Premiere exhib
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2011 dans la catégorie Plus on est
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Premiere exhib
J’aimerais raconter une des premières sorties que j’ai faite avec mon amant de paris, Claude.
J’avais dix huit ans à l’époque et lui une trentaine bien tassée. Un soir, il m’emmena au bois de Vincennes.
Nous étions en voiture. Il devait être au alentour de 23 heures. A cette heure le bois était désert, du moins, il le semblait. Il a pris une allée et après avoir coupé le moteur il s’est garé, juste avec l’inertie du véhicule. J’entendais les graviers du caniveau craquer sous les pneus et j’avais l’impression que le bruit devait s’entendre à des kilomètres.
Je me souviens du décor.
Il y avait à ma droite, un réverbère près d’un banc puis un arbre et derrière une grande pelouse mal éclairée et à ma gauche, une espèce de parking, une petite pelouse et le lac. Je pouvais voir les lumières et la lune s’y refléter. C’était très romantique.
Il faisait très chaud et à sa demande, je n’étais habillée que d’une robe très légère, croisée sur le devant et juste retenue par une petite ceinture de tissus assortie. Aucun sous vêtements, pas même de bas.
J’avais beau scruter les environs, tenter de percer l’obscurité, pour moi l’endroit était désert.
Il a défait sa ceinture de sécurité et ôté la mienne, puis il m’a prise dans ses bras.
J’avais un amour sans limite et une confiance aveugle en cet homme. C’était mon maitre, mon gourou, mon guide. J’étais sur que quoi qu’il dise ou qu’il fasse pour moi, se serrait toujours dans mon intérêt.
J’étais aux anges, callée dans ses bras. Sa langue fouillait ma bouche, ses mains caressaient ma poitrine, mes cuisses. Puis il glissa sa main gauche sous ma robe au niveau de ma poitrine dans le décolleté de celle ci. Le contact de sa main sur ma peau me fit frémir.
Toujours les yeux fermés, je l’ai senti écarter le haut de ma robe afin que mes seins soit visible pour lui. Il se pencha et aspira mes tétons durcit de plaisir.
Il remonta vers mon cou, y déposant de tendres baisers. Il malaxait ma poitrine avec tendresse et fermeté mélanger. Sa langue tournait sur le lobe de mon oreille. J’entendais son souffle, puis il me dit :
« Tu aime ce que je te fait ? »
« Oh oui ! Mon amour. C’est bon ! J’aime tes caresses. Ne t’arrête pas. »
« Ouvre les yeux doucement. Mais surtout ne t’effraie pas. »
« Je n’ai pas peur quand tu es là. »
Je levais les paupières doucement.
Son visage devant moi me souriait tendrement, lorsqu’un mouvement attira mon regard vers l’extérieur.
Il y avait deux hommes, queues à la main. Ils se masturbaient en me regardant, penchés à la vitre
Je crois que j’ai poussé un petit cri de surprise et ma première réaction fut de tenter de cacher ma poitrine nue. Mais Claude, me demanda de laisser faire.
« Tout vas bien ! Ne t’inquiète pas. Fais-moi confiance et savoure l’excitation qui va se propager en toi. »
Alors je me suis glissée dans le siège et j’ai laissé faire mon amant, même si au fond de moi je n’étais pas très rassurée.
Il m’a demandé de ne pas quitter les sexes des yeux, de me faire chatte et désirable.
J’ai gonflé ma poitrine et j’ai fait tourner ma langue sur mes lèvres.
Les deux sexes étaient bandés au maximum, près à exploser. Les hommes me souriaient, m’envoyaient des baisers et des clins d’œil.
Claude avait raison et au bout de quelques minutes mon excitation était totale.
Mon ventre était bouillant, je sentais la moiteur envahir mon entre jambe et mes tétons étaient si gonflés qu’ils en étaient presque douloureux. Il me semblait avoir la fièvre. La vision de ces sexes qui bandaient devant moi, pour moi, me transportait dans un autre univers.
Aussi, quand Claude tira sur ma ceinture pour en défaire le nœud, j’ai écarté mes cuisses. J’ai senti le tissus de ma robe glisser de chaque coté de mon corps. J’étais maintenant entièrement nue aux yeux de mes voyeurs et sous les caresses de Claude ma respiration s’accélérait et je ne pouvais plus retenir mes gémissements de contentement.
