Pourquoi ? - histoire érotique

Pourquoi est-tu apparue dans ma vie ? Je me pose encore cette question, tout en connaissant la réponse: à cause de tes envies toujours chaudes. Tu aimes jouir, peut importe comment, mais jouir c'est ta demande perpétuelle. Je sais que les matins je pars avant que tu te réveille et que du te branles à ton réveil. Tu me le dit toujours: tu sais bien que ça m'excite et tu en profites pour être aussi excitée que moi. Le soir, dès le repas terminé tu viens sur mes genoux, sans dessous pour que je te pelote. Tu offre tes seins à ma bouche qui, gourmande te les suce et les tétons durcissent. Tu m'embrasses dans le cou pendant ce temps là. Je te fait enlever ton t-shirt et enfin je peux toucher comme il te plait les seins et surtout le dos. Mes mains commencent à te caresser les épaules et descendant vers le bas. Elles arrivent toujours vers tes fesses. Ah tes fesses. Elle sont taillées comme j'aime et elles donnent accès à ton petit cul: tu aime que j'y loge un doigt qui va-et-vient. De toi même tu enlèves la mini jupe qui ne cache rien pour que mon autre main aille sur ton sexe. J'aime ton con, cause de nos jouissances communes. Je pose ma main sur ton bas ventre et te touche d'abord de part et d'autre de ton antre de plaisir. Je passe ensuite une main entre tes jambes serrées au début et ouvertes de plus en plus au fur et à mesure de ton désir. Je ne touche pas ton bouton: ce sera pour plus tard. Je me contente de te caresser les cuisses et les lèvres de ton sexe. Tu es à la limite de m'imposer ce que tu veux. Mais je ne céderai pas et çà tu le sais. Je sorts le doigt que je t'ai mis dans le cul et je le caresse en tournant autour. Je sens ton cul frémir d'impatience.
Enfin je trouve ton clitoris et le caresse comme tu aimes, sans trop appuyer, lentement, très lentement au début et de plus vite, jusqu'à ce que tu te crispes juste avant de jouir. Je laisse ma main là où elle est: j'attends que tu ai fini de jouir pour recommencer. J'entre à nouveau mon doigt dans ton cul et je l'agite en cadence avec les mouvements de branle: comme tu aimes et tu jouis encore.
Enfin tu sembles découvrir que je bande. Tu sors ma bite de son slip et tu la prends à pleine main. Tu sais bien me branler: tu décalottes mon gland et te le descend vers mes couilles lentement. Tu le remontes vers le haut et de plus en plus vite tu me branles en faisant descendre à fond ta main qui tire à vers le bas toute ma peau. Tu t'arrête un instant et enfin tu remonte très vite pour finir à faire des aller et venues très rapide: tu te penches sur moi et tu attends que je jouisse pour prendre ma queue dans ta bouche. Nous échangeons une baiser et tu me fais toujours goûter mon sperme; comme si je ne le connaissais pas depuis le temps. Tu sais que pendant un moment je ne pourrai pas encore bander. Aussi, tu te lèves et tu présentes ton con devant ma bouche. Je sais ce que tu veut et je satisfais ta demande: je commence à te lécher le con. Tu aimes sentir ma langue sur ton bouton. Je le prends dans ma bouche et en suce juste le bout. Je le laisse et rentre ma langue dans ta vulve. Je trouve toujours le fameux point qui te donne tant de plaisir et envie d'avoir encore plus de jouissance. Je m'attarde sur et dans ton con. J'aime avoir dans ma bouche ton liquide odorant: je ne m'en lasse pas. Enfin je bande de plus en plus. Tu reviens sur mes genoux; tu te mets contre moi, tout contre moi: ton con sur la bite et c'est toi qui la rentre. C'est même toi qui t'agites en cadence jusqu'à ce que tu jouisses. Je sens tes contractions autour de ma bite. Tu jouis plusieurs fois à la suite: tu aime bien sentir ma pine dans ton con: tu me le dit chaque fois.
