Première fois - histoire érotique

C’était en 1990. A l’époque j’avais 24 ans et habitai seul dans un studio du 8 ème arrondissement de Paris.

Internet n’existait pas pour les particuliers et le seul moyen de faire des rencontres était le minitel.
Une pompe à fric qui ne rapportait pas grand chose de concluant.

Néanmoins je me suis inscrit sur un 3615 Quelque chose et j’ai décidé de choisir un pseudo.

Je me décidai pour woolman car j’avais toujours eu une attention particulière pour les gilets doux féminins et comme je recherchais une femme qui aime ça aussi je me suis juste dit que ça pouvait être un bon pseudo.

J’y passai parfois des heures et mes factures de téléphone s’en rappellent!

Rien de bien concluant à part une gamine de 18 ans qui souhaitait vraiment vouloir me rencontrer.

De plus ces genres de sites étaient truffés d’’animatrices’’ pour appâter le pigeon que j’étais.

Un dimanche, alors que j’étais connecté pour tuer le temps, j’eus un message d’un homme d’une quarantaine d’années qui se disait intéressé par mon profil.
Il me demanda pourquoi j’avais choisi ce pseudo. Je lui répondis gentiment que j’adorais depuis maplus tendre enfance les femmes qui portaient des gilets ras du cou en laine très douce et très BCBGet que ça m’excitait beaucoup.

Il m’avoua qu’il était intéressé par les femmes vêtues de mohair et que par ailleurs il aimait lui aussi porter de la laine mohair.

Nous avons discuté un moment de notre passion pour la laine et finalement il m’a demandé si j’étais prêt à me rendre chez lui pour regarder un film porno avec des filles à gros seins.

Pourquoi pas après tout? Il s’avéra qu’il habitait à dix minutes de chez moi à pied. Proche de la Place des Champs Elysées.

Il était directeur artistique et agent d’artistes classiques.

Je lui ai dit que je me préparai et que j’arrivai dans l’heure. A l’époque Benetton vendait des gilets ras du cou pour homme et j’en avais acheté plusieurs car ils me faisaient penser à un gilet féminin.
D’ailleurs de nombreuses jeunes femmes BCBG en portaient dans le métro et c’était toujours un plaisir pour moi de les voir ainsi vêtues.

Je mis donc un tee shirt, mon gilet ras du cou en laine douce et un jean.

J’étais détendu et angoissé à la fois. Détendu car j’étais super heureux de pouvoir rencontrer un homme qui partage ma passion pour la laine mais aussi angoissé car c’était un homme.
Mais bon, à première vue je ne craignais rien, et il était intéressé par les femmes.

Je me rappelle encore que sur le chemin mon coeur battait la chamade. En effet je me rendais chez un inconnu et après tout je ne savais rien de lui ou très peu.

J’arrivai devant un splendide immeuble de type Haussmanien. J’appuyai sur la sonnette et une voix m’indiqua le quatrième étage.

Dans l’ascenseur les minutes me parurent des heures. J’arrivai enfin à l’étage prévu. Une porte était entrouverte.

Je frappai doucement et Jean Philippe arriva pour me laisser entrer.

C’était un bel homme. Bien plus grand que moi. Et sa voix dégageait une certaine sérénité . J’étais troublé bien que n’étant pas attiré par les hommes.

J’étais bien évidemment déjà allé dans les cinémas pornos de Paris et m’était vite aperçu que les plans gays étaient nombreux mais je n’y avais jamais participéexcepté avoir tenu quelques membres en main.

J’entrai donc. Il portait un gros pull col roulé en mohair noir et un bas de survêtement.

- Bonjour, tu es woolman?
- Oui, balbutié-je- Entre n’aies pas peur je ne vais pas te manger. Il riait.

Je me suis un peu détendu.

- Veux tu boire quelque chose?
- Un Coca si tu as.

Il me fit installer dans le salon et quelques minutes plus tard revint avec un Coca pour moi et un Thé pour lui.

Nous avons discuté de notre amour pour la laine.
Visiblement nos goûts étaient assez différents mais nous aimions tous les deux la laine.
Son fétichisme tendait plus vers les pulls très poilus en mohair alors que le mien se dirigeait davantage vers lesgilets ras du cou très féminins en laine très douce telles que le cachemire ou l’angora.

Mais c’était déjà super de pouvoir rencontrer une personne qui aime la laine!