J’imaginais ce qu’ils voyaient et ça m’excitais encore plus.
Claude branla mon clito gonflé de désir et me fit jouir comme jamais et exploser de plaisir lorsque ses doigts agiles vinrent prendre possession de mon vagin trempé.
J’ai vu les deux hommes se libérer de leurs liqueurs chaudes en longs jets puissant, prenant bien soins de ne pas éclabousser la voiture.
« Tu veux les nettoyer ? »
« Oups ! Tu crois ? »
« Bien sur, idiote. »
Tout en riant il appuya sur le bouton de commande de ma vitre.
Les hommes tentaient, dans une petite bousculade, d’entrer leurs bustes pour pouvoir m’embrasser, la bouche, les seins et le reste, mais trop serrés ils ont dut se contenter de me caresser les seins et ma chatte encore baveuse du plaisir qu’ils m’avaient donné. Ils m’ont fait des compliments sur ma beauté, ma façon de jouir, qui semble t’il leur à plus.
« Allez ! C’est bon ! Donnez vos queues à lécher ! »
Le ton de Claude était sec et les types se sont exécutés de suite.
Je me suis délectée des dernières gouttes de foutre qui voulaient encore bien vouloir sortir des verges qui ramollissaient. Quand ils furent bien propres, nous sommes repartis.
Tandis qu’il roulait dans le bois, il m’a demandé si le jeu m’avait plu. Bien qu’ayant refermée ma robe, je glissais une de mes mains entre mes cuisses pour me caresser et je posais l’autre sur le renflement de son pantalon. Se fut là ma seule réponse.
Nous sommes allez prendre un verre du coté du château. Il me félicita pour mon comportement exemplaire et sa fierté à m’avoir ainsi exhibée. Je lui avouais que le jeu fut le plus excitant de toute ma vie et il me promit qu’il y en aurait encore bien d’autre, si bien sur, je le voulais.
« Mon corps, mon cœur et mon âme sont à toi. Fais de moi ce qu’il te plaira, mais aime moi et protège moi toujours. »
Nous sommes repartis. Je pensais que nous rentrions chez lui…mais il n’en fit rien.
Il a reprit la direction du lac. Il s’est garé à un autre endroit, est descendu et a ouvert ma portière, m’invitant à descendre.
J’étais glacée de peur. Mais, confiante, je l’ai suivi.
Il m’a prise par la taille et nous nous sommes promenés ainsi un petit moment, dans le noir presque total.
J’entendais des bruits et j’étais sur que nous n’étions pas seuls. La suite me prouva que j’avais raison.
Nous avons atteint un banc légèrement éclairé. Il s’est assis, a sorti son membre et m’a demandé de le sucer. Je me suis accroupie et j’ai pris son sexe entre mes lèvres. Très vite sa verge s’est mise à gonfler. J’aimais le sucer. Sa queue était bonne, douce, bien nervurée. Bien qu’étant totalement à ce que je faisais, je fus troublée par un bruit et très vite j’ai senti des présences tout près de nous.
N’y tenant plus, j’ai délaissé le membre tendu pour regarder autour de moi.
Dans mon dos, quatre hommes se tenaient à moins d’un mètre de moi, sexes à la main.
Troublée, je me suis redressée. Claude s’est levé, et j’en ai fait autant. Il a caressé mes cheveux et mes joues et de sa voix chaude, il m’a dis de lui faire confiance et de le laisser faire.
Il a défait ma ceinture, ouvert ma robe et il m’a tourné face aux hommes.
Ils se sont approchés et ils ont commencés à me palper, me caresser. Derrière moi je sentais le gourdin de Claude effleurer mes fesses.
Au summum de l’excitation et sans réfléchir, j’ai attrapé deux sexes. Après les avoir caressés un moment pour les rendre dur comme l’acier, je me suis penchée en avant pour les sucer.
Claude a glissé ma robe sur le coté afin de bien dégager mes reins cambrés, il m’a penché en avant et il m’a prise ainsi, debout.
Des mains me caressaient de partout. Un homme accroupi suçait mes seins avec gourmandises au rythme des coups de reins de Claude. J’étais un jouet entre leurs mains et j’aimais ça.
