Prise en main par mon voisin : Chapitre 7 - histoire érotique

Cela fait maintenant deux mois que nous sommes ensemble Romain et moi et qu'il est mon maître. Je suis toujours aussi heureuse et épanouie, j'ai découvert tellement de plaisirs, j'ai joui comme jamais, même si je suis régulièrement punie aussi... Mais j'avoue le mériter et le chercher parfois.
On est vendredi, je rentre du boulot. En arrivant chez moi, je découvre un mot sur la table, Romain a le double des clés de chez moi.

— Je viens ce soir à 20H, j'ai très envie de toi, de jouer avec toi, prépare-toi...

C'est fou comme ce petit mot peut me faire de l'effet, moi qui étais si sage il y a encore deux mois, je suis maintenant excitée à la simple lecture de ce mot de mon maître.
Il est 17h, j'ai le temps de me préparer. Je traîne un peu, je me repose, je prépare un petit repas simple, mais bon, et enfin je vais me doucher, raser mon sexe pour être bien lisse comme mon maître aime. Je me choisis une belle tenue sexy, j'ai appris à être très féminine, oser des choses sexy que je n'aurais jamais mises avant. Une jupe courte, des bas, mes talons aiguilles et en haut juste un top en dentelle blanche. Aucun sous-vêtement, je suis d'humeur coquine. J'ai envie d'être le jouet de mon maître ce soir, envie qu'il me corrige. J'ai envie qu'il m'utilise sexuellement pour son plaisir, même si je sais qu'il ne me laisse jamais sans me faire jouir.

Pour bien le provoquer, juste avant l'heure de son arrivée (il est très ponctuel), je me place à genoux au sol, les bras en appui sur le canapé, et je relève ma jupe sur mes reins pour bien lui montrer mes fesses. Je veux lui être offerte.

J'entends la clé dans la serrure, Romain ouvre, referme la porte et entre dans le salon. Sans me retourner, je lui dis bonjour. J'imagine son regard sur mes fesses dévoilées.

— Bonsoir ma soumise, j'adore ta façon de m'accueillir. Dois-je en déduire que ce soir tu es toute à moi ?
— Oui maître, je suis à toi. J'ai envie de toi et envie que tu me corriges. S'il te plaît.
— C'est très bien, j'ai envie de cravacher ton petit cul, le faire bien rougir et ensuite je vais te sodomiser pour la première fois.
— Je ne suis pas sûr de réussir à prendre ton sexe dans le cul, tu es large, tu sais.
— Je serais doux ma belle.
— D'accord, alors vas-y, je suis à toi.
— J'aime entendre ça.

Romain va chercher mon plug anal. Il revient, s'agenouille derrière moi et commence un annulingus comme il sait si bien les faire. Sa langue sur mon anus, en douceur, sa main qui caresse mon sexe, qui frôle mon clito, je suis déjà trempée en quelques secondes et je gémis de plaisir.
Mon maître claque mes fesses d'un coup et m'arrache un cri. Je sens l'extrémité du plug contre mon anus, je souffle et mon maître pousse sur le plug pour le faire entrer, en entier et d'un seul coup. J'ai beau y être habituée, cela me fait toujours autant d'effet.
J'entends mon maître défaire sa ceinture et avant même d'avoir le temps de réfléchir, je reçois un premier coup de ceinture sur mes fesses.

— AAAHH.
— Tu m'as demandé de te corriger et j'ai très envie que ton cul soit rouge, de te voir grimacer à chaque fois que tu vas t'asseoir.

Romain recommence, la ceinture frappe mes fesses à plusieurs reprises, me faisant crier à chaque fois, j'ai mal, le plug réagit à chaque coup, et pourtant, ma chatte mouille de plus en plus. Romain caresse parfois ma chatte entre deux coups de ceinture, il sait m'exciter.
Mon maître continue de maltraiter mon cul pendant plusieurs minutes, j'ai les fesses en feu, mais la chatte aussi, je suis à mi-chemin entre l'orgasme et la douleur trop forte. Et même si cette sensation me perturbe, j'adore ce que je ressens.
Mon maître arrête la flagellation et vient s'asseoir sur le canapé, il est nu, le sexe dressé, je comprends tout de suite sans qu'il ait besoin de parler qu'il veut que je le suce. Je m'installe entre ses jambes, toujours à genoux.

— Retire ton haut et ta jupe avant. Ensuite, tu vas me sucer comme tu sais si bien le faire, je veux que tu essaies d'aller plus loin en gorge profonde.
— Oui maître.

Je me déshabille, Romain ne peut s'empêcher de prendre mes seins en mains et de les peloter, les serrer, pincer mes tétons déjà dressés.
Je pose ma langue sur le gland de mon maître, je le lèche doucement en le regardant dans les yeux... Je lèche doucement sa bite dressée, je passe ma langue partout, je descends jusqu'à ses couilles.
Romain m'attrape par les cheveux.