Après avoir échangé quelques mots pendant un bon quart d’heure, je ne savais que faire.
Il fallait qu’il prenne les devants.

C’est ce qu’il fit.

Il m’invita à passer dans sa chambre pour regarder un film X comme cela était prévu.

Il inséra une cassette dans son magnétoscope et s’allongea sur son lit. Il possédait plein de cassettes de cul.

Comme convenu il mit une K7 mettant en scène des filles avec une splendide poitrine.

J’étais rassuré. Néanmoins je restais habillé et m’assis sue le lit à ses côtés.

Au bout de quelques minutes il me montra quelques pulls qu’il sorti d’une armoire et décida d’en vêtir un.

Il remplaça son mohair noir par un superbe pull en mohair rouge.

J’avais toujours mon gilet et il me félicita sur ma tenue. Je l’en remerciai. J’étais très tendu mais commencai à bander.

La situation m’impressionnai mais m’excitai aussi.

Je continuai à regarder les filles parcourir l’écran et se faire enculer ou sucer de grosses bites. Ca ne me laissait pas indifférent.

Bien qu’hétéro j’adorais porter des gilets féminins. Et quand c’était le cas je m’imaginais être une chienne au service d’un homme.
Mais cela ne relevait que du fantasme.


Nous ne nous parlions plus et je regardais le film comme un idiot. Mais, et c’est assez difficile à dire, je ne sais pas pourquoi, j’étais attiré parcet homme.

Au bout d’une quinzaine de minutes je regardai dans sa direction en essayant de ne pas trop le faire voir.

Jean Philippe avait baissé son survêtement et me dévoilait un superbe membre en érection.

Il se masturbait et se caressait les tétons au travers du pull.

Je n’avais jamais vu un tel membre en érection. Il me paraissait énorme. En tous les cas il était bien supérieur au mien.

Je ne pouvais plus regarder la télé et mes regards étaient de plus en plus insistants sur son sexe.

- Tu aimes? me demanda-t-il
- Oui le film est super lui répondis-je
- Non, je veux dire tu aimes ma queue?

- Euh, oui elle est très grosse et très belle.

- Elle te plait?

- C’est à dire que je n’ai pas l’habitude.

Il sentit mon malaise mais aussi mon excitation. Il me dit de me mettre à l’aise. Il enleva son bas de survêtement et garda seulement son pull en mohair.


Son sexe était tendu comme un arc.

J’enlevai mon jean, mes chaussettes, mon slip, mon gilet et mon tee shirt.

- Remets ton gilet, s’il te plait, ça m’excite.

J’exécutai son ordre et vint m’allonger à côté de lui.

J’étais excité et tétanisé à la fois.

Il me prit la main tendrement et la dirigea vers son pénis pour que je le masturbe.

Pendant ce temps il me caressait les tétons et mon pull et cela semblait avoir un bel effet sur lui.

Je bandais dur.

Au bout d’un moment il me prit la tête et me fit signe qu’il désirait être sucé.

Je ne me fis pas prier et j’engloutis son gland et son sexe en entier dans ma bouche. C’était ma première fellation mais j’adorai sucer.

J’étais à quatre pattes au dessus de lui et je le suçais comme je l’avais vu faire dans les films.
Mon doux gilet pendait de chaque côté de mes flancs et je me sentais une vraie femelle.

A un moment il m’a prévenu qu’il allait jouir mais j’ai continué ma fellation profonde. J’ai senti de longs jets au fond de ma gorge.
Bizarrement j’ai tout avalé et n’ai pas détesté cela.

Il a poussé un râle de plaisir et m’a félicité.

J’ai sucé sa queue pour bien nettoyer tout son sperme. Il a pris ma tête et m’a roulé une pelle langoureuse. J’étais aux anges.

Je me suis allongé à côté de lui et il m’a dit que je suçais comme une reine.

- Tu sais je l’ai fait juste parce que tu portes un joli pull lui dis-je- C’est une bonne raison. Je t’apprécie beaucoup.

- Tu t’es déjà fait sucer par un homme?
- Non.
- Ca te dirais?
- Bien sur, ça doit être comme avec une femme.
- Non tu verras c’est bien meilleur!

Il approcha sa main de ma bite et commença à me masturber. Puis il prit son pull en mohair et me branla avec.
Je sentais cette matière douce et chaude autour de mon membre et de mes boules et c’était un plaisir indescriptible.

