Pris au piège...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pris au piège...
Réputé jadis comme étant un bon élève, je ne l’étais plus à l’heure de cette histoire. Et cela, à cause du sexe, qui me travaillait comme jamais auparavant. À un tel point qu’en classe, assis le regard perdu, je pensais davantage aux femmes, qu‘à ce que disait la ou le prof, devant son tableau noir.
Heureux de quitter enfin les cours et accompagner de mon fidèle Manu et pas moins ami, nous marchions côte à côte sur le chemin qui nous menait jusqu‘à nos blocs d’immeubles. Et tout en avançant, le même pote me demanda si je serais d’accord pour une partie de foot. Et là comme à chaque fois je me trouvais dans l‘embarras. Ne pouvant lui avouer que je préférais le cul qu’à sa partie de ballon. Alors comme toujours je trouvais une réplique pour ne pas me rendre au rendez-vous. Mais surtout pour ne pas l’offusquer.
- Je veux bien mais avant comme tu sais il faut que je regarde Goldorak.
- Moi-aussi, mais je te parle pour après ?
- Après pourquoi pas. Enfin ! Si je n’ai pas un empêchement.
Un obstacle comme de rencontrer Bernadette, ou alors Brigitte voire même encore Muriel. Mais ça, je me suis bien gardé de le lui dire. Même s’il m’arrivait de temps à autre, de pratiquer conjointement une partie de jouissance.
Et là comme tomber du ciel, un objet vint rebondir devant nous. Après avoir sursauté et me rendre compte qu’il s’agissait que d’un simple chausson, mon premier réflexe, fût de lever les yeux vers le ciel.
- Pardon ! Fit la femme du troisième de son balcon. Il m’a échappé du pied. Si un de vous deux aurait la gentillesse de me le monter jusque chez moi.
Comme mon ami n’était pas du genre à rendre ce genre de service, je me dévouai pour lui rendre le plus rapidement cette faveur. Trop pressé de me retrouver devant la chatte d’une de mes partenaires. Et alors que je gravissais les paliers, je ne pus m’empêcher de porter le chausson à mon nez. Humant la forte odeur qui s’en dégageait, mêlée de cuir et de transpiration. Cet effluve eut pour effet sur moi, de me donner la chair de poule. Je dis un grand merci à tous ceux qui confectionnent ce genre de chose.
La femme dont le pied avait macéré dans ce chausson, m’avait toujours impressionné. Avec ses yeux bleus pâle, qui avait une façon bien étrange de se poser sur vous. Comme si son regard semblait vous déshabiller. Ses tenues étaient toujours du genre strict. Alors qu’elle possédait un visage adouci par quelques rides, et une poitrine généreuse.
Elle m‘attendait en haut des marches. Elle était vêtue d’une robe très décolletée et sans manches, soutenue sur ses épaules par de simples bretelles.
- C’est très gentil de ta part… Alain, c’est bien ça ? Me dit-elle.
- Oui Madame ! C’est exactement ça. Répondais-je en lui tendant le chausson.
Alors que je m’apprêtais à redescendre les marches, et me lançai :
- Je t’offre quelque chose pour te remercier pour ta gentillesse ?
Son regard se voulait des plus entreprenants. La réponse m’était venu naturellement :
- C’est qu’en m’attends en bas.
Elle fronça les sourcils avant d’ajouter:
- Et je peux savoir qui t’attend ?
- Le pote avec qui j’étais.
- Ah oui ! J’ai cru le voir continuer son chemin alors que tu tournais pour me ramener mon dû. Allez viens, je te jure que je ne vais pas te manger.
Bien malgré moi je la suivis, comme si j’étais télécommandé. Elle m’entraîna jusqu’au salon où elle me laissait un instant seul. Quand elle me revint quelques minutes plus tard, elle tenait en mains un plateau bien chargé de divers choses.
Et alors qu’elle se penchait pour le poser sur la table basse, vicieusement, je ne pus résister à la tentation de poser mon regard sur la naissance de ses seins. Pas mécontente que je m‘intéresse à sa personne, elle se laissa l’instant d’après, tomber dans un fauteuil situé en face de moi. Se renversant assez en arrière pour que le bas de sa jupe remonte, assez haut. Avec une fierté non dissimuler de me permette de voir une bande de chair blanche au-dessus de ses bas.
