Première rencontre réelle avec mon Maître suite1
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première rencontre réelle avec mon Maître suite1
SuiteDans l’épisode numéro1, j’ai rencontré le Maître avec lequel j’avais beaucoup échangé virtuellement. La première partie raconte le premier contact, le déshabillage et les préliminaires. Mais le Maître s’impatiente…« Soumis qu’attends tu, enlève ce qui te reste, vite »Je m’exécute rapidement ? Me voici nu devant lui.
« Tourne toi et mets toi à quatre pattes »J’obtempère et mon Maitre vérifie le bas de mon dos.
Oui, il est là, bien présent, comme demandé. Quelque chose qui ne m’habille pas. Quelque chose qui me déshabillerait plutôt dans les pensées de mon Maître.
Dans la rue tout à l’heure lorsque je me pressais vers le lieu fixé par lui, que je ne connaissais pas vraiment, Je ne pouvais cependant pas aller aussi vite que je le souhaitais. Ma marche était ralentie par ce petit quelque chose qui chatouille et s’agite en moi. J’ai respecté la seconde demande : un plug de taille moyenne est enfoncé entre mes fesses et tient ma rondelle légèrement ouverte. Il est jaune orangé, conique. Son corps est long de 13,5 cm au total dont 12 cm à l’intérieur, au plus grand diamètre il mesure 4 cm au plus grand diamètre, il a été long à faire pénétrer malgré de belles couches de gel. Maintenant il est bien calé en moi et mon muscle rectal s’est refermé autour de la tige de 2cm de diamètre.
« Bien, tu m’as obéis, tu commences à prouver que tu es soumis » En disant ces mots, il caresse le pied du plug qui dépasse. Je sens qu’il hésite, le bouge un peu. C’est doux, agréable. Puis il arrête, recule un peu. Peut-être qu’il admire. Un choc, deux... Mon Maître m’a donné deux fessées…. Sans me laisser le temps de me reprendre, il repasse devant moi. « Embrasse-moi les pieds, les deux, embrasse chacun des doigts de mes pieds.
Douze bises plus tard…« Bien, tu m’écoutes, passons aux choses sérieuses, il est temps, grand temps que tu fasses ce que je t’ai demandé et que tu t’es engagé à faire. Fais le bien ! »Sur ces mots, il va s’allonger sur le lit qui nous attend depuis un moment. Il est sur le dos ; offert, jambes et bras écartés, souriant, détendu sauf au niveau de l’entre-jambes. Sans un mot, je n’ai pas reçu l’autorisation de parler, je lui ferme les yeux et je vais vers la salle d’eau, je prends le lait de toilettes qui s’y trouve ainsi que deux lingettes. Je me rapproche pour lui faire une toilette intime. C’est facile, Mon Maître est bien décalotté ! Je l’aborde ensuite par les pieds du lit. Je lèche ses pieds nus que j’ai embrassé quelques instants avant. Doucement je remonte passant de droite à gauche, des pieds aux mollets, des genoux aux cuisses. Je m’attarde dans l’entrecuisse mais contourne l’objet de mes convoitises. Maintenant je lèche son nombril, ça le chatouille. Je remonte vers ses seins. Je m’allonge maintenant sur lui. Ma queue est entre ses jambes, elle se caresse sur le haut de ses cuisses.
