les bretelles de ma salopette, le reste suit bien sur, je n’ai que mon slip, déformé pas ma queue bandée. Dans l’immédiat c’est-ce qui l’intéresse.
Elle reste assise tranquillement sur le lit, sa tête appuyée contre ma bite. Ses mains sont autour du slip, elles descendent doucement. Elle me libère lentement. Quand je suis nu, elle me prend dans sa bouche. Ses lèvres font quelque aller et retour, pour que ma bite soit encore plus dure. Quand elle arrête, elle me branle remarquablement bien: je sens qu’elle connait son affaire, surtout que je la regarde. C’est excitant de regarder une main de femme vous masturber lentement comme elle.
Elle n’est pas pressée, elle fait trainer et son plaisir et le mien.
J’arrive à me dégager pour à mon tour m’occuper de son sexe. Je passe juste une main vite fait, c’est ma bouche qui va œuvrer. Je prends son clitoris dans la bouche en l’aspirant, ma langue le lèche. Je lui mets deux doigts dans le vagin, sa boite à plaisir. Il me reste une main, je vais en profiter pour savoir si elle aime tout. Je caresse le tour de l’anus. Les résultat m’étonne quand elle jouit presque de suite. Je laisse mes doigts dans son ventre en les faisant aller et venir.
J’entre juste à coté dans son cul. Je n’y ai mis que le doigt qui lui caressait l’anus. J’y ajoute un autre doigt.
Elle commence à gémir. Elle commence à me dire ce qu’elle aime:- Oui, branle moi le clitoris, le con et le cul.
- Tu aimes ce que je te fais;- Tout à l’heure n’oublies surtout pas de me la mettre devant et derrière. Si mon mari était là il pourrait me la mettre au cul, il aime en double pénétration.
- Tu voudrais que ton mari soit là, avec nous ?
- Bien sur il aime quand je baise devant lui.
- J’aurai peur qu’il soit là.
- Ne t’en fais pas, il arrive.
C’est vrai que derrière moi je vois un grand gaillard, nu, avec une bite bien plus grosse que la mienne; Je débande rien qu’en le voyant. Elle n’est pas d’accord, elle me reprend dans sa bouche, devant son mari. Elle me lèche au point de me faire rebander. La mari caresse les seins de sa femme. Il me caresse également le dos. Il ne va pas me la mettre quand même.
C’est lui qui me fait coucher sur le dos, il prend ma bite pour me branler encore; Elle aussi vient l’embrasser et me branler. C’est bien la première fois que l’amante et le cocu caressent la bite de celui qui trompe.
Elle a envie de moi, alors elle se pose sur ma pine, la prend dans une main, le pose juste à l’entrée de son sexe pour s’y laisser peser. C’est elle qui me baise. Elle se couche à moitié sur moi, ouvre ses fesses, donne son cul à son mari. Je sens cette pénétration lente à l’intérieur de son anus. Je la sens de plus en plus. Je me demande qui me baise, lui ou elle. Je sens ce nouveau plaisir monter dans ma colonne vertébrale. Heureusement je ne jouis pas encore;. Par contre elle ne se gêne pas pour jouir plusieurs fois en criant à chaque fois des- Oui, oui, encore, n’arrêtez pas, baisez moi, enculez moi, encore, je jouiiiis.
Nous n’arrêtons nullement, au contraire, nous allons plus vite, trop vite puisque je sens l’autre bite quand elle éjacule.
Je fini par jouir aussi. Je me trouve bête devant ce couple dont je ne désirai baiser que madame.
Elle se trouve entre nous, tient les deux bites dans ses mains, nous embrasse alternativement.
- Alors, mes chéris, vous avez aimé, moi j’ai sacrément bien joui. J’en ai encore envie. Baisez moi une fois de plus.
Je fais ce que je peux: je pose ma main sur sa chatte où je rencontre celle de son mari. Il est sur son cul avant moi. Je me contente du reste: je la branle encore sur le clitoris. Elle ne nous lâche pas les bites: nous bandons encore.
Cette fois changement, elle monte sur son mari se met la bite dans le ventre, se couche sur lui, me demande de venir l’enculer. J’aime bien la sodomie. Je ne me fait pas prier; J’entre profondément dans ses fesses. Je ressens les mêmes impressions que la fois d’avant. Pourtant le cul est plus séré que sa gaine du sexe, je devrais la ressentir plus fort. Je sens toujours la bite du mari contre la mienne. Elle jouit encore et encore, son mari aussi. Je suis encore une fois le dernier à lui donner mon sperme. Il me semble que mes spasmes n’arrêtent pas du tout.
Quand je dois venir dans le quartier, je l’appelle avant, elle se débrouille toujours pour que son mari soit là. Nous sommes devenues copains.
Quand elle veux se relever, elle trouve le moyen de tomber sur les fesses. Elle a l’air bête, ainsi sur le sol, les jambes bien écartées, sa foufoune à l’air. Je ne me gêne pas pour regarder son intimité qui ne me déplait pas du tout. Je pousse l’amabilité jusqu’à tendre ma main pour l’aider.
J’oublie simplement de la lâcher, au contraire, je l’attire vers moi. Elle ne résiste pas longtemps, pourtant je ne m’appelle pas DSK. Avant de lui faire quoique ce soit, je défais les boutons de sa blouse noire. Elle est très attirante dans ce cadre noir, sa poitrine bien apparente, son ventre plat, son pubis à peine velu.
Elle se rend compte que je commence à bander. J’avais envie d’elle avant, maintenant c’est pressant.