Je demeurai en extase devant la toile qu’elle m’offrait. Pas mécontent d’être resté. Je déglutissais ma salive à plusieurs reprises. Je bandais dur dans mon slip.
- Tu aimes ce que tu vois ? Dit-elle après avoir porté le regard sur la bosse que faisait mon érection sous mon futal, les joues rouges et les yeux brillants d’excitation.
- Je suis un peu près certaine que tu aimerais en voir un peu plus. Je me trompe ?
Comme je ne répondais pas, elle ajouta :
- Approche ? Sur un ton autoritaire, qui me fit sursauter.
Malgré cette directive je demeurai immobile, me forçant de porter mon regard ailleurs que sur elle.
- Mais pourquoi fais-tu cela ! Fit-elle en s’en apercevant. Mais regarde donc, tu ne peux pas savoir comment cela me fait plaisir. Attends-je vais t‘en donner un peu plus.
Et sans aucune pudeur, elle décolla ses fesses du coussin, et ôter sans préliminaire sa culotte. Ceci fait, elle quitta sa place pour se rapprocher de moi jusqu’à toucher mes genoux.
- Si tu ne veux pas venir, je viens alors, à toi. Regarde, ça ne te donne pas envie ?
Le sexe qu’elle me présentait était gonflé. Les bourrelets formés par les grandes lèvres avaient eux aussi enflé, mais surtout, ils étaient largement séparés. Les deux fines lèvres s’étalaient de part et d’autre d’un espace de chair rose vif, rendues brillantes par un liquide qui par endroits moussait. Elles se réunissaient dans son haut, se glissant sous un manteau de chair, masquant en partie un dôme lisse. J’étais impressionné par cette exposition dont je ne pouvais détacher les yeux.
- Je vais te faire une confidence. Me fit-elle d’une voix très rauque. C’est l’heure que d’habitude je me caresse, cela te dirait de le faire avec moi ? Branlons-nous ensemble, me proposa-t-elle.
À l’aide de ses deux doigts de sa main droite elle se mit à les faire tourner en haut de la fente béante. La coquine se masturbait devant moi. Et elle prenait manifestement plaisir à s’exhiber ainsi avec indécence. Jugeant l’instant propice, elle introduisit une phalange du majeur de sa main gauche dans son vagin, et ce fut pour moi le déclic.
Me faisant perdre tout contrôle de moi-même. À me nommer de prodiguer devant ses yeux une caresse solitaire. L’émotion faisait battre mon cœur sur un rythme accéléré lorsque je refermais ma main droite autour de ma queue. Je me caressai lentement, les yeux rivés sur la vulve. Dans laquelle se formaient des rigoles de jus clair qui glissaient dans les poils.
- Oui ! Oh oui, tu ne peux pas savoir le plaisir que tu me donnes…
Je me gardais bien de lui dire que c’était réciproque. Jamais ma queue n’avait été aussi volumineuse.
- Tu bandes dur, mon cochon… tu ne vas pas tarder à lâcher sa purée…
Ses paroles achevèrent de m’exciter. Un sperme épais fusa avec violence de mon méat pour se fracasser sur une de ses cuisses.
- Oui, arrose-moi de ton foutre ! Disait-elle en pistonnant d’une phalange son vagin. Oui encore souille moi !
J’avais pu à mon tour, assisté, fasciné à sa jouissance. La tête renversée en arrière, ses seins tendus sous sa robe, mordant sa lèvre inférieure, et en poussant un gémissement.
En appui sur son dossier, elle mit plusieurs minutes à reprendre souffle. C’était seulement après avoir retrouvé ses esprits qu’elle me dit :
- C’est la première fois que je vois un garçon se branler, me confia-t-elle.
- Ça vous a plu ?
- On recommença, dis ?
J’hochai machinalement la tête.
- Je compte sur toi pour ne rien dire à personne. C’est un secret entre nous.
Le lendemain, bien sûr de mon propre chef je me rendis juste après les cours chez elle.
- Montre-moi ? Me fit-elle alors que cela faisait à peine cinq minutes que j’étais dans son salon. Je te fais bander ?
Elle fallait qu’elle ajoute le plaisir de la vue à celui du toucher. Je me sentais avec elle, vraiment dans mon élément.
- Je veux que tu te fasses à nouveau jouir. A-t-elle ajoutait, avec un regard de vicieuse.