Les deux hommes ont jouit à tour de rôle, dans ma bouche et j’ai savouré leurs liqueurs avec délectation. Puis, lorsque Claude, s’est vidé en moi, il m’a penché sur le banc et a offert ma croupe aux deux autres hommes qui à leurs tour se repurent de ma chatte bouillante.
Après avoir nettoyé tout se petit monde de ma bouche et de ma langue, ils nous ont raccompagnés à notre voiture et j’ai pus enfin découvrir ses hommes de l’ombres.
Ils se connaissaient tous très bien et étaient là presque tout les soirs à guetter les couples libertins.
Entre eux, ils avaient tous un surnom.
Il y avait « Moustache » motard de la gendarmerie (Et oui !) en vacances, « Pomme » un portugais qui venait toujours avec une pomme dans sa poche, « Baise en biais » un type sympa avec une queue incroyablement courbée et « Le bricolo » un vieux qui venait en mobylette et qui ne cessait de réparer sa chaîne, si bien qu’il lui était interdit, par les autres, de toucher les femmes avec ses mains tant elles étaient salles.
Ils étaient tous très sympa et me faisait bien rire.
Nous avons bien discutés avec eux et « Moustache » nous donna rendez vous sur le parking le samedi suivant.
Chose faite. Le samedi suivant nous étions à l’heure au rendez vous.
Je suis venue habillée de la même manière, robe croisée, nue dessous.
Ils étaient là, près d’une grande camionnette bleue.
D’autres que nous ne connaissions pas encore, étaient également présent. Trois marins super copains et super drôles faisaient les fous pour amuser la galerie. Eux, leur surnom, c’était « Les mariniers ». Il y avait aussi « Dédé » un grand timide pas très bavard, « Beau gosse » devinez pourquoi, et encore d’autres dont les surnoms m’échappent.
La camionnette appartenait à « Moustache ». Il la bricolait pour en faire une sorte de camping car. Fou de moto cross, il embarquait toute sa petite famille le week-end, dans les compétitions de toutes les régions. C’est ainsi que j’ai su qu’il était marié et avait deux enfants. D’autre l’était aussi, comme « Pomme » ou « Bricolo ». Mais ça, c’était leur problème.
Revenons à cette fameuse camionnette. A l’intérieur il avait fabriqué des caisses qui faisaient tout le tour de l’arrière, pour faire office de sièges, et le tout était recouvert de moquette bleu nuit. C’était hallucinant. Quand il parlait de son projet, ses yeux brillaient comme ceux d’un enfant. En l’écoutant on pouvait imaginer la table, les banquettes escamotable, la télé, le coin cuisine, etc.…
En tout cas, pour l’instant, n’était visible que les caisses bleues.
Nous avons tous discutés et rigolés pendant près d’une heure. Je crois que j’avais même fini par oublier pourquoi nous étions venus. C’était sympa.
Puis « Pomme » est parti vers le lac et est revenu avec deux bouteilles de champagne qu’il avait déposé dans l’eau pour qu’elles soient fraîches. Mais comme il n’y avait pas de verre, il fut décidé qu’une fois que j’aurais bu ma part au goulot, mon corps ferrait office de récipient.
C’est ainsi que je me suis retrouvée à serrer mes seins l’un contre l’autre.
Alors que Claude y versait le champagne, les types, un à un venaient boire à cette source improvisée.
La bonne humeur, l’humour et le sexe étaient au rendez vous de cette soirée des plus étonnantes.
Bien sur, ma robe avait été ouverte et j’étais offerte aux attouchements les plus intimes.
Ce qui m’inquiétait, c’est que pendant que nous nous amusions et rigolions comme des fous, d’autres hommes s’étaient mêlés à nous. Et moi, assise inconfortablement sur le bord du pare choc, je ne me sentais pas vraiment de tailles à tous les satisfaire, si toutefois on me le demandait.
Soudain, une pluie fine s’est mise à tomber.
« Moustache » nous invita à tous monter dans sa camionnette pour se mettre à l’abri. J’en ai profité pour compter le nombre de personnes présentes. Avec Claude, il y avait treize hommes se serrant le plus possible l’un contre l’autre. Étrangement, quand ils furent tous installés sur les caisses, je restais la seule debout. Vas comprendre !
Tout les yeux étaient tournés vers moi et ma robe humide qui maintenant collait à mon corps. Ce fut sans doute les minutes les plus longues de ma vie et je sentais le rouge envahir mon visage.
