Sylvia la soubrette mature : chapitre 1 - histoire érotique

Voici le début d’une histoire, le premier chapitre mets en place les personnages et le scenario, ce sera beaucoup plus intensif par la suite.

Je m’appelle Paul, j’ai 28 ans, je viens d’obtenir un poste de cadre dans une grosse entreprise et d’acheter une maison. Etant célibataire depuis 1 an, j’ai des relations ponctuelles avec des femmes, plutôt basées sur des rapports de domination. Je ne souhaite pas forcement me remettre en couple, ayant vécu 3 ans en couple avec une compagne soumise sexuellement mais parfois trop soft pour moi.
N’ayant pas trop le temps de m’occuper du ménage de ma maison et du repassage, et ayant un très bon salaire, je publie une annonce sur un site bien connu pour cherche une femme de ménage. Je reçois assez vite plusieurs réponses dont une m’interpelle particulièrement. Sylvia, 48 ans, se présente comme une femme au foyer depuis 25 ans, habituée à entretenir sa maison, mais ayant divorcée récemment, elle cherche un petit boulot pour avoir un salaire.
Etant donné qu’elle est libre de tout engagement, une femme d’expérience, qui semble d’un niveau d’éducation assez élevé au vu de ses tournures de phrases, je me dis que ça peut être une bonne employée, discrète et efficace, sans passer par une agence spécialisée. Je la contacte par mail et lui propose de venir chez moi me rencontrer pour un entretien.

Le vendredi qui suit, à 18H, Sylvia sonne à la porte de ma maison. J’ouvre et découvre une belle femme, châtains aux yeux bleus, la peau bronzée, bien coiffé, un maquillage simple mais surtout une tenue surprenante pour un poste de femme de ménage, même si nous sommes en plein été. Sylvia porte une robe d’été assez légère, beige, élégante, s’arrêtant aux genoux et en haut offrant un décolleté très sympa mais pas vulgaire du tout. Je devine ainsi une forte poitrine. Une femme bien plus petite que moi si on retire les talons compensés de ses chaussures. Sylvia n’est pas grosse même si je devine un ventre qui n’est pas totalement plat mais une femme agréable à regarder et visiblement bcbg. Moi qui avais des intentions tout à fait sérieuse pour cet entretien d’embauche, je me surprends à la reluquer plus que ce que je devrais.

-Bonsoir Sylvia, enchanté, Romain-Bonsoir Monsieur, enchanté également.
-Vous pouvez m’appeler Romain.
-Je préfère garder « monsieur ».
-D’accord, venez asseyez-vous sur le canapé si vous voulez.
-Merci Monsieur.

Nous discutons un moment et je lui demande de se présenter. De me parler de son expérience. Elle se lance alors dans une confession sur sa vie.

-Comme je le disais dans ma réponse à votre annonce, j’ai été marié pendant 25 ans, j’étais femme au foyer, mon mari gagnais très bien sa vie, j’ai été éduquée pour savoir faire toutes les taches ménagères, tenir une maison. Je me suis occupée de tout ça pendant 25 ans quand mon mari travaillait et je m’occupais de lui quand il rentrait. Je savais qu’il avait des maitresses, mais il y a 6 mois il a demandé le divorce pour partir avec une de ses maitresses beaucoup plus jeunes que moi et plus sexy aussi je dois l’avouer. Je vie donc seule, il m’a laissé la maison et pas mal d’argent mais je cherche un petit boulot pour faire un revenu malgré tout.
-D’accord, merci pour votre présentation et désolé pour votre divorce.
-Merci Monsieur. Sans prétention, je pense être une bonne soubrette et pouvoir m’occuper de votre maison.
-Bien, je pensais à un contrat de 16h par mois, 4h par semaines, je paie bien sur tous les produits nécessaires pour le ménage. Le ménage se ferait 2 fois 2h chaque semaine, des jours en fin d’après-midi quand je rentre du travail, toujours en ma présence au moins au début, j’espère que vous comprenez.
-Oui monsieur je comprends tout à fait. Ca me conviendrait très bien. Vous semblez être sympathique, élégant et avez une belle maison. Vous êtes le genre de patron que je cherche.
-Merci. Votre profil m’intéresse. Je vous propose de débuter lundi, je vais rédiger le contrat ce week-end et vous le signerez lundi en arrivant. Lundi 18h ?
-Très bien monsieur, avec plaisir. Je serais lundi à 18H. Souhaitez-vous un uniforme ou une tenue en particulier pour votre soubrette ?

La question me surprend un peu et le fait qu’elle se désigne comme soubrette me renvoie à des pensées inadaptées. Il est évident que j’aimerais voir cette femme chic dans un uniforme de soubrette coquine. D’autant que je n’ai pu m’empêcher de regarder ses jambes bronzées et ses pieds vernis de rouge. Mais je me concentre et répond comme il se doit.