Je n’ai pas mis longtemps à m’exécuter. Abandonnant toute pudeur, je me branlais de nouveau sous ses yeux. Ce fut délicieux, bien meilleur que sans témoin. Comme la veille, elle glissa une main fouineuse sous sa jupe. Se masturba sans quitter ma bite du regard.
Plusieurs giclées de sperme jaillirent successivement de mon méat pour retomber sur le sol.
- Que c’est beau à voir un homme qui jouit. Tu ne peux pas savoir dans l’état où tu me mets. Tiens ! Vient d’en rendre compte par toi-même ?
À genoux, la tête sous sa jupe, les mains sur le revers de ses bas, je commençais par embrasser sa culotte en dentelle. Un plaisir qui m’avait titillé alors que je cherchais à tout prix à trouver le sommeil. Son odeur forte fut pour moi, comme une fermentation sexuelle. Qui me fit bander très dur de nouveau.
Je posais mes lèvres sur l’empiècement de coton tout chaud. Tentant de le faire enfoncer dans la vulve. N’y parvenant pas, je le pinçais entre mes dents comme pour le déchirer. Pour ne pas plus de succès, alors je tirai l’élastique sur le côté et collais ma bouche au sexe baveux de sécrétions, et très épicées, que je pris plaisir à laper. Forçant avec ma langue les grandes lèvres très épaisses couvertes de poils pour s’immiscer.
Petit à petit, l’ouverture du vagin s’élargissait, assez pour y engouffrer la langue, aussi loin qu’il m’était possible de la fourrer.
Tout en la branlant, je fis filer une main derrière elle et la poser sur ses fesses. Je m’enhardis dans la méthode douce, lui palpant le fessier. Elle émit un petit rire lorsqu’elle envoya une de ses mains sur ma tête pour me triturer les cheveux.
- Tu es du genre imaginatif toi, pour un jeune homme, et j’adore ça, apprécia-t-elle, tenant toujours ma tête, essayant de la diriger là où elle le désirait. Tu es un gros gourmand cochon, me jetait-elle, en me poussant par-ci, tirant par-là, en m’encourageant par des murmures de plaisir et d’impatience.
Du bout de la langue, je titillais son bouton. Mon nez se fit chatouiller par les poils à la senteur épicée. Elle cambrait les reins comme pour mieux s’offrir aux caresses buccales. Accompagnant ses mouvements de plus d’encouragements, m’incitant à m’enhardir dans l’exploration de son sexe.
Ma bouche revint sur le vagin. Que son excitation lui fit faire des petits mouvements du bassin qu’elle accomplissait pour accompagner ceux de mes lèvres et de ma langue. À un moment, elle poussa sur ma tête, pour guider cette fois-ci ma bouche sur sa rosette. Qu‘elle fit remuer sous mes lèvres par de rapides mouvements de hanches. Dont les bords s’ouvrirent sous ma langue, que je pris l’initiative d’introduire.
- Ouiii ! Le mot avait jailli, difficilement contenu. Oh ! Oui, comme ça c’est bien, murmura-t-elle.
Son tempérament démonstratif, qu’elle avait peine à maîtriser, m’amusait et m’excitait tout à la fois.
- Mmmm jeune homme. Oui, vas-y. Oui. Oui !
Elle ne pouvait décidément pas garder pour elle son bien-être. Je me mis à jouer vicieusement avec son anus. Elle frissonnait et continuait à m’encourager de sa voix rauque. Et moi j’enfonçai deux puis doigts unis dans son vagin, le masturbant doucement pendant que je lui taquinais son cul.
- Oooh, oui, que c‘est bon ce que tu me fais, râla-t-elle à mi-voix, en soulevant les hanches et en poussant sa rosette sur ma bouche dévoreuse.
Elle faisait partie des femmes qui aiment se faire bouffer le trou de balle. Je me demandai si elle aimerait tout autant que j’y mette autre chose, sachant que les femmes affectionnaient généralement assez peu les pénétrations anales. Trouvant ça abaissant.
J’emmenai pour ça mon index copieusement enduit de mouille jusqu‘à l‘entrée de son anus luisant de salive. L‘enfonçant doucement dans un trou rond bien dilaté par tant d’affections de ma part. Pour faire diversion, je collais ma bouche contre son sexe. Mâchouillant les lèvres. Je sentais la chair douce et chaude de son cul envelopper mon doigt tandis que je le voyais disparaître millimètre après millimètres dans le tube de chair de ma partenaire.
