Quand on s'promène au bord de l'eau
Récit érotique écrit par Pilpoil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand on s'promène au bord de l'eau
Je repense à cette baignade dans la Vézère un jour de juillet 2022 et comment j'aurais aimé que cela se poursuive...
Il faisait une chaleur étouffante, météo France avait tablée sur un pic à 40°c, il était donc convenu d'aller se rafraîchir à la rivière en prenant de quoi pique niquer. Une fois arrivés sur la rive, dans un cadre verdoyant, calme et désert nous nous sommes tous mis en tenue pour nous baigner... Enfin tous... Ceux qui avaient pris leurs affaires de baignade ! Tour à tour nous commencions à prendre possession des lieux et à profiter de cette opportunité, loin de la promiscuité des plages du midi de la France, nous étions seuls pour 200m de rivière.
Te sentant frustrée de ne pas te rafraîchir, tu commences à nous rejoindre dans l'eau. D'abord les chevilles, puis les mollets, et puis bon... tant qu'on y est : les genoux... Et finalement c'est agréable... Donc comme il n'y a que nous, allons y comme ça ! Et te voilà habillée dans la rivière parmi nous, en chemisier et culotte. La fraîcheur de l'eau fait se dresser tes seins dès que tu sors de l'eau, malgré la présence du chemisier ça se voit. Tes seins joliment dessinés se mettent à pointer. Après un long moment à jouer dans l'eau avec les bouées dans les courants tu viens vers moi pour m'embrasser. Je te fais remarquer ta poitrine, tu t'approches de mon oreille et tandis que l'une de tes mains se pose sur ma cuisse tu m'annonces :
"tout à l'heure c'est la fraîcheur qui me faisait pointer, mais maintenant c'est une toute autre idée !" Ta main se pose sur mon sexe que tu commences à caresser à travers le maillot de bain. Tu m'invites à te suivre pour aller explorer d'autres recoins de la rivière.
Nous nous éloignons petit à petit, tes caresses ont lancé un processus dans mon maillot de bain.
Nous descendons la rivière pour nous retrouver dans un autre endroit à l'abri des regards, une petite plage ensoleillée un peu plus bas nous tend les bras. Tu t'y diriges, je te suis comme un petit toutou. "Je déteste avoir des fringues trempées sur moi" me dis tu, en déboutonnant ton chemisier, ta poitrine blanche se met à jour progressivement, puis tu le jettes au sol, te voilà quasiment nue, uniquement en en culotte. "Comme il n'y a que nous... C'est les vacances ! profitons en !" Je te regarde dubitatif et avant même que j'ai pu penser quoi que ce soit tu retires ta culotte que tu jettes sur ton chemisier.
Tu es maintenant nue comme un ver, seul le bronzage habille ta peau, tes bras, ton visage, ton décolleté et une partie de tes jambes sont ambrés, le reste est d'autant plus blanc que la luminosité est forte et cela amplifie le contraste.
Tu me sors de ma rêverie en disant: "Bah ! Reste pas planté comme ça ! Tu vois bien qu'il a besoin de prendre l'air !" Et d'un coup de mains habile te voilà en train de baisser mon maillot de bain jusqu'à mes chevilles. Puis empoignant mes bourses et secouant mon sexe "il est beaucoup plus à son aise ainsi, et en plus nous sommes sur un pied d'égalité ! Tu viens te baigner avec moi vanille fraise ?!"
"Comment ça vanille fraise ?"
"Bah avec tes coups de soleil t'es rouge, et tes fesses sont blanches, on croirait une glace italienne vanille fraise !"
Je reste éberlué par ton attitude et tes paroles, quelle assurance ! Nous avançons dans la rivière totalement dévêtus, de retour à l'état sauvage. De nombreuses libellules tournent dans les environs, elles se posent sur un arbre couché pour sécher leurs ailes. Elles sont magnifiques, nous nous approchons pour les regarder en descendant les épaules sous la surface. Elles sont d'un bleu électrique puissant. Nous restons quelques instants à contempler ce ballet.