Quand Claude, s’est levé, j’ai pensé qu’il voulait me laisser sa place, mais là n’était pas son intention.
Il s’approcha de moi, défit la ceinture que j’avais pris soin de renouer et fit tomber ma robe à terre. Puis il me demanda de me mettre à genoux et de sucer le type qui était juste à coté de moi.
Il faut que je vous dise qu’à la vue de ma personne libre de tout vêtement, ces messieurs ont tous sortis leurs membres tendus hors de leurs pantalons, devenus trop étroits.
C’est alors instauré un jeu improvisé et sa petite règle. C’était très simple. Il fallait par des plaisanteries arriver à me faire rire alors que je suçais. Si il y avait rire de ma part, je changeais de partenaire et passait au suivant. Simple, efficace, voir même conviviale.
Bien sur, tout ceci à vite déraper.
Certain qui se masturbaient, ne pouvant plus se contenir, jouissaient dans mon dos, sur mes fesses. L’excitation était telle que je ne suçais pas longtemps avant de boire le foutre chaud.
Claude, n’y tenant plus se plaça derrière moi et me sodomisa, sonnant ainsi la fin du jeu et le début de la récréation.
Je fus remplie de partout, cul, vagin, bouche. J’ai été souillée, dégoulinante de jus visqueux.
J’ignore combien de queues j’ai sucé ni le nombre qui m’a pénétré. Mais ce qui est certain, c’est qu’il y en eu moins de treize, certains, s’étant déjà vidés…heureusement pour moi.
Ce qu’il reste de cette nuit là, c’est le souvenir d’une immense jouissance et d’un bonheur immense d’avoir satisfait tout ces hommes super sympas et très corrects avec moi, malgré le contexte.
Durant plusieurs semaines, j’ai demandé à Claude de me conduire au bois presque chaque soir. C’était devenu une drogue, un passage obligatoire et lorsque la nature ne me laissait pas le choix, j’y allais tout de même voir les hommes se masturber pour moi et boire leurs jus jusqu’à la dernière goutte.
Merci à eux.
Histoire tirée de faits réels.
J’avais dix huit ans à l’époque et lui une trentaine bien tassée. Un soir, il m’emmena au bois de Vincennes.
Nous étions en voiture. Il devait être au alentour de 23 heures. A cette heure le bois était désert, du moins, il le semblait. Il a pris une allée et après avoir coupé le moteur il s’est garé, juste avec l’inertie du véhicule. J’entendais les graviers du caniveau craquer sous les pneus et j’avais l’impression que le bruit devait s’entendre à des kilomètres.
Je me souviens du décor.
Il y avait à ma droite, un réverbère près d’un banc puis un arbre et derrière une grande pelouse mal éclairée et à ma gauche, une espèce de parking, une petite pelouse et le lac. Je pouvais voir les lumières et la lune s’y refléter. C’était très romantique.
Il faisait très chaud et à sa demande, je n’étais habillée que d’une robe très légère, croisée sur le devant et juste retenue par une petite ceinture de tissus assortie. Aucun sous vêtements, pas même de bas.
J’avais beau scruter les environs, tenter de percer l’obscurité, pour moi l’endroit était désert.
Il a défait sa ceinture de sécurité et ôté la mienne, puis il m’a prise dans ses bras.
J’avais un amour sans limite et une confiance aveugle en cet homme. C’était mon maitre, mon gourou, mon guide. J’étais sur que quoi qu’il dise ou qu’il fasse pour moi, se serrait toujours dans mon intérêt.
J’étais aux anges, callée dans ses bras. Sa langue fouillait ma bouche, ses mains caressaient ma poitrine, mes cuisses. Puis il glissa sa main gauche sous ma robe au niveau de ma poitrine dans le décolleté de celle ci. Le contact de sa main sur ma peau me fit frémir.
Toujours les yeux fermés, je l’ai senti écarter le haut de ma robe afin que mes seins soit visible pour lui. Il se pencha et aspira mes tétons durcit de plaisir.
Il remonta vers mon cou, y déposant de tendres baisers. Il malaxait ma poitrine avec tendresse et fermeté mélanger. Sa langue tournait sur le lobe de mon oreille. J’entendais son souffle, puis il me dit :
« Tu aime ce que je te fait ? »
« Oh oui ! Mon amour. C’est bon ! J’aime tes caresses. Ne t’arrête pas. »
« Ouvre les yeux doucement. Mais surtout ne t’effraie pas. »
« Je n’ai pas peur quand tu es là. »
Je levais les paupières doucement.