Enfin tu veux autre chose; que je te mette deux doigts dans le cul pendant que tu te fais baiser. Quand je fais ça tu gémis comme si je te faisait mal: non tu te régales. Tu voudras que ça dure longtemps, très longtemps. Mais moi je veux enfin loger ma queue dans ton cul. Tu te tournes et je suis toujours assis et tu me présentes tes fesses que tu ouvres avec tes mains. Tu sait ce qui va arriver: tu l'espère même. Doucement tu pose ton petit trou sur ma bite: enfin c'est toi qui décide du moment où tu vas recevoir ma pine au cul. Tu commences à te branler juste avant de te faire enculer. Tu aimes faire ces deux choses à la fois: ça te donne d'avantage de plaisir. Je te caresse les seins qui sont à portée de mes mains. Je fais des mouvements en huit autours d'eux. Tu aimes bien que je te caresse comme ça. Et soudain c'est encore une explosion. Ta jouissance est terrible. Tu en cris que tu jouiiiiiis. Mais moi, je ne m'arrête pas je continues à t'enculer: je n'ai pas encore jouis. Enfin le grand moment arrive nous jouissons tous les deux à la fois. Je me vide dans ton cul.
Le weekend tu en veux plus: tu vis nue et tu demande souvent que je t'aide à te branler. Ce n'est pas compliqué: tu est couchée et tu me donne ton godemiché favori: celui qui peut à le fois de baiser et te caresser le point "g".Tu écartes tes jambes en grand pour que j'ai une vue d'ensemble sur ton entrejambe: je vois ton clitoris, ton vagin et ton cul. Tu me tend le gode et moi je t'embrasse les seins avant tout: tu me le demande toujours. Je prends ce gode dans ma main droite et après d'avoir vu de branler manuellement je sais que tu est bien mouillée et sans brusquerie j'enfonce ce sexe en plastique dans ton con. Je le fais ressortir avant d'entamer les vas et viens. Je te parle de chose qui t'excite: tu est une salle putain, une fille de rien, juste bonne à te prostituer. Je te raconte comment tu pourras faire l'amour avec une autre fille ou avec plusieurs hommes. Tu ne résistes pas longtemps à mes manoeuvres et tu jouis rapidement. Alors tu me demandes de me mettre sur le dos pour me sucer. Tu prends ma queue entre tes lèvres et tu me pompes. J'ai encore en main ton godemiché: j'en profite pour t'enculer. Je te sens prête encore à jouir: tu retiens ton orgasme jusqu'à ce que je jouisse dans ta bouche. Tu avales jusqu'à la dernière goutte juste en jouissant.
Plus tard dans le journée nous avons encore quelles que petit "rapports": masturbation en couple ou en solitaire, mais l'un devant l'autre: c'est bien plus bandant. Le samedi soir, c'est la fête des sens: Plus rien ne nous retient: Notre gamme de plaisir est variée. D'abord nous regardons un film porno et toi tu te branles en regardant les filles se faire mettre ou quand elles baisent ensemble: tu aimes voir les lesbiennes en action et pourtant tu ne voudrais pas baiser avec une autre fille. J'aimerai bien te voir aux prises avec une autre femme. Mais tu refuses toujours. Je respecte ton choix.
Tu te branles, donc en regardant un film porno et moi je bande bien sur mais je ne me branle pas. Et pourtant je regarde ta main aller et venir sur ton con. La seule chose que je fais est de te mettre un doigt où tu aime: dans ton cul. Le film fini, nous faisons un 69. Tu sais bien me sucer:te le faisait déjà avant de me connaitre et tu as bien appris tes premières leçons, sauf que tu te perfectionne de jour en jour. Je te suces le clitoris et te lèche comme tu aimes. Je te mets encore mon doigt au cul où il s'enfonce facilement. J'aime te le mettre dans le cul parce que ça t'excite toujours. Tu jouis encore et tu attends que je décharge: quand mon sperme jaillit tu le déguste comme une friandise. Enfin pour me faire bander tu te branles avec ton godemiché en poussant des petits cris. Tu surveilles ma queue pour en profiter: dès que je bande comme il te convient tu en profite pour que je te baise. Nos mouvements coordonnés font que nous jouissons toujours ensemble. Pourtant notre baise a duré bien longtemps: la fatigue de nos amours continuels se fait sentir. Ce n'est pas grave, demain matin tu te branleras encore et le soir nous baiserons.