Il y a un léger courant, l'eau glisse sur nos corps, il faut parfois faire attention avec les différentes profondeurs car le courant s'accroît et nos pieds ont vite fait de se dérober nous faisant perdre l'équilibre. L'assurance que tu avais il y a quelques minutes contraste avec ta peur de tomber dans l'eau... Tu t'agrippes à ma main fermement, chaque pas que tu fais nécessite une énorme concentration de ta part.
Plusieurs blocs de pierre forment une petite retenue d'eau un peu plus loin, comme une banquette aménagée permettant de se prélasser et d'être en même temps massé par le courant. Nous nous y installons, ce n'est pas le confort 5 étoiles d'un spa, mais cet assemblage sommaire est idéal, il n'y a pas trop d'eau, ni trop peu.
"Cet endroit est totalement calme et apaisant, tu me ferais pas un petit massage ?"
"Je suis étonné que tu sois autant dans l'eau, c'est pas dans tes habitudes !"
"Oui c'est vrai mais il fait tellement chaud qu'au bord tout à l'heure je dégoulinais !"
Pendant que je te masse les jambes tu te détends totalement, l'eau court sur ton corps bien allongé à la surface, passant entre et autour de tes seins, parfois une vaguelette recouvre tout puis l'eau se retire rendant tes pointes bien fermes. Tes poils pubiens oscillent comme le font les algues avec le courant.
Je continue de te masser en remontant le long de tes jambes. Je profite du spectacle qui m'est offert pour venir déposer quelques tendres baisers sur ta bouche et ta poitrine. Tes mains saisissent ma taille et tu me rapproches de ton bassin. Mon sexe en érection approche de ton pubis.
"J'ai très envie de toi ma poulette..."
"Chut... ! Embrasse moi encore !" Tu saisis ma main, la pose sur ton vagin, et en accompagnant ma main dans de doux va et vient tu fais glisser mes doigts entre les grandes lèvres de ton sexe en me disant "Je crois que je mouille ! Viens en moi !"
Je ne me fais pas prier, et m'exécute. Mon gland s'introduit doucement en toi, avec tes mains tu avances et recules mon bassin au gré de tes envies pendant que je continue d'embrasser tes tétons tous durs. La sensation de te faire l'amour dans l'eau est fort agréable, nous ne supportons pas le poids de l'autre et tout est très fluide, le petit bémol vient des éclaboussures que font nos corps quand ils entrent en contact.
Je me retire de ton vagin et te propose de te retourner, tes bras appuyés sur la banquette, les fesses relevées je peux profiter de ta cambrure. Pendant que je m'introduis de nouveau dans ton sexe je peux varier les plaisirs et te caresser la poitrine, le dos ainsi que ce cul à fessées. Alors que je m'attarde sur tes hanches les aller retour de nos 2 corps secouent ta poitrine, le bout de tes seins raye la surface de l'eau comme un diamant dans la roche. Mes doigts caressent ton sillon inter fessier, laissant entrevoir ton anus. Un lointain souvenir me revient en tête, une offrande que tu m'avais fait au début de notre relation, probablement le genre de compromis que l'on fait pour témoigner de l'amour que l'on porte à l'autre.
Je profite de cette occasion pour carresser du bout du doigt ce petit trésor, tandis que l'une de tes mains vient jusqu'à ton sexe pour te caresser et me caresser les testicules. En l'espace de quelques dizaines de secondes ton expertise me pousse à jouir en toi, tu n'es pas en reste, je te sens contracter autour de mon sexe. Nous nous effondrons dans l'eau, essoufflés, tu viens te blottir contre moi. Tu as la chair de poule, je te caresse la peau pour te réchauffer.