— Arrête de jouer ma salope et suce-moi.

Je prends sa queue dans ma bouche et m'applique à sucer mon maître du mieux possible, son gland est humide, sa bite bien dure et bien droite, toujours aussi large. Même si je le suce chaque jour depuis deux mois, j'ai toujours du mal à le prendre en bouche. Je descends assez bien jusqu'à la moitié de son sexe, mais pas plus.
Romain appuie sur ma tête, il me la maintient enfoncée sur sa queue, il le fait souvent, mais cette fois plus fort, sa queue entre encore plus dans ma bouche, je bave, j'étouffe... Il me relâche, je reprends mon souffle et il recommence. Sa queue épaisse force ma bouche et s'enfonce chaque fois un peu plus, je comprends que ce soir, je suis sa salope, son objet, et ça me plaît beaucoup, j'assume maintenant d'être la salope de mon maître.
Sa bite entre aux trois quarts dans ma bouche. Et vu ses gémissements mon maître est satisfait.

— C'est très bien, tu progresses ma petite chienne, maintenant, je vais prendre ton petit cul, viens en levrette sur le canapé. Détends-toi, je vais chercher le lubrifiant, caresse ta chatte.

Lorsque Romain revient, il pose sa main sur ma chatte et me caresse doucement, il retire doucement le plug de mon anus. Il dépose une grosse quantité de lubrifiant sur mon anus et y rentre facilement deux doigts, mon maître me doigte lentement le cul, et j'avoue que j'adore ça, ses doigts dans mon cul et son autre main qui titille mon clito.

— Je vais te pénétrer, tu sais quoi faire pour aider, si vraiment ça ne va pas, dis-le-moi ma belle.
— Oui maître, je veux t'offrir mon cul, tu sais que je suis toute à toi, je te fais confiance.

Romain pose son gland gonflé contre mon anus et commence à pousser doucement, je suis excitée, la chatte pleine de mouille et le cul bien lubrifié et entrouvert grâce au plug. Mais cela force quand même le passage, le gland de Romain entre d'un coup dans mon cul.

— OOHH putain ! Tu me défonces le cul, reste comme ça s'il te plaît, ne ressors pas...
— D'accord ma belle.
— Doucement, pousse doucement, pénètre-moi, force mon cul, je te veux dedans. AAAHHHH tu m'ouvres le cul !

Romain est entré presque en entier dans mon cul, en quelques secondes, jamais je n'y aurais cru, mais ça va, j'ai mal bien sûr, il m'écarte l'anus, mais c'est supportable et ses caresses sur mon sexe en même temps maintiennent mon excitation.
Il commence des va-et-vient dans mon cul, j'ai mal, mais en même temps, ça m'excite de me sentir possédée et ouverte comme ça, alors qu'il y a deux mois, j'étais une fille coincée. Il me prend en douceur, mais chaque mouvement me dilate le cul.

— Oohh, tu m'ouvres le cul maître, OH putain, je te sens tellement ! AAHH oui vas-y, caresse ma chatte s'il te plaît, ouiii j'ai mal, mais c'est bon maître.
— Tu es tellement serré, j'ai déjà envie de jouir, ton cul est trop bon, je sens que je vais souvent te sodomiser ma soumise.
— Oui maître, je suis à toi, jouis, lâche-toi, souille-moi.

Je me comporte comme une vraie salope, une grosse queue dans le cul, je réclame du sperme... Romain m'a transformée, libérée. Et j'en suis très heureuse.
Romain accélère ses coups de reins, il frappe plus fort, mon cul se fait défoncer, mes fesses très rouges à cause de la ceinture me font mal aussi, pourtant les doigts de mon maître sur mon clito sont en train de m'amener à l'orgasme, ça monte d'un seul coup, je n'ai même pas le temps de prévenir mon maître.

— Ouiiiiii je jouis !! OOOOOHHHH putain c'est trop bon Maître !! Ouiiiiii... iii...

L'orgasme me faisant contracter le vagin et l'anus, ça fait immédiatement jouir Romain dans mon anus déjà très étroit. Et vu l'éjaculation que je prends dans les fesses, il avait très envie de moi.

— C'était tellement bon ma soumise, je suis très fier de toi, que tu te sois laissée aller, relâchée. Je suis très satisfait de toi, merci ma belle.
— Merci maître, merci mon chéri de m'aider à faire tout ça en me donnant du plaisir.

Romain se retire de mon anus et je m'allonge sur le canapé, sur le ventre parce que j'ai les fesses en feu. Romain va chercher de la crème et tout en douceur, il me met de la crème sur les fesses pour apaiser le feu. La soirée se termine en douceur et tendresse, des câlins, le petit repas que j'avais préparé et une nuit dans les bras de mon maître. Que demandez de plus ?... Rien, je l'aime.