Son visage devant moi me souriait tendrement, lorsqu’un mouvement attira mon regard vers l’extérieur.
Il y avait deux hommes, queues à la main. Ils se masturbaient en me regardant, penchés à la vitre
Je crois que j’ai poussé un petit cri de surprise et ma première réaction fut de tenter de cacher ma poitrine nue. Mais Claude, me demanda de laisser faire.
« Tout vas bien ! Ne t’inquiète pas. Fais-moi confiance et savoure l’excitation qui va se propager en toi. »
Alors je me suis glissée dans le siège et j’ai laissé faire mon amant, même si au fond de moi je n’étais pas très rassurée.
Il m’a demandé de ne pas quitter les sexes des yeux, de me faire chatte et désirable.
J’ai gonflé ma poitrine et j’ai fait tourner ma langue sur mes lèvres.
Les deux sexes étaient bandés au maximum, près à exploser. Les hommes me souriaient, m’envoyaient des baisers et des clins d’œil.
Claude avait raison et au bout de quelques minutes mon excitation était totale.
Mon ventre était bouillant, je sentais la moiteur envahir mon entre jambe et mes tétons étaient si gonflés qu’ils en étaient presque douloureux. Il me semblait avoir la fièvre. La vision de ces sexes qui bandaient devant moi, pour moi, me transportait dans un autre univers.
Aussi, quand Claude tira sur ma ceinture pour en défaire le nœud, j’ai écarté mes cuisses. J’ai senti le tissus de ma robe glisser de chaque coté de mon corps. J’étais maintenant entièrement nue aux yeux de mes voyeurs et sous les caresses de Claude ma respiration s’accélérait et je ne pouvais plus retenir mes gémissements de contentement.
J’imaginais ce qu’ils voyaient et ça m’excitais encore plus.
Claude branla mon clito gonflé de désir et me fit jouir comme jamais et exploser de plaisir lorsque ses doigts agiles vinrent prendre possession de mon vagin trempé.
J’ai vu les deux hommes se libérer de leurs liqueurs chaudes en longs jets puissant, prenant bien soins de ne pas éclabousser la voiture.
« Tu veux les nettoyer ? »
« Oups ! Tu crois ? »
« Bien sur, idiote. »
Tout en riant il appuya sur le bouton de commande de ma vitre.
Les hommes tentaient, dans une petite bousculade, d’entrer leurs bustes pour pouvoir m’embrasser, la bouche, les seins et le reste, mais trop serrés ils ont dut se contenter de me caresser les seins et ma chatte encore baveuse du plaisir qu’ils m’avaient donné. Ils m’ont fait des compliments sur ma beauté, ma façon de jouir, qui semble t’il leur à plus.
« Allez ! C’est bon ! Donnez vos queues à lécher ! »
Le ton de Claude était sec et les types se sont exécutés de suite.
Je me suis délectée des dernières gouttes de foutre qui voulaient encore bien vouloir sortir des verges qui ramollissaient. Quand ils furent bien propres, nous sommes repartis.
Tandis qu’il roulait dans le bois, il m’a demandé si le jeu m’avait plu. Bien qu’ayant refermée ma robe, je glissais une de mes mains entre mes cuisses pour me caresser et je posais l’autre sur le renflement de son pantalon. Se fut là ma seule réponse.
Nous sommes allez prendre un verre du coté du château. Il me félicita pour mon comportement exemplaire et sa fierté à m’avoir ainsi exhibée. Je lui avouais que le jeu fut le plus excitant de toute ma vie et il me promit qu’il y en aurait encore bien d’autre, si bien sur, je le voulais.
« Mon corps, mon cœur et mon âme sont à toi. Fais de moi ce qu’il te plaira, mais aime moi et protège moi toujours. »
Nous sommes repartis. Je pensais que nous rentrions chez lui…mais il n’en fit rien.
Il a reprit la direction du lac. Il s’est garé à un autre endroit, est descendu et a ouvert ma portière, m’invitant à descendre.
J’étais glacée de peur. Mais, confiante, je l’ai suivi.