Je reste ainsi un moment, suce ses tétons, remonte vers son cou que j’embrasse à nouveau.IL tourne la tête Je crois comprendre qu’il ne m’offre pas sa bouche. Je redescends donc vers les pectoraux que je malaxe en suçant les pointes durcies. Je me tourne un peu et glisse sur le lit à côté de mon Maître. Tandis que j’embrasse un téton ma main descend vers son sexe, je l’entoure de ma paume et de mes doigts. Sans serrer j’entame un léger mouvement de va et vient. Mon Maître soupire et agite son bassin. Je décide alors de passer à l’essentiel et ma tête redescend en léchant son nombril puis tout le haut des cuisses. C’est doux. Je gobe alors un de ses testicules, la peau bouge et glisse sur la glande qui s’agite dans les bourses. C’est maintenant le tour de la seconde. Durant ce temps, mes mains ne restent pas inactives. L’une tient fermement la verge l’autre s’insinue sous une fesse. Ma bouche quitte les bourses et se dirige vers sa verge. Je la lèche sur toute sa longueur, tout autour. Montant encore ma langue titille le frein, glisse autour du prépuce en suivant la légère dépression qui le sépare de la tige. Plus haut encore je lèche l’orifice de l’urètre, doucement. C’est alors que je redescends d’un coup, enfournant le tout jusqu’au fond de ma gorge. Je reste ainsi sans bouger. Je ne veux pas que mon Maître jouisse maintenant. Durant ce temps, je récupère ce que j’ai préparé dans la salle de bains et placé discrètement sur le côté. Mon Maître fermait les yeux, il n’a pas vu. Je pince alors le réservoir entre mes lèvres en faisant attention à ne pas le toucher avec les dents, le place à l’extrémité de son gland et, de la bouche et de la langue, aidés de mes doigts si nécessaire, je déroule la capote autour de son sexe turgescent. Je sens que le moment arrive. Je me mets sur son côté au niveau de son sexe. Une de mes mains lui fait relever les genoux puis s’insère dans son entrejambes et glisse juste un doigt qui effleure à peine son œillet. L’autre main caresse les bourses et joue avec les couilles comme on peut jouer avec de petites boules pour se détendre. Mais aujourd’hui pour mon Maître c’est l’effet contraire que je recherche. Ma bouche, mes lèvres et ma langue… Ma bouche, mes lèvres et ma langue disais-je, encerclent, caressent, sucent, lèchent s’attardent sur les parties sensibles et lorsque mon Maître se raidit je me retire, puis reprends directement plus bas, là où je sens les battements du sang qui s’engouffre au rythme du cœur dans les corps caverneux. Après quelques actions alternées de ce genre, un cri, un sursaut, une détente, un jet, plusieurs jets... Mon Maître a joui ! Je poursuis encore un peu en le regardant. Son visage est largement épanoui. Je retire la capote, la quantité de foutre est abondante. Je l’embrasse dans le cou. Il est paisible. Je pense qu’il a passé un bon moment avec moi. Je ne sais pas s’il aura un mot ou une attention. Peut-être un remerciement pour moi. C’est mon Maître, je suis son soumis ! Lové auprès de lui, j’attends humblement en silence.
-« Et maintenant ?» dit-il.
- …- « Parle, tu as le droit de dire quelques mots. »- «Mon Maître, Je suis à vous, je vous veux encore et toujours. Mon corps vous appartient, mes orifices sont à vous...tout vous appartient.
…/…Après avoir écrit ces deux textes, je souhaite que les lecteurs me disent ce qu’ils en pensent. Qu’il s’agisse du contenu de l’histoire, de l’écriture ou encore de rythme et de l’orthographe…Si cela vous plait, j’essayerais de donner une suite.
« Tourne toi et mets toi à quatre pattes »J’obtempère et mon Maitre vérifie le bas de mon dos.
Oui, il est là, bien présent, comme demandé. Quelque chose qui ne m’habille pas. Quelque chose qui me déshabillerait plutôt dans les pensées de mon Maître.
Dans la rue tout à l’heure lorsque je me pressais vers le lieu fixé par lui, que je ne connaissais pas vraiment, Je ne pouvais cependant pas aller aussi vite que je le souhaitais. Ma marche était ralentie par ce petit quelque chose qui chatouille et s’agite en moi. J’ai respecté la seconde demande : un plug de taille moyenne est enfoncé entre mes fesses et tient ma rondelle légèrement ouverte. Il est jaune orangé, conique. Son corps est long de 13,5 cm au total dont 12 cm à l’intérieur, au plus grand diamètre il mesure 4 cm au plus grand diamètre, il a été long à faire pénétrer malgré de belles couches de gel. Maintenant il est bien calé en moi et mon muscle rectal s’est refermé autour de la tige de 2cm de diamètre.
« Bien, tu m’as obéis, tu commences à prouver que tu es soumis » En disant ces mots, il caresse le pied du plug qui dépasse. Je sens qu’il hésite, le bouge un peu. C’est doux, agréable. Puis il arrête, recule un peu. Peut-être qu’il admire. Un choc, deux... Mon Maître m’a donné deux fessées…. Sans me laisser le temps de me reprendre, il repasse devant moi. « Embrasse-moi les pieds, les deux, embrasse chacun des doigts de mes pieds.