Après avoir repris nos esprits nous retournons vers la plage où tu as jetés nos affaires, nous nous installons au sol, au soleil, comme 2 couleuvres dans le plus simple appareil.
Il faisait une chaleur étouffante, météo France avait tablée sur un pic à 40°c, il était donc convenu d'aller se rafraîchir à la rivière en prenant de quoi pique niquer. Une fois arrivés sur la rive, dans un cadre verdoyant, calme et désert nous nous sommes tous mis en tenue pour nous baigner... Enfin tous... Ceux qui avaient pris leurs affaires de baignade ! Tour à tour nous commencions à prendre possession des lieux et à profiter de cette opportunité, loin de la promiscuité des plages du midi de la France, nous étions seuls pour 200m de rivière.
Te sentant frustrée de ne pas te rafraîchir, tu commences à nous rejoindre dans l'eau. D'abord les chevilles, puis les mollets, et puis bon... tant qu'on y est : les genoux... Et finalement c'est agréable... Donc comme il n'y a que nous, allons y comme ça ! Et te voilà habillée dans la rivière parmi nous, en chemisier et culotte. La fraîcheur de l'eau fait se dresser tes seins dès que tu sors de l'eau, malgré la présence du chemisier ça se voit. Tes seins joliment dessinés se mettent à pointer. Après un long moment à jouer dans l'eau avec les bouées dans les courants tu viens vers moi pour m'embrasser. Je te fais remarquer ta poitrine, tu t'approches de mon oreille et tandis que l'une de tes mains se pose sur ma cuisse tu m'annonces :
"tout à l'heure c'est la fraîcheur qui me faisait pointer, mais maintenant c'est une toute autre idée !" Ta main se pose sur mon sexe que tu commences à caresser à travers le maillot de bain. Tu m'invites à te suivre pour aller explorer d'autres recoins de la rivière.
Nous nous éloignons petit à petit, tes caresses ont lancé un processus dans mon maillot de bain.
Nous descendons la rivière pour nous retrouver dans un autre endroit à l'abri des regards, une petite plage ensoleillée un peu plus bas nous tend les bras. Tu t'y diriges, je te suis comme un petit toutou. "Je déteste avoir des fringues trempées sur moi" me dis tu, en déboutonnant ton chemisier, ta poitrine blanche se met à jour progressivement, puis tu le jettes au sol, te voilà quasiment nue, uniquement en en culotte. "Comme il n'y a que nous... C'est les vacances ! profitons en !" Je te regarde dubitatif et avant même que j'ai pu penser quoi que ce soit tu retires ta culotte que tu jettes sur ton chemisier.
Tu es maintenant nue comme un ver, seul le bronzage habille ta peau, tes bras, ton visage, ton décolleté et une partie de tes jambes sont ambrés, le reste est d'autant plus blanc que la luminosité est forte et cela amplifie le contraste.
Tu me sors de ma rêverie en disant: "Bah ! Reste pas planté comme ça ! Tu vois bien qu'il a besoin de prendre l'air !" Et d'un coup de mains habile te voilà en train de baisser mon maillot de bain jusqu'à mes chevilles. Puis empoignant mes bourses et secouant mon sexe "il est beaucoup plus à son aise ainsi, et en plus nous sommes sur un pied d'égalité ! Tu viens te baigner avec moi vanille fraise ?!"
"Comment ça vanille fraise ?"
"Bah avec tes coups de soleil t'es rouge, et tes fesses sont blanches, on croirait une glace italienne vanille fraise !"
Je reste éberlué par ton attitude et tes paroles, quelle assurance ! Nous avançons dans la rivière totalement dévêtus, de retour à l'état sauvage. De nombreuses libellules tournent dans les environs, elles se posent sur un arbre couché pour sécher leurs ailes. Elles sont magnifiques, nous nous approchons pour les regarder en descendant les épaules sous la surface. Elles sont d'un bleu électrique puissant. Nous restons quelques instants à contempler ce ballet.