Il m’a prise par la taille et nous nous sommes promenés ainsi un petit moment, dans le noir presque total.
J’entendais des bruits et j’étais sur que nous n’étions pas seuls. La suite me prouva que j’avais raison.
Nous avons atteint un banc légèrement éclairé. Il s’est assis, a sorti son membre et m’a demandé de le sucer. Je me suis accroupie et j’ai pris son sexe entre mes lèvres. Très vite sa verge s’est mise à gonfler. J’aimais le sucer. Sa queue était bonne, douce, bien nervurée. Bien qu’étant totalement à ce que je faisais, je fus troublée par un bruit et très vite j’ai senti des présences tout près de nous.
N’y tenant plus, j’ai délaissé le membre tendu pour regarder autour de moi.
Dans mon dos, quatre hommes se tenaient à moins d’un mètre de moi, sexes à la main.
Troublée, je me suis redressée. Claude s’est levé, et j’en ai fait autant. Il a caressé mes cheveux et mes joues et de sa voix chaude, il m’a dis de lui faire confiance et de le laisser faire.
Il a défait ma ceinture, ouvert ma robe et il m’a tourné face aux hommes.
Ils se sont approchés et ils ont commencés à me palper, me caresser. Derrière moi je sentais le gourdin de Claude effleurer mes fesses.
Au summum de l’excitation et sans réfléchir, j’ai attrapé deux sexes. Après les avoir caressés un moment pour les rendre dur comme l’acier, je me suis penchée en avant pour les sucer.
Claude a glissé ma robe sur le coté afin de bien dégager mes reins cambrés, il m’a penché en avant et il m’a prise ainsi, debout.
Des mains me caressaient de partout. Un homme accroupi suçait mes seins avec gourmandises au rythme des coups de reins de Claude. J’étais un jouet entre leurs mains et j’aimais ça.
Les deux hommes ont jouit à tour de rôle, dans ma bouche et j’ai savouré leurs liqueurs avec délectation. Puis, lorsque Claude, s’est vidé en moi, il m’a penché sur le banc et a offert ma croupe aux deux autres hommes qui à leurs tour se repurent de ma chatte bouillante.
Après avoir nettoyé tout se petit monde de ma bouche et de ma langue, ils nous ont raccompagnés à notre voiture et j’ai pus enfin découvrir ses hommes de l’ombres.
Ils se connaissaient tous très bien et étaient là presque tout les soirs à guetter les couples libertins.
Entre eux, ils avaient tous un surnom.
Il y avait « Moustache » motard de la gendarmerie (Et oui !) en vacances, « Pomme » un portugais qui venait toujours avec une pomme dans sa poche, « Baise en biais » un type sympa avec une queue incroyablement courbée et « Le bricolo » un vieux qui venait en mobylette et qui ne cessait de réparer sa chaîne, si bien qu’il lui était interdit, par les autres, de toucher les femmes avec ses mains tant elles étaient salles.
Ils étaient tous très sympa et me faisait bien rire.
Nous avons bien discutés avec eux et « Moustache » nous donna rendez vous sur le parking le samedi suivant.
Chose faite. Le samedi suivant nous étions à l’heure au rendez vous.
Je suis venue habillée de la même manière, robe croisée, nue dessous.
Ils étaient là, près d’une grande camionnette bleue.
D’autres que nous ne connaissions pas encore, étaient également présent. Trois marins super copains et super drôles faisaient les fous pour amuser la galerie. Eux, leur surnom, c’était « Les mariniers ». Il y avait aussi « Dédé » un grand timide pas très bavard, « Beau gosse » devinez pourquoi, et encore d’autres dont les surnoms m’échappent.
La camionnette appartenait à « Moustache ». Il la bricolait pour en faire une sorte de camping car. Fou de moto cross, il embarquait toute sa petite famille le week-end, dans les compétitions de toutes les régions. C’est ainsi que j’ai su qu’il était marié et avait deux enfants. D’autre l’était aussi, comme « Pomme » ou « Bricolo ». Mais ça, c’était leur problème.
Revenons à cette fameuse camionnette. A l’intérieur il avait fabriqué des caisses qui faisaient tout le tour de l’arrière, pour faire office de sièges, et le tout était recouvert de moquette bleu nuit. C’était hallucinant. Quand il parlait de son projet, ses yeux brillaient comme ceux d’un enfant. En l’écoutant on pouvait imaginer la table, les banquettes escamotable, la télé, le coin cuisine, etc.…
En tout cas, pour l’instant, n’était visible que les caisses bleues.