Tout en continuant à me branler avec son pull il approcha sa bouche de ma queue et commença à m’administrer une fellationqu’aucune femme ne m’avait administré auparavant. C’était divin. Il léchait mon gland tendrement puis mettait ma queue entière dans sabouche. Ses va et viens étaient indescriptibles.

J’étais étendu sur le côté du lit et alors qu’il me suçait il se décidait à explorer mon anus avec un doigt.

Je n’avais jamais été doigté de la sorte et c’était plutôt bon.

Je n’ai pas tardé à décharger de longs jets de sperme dans sa bouche tant j’étais excité par sa fellation et son doigt dans mon anus vierge.

Mmmm c’était très bon. Il y a deux heures je n’aurai jamais su que cela me serait arrivé et que j’étais bi.

Enfin pas vraiment bi mais j’avais enfin découvert que j’aimais sucer une belle bite et qu’un homme pouvait mesucer aussi bien et même mieux que ma copine.


Cette séance nous avait beaucoup émoustillé et nous avions transpiré sous nos pulls respectifs.

Il me proposa de prendre une douche. Je ne déclinai pas son offre et cela me fit le plus grand bien.

Dix minutes plus tard je revins. Jean Philippe était sur son lit, seulement vêtu de son pull en mohair et se branlait.
Son érection n’avait rien perdu de sa splendeur. Je lui fit part de mon intention de m’en aller mais il me dit qu’il comptaitm’inviter au restaurant pour fêter notre rencontre.

Après tout je n’étais pas pressé! Et puis cette séance m’avait donné faim.

il se rendit dans la salle de bain et revint rapidement propre et prêt à recommencer ses exploits.

Pour ma part je ne pensais qu’à dîner avec lui et que pour une première fois c’était déjà une bonne expérience.

J’étais très satisfait et son sperme dans ma bouche m’avait laissé un souvenir inoubliable.

J’avais remis mon gilet ras du cou sous mon tee shirt et était prêt pour partir dîner.
Il me demanda de ne porter que mon gilet et de ne rien porter dessous. Je m’executai et la douceur du pullainsi que sa forme plutôt féminine me faisait déjà bander.

Il choisit de porter un col roulé gris en mohair sans rien dessous ainsi qu’un jean. Il enfila son jean devant moi sans même prendre le temps de mettre un slip.

Le restaurant japonais où il m’invita était très prisé de la jet set parisienne. J’étais un peu gêné avec mon gilet plutôt fémininmais cela ne semblait pas gêner les autres convives.

Nous passâmes un excellent moment et au sortir du restaurant je lui dis que j’allais finalement rentrer.

Il passa ses mains autour de mes hanches et commença à déboutonner légèrement mon gilet.

- On ne va pas se quitter comme ça?

- C’était bien pour un début, qu’en penses tu?

Pour toute réponse il me prit la taille et me roula une pelle magistrale.

- J’ai une surprise pour toi.

- Une surprise? m’exclamai-je
- Oui tu vas adorer Chéri.

Après tout je ne travaillais pas le lendemain et il n’habitait qu’à dix minutes de chez moi alors pourquoi refuser une telle invitation?

- Alllons y pour la surprise. Mais je crois que pour une première fois j’ai déjà eu ma dose de surprises. Et de bien bonnes.

Il rit et me dit que cette surprise allait être encore plus incroyable.

Le chemin n’était pas très long du restaurant à son domicile mais j’étais très intrigué.

Dans l’ascenceur il défit quelques boutons de mon gilet et m’embrassa à nouveau.

Je mis ma main sur son jean et vit qu’il bandait comme un âne.

Ma première impression fut de me dire qu’il voulait encore se faire sucer bien à fond mais finalement je me trompais.

Nous sommes entrés et son ton est devenu soudain plus directif.

- Tu vas dans la chambre, tu te déshabilles et ne garde que ton gilet. Compris?

- Oui. Je ne savais quoi répondre. J’ai enlevé tous mes vêtements et n’ai gardé que mon gilet. Je l’ai boutonné entièrementet ai commencé à me branler.

Quelques minutes après Jean Philippe est revenu. Il était nu et sa queue en semi érection.

J’étais allongé sur son lit seulement vêtu de mon pull.

Il ne parlait pas. Il a ouvert une armoire pleine de pulls en mohair et a choisi un gilet très doux et super duveteux.
Ce pull avait une dizaine de boutons et il prit tout son temps pour le vêtir.

Moi qui adorait les gilets j’étais aux anges. C’était donc ça ma surprise!