- Oooh ! C’est bon, là ! Oh ! Oui ! Oh, oui ! Mmmm…
Je perçus son orgasme sous ma bouche et autour de mon doigt, tandis qu’elle ramenait brutalement ses jambes pour enserrait ma tête entre ses cuisses. Les oreilles bouchées, j’entendis néanmoins qu’elle continuait à exprimer son plaisir.
J’attendis patiemment qu’elle veuille bien me libérer pour profiter de son moment d’extase pour lui faire prendre la position désirer.
Et d’un coup, sans que j’eusse besoin de guider ma queue, elle glissa et pénétra son antre. Elle s’immobilisa, presque surprise, retenant sa respiration. Je sentis par la douce chaleur qui me baignait que j‘étais entièrement en elle. J‘’entamai une douce et faible amplitude de va-et-vient…
- Oh mon salaud ! Tu es en train de m’enfiler… Oh que c’est bon…
Elle était aux anges, mais aussi plein de soupirs. Je profitais de sa faiblesse pour poser mon pouce sur l’anus. Il fut comme aspirer dans son entier. Il m’en fallait pas plus pour faire monter en flèche mon excitation. Alors qu’elle haletait, prononça des insanités, je dirai même des grossièretés. Offerte, baisée, elle était à ma merci.
- Le salaud ! Oh que c’est bon ! … tu te branles avec ma chatte ! … Oh que c’est bon…
Je continuais à entrer et sortir ma queue. M’empalant totalement, profondément, complètement. Je savourais son fourreau accueillant. Cette sensation était vraiment fantastique. Elle n’arrêtait pas de gémir. Je sentais peu à peu mon plaisir monter. Je sentais mon sexe se gonfler, se raidir. L’imminence de la symphonie finale était proche.
Brutalement vaincu, je capitulais sans conditions. Et je déversais en pleine puissance. De longs jets laiteux dans les entrailles de la femme. Cette éjaculation lui eut pour effet de lui provoquer un bouquet final de délire verbal insensé, alors que ses muscles internes me serraient de plus en plus fort.
Puis comme tout à une fin, elle se retira doucement. Ma verge était flasque, sans vigueur, vidé, lessivé, épuisé, mais tout de même prêt à recommencer, si elle le désirait.
Calmement, elle se retourna, avec un grand sourire.
- Merci tu ne peux pas savoir le service que tu viens de me rendre. Je me sens à présent désirable et cela grâce à toi. J’espère te revoir demain…
Heureux de quitter enfin les cours et accompagner de mon fidèle Manu et pas moins ami, nous marchions côte à côte sur le chemin qui nous menait jusqu‘à nos blocs d’immeubles. Et tout en avançant, le même pote me demanda si je serais d’accord pour une partie de foot. Et là comme à chaque fois je me trouvais dans l‘embarras. Ne pouvant lui avouer que je préférais le cul qu’à sa partie de ballon. Alors comme toujours je trouvais une réplique pour ne pas me rendre au rendez-vous. Mais surtout pour ne pas l’offusquer.
- Je veux bien mais avant comme tu sais il faut que je regarde Goldorak.
- Moi-aussi, mais je te parle pour après ?
- Après pourquoi pas. Enfin ! Si je n’ai pas un empêchement.
Un obstacle comme de rencontrer Bernadette, ou alors Brigitte voire même encore Muriel. Mais ça, je me suis bien gardé de le lui dire. Même s’il m’arrivait de temps à autre, de pratiquer conjointement une partie de jouissance.
Et là comme tomber du ciel, un objet vint rebondir devant nous. Après avoir sursauté et me rendre compte qu’il s’agissait que d’un simple chausson, mon premier réflexe, fût de lever les yeux vers le ciel.
- Pardon ! Fit la femme du troisième de son balcon. Il m’a échappé du pied. Si un de vous deux aurait la gentillesse de me le monter jusque chez moi.
Comme mon ami n’était pas du genre à rendre ce genre de service, je me dévouai pour lui rendre le plus rapidement cette faveur. Trop pressé de me retrouver devant la chatte d’une de mes partenaires. Et alors que je gravissais les paliers, je ne pus m’empêcher de porter le chausson à mon nez. Humant la forte odeur qui s’en dégageait, mêlée de cuir et de transpiration. Cet effluve eut pour effet sur moi, de me donner la chair de poule. Je dis un grand merci à tous ceux qui confectionnent ce genre de chose.