Il y a un léger courant, l'eau glisse sur nos corps, il faut parfois faire attention avec les différentes profondeurs car le courant s'accroît et nos pieds ont vite fait de se dérober nous faisant perdre l'équilibre. L'assurance que tu avais il y a quelques minutes contraste avec ta peur de tomber dans l'eau... Tu t'agrippes à ma main fermement, chaque pas que tu fais nécessite une énorme concentration de ta part.
Plusieurs blocs de pierre forment une petite retenue d'eau un peu plus loin, comme une banquette aménagée permettant de se prélasser et d'être en même temps massé par le courant. Nous nous y installons, ce n'est pas le confort 5 étoiles d'un spa, mais cet assemblage sommaire est idéal, il n'y a pas trop d'eau, ni trop peu.
"Cet endroit est totalement calme et apaisant, tu me ferais pas un petit massage ?"
"Je suis étonné que tu sois autant dans l'eau, c'est pas dans tes habitudes !"
"Oui c'est vrai mais il fait tellement chaud qu'au bord tout à l'heure je dégoulinais !"
Pendant que je te masse les jambes tu te détends totalement, l'eau court sur ton corps bien allongé à la surface, passant entre et autour de tes seins, parfois une vaguelette recouvre tout puis l'eau se retire rendant tes pointes bien fermes. Tes poils pubiens oscillent comme le font les algues avec le courant.
Je continue de te masser en remontant le long de tes jambes. Je profite du spectacle qui m'est offert pour venir déposer quelques tendres baisers sur ta bouche et ta poitrine. Tes mains saisissent ma taille et tu me rapproches de ton bassin. Mon sexe en érection approche de ton pubis.
"J'ai très envie de toi ma poulette..."
"Chut... ! Embrasse moi encore !" Tu saisis ma main, la pose sur ton vagin, et en accompagnant ma main dans de doux va et vient tu fais glisser mes doigts entre les grandes lèvres de ton sexe en me disant "Je crois que je mouille ! Viens en moi !"
Je ne me fais pas prier, et m'exécute. Mon gland s'introduit doucement en toi, avec tes mains tu avances et recules mon bassin au gré de tes envies pendant que je continue d'embrasser tes tétons tous durs. La sensation de te faire l'amour dans l'eau est fort agréable, nous ne supportons pas le poids de l'autre et tout est très fluide, le petit bémol vient des éclaboussures que font nos corps quand ils entrent en contact.
Je me retire de ton vagin et te propose de te retourner, tes bras appuyés sur la banquette, les fesses relevées je peux profiter de ta cambrure. Pendant que je m'introduis de nouveau dans ton sexe je peux varier les plaisirs et te caresser la poitrine, le dos ainsi que ce cul à fessées. Alors que je m'attarde sur tes hanches les aller retour de nos 2 corps secouent ta poitrine, le bout de tes seins raye la surface de l'eau comme un diamant dans la roche. Mes doigts caressent ton sillon inter fessier, laissant entrevoir ton anus. Un lointain souvenir me revient en tête, une offrande que tu m'avais fait au début de notre relation, probablement le genre de compromis que l'on fait pour témoigner de l'amour que l'on porte à l'autre.
Je profite de cette occasion pour carresser du bout du doigt ce petit trésor, tandis que l'une de tes mains vient jusqu'à ton sexe pour te caresser et me caresser les testicules. En l'espace de quelques dizaines de secondes ton expertise me pousse à jouir en toi, tu n'es pas en reste, je te sens contracter autour de mon sexe. Nous nous effondrons dans l'eau, essoufflés, tu viens te blottir contre moi. Tu as la chair de poule, je te caresse la peau pour te réchauffer.
Après avoir repris nos esprits nous retournons vers la plage où tu as jetés nos affaires, nous nous installons au sol, au soleil, comme 2 couleuvres dans le plus simple appareil.
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