Douze bises plus tard…« Bien, tu m’écoutes, passons aux choses sérieuses, il est temps, grand temps que tu fasses ce que je t’ai demandé et que tu t’es engagé à faire. Fais le bien ! »Sur ces mots, il va s’allonger sur le lit qui nous attend depuis un moment. Il est sur le dos ; offert, jambes et bras écartés, souriant, détendu sauf au niveau de l’entre-jambes. Sans un mot, je n’ai pas reçu l’autorisation de parler, je lui ferme les yeux et je vais vers la salle d’eau, je prends le lait de toilettes qui s’y trouve ainsi que deux lingettes. Je me rapproche pour lui faire une toilette intime. C’est facile, Mon Maître est bien décalotté ! Je l’aborde ensuite par les pieds du lit. Je lèche ses pieds nus que j’ai embrassé quelques instants avant. Doucement je remonte passant de droite à gauche, des pieds aux mollets, des genoux aux cuisses. Je m’attarde dans l’entrecuisse mais contourne l’objet de mes convoitises. Maintenant je lèche son nombril, ça le chatouille. Je remonte vers ses seins. Je m’allonge maintenant sur lui. Ma queue est entre ses jambes, elle se caresse sur le haut de ses cuisses.
Je reste ainsi un moment, suce ses tétons, remonte vers son cou que j’embrasse à nouveau.IL tourne la tête Je crois comprendre qu’il ne m’offre pas sa bouche. Je redescends donc vers les pectoraux que je malaxe en suçant les pointes durcies. Je me tourne un peu et glisse sur le lit à côté de mon Maître. Tandis que j’embrasse un téton ma main descend vers son sexe, je l’entoure de ma paume et de mes doigts. Sans serrer j’entame un léger mouvement de va et vient. Mon Maître soupire et agite son bassin. Je décide alors de passer à l’essentiel et ma tête redescend en léchant son nombril puis tout le haut des cuisses. C’est doux. Je gobe alors un de ses testicules, la peau bouge et glisse sur la glande qui s’agite dans les bourses. C’est maintenant le tour de la seconde. Durant ce temps, mes mains ne restent pas inactives. L’une tient fermement la verge l’autre s’insinue sous une fesse. Ma bouche quitte les bourses et se dirige vers sa verge. Je la lèche sur toute sa longueur, tout autour. Montant encore ma langue titille le frein, glisse autour du prépuce en suivant la légère dépression qui le sépare de la tige. Plus haut encore je lèche l’orifice de l’urètre, doucement. C’est alors que je redescends d’un coup, enfournant le tout jusqu’au fond de ma gorge. Je reste ainsi sans bouger. Je ne veux pas que mon Maître jouisse maintenant. Durant ce temps, je récupère ce que j’ai préparé dans la salle de bains et placé discrètement sur le côté. Mon Maître fermait les yeux, il n’a pas vu. Je pince alors le réservoir entre mes lèvres en faisant attention à ne pas le toucher avec les dents, le place à l’extrémité de son gland et, de la bouche et de la langue, aidés de mes doigts si nécessaire, je déroule la capote autour de son sexe turgescent. Je sens que le moment arrive. Je me mets sur son côté au niveau de son sexe. Une de mes mains lui fait relever les genoux puis s’insère dans son entrejambes et glisse juste un doigt qui effleure à peine son œillet. L’autre main caresse les bourses et joue avec les couilles comme on peut jouer avec de petites boules pour se détendre. Mais aujourd’hui pour mon Maître c’est l’effet contraire que je recherche. Ma bouche, mes lèvres et ma langue… Ma bouche, mes lèvres et ma langue disais-je, encerclent, caressent, sucent, lèchent s’attardent sur les parties sensibles et lorsque mon Maître se raidit je me retire, puis reprends directement plus bas, là où je sens les battements du sang qui s’engouffre au rythme du cœur dans les corps caverneux. Après quelques actions alternées de ce genre, un cri, un sursaut, une détente, un jet, plusieurs jets... Mon Maître a joui ! Je poursuis encore un peu en le regardant. Son visage est largement épanoui. Je retire la capote, la quantité de foutre est abondante. Je l’embrasse dans le cou. Il est paisible. Je pense qu’il a passé un bon moment avec moi. Je ne sais pas s’il aura un mot ou une attention. Peut-être un remerciement pour moi. C’est mon Maître, je suis son soumis ! Lové auprès de lui, j’attends humblement en silence.
-« Et maintenant ?» dit-il.
- …- « Parle, tu as le droit de dire quelques mots. »- «Mon Maître, Je suis à vous, je vous veux encore et toujours. Mon corps vous appartient, mes orifices sont à vous...tout vous appartient.
…/…Après avoir écrit ces deux textes, je souhaite que les lecteurs me disent ce qu’ils en pensent. Qu’il s’agisse du contenu de l’histoire, de l’écriture ou encore de rythme et de l’orthographe…Si cela vous plait, j’essayerais de donner une suite.
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