Si je m’écoutais je la reverserais sur le table, le dos contre, les jambes bien ouvertes et ma bite sur sa chatte. Je me retiens quand même; Je vais voir si elle va se décider à venir me provoquer.
Sinon…..quoi. Je ne vais pas me jeter sur elle.
Elle doit elle aussi avoir envie de tirer un coup, puisqu’elle vient vers moi, avec un seul pas à faire, c’est vite fait. Sa bouche cherche la mienne. Nos langues sont vite de la partie. Son mari absent ( je sais qu’elle est mariée à cause de l’alliance), elle en profite. Mes mains caressent ce qui est nu: il y en a beaucoup. Je fait tomber son peignoir: elle est parfaitement baisable, par contre je ne sais ce qu’elle vaut pendant l’amour. Je verrai bien. Nous retournons dans la salle de bain, j’ai des outils à y poser. Nous ne dépassons pas la chambre à coucher. Elle fait tomber les bretelles de ma salopette, le reste suit bien sur, je n’ai que mon slip, déformé pas ma queue bandée. Dans l’immédiat c’est-ce qui l’intéresse.
Elle reste assise tranquillement sur le lit, sa tête appuyée contre ma bite. Ses mains sont autour du slip, elles descendent doucement. Elle me libère lentement. Quand je suis nu, elle me prend dans sa bouche. Ses lèvres font quelque aller et retour, pour que ma bite soit encore plus dure. Quand elle arrête, elle me branle remarquablement bien: je sens qu’elle connait son affaire, surtout que je la regarde. C’est excitant de regarder une main de femme vous masturber lentement comme elle.
Elle n’est pas pressée, elle fait trainer et son plaisir et le mien.
J’arrive à me dégager pour à mon tour m’occuper de son sexe. Je passe juste une main vite fait, c’est ma bouche qui va œuvrer. Je prends son clitoris dans la bouche en l’aspirant, ma langue le lèche. Je lui mets deux doigts dans le vagin, sa boite à plaisir. Il me reste une main, je vais en profiter pour savoir si elle aime tout. Je caresse le tour de l’anus. Les résultat m’étonne quand elle jouit presque de suite. Je laisse mes doigts dans son ventre en les faisant aller et venir.
J’entre juste à coté dans son cul. Je n’y ai mis que le doigt qui lui caressait l’anus. J’y ajoute un autre doigt.
Elle commence à gémir. Elle commence à me dire ce qu’elle aime:- Oui, branle moi le clitoris, le con et le cul.
- Tu aimes ce que je te fais;- Tout à l’heure n’oublies surtout pas de me la mettre devant et derrière. Si mon mari était là il pourrait me la mettre au cul, il aime en double pénétration.
- Tu voudrais que ton mari soit là, avec nous ?
- Bien sur il aime quand je baise devant lui.
- J’aurai peur qu’il soit là.
- Ne t’en fais pas, il arrive.
C’est vrai que derrière moi je vois un grand gaillard, nu, avec une bite bien plus grosse que la mienne; Je débande rien qu’en le voyant. Elle n’est pas d’accord, elle me reprend dans sa bouche, devant son mari. Elle me lèche au point de me faire rebander. La mari caresse les seins de sa femme. Il me caresse également le dos. Il ne va pas me la mettre quand même.
C’est lui qui me fait coucher sur le dos, il prend ma bite pour me branler encore; Elle aussi vient l’embrasser et me branler. C’est bien la première fois que l’amante et le cocu caressent la bite de celui qui trompe.
Elle a envie de moi, alors elle se pose sur ma pine, la prend dans une main, le pose juste à l’entrée de son sexe pour s’y laisser peser. C’est elle qui me baise. Elle se couche à moitié sur moi, ouvre ses fesses, donne son cul à son mari. Je sens cette pénétration lente à l’intérieur de son anus. Je la sens de plus en plus. Je me demande qui me baise, lui ou elle. Je sens ce nouveau plaisir monter dans ma colonne vertébrale. Heureusement je ne jouis pas encore;. Par contre elle ne se gêne pas pour jouir plusieurs fois en criant à chaque fois des- Oui, oui, encore, n’arrêtez pas, baisez moi, enculez moi, encore, je jouiiiis.
Nous n’arrêtons nullement, au contraire, nous allons plus vite, trop vite puisque je sens l’autre bite quand elle éjacule.
Je fini par jouir aussi. Je me trouve bête devant ce couple dont je ne désirai baiser que madame.
Elle se trouve entre nous, tient les deux bites dans ses mains, nous embrasse alternativement.
- Alors, mes chéris, vous avez aimé, moi j’ai sacrément bien joui. J’en ai encore envie. Baisez moi une fois de plus.
Je fais ce que je peux: je pose ma main sur sa chatte où je rencontre celle de son mari. Il est sur son cul avant moi. Je me contente du reste: je la branle encore sur le clitoris. Elle ne nous lâche pas les bites: nous bandons encore.
Cette fois changement, elle monte sur son mari se met la bite dans le ventre, se couche sur lui, me demande de venir l’enculer. J’aime bien la sodomie. Je ne me fait pas prier; J’entre profondément dans ses fesses. Je ressens les mêmes impressions que la fois d’avant. Pourtant le cul est plus séré que sa gaine du sexe, je devrais la ressentir plus fort. Je sens toujours la bite du mari contre la mienne. Elle jouit encore et encore, son mari aussi. Je suis encore une fois le dernier à lui donner mon sperme. Il me semble que mes spasmes n’arrêtent pas du tout.
Quand je dois venir dans le quartier, je l’appelle avant, elle se débrouille toujours pour que son mari soit là. Nous sommes devenues copains.
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