Vacances vendéennes - histoire érotique

Cette année nous sommes partis pour la 2nde fois en Vendée, la quinzaine a commencé par de fortes chaleurs. Nous avons donc pleinement profité de la piscine du camping pour nous rafraîchir. Quand je dis nous je parle de mon beau frère et son ami, mes fils ainsi que ma femme.
Habituellement ma femme n'est pas trop portée sur les activités aquatiques telles que la piscine, mais compte tenu de la chaleur elle a revu ses principes !
Après avoir pas mal fait les idiots dans les toboggans nous avons rejoint ma femme dans l'autre bassin, à quelques reprises nos corps se sont frottés mais rien de plus...
Après une bonne heure de baignade je me décide à rentrer à notre emplacement, ma femme m'emboute le pas, nous retournons sagement à la tente. Nous avons des sanitaires privatifs sur notre emplacement de camping, je l'informe que je vais me rincer. Pendant que je prends ma douche elle se déshabille et passe aux wc. Une fois ma douche terminée, elle prend ma place sous la douche, je lui propose de l'aider à se laver, ce qu'elle accepte bien volontiers. Pendant qu'elle se lave les cheveux, je lui lave le dos, puis la poitrine, je sens ses seins durcir et pointer, je continue à malaxer ses seins d'une main, et commence à carresser ses fesses de l'autre main. Puis je viens caresser son pubis, et rapidement ma bouche bientôt vient lécher sa chatte. Elle saisie ma tête et l'écrase contre elle pour que je vienne glisser ma langue entre ses p'tites lèvres.
Je me relève et nous nous galochons pendant que d'une main je m'affaire sur son petit bourgeon et de l'autre je caresse ses courbes. Elle ne reste pas inactive et prend ma bite en main. Elle me branle, et caresse mes bourses tout en faisant aller sa langue dans ma bouche.


Sentant le désir monter, elle saisie mon pénis et le fait glisser sur son clitoris pendant que j'attrape ses fesses, l'un de mes doigts caresse sa raie. Bien qu'elle ne soit pas très open habituellement, je présente un doigt sur son petit trou, elle m'invite à continuer les caresses à cet endroit et continue de jouer avec ma tige sur son clito et de son autre main passe sous mes couilles et glisse à son tour ses doigts sur ma raie puis sur mon anus. Elle me caresse à l'identique, si je tourne sur son anus elle en fait autant sur mon trou ; si je reste sur place et essaie de m'introduire en elle, je sens immédiatement une présence extérieure m'envahir. Nous jouons ainsi pendant de longues minutes, elle se met à jouir pendant que de mon côté j'éjacule dans le receveur de douche et un peu sur elle, émoustillé par ce moment torride.


Quelques jours plus tard, une soirée moules frites était organisée, suivie d'un karaoké.
Au moment de rejoindre notre campement, une fois la soirée terminée, je retrouve ma femme en petite tenue dans notre double sac de couchage. Moi en tenue d'Adam comme d'habitude. Je commence à la caresser par dessus ses vêtements. Je sens qu'elle n'est visiblement pas hostile à ce que je sois plus entreprenant. Elle me facilite la descente de sa culotte en soulevant son bassin. Je caresse sa touffe. Elle commence à onduler. Je plonge ma tête entre ses cuisses et je commence à laper son nectar. Nouvelle ration de moule aujourd'hui, cette dernière est bien plus appétissante que les moules marinières du repas. Mon sexe durcit, j'ai très envie de fourrer cette petite chatte mais ma femme n'est pas très enjouée à l'idée d'être dégoulinante de mon foutre. Je lui propose de mettre un préservatif. J'ai embarqué une petite réserve dans mes affaires afin de ne pas rester sur la béquille pendant les vacances.
Sitôt habillé, j'introduis mon sexe dans le sien et nous voilà partis dans des galipettes nocturnes... Elle a bien retenu que je n'avais aucune hostilité lorsqu'on me caresse le cul Je sens ses mains me saisir les fesses, puis un doigt de chaque main se rapproche délicatement et délicieusement de mon anus. Cela me rend encore plus dur, j'accentue mes coups de bassin, au début elle reste à caresser mon anus puis quand j'augmente la pénétration et que je vais au plus profond d'elle je sens le bout de ces phalanges s'introduire en moi. Alors que je jouis dans mon capuchon, l'un de ces doigts complètement en moi elle me glisse à l'oreille : "petit enculé, bouffe moi la moule !" Je me retire, me tourne en position de 69 et m'exécute, le cul en l'air près de son visage, ma tête au niveau de son pubis. Je lèche et caresse langoureusement sa chatte ruisselante tandis qu'elle retire mon préservatif, mon sexe débande après avoir déchargé, elle le tien avec 2 doigts et le nettoie soigneusement avec sa langue pendant que de son autre main elle me donne le rythme qui l'excite en me doigtant le cul jusqu'à ce qu'elle trouve l'orgasme.


Enfin lors d'une visite de l'île de Noirmoutier, nous nous rendons sur la plage des dames après le repas. Pendant que certains s'affairent dans l'eau, et d'autres jouent aux raquettes de plage, nous restons tous les 2 sur notre serviette. Je commence à faire des caresses à ma femme par dessus ses habits, elle s'en satisfait et ne dit rien. Progressivement ma main est de plus en plus baladeuse, j'insiste un peu plus sur ses seins, son pubis... N'essuyant pas de refus je me montre plus entreprenant et glisse ma main sous le tissu de manière à être en contact direct avec sa peau. Je fais cela discrètement car des gens sont installés autour de nous à une trentaine de mètres. Je continue mes affaires lorsque j'aperçois mon plus jeune fils revenir vers nous. J'interromps mes manoeuvres, il nous informe qu'il va nager avec ses oncles jusqu'à la jetée et repart. Ma femme se tourne sur le ventre, ma main toujours au niveau de son pubis, elle écarte ses jambes et commence à faire aller son bassin pour jouir. Discrètement elle se caresse sur mes doigts sans que les personnes autour ne s'en rendent compte. Une fois l'orgasme arrivé elle retire ma main, retrouve une respiration plus lente et me laisse pantois, le sexe durcit dans le boxer, prêt à arroser tout départ d'incendie.
Je me retrouve sur la béquille mais avec des souvenirs de vacances très sympas à vous partager.