Sylvia la soubrette mature : chapitre 3 - histoire érotique

Apres cette deuxième rencontre et cette belle fellation, je me dis que Sylvia peut vraiment être la femme soumise que je cherche, avec qui créer une belle complicité et aller assez loin dans sa soumission. Je veux rapidement la tester un peu plus, dès demain.

Comme prévu, le lendemain Sylvia arrive en fin d’après-midi, avec une petite valise. Toujours élégante dans une une jupe courte, et un haut léger en satin, flottant, avec un décolleté toujours attirant d’où je devine ses seins tombant sans soutien-gorge. Et des escarpins à talons aiguillent pour compléter la tenue.

-Bonjour Monsieur Paul.
-Bonjour Sylvia, content de voir que tu as amené ta valise.
-Oui Monsieur, je suis prête à rester quelques jours selon vos ordres.
-Bien, entre et va ranger ta valise dans la chambre d’amis, il y a des draps dans le placard, va préparer ton lit. Ensuite tu redescends t’occuper de moi au salon.
-Oui Monsieur Paul.

Ma soumise redescend 20 min plus tard. Je suis sur le canapé en train de lire, elle se met à genoux, pensant qu’elle va devoir me sucer. Je souris du fait qu’elle soir si naturellement soumise, cette belle femme chic et mure qui s’agenouille par réflexe devant moi. Mais aujourd’hui je veux plus que sa bouche.

-Relève toi, ce n’est pas ta bouche que je veux, retire ta jupe et caresse toi la chatte, j’ai envie de te baiser, voir ce que tu vaux comme ça.
-Ah d’accord monsieur.

La belle blonde baisse sa jupe et dévoile son intimité sans culotte. Ses longues lèvres pendantes, elle caresse directement son clito, devant moi, j’aime le fait qu’elle ne se cache pas. Ses doigts explore son sexe qui devient vite humide, je vois sa poitrine gonflée à chacun de ses soupirs, Sylvia semble être vraiment en manque de sexe. Elle entre un doigt assez facilement et fouille sa chatte sans honte. Je sors ma queue tendue d’excitation à la vue de cette femme mure qui se branle sans gêne devant moi. Je n’ai qu’une envie c’est de la prendre jusqu’à me vider en elle.

-Stop arrête, tu es prête je pense. Retire ton haut et viens t’assoir sur ma queue, face à moi.
-Oui monsieur, mais je vous rappelle que je n’ai pas eu de rapports depuis 6 mois.
-Ta chatte de salope est ouverte ça va rentrer tout seul et si je dois forcer un peu ça ne me gêne pas, viens t’empaler sur ma bite.
-D’accord monsieur.

Ma soubrette retire son haut dévoilant ses mamelles lourdes, ses tétons sont tendus, tres épais, elle vient s’installer assise sur moi, mon gland gonflé de désir entre d’un coup dans son vagin brulant et trempé, au même moment je prends en mains ses gros seins que je sers. Sa chatte expérimenté et ouverte m’a permis d’entrer facilement, je n’ai pas l’habitude de ca avec mes autres partenaires, la pénétration à arracher un crie mélangé de douleur et plaisir à Sylvia.

-Oohh c’est gros, monsieur votre queue est plus grosse que celle de mon mari.
-Ta chatte de salope est grande ouverte, ça rentre comme dans du beurre, je vais pouvoir te baiser sans retenu, comme tu le mérite.
-Je sers à ça monsieur, mais je n’ai plus l’habitude.
-Bouge ta chatte sur moi, montre-moi comment tu t’occupes d’un homme, avec tous les coups de bites que tu as pris, tu dois savoir faire.

Ma soumise commence à onduler du bassin sur moi, je pousse pour enfoncer mon sexe jusqu’à la garde dans son con brulant. J’agrippe ses grosses mamelles lourdes, je les soupèse, les sers, je pince les tétons jusqu’à la faire gémir fortement. Je regarde ses grosses poires sauter au rythme de ses mouvements de bassin. Sa chatte trempée est tellement bonne, même si je ne suis pas serré comme d’habitude, je suis hyper excité. Sylvia gémit, bouge son bassin, contracte et relâche son vagin autour de ma bite, elle se donne à fond pour me satisfaire. Il est facile de comprendre que ses 25 ans de mariage l’ont formatée à ça et vu comme elle mouille ma bite, elle prend beaucoup de plaisir à se donner ainsi. Je profite ainsi quelques minutes, maltraitant ses gros seins, alternant les pincements de tétons, mordiller, presser, gifler ses seins. Je les malmène mais elle aime ça, je le vois dans son regard.

-Aie !! Oohhh putain ça fait mal monsieur ! J’ai les tétons en feu.
-Je sais que tu aimes ça, ce n’est que le début, tes mamelles je vais les travailler souvent. Je vois que tu as l’habitude de baiser un homme, d’utiliser ton trou à bite pour satisfaire un homme. Mais il est temps que je reprenne la main, allonge toi sur le bord du canapé.