-Non, vous pouvez vous habillez comme vous le souhaitez, soyez à l’aise.
-D’accord monsieur.
-Je vous raccompagne, bonne soirée, bon week-end et à lundi.
-Merci monsieur, bonne soirée, à lundi.

Je regarde Sylvia rejoindre sa voiture dans la rue, je ne peux m’empêcher de mater ses fesses roulé sous sa robe légère, une belle vision.
Durant le week-end je pense souvent à Sylvia, je me suis même masturber le samedi soir, une soubrette bcbg, quoi de plus excitant. Mais je me reprends en me disant que c’est simplement une femme qui a été éduquée comme ça, gentille en plus, que je dois rester sage et ne pas passer pour un pervers. Qu’elle puisse être à l’aise pour son premier emploi en 30 ans.
Le lundi arrive, je quitte le travail à 17h pour rentrer chez moi et avoir le temps de me doucher et ranger un peu l’appartement avant son arrivée. Ce ne sera pas toujours le cas mais pour une première je ne veux pas qu’elle se sente débordée de travail.
A 17H50 Sylvia sonne à ma porte, je suis tout de suite surpris par la tenue qu’elle a choisie pour faire mon ménage. Escarpins vernis noirs à talons, jupe fluide noire qui s’arrête juste sous les genoux et un chemisier blanc, laissant deviner ses gros seins bien haut. Toujours son maquillage simple et ses beaux cheveux blonds coiffés en chignon.

-Bonsoir Sylvia, vous êtes très élégante pour faire le ménage.
-Bonsoir monsieur, cela vous gêne ? J’ai choisis une tenue que je porte souvent chez moi-même pour le ménage.
-Aucun problème. Entrez, votre contrat est sur la table.

Sylvia signe son contrat, je lui fais visiter la maison et lui explique que pour ce soir j’aimerais qu’elle fasse la vaisselle que je n’ai pas fait ce week-end, changer mes draps, le ménage de la salle de bain et des wc. Sylvia va commencer le ménage et je vais m’asseoir devant la tv. Au bout d’un moment j’entends que Sylvia commence la vaisselle, il y en a beaucoup. Puis j’entends un bruit de verre qui se brise. Je me lève pour aller dans la cuisine voir si tout vas bien, je vois 2 verres à vin au sol, cassés. Rien de grave, j’en ai plein.

-Ca va Sylvia vous ne vous êtes pas coupée ?
-Non monsieur, je suis sincèrement désolée, j’ai été maladroite. Je suppose que vous allez me punir ?

Sylvia à le regard baissée, honteuse comme une enfant qui vient de faire une bêtise et qui attend la punition. Je réfléchis, je me rends compte qu’elle n’est pas juste une femme de ménage mais aussi une femme soumise, comme j’aime. Je décide de tenter quelque chose.

-Oui même si tu n’as pas fait exprès, tu dois être punie. Mets-toi en appuie sur les bras sur la table et tend moi tes fesses, je vais te fesser.
-Oui monsieur, je dois être punie.

Sylvia se mets tout de suite en position et relève sa jupe sur le bas du dos pour m’offrir la vue de ses fesses, légèrement rondes, comme j’aime, bien que manquant un peu de fermeté mais des belles fesses de 48 ans. Elle ne porte qu’un string en dentelle blanche, élégant comme le reste.
Je baisse son string à mis cuisses et profite de la vue, un petit anus fermé, et une belle chatte mature avec des petites lèvres pendantes et aucuns poils. Une femme très propre bien sûr.

-Tu vas prendre 20 fessées, tu peux exprimer ta douleur, mais interdit de te protéger ni d’esquiver sinon je repars à zéro.
-Oui monsieur je comprends.

Je claque une première fois ses fesses, pas trop fort, je veux déjà découvrir ce que je peux lui faire ou pas. Ma soubrette ne dis rien, je continue donc un peu plus fort, puis encre plus fort jusqu’à ce qu’elle gémisse. Je vois ainsi que je peux mettre des vraies fessées assez appuyées. J’enchaine les vingt claques sur ses fesses qui deviennent rouge très facilement malgré le bronzage. Sylvia à gémis à chaque coup mais a encaissée sans chercher à esquiver.

-C’est bien, je vois que tu sais te tenir pendant une punition. Rhabille toi et fini tout ce que tu as à faire. Sans rien casser. Ensuite tu viendras me voir et on aura une petite discussion avant que tu rentres chez toi.
-D’accord monsieur, merci de m’avoir punie.

Je retourne devant la tv et je laisse ma soubrette finir son travail. Je commence à réfléchir au type de relation à mettre en place avec elle.