La femme dont le pied avait macéré dans ce chausson, m’avait toujours impressionné. Avec ses yeux bleus pâle, qui avait une façon bien étrange de se poser sur vous. Comme si son regard semblait vous déshabiller. Ses tenues étaient toujours du genre strict. Alors qu’elle possédait un visage adouci par quelques rides, et une poitrine généreuse.
Elle m‘attendait en haut des marches. Elle était vêtue d’une robe très décolletée et sans manches, soutenue sur ses épaules par de simples bretelles.
- C’est très gentil de ta part… Alain, c’est bien ça ? Me dit-elle.
- Oui Madame ! C’est exactement ça. Répondais-je en lui tendant le chausson.
Alors que je m’apprêtais à redescendre les marches, et me lançai :
- Je t’offre quelque chose pour te remercier pour ta gentillesse ?
Son regard se voulait des plus entreprenants. La réponse m’était venu naturellement :
- C’est qu’en m’attends en bas.
Elle fronça les sourcils avant d’ajouter:
- Et je peux savoir qui t’attend ?
- Le pote avec qui j’étais.
- Ah oui ! J’ai cru le voir continuer son chemin alors que tu tournais pour me ramener mon dû. Allez viens, je te jure que je ne vais pas te manger.
Bien malgré moi je la suivis, comme si j’étais télécommandé. Elle m’entraîna jusqu’au salon où elle me laissait un instant seul. Quand elle me revint quelques minutes plus tard, elle tenait en mains un plateau bien chargé de divers choses.
Et alors qu’elle se penchait pour le poser sur la table basse, vicieusement, je ne pus résister à la tentation de poser mon regard sur la naissance de ses seins. Pas mécontente que je m‘intéresse à sa personne, elle se laissa l’instant d’après, tomber dans un fauteuil situé en face de moi. Se renversant assez en arrière pour que le bas de sa jupe remonte, assez haut. Avec une fierté non dissimuler de me permette de voir une bande de chair blanche au-dessus de ses bas.
Je demeurai en extase devant la toile qu’elle m’offrait. Pas mécontent d’être resté. Je déglutissais ma salive à plusieurs reprises. Je bandais dur dans mon slip.
- Tu aimes ce que tu vois ? Dit-elle après avoir porté le regard sur la bosse que faisait mon érection sous mon futal, les joues rouges et les yeux brillants d’excitation.
- Je suis un peu près certaine que tu aimerais en voir un peu plus. Je me trompe ?
Comme je ne répondais pas, elle ajouta :
- Approche ? Sur un ton autoritaire, qui me fit sursauter.
Malgré cette directive je demeurai immobile, me forçant de porter mon regard ailleurs que sur elle.
- Mais pourquoi fais-tu cela ! Fit-elle en s’en apercevant. Mais regarde donc, tu ne peux pas savoir comment cela me fait plaisir. Attends-je vais t‘en donner un peu plus.
Et sans aucune pudeur, elle décolla ses fesses du coussin, et ôter sans préliminaire sa culotte. Ceci fait, elle quitta sa place pour se rapprocher de moi jusqu’à toucher mes genoux.
- Si tu ne veux pas venir, je viens alors, à toi. Regarde, ça ne te donne pas envie ?
Le sexe qu’elle me présentait était gonflé. Les bourrelets formés par les grandes lèvres avaient eux aussi enflé, mais surtout, ils étaient largement séparés. Les deux fines lèvres s’étalaient de part et d’autre d’un espace de chair rose vif, rendues brillantes par un liquide qui par endroits moussait. Elles se réunissaient dans son haut, se glissant sous un manteau de chair, masquant en partie un dôme lisse. J’étais impressionné par cette exposition dont je ne pouvais détacher les yeux.
- Je vais te faire une confidence. Me fit-elle d’une voix très rauque. C’est l’heure que d’habitude je me caresse, cela te dirait de le faire avec moi ? Branlons-nous ensemble, me proposa-t-elle.
À l’aide de ses deux doigts de sa main droite elle se mit à les faire tourner en haut de la fente béante. La coquine se masturbait devant moi. Et elle prenait manifestement plaisir à s’exhiber ainsi avec indécence. Jugeant l’instant propice, elle introduisit une phalange du majeur de sa main gauche dans son vagin, et ce fut pour moi le déclic.