Nous avons tous discutés et rigolés pendant près d’une heure. Je crois que j’avais même fini par oublier pourquoi nous étions venus. C’était sympa.
Puis « Pomme » est parti vers le lac et est revenu avec deux bouteilles de champagne qu’il avait déposé dans l’eau pour qu’elles soient fraîches. Mais comme il n’y avait pas de verre, il fut décidé qu’une fois que j’aurais bu ma part au goulot, mon corps ferrait office de récipient.
C’est ainsi que je me suis retrouvée à serrer mes seins l’un contre l’autre.
Alors que Claude y versait le champagne, les types, un à un venaient boire à cette source improvisée.
La bonne humeur, l’humour et le sexe étaient au rendez vous de cette soirée des plus étonnantes.
Bien sur, ma robe avait été ouverte et j’étais offerte aux attouchements les plus intimes.
Ce qui m’inquiétait, c’est que pendant que nous nous amusions et rigolions comme des fous, d’autres hommes s’étaient mêlés à nous. Et moi, assise inconfortablement sur le bord du pare choc, je ne me sentais pas vraiment de tailles à tous les satisfaire, si toutefois on me le demandait.
Soudain, une pluie fine s’est mise à tomber.
« Moustache » nous invita à tous monter dans sa camionnette pour se mettre à l’abri. J’en ai profité pour compter le nombre de personnes présentes. Avec Claude, il y avait treize hommes se serrant le plus possible l’un contre l’autre. Étrangement, quand ils furent tous installés sur les caisses, je restais la seule debout. Vas comprendre !
Tout les yeux étaient tournés vers moi et ma robe humide qui maintenant collait à mon corps. Ce fut sans doute les minutes les plus longues de ma vie et je sentais le rouge envahir mon visage.
Quand Claude, s’est levé, j’ai pensé qu’il voulait me laisser sa place, mais là n’était pas son intention.
Il s’approcha de moi, défit la ceinture que j’avais pris soin de renouer et fit tomber ma robe à terre. Puis il me demanda de me mettre à genoux et de sucer le type qui était juste à coté de moi.
Il faut que je vous dise qu’à la vue de ma personne libre de tout vêtement, ces messieurs ont tous sortis leurs membres tendus hors de leurs pantalons, devenus trop étroits.
C’est alors instauré un jeu improvisé et sa petite règle. C’était très simple. Il fallait par des plaisanteries arriver à me faire rire alors que je suçais. Si il y avait rire de ma part, je changeais de partenaire et passait au suivant. Simple, efficace, voir même conviviale.
Bien sur, tout ceci à vite déraper.
Certain qui se masturbaient, ne pouvant plus se contenir, jouissaient dans mon dos, sur mes fesses. L’excitation était telle que je ne suçais pas longtemps avant de boire le foutre chaud.
Claude, n’y tenant plus se plaça derrière moi et me sodomisa, sonnant ainsi la fin du jeu et le début de la récréation.
Je fus remplie de partout, cul, vagin, bouche. J’ai été souillée, dégoulinante de jus visqueux.
J’ignore combien de queues j’ai sucé ni le nombre qui m’a pénétré. Mais ce qui est certain, c’est qu’il y en eu moins de treize, certains, s’étant déjà vidés…heureusement pour moi.
Ce qu’il reste de cette nuit là, c’est le souvenir d’une immense jouissance et d’un bonheur immense d’avoir satisfait tout ces hommes super sympas et très corrects avec moi, malgré le contexte.
Durant plusieurs semaines, j’ai demandé à Claude de me conduire au bois presque chaque soir. C’était devenu une drogue, un passage obligatoire et lorsque la nature ne me laissait pas le choix, j’y allais tout de même voir les hommes se masturber pour moi et boire leurs jus jusqu’à la dernière goutte.
Merci à eux.
Histoire tirée de faits réels.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super cool la suite :)
Si c'est pas honteux de faire mouiller une presque vrai jeune fille et de la forcer à se
branler avec un gode. HONTEUX, honteux mais sacrément bon
branler avec un gode. HONTEUX, honteux mais sacrément bon