Ma soumise se retire de mon sexe et se mets en place, jambes écartées et relevées, prête à m’accueillir. Je ne me fais pas prier et entre d’un coup sec jusqu'à la garde.

-Ouuff ! Vous me défoncer maitre, je n’ai pas l’habitude, mais je mouille, j’ai tellement honte.
-T’es une salope, tu l’as dit toi-même, je vais t’apprendre à assumer. Ton corps sert à ça, des grosses mamelles, une chatte béante, une bouche de suceuse.

Je pose une main sur son cou, sans serrer, et une main sur un sein que je sers fortement, ses grosses poires sont déjà rosées par les claques que j’ai donné. Je me lâche, je donne des coups de reins brutaux, profonds, lents, je me retire presque entièrement à chaque fois pour rentrer jusqu’à la garde. Sylvia ne fait plus que gémir et crier au rythme de mon pénis ultra tendu. La base de ma queue tape contre ses lèvres, je sers doucement son cou, recommence à gifler ses gros seins qui ballottent.

-Monsieur je vais jouir, votre queue est trop large, je tiens plus, je vais gicler, je suis désolée.
-Vas-y lâche toi, mouille moi la queue, montre la chienne que tu es.

J’accélère mes coups de reins et en quelques secondes ma queue est expulsée de son vagin et un jet de cyprine vient m’arroser le ventre et le sexe. Sylvia tremble de plaisir, je remets ma bite au fond de sa chatte qui se contracte.

-OUIIIII !! Maitre s’il vous plait jouissez, j’en peux plus, j’ai la chatte brulante et douloureuse de plaisir, c’est tellement sensible, je tiens plus, s’il vous plait.
-Je vais te remplir de foutre, mais pas ta chatte, viens te mettre à genoux.

Sylvia s’agenouille rapidement, j’enfonce mon sexe le plus possible et me lâche dans sa gorge, comme la veille, je tiens sa tête et sagement elle avale, difficilement mais sans recracher. La belle blonde, s’essuie les lèvres avec sa langue, si je me retenais pas je remettrais le couvert tellement cette bourgeoise m’excite. Mais j’ai d’autres projets.

-C’est bien ma soumise, tu as une bonne chatte, très ouverte mais tu sais bien t’en servir. Tu vas t’habituer à avaler, y prendre gout.
-Le gout ne me gêne pas monsieur, mais c’est la quantité. Ma chatte est très ouverte, j’en ai honte, mais mon mari m’a appris à faire jouir un homme, il n’aimait pas que ça dure trop, il voulait me baiser vite et se vider, parfois avant que je jouisse. Merci de m’avoir fait jouir.
-J’ai pris mon pied, j’ai été soft, mais tu vas progresser encore. On va se laver, après tu ne remets que des bas, portes jarretelles et talons aiguille, les plus hauts que tu as. Il est 18h45h, à 20h on a une invité, tu as 1h15 pour faire ça et faire à manger pour nous trois.
- Une invité ? Vous allez me montrer comme ça devant une femme ? Je ne sais pas si je suis prête.
-Fais-moi confiance, c’est une de mes amantes, je la connais bien, elle est discrète en dehors de nos rencontre.
-Euh, j’ai confiance en vous, mais je ne pensais pas devoir vous partager aussi vite.
-Tu es ma soumise, je veux que tu deviennes ma soumise à demeure mais tu sais que je côtoie d’autres femmes, ce sera toujours en ta présence et avec ta participation plus ou moins. Tu peux refuser et j’annule tout.
-Je ne veux pas vous décevoir, je vous fais confiance maitre. Je n’ai jamais touché à une femme.
- Allez on va à la douche.

Sous la douche je demande bien sûr à Sylvia de me savonner le corps, je bande à nouveau mais je reste sage, pas le temps. Je la laisse se savonner, je profite juste pour étirer ses tétons encore, re gifler ses seins mouiller, Sylvia gémis mais sourie et mouille. Puis nous sortons de la douche, je vais me préparer et je laisse ma soumise s’habiller et faire à manger. Je vais la voir dans la cuisine, elle porte un porte jarretelle noire en dentelle, des bas bruns qui vont parfaitement à sa peau bronzée et des escarpins à haut talons aiguille, 10cm au moins, heureusement qu’elle est petite au départ. La cambrure de ses fesses rondes est parfaite, je me colle contre son dos, gifle fort ses fesses, étire ses tétons brutalement.

-AAAHHH ! Maitre j’ai tellement mal aux tétons, ils sont si gonflés.
-Ce soir je compte sur toi pour montrer que tu peux être ma soumise à long terme, la meilleure. Si tu désobéis, ou me déçois, sache que toutes les punitions tourneront autour de tes mamelles.
-Ouff, oui maitre je ferias de mon mieux, je n’aime pas mes gros seins pendant, ils sont à vous.
-Bien. Continue le repas, quand ça sonne tu vas ouvrir.

Je tire un dernier coup sur les pointes de ses seins et les relâche brutalement, ses deux grosses poires tombent et je pars au salon attendre mon invité.