Me faisant perdre tout contrôle de moi-même. À me nommer de prodiguer devant ses yeux une caresse solitaire. L’émotion faisait battre mon cœur sur un rythme accéléré lorsque je refermais ma main droite autour de ma queue. Je me caressai lentement, les yeux rivés sur la vulve. Dans laquelle se formaient des rigoles de jus clair qui glissaient dans les poils.
- Oui ! Oh oui, tu ne peux pas savoir le plaisir que tu me donnes…
Je me gardais bien de lui dire que c’était réciproque. Jamais ma queue n’avait été aussi volumineuse.
- Tu bandes dur, mon cochon… tu ne vas pas tarder à lâcher sa purée…
Ses paroles achevèrent de m’exciter. Un sperme épais fusa avec violence de mon méat pour se fracasser sur une de ses cuisses.
- Oui, arrose-moi de ton foutre ! Disait-elle en pistonnant d’une phalange son vagin. Oui encore souille moi !
J’avais pu à mon tour, assisté, fasciné à sa jouissance. La tête renversée en arrière, ses seins tendus sous sa robe, mordant sa lèvre inférieure, et en poussant un gémissement.
En appui sur son dossier, elle mit plusieurs minutes à reprendre souffle. C’était seulement après avoir retrouvé ses esprits qu’elle me dit :
- C’est la première fois que je vois un garçon se branler, me confia-t-elle.
- Ça vous a plu ?
- On recommença, dis ?
J’hochai machinalement la tête.
- Je compte sur toi pour ne rien dire à personne. C’est un secret entre nous.
Le lendemain, bien sûr de mon propre chef je me rendis juste après les cours chez elle.
- Montre-moi ? Me fit-elle alors que cela faisait à peine cinq minutes que j’étais dans son salon. Je te fais bander ?
Elle fallait qu’elle ajoute le plaisir de la vue à celui du toucher. Je me sentais avec elle, vraiment dans mon élément.
- Je veux que tu te fasses à nouveau jouir. A-t-elle ajoutait, avec un regard de vicieuse.
Je n’ai pas mis longtemps à m’exécuter. Abandonnant toute pudeur, je me branlais de nouveau sous ses yeux. Ce fut délicieux, bien meilleur que sans témoin. Comme la veille, elle glissa une main fouineuse sous sa jupe. Se masturba sans quitter ma bite du regard.
Plusieurs giclées de sperme jaillirent successivement de mon méat pour retomber sur le sol.
- Que c’est beau à voir un homme qui jouit. Tu ne peux pas savoir dans l’état où tu me mets. Tiens ! Vient d’en rendre compte par toi-même ?
À genoux, la tête sous sa jupe, les mains sur le revers de ses bas, je commençais par embrasser sa culotte en dentelle. Un plaisir qui m’avait titillé alors que je cherchais à tout prix à trouver le sommeil. Son odeur forte fut pour moi, comme une fermentation sexuelle. Qui me fit bander très dur de nouveau.
Je posais mes lèvres sur l’empiècement de coton tout chaud. Tentant de le faire enfoncer dans la vulve. N’y parvenant pas, je le pinçais entre mes dents comme pour le déchirer. Pour ne pas plus de succès, alors je tirai l’élastique sur le côté et collais ma bouche au sexe baveux de sécrétions, et très épicées, que je pris plaisir à laper. Forçant avec ma langue les grandes lèvres très épaisses couvertes de poils pour s’immiscer.
Petit à petit, l’ouverture du vagin s’élargissait, assez pour y engouffrer la langue, aussi loin qu’il m’était possible de la fourrer.
Tout en la branlant, je fis filer une main derrière elle et la poser sur ses fesses. Je m’enhardis dans la méthode douce, lui palpant le fessier. Elle émit un petit rire lorsqu’elle envoya une de ses mains sur ma tête pour me triturer les cheveux.
- Tu es du genre imaginatif toi, pour un jeune homme, et j’adore ça, apprécia-t-elle, tenant toujours ma tête, essayant de la diriger là où elle le désirait. Tu es un gros gourmand cochon, me jetait-elle, en me poussant par-ci, tirant par-là, en m’encourageant par des murmures de plaisir et d’impatience.
Du bout de la langue, je titillais son bouton. Mon nez se fit chatouiller par les poils à la senteur épicée. Elle cambrait les reins comme pour mieux s’offrir aux caresses buccales. Accompagnant ses mouvements de plus d’encouragements, m’incitant à m’enhardir dans l’exploration de son sexe.