Je le félicitai sur sa tenue et lui dit que j’adorai son gilet. Je le remerciai pour sa surprise.
Et lui donnai un baiser tendre.

- Mais tu n’as pas encore eu ma surprise me dit il.

- Ah bon?

- Je croyais que c’était ce gilet? C’est une superbe surprise! Je t’en remercie j’adore ça.

- Je sais mon chéri c’est pour cela que je l’ai mis. Mais ce n’est pas ta surprise. Tu vas voir tu vas être émerveillé.

J’étais déjà conquis par son corps et son gilet. Nous nous sommes embrassés longuement et sucés aussi longuement.

Alors que nous nous caressions, tous deux vêtus de nos gilets, JP se leva et revint avec un flacon.

- Qu’est ce que c’est?

- Du lubrifiant me répondit il avec un léger sourire.

- Du lubrifiant? Mais pour quoi faire?

- Tu vas voir, tu vas aimer.

La journée avait bien commencée. J’avais rencontré une personne fétichiste des pulls sur minitel etnous avions passé un bon moment. Même un excellent moment. J’avais fait ma première pipe et tout avalémais je pensais que c’était déjà bien pour une première rencontre.

Alors voir arriver JP avec de lubrifiant m’inquietai un peu.

Il s’installa à nouveau sur le lit et m’embrassa. Sa langue était très douce et rien que le fait qu’il m’embrasse mefaisait bander.

- Ton gilet est superbe lui dis-je.

- Je le porte spécialement pour toi chéri mais ce ne sera pas gratuit.

- Que veux tu dire?

- Je sais que tu aimes porter des gilets en laine et moi aussi mais je préfère les cols roulés. Alors je me suis dit que l’on pourrait en porterchacun un.

- Oui c’est cool j’apprécie ton geste JP.

- En revanche il faudrait que tu m’accordes une faveur stp.

- Une faveur?

- Oui finalement tu m’excites beaucoup avec ton gilet féminin et comme je suis bi j’aimerai beaucoup te sodomiseralors que tu portes ce pull.

- Tu n’y penses pas? Tu as vu ta bite? Elle est énorme!

- Ne t’inquiètes pas, je vais bien te préparer.

Il commença à déboutonner entièrement mon gilet et à m’embrasser puis me sucer.

Je ne me reconnaissais pas et me sentais comme une chienne.

Il mit ses doigts dans le pot de lubrifiant et mis un doigt puis deux dans mon anus très serré.
Je bandais fort mais j’avais un peu mal. Malgré tout ma position, à quatre pattes, avec mon gilet, me sentait devenir une vraie femme.

A force de persévérer il put insérer trois doigts dans mon anus qui était maintenant distendu et prêt â le recevoir.

Il m’embrassa goulument une dernière fois et me fit signe de me mettre à quatre pattes.

Il baissa mon buste le plus bas possible de manière à ce que mon anus s’ouvre plus amplement.

Il prit une dernière noisette de lubrifiant et la posa délicatement sur mon anus. Sa queue était dureet j’entendis qu’il déchirait une capote avec ses dents.

Je n’étais pas fier mais j’attendais ça avec peur mais aussi impatience!

Il déroula la capote sur sa queue imposante et approcha son pénis de mon petit trou vierge.

J’étais stressé et vraiment fermé.
Il inséra trois doigts dans mon cul puis me demanda de déboutonner totalement mon pull.

Maintenant je me sentais vraiment femme. Les pans de mon gilet parcouraient mes flancs et je n’avais qu’une envie. Qu’il me prenne.

Son pénis s’approcha délicatement de mon anus puis commença à pousser. Je n’étais pas bien. Il me dit de me détendreet de pousser comme si j’allais aller à la selle. Je l’écoutai et finalement petit à petit il entra sa queue dans mes entraillessans souci. Je ne vais pas vous dire que je n’ai pas ressenti une certaine douleur au début mais ensuite j’y ai vitepris du plaisir et ai aimé me faire enculer comme une bonne salope.

D’ailleurs JP n’a pas été dupe et m’a ramoné le cul comme jamais. Je n’en pouvais plus tellement c’était bon.

Je voulais qu’il jouisse dans mon cul mais au bout d’un moment il est sorti de mon anus, a enlevé sa capote et à joui dans ma bouche et sur mon visage.

Sacrée journée que je venais de vivre!

J’aime toujours les femmes mais un bon coup de queue ne me fait plus peur.