Ma bouche revint sur le vagin. Que son excitation lui fit faire des petits mouvements du bassin qu’elle accomplissait pour accompagner ceux de mes lèvres et de ma langue. À un moment, elle poussa sur ma tête, pour guider cette fois-ci ma bouche sur sa rosette. Qu‘elle fit remuer sous mes lèvres par de rapides mouvements de hanches. Dont les bords s’ouvrirent sous ma langue, que je pris l’initiative d’introduire.
- Ouiii ! Le mot avait jailli, difficilement contenu. Oh ! Oui, comme ça c’est bien, murmura-t-elle.
Son tempérament démonstratif, qu’elle avait peine à maîtriser, m’amusait et m’excitait tout à la fois.
- Mmmm jeune homme. Oui, vas-y. Oui. Oui !
Elle ne pouvait décidément pas garder pour elle son bien-être. Je me mis à jouer vicieusement avec son anus. Elle frissonnait et continuait à m’encourager de sa voix rauque. Et moi j’enfonçai deux puis doigts unis dans son vagin, le masturbant doucement pendant que je lui taquinais son cul.
- Oooh, oui, que c‘est bon ce que tu me fais, râla-t-elle à mi-voix, en soulevant les hanches et en poussant sa rosette sur ma bouche dévoreuse.
Elle faisait partie des femmes qui aiment se faire bouffer le trou de balle. Je me demandai si elle aimerait tout autant que j’y mette autre chose, sachant que les femmes affectionnaient généralement assez peu les pénétrations anales. Trouvant ça abaissant.
J’emmenai pour ça mon index copieusement enduit de mouille jusqu‘à l‘entrée de son anus luisant de salive. L‘enfonçant doucement dans un trou rond bien dilaté par tant d’affections de ma part. Pour faire diversion, je collais ma bouche contre son sexe. Mâchouillant les lèvres. Je sentais la chair douce et chaude de son cul envelopper mon doigt tandis que je le voyais disparaître millimètre après millimètres dans le tube de chair de ma partenaire.
- Oooh ! C’est bon, là ! Oh ! Oui ! Oh, oui ! Mmmm…
Je perçus son orgasme sous ma bouche et autour de mon doigt, tandis qu’elle ramenait brutalement ses jambes pour enserrait ma tête entre ses cuisses. Les oreilles bouchées, j’entendis néanmoins qu’elle continuait à exprimer son plaisir.
J’attendis patiemment qu’elle veuille bien me libérer pour profiter de son moment d’extase pour lui faire prendre la position désirer.
Et d’un coup, sans que j’eusse besoin de guider ma queue, elle glissa et pénétra son antre. Elle s’immobilisa, presque surprise, retenant sa respiration. Je sentis par la douce chaleur qui me baignait que j‘étais entièrement en elle. J‘’entamai une douce et faible amplitude de va-et-vient…
- Oh mon salaud ! Tu es en train de m’enfiler… Oh que c’est bon…
Elle était aux anges, mais aussi plein de soupirs. Je profitais de sa faiblesse pour poser mon pouce sur l’anus. Il fut comme aspirer dans son entier. Il m’en fallait pas plus pour faire monter en flèche mon excitation. Alors qu’elle haletait, prononça des insanités, je dirai même des grossièretés. Offerte, baisée, elle était à ma merci.
- Le salaud ! Oh que c’est bon ! … tu te branles avec ma chatte ! … Oh que c’est bon…
Je continuais à entrer et sortir ma queue. M’empalant totalement, profondément, complètement. Je savourais son fourreau accueillant. Cette sensation était vraiment fantastique. Elle n’arrêtait pas de gémir. Je sentais peu à peu mon plaisir monter. Je sentais mon sexe se gonfler, se raidir. L’imminence de la symphonie finale était proche.
Brutalement vaincu, je capitulais sans conditions. Et je déversais en pleine puissance. De longs jets laiteux dans les entrailles de la femme. Cette éjaculation lui eut pour effet de lui provoquer un bouquet final de délire verbal insensé, alors que ses muscles internes me serraient de plus en plus fort.
Puis comme tout à une fin, elle se retira doucement. Ma verge était flasque, sans vigueur, vidé, lessivé, épuisé, mais tout de même prêt à recommencer, si elle le désirait.
Calmement, elle se retourna, avec un grand sourire.
- Merci tu ne peux pas savoir le service que tu viens de me rendre. Je me sens à présent désirable et cela grâce à toi. J’espère te revoir demain…
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