Soirée estivale sur la terrasse

Récit érotique écrit par Pilpoil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Soirée estivale sur la terrasse
La scène se passe un samedi soir de juin, nous avions convié un couple d'amis et leurs enfants à manger. Il faisait une chaleur étouffante et chaque mouvement devenait pénible car l'air était irrespirable.
Compte tenu de la météo nous avions décidé de faire un barbecue, des crudités, et nous avons opté pour un repas en terrasse sous les voiles d'ombrage. Le repas était accompagné de boissons fraîches et pour certains d'entre nous, alcoolisées... Flavie et Carl sont arrivés vers 19h, le repas a commencé après un long apéritif, vers 22h, quand la température commençait à redescendre et que nous commencions à être plus alerte.
A plusieurs reprises des allusions douteuses avaient fusé dans la soirée avec ma compagne "je vais prendre du concombre ça va me faire du bien par cette chaleur", "je te mets une petite saucisse ma chérie", tout cela accompagné de regards complices... Par ailleurs au fur et à mesure que nous débarrassions la table et que nous nous retrouvions dans la cuisine des petites caresses sur les fesses ou des baisers s'échangèrent...
La soirée se déroulait bien et nos amis partirent vers 2h du matin.
La température était redescendue à un niveau agréable autour de 25-26 degrés. Une fois tout rangé, le lave vaisselle en route, et le silence revenu sur la terrasse nous nous sommes posés dans nos fauteuils un verre à la main et discutions de l'instant passé avec Carl et Flavie. Le coup de fatigue était passé et nous étions bien installé.
Je ne saurai vous dire comment les choses ont dégénéré, je sais juste que j'en étais à l'origine... J'ai commencé à déboutonner mon short, à caresser les seins de mon épouse et que rapidement je me suis retrouvé les fesses à l'air sur la terrasse, mon sexe en érection, les bretelles de sa robe sont tombées des épaules et malgré ses gloussements et ses alertes sur le fait qu'on pourrait nous voir, sa robe est rapidement arrivée sur ses hanches, ses seins pointaient mais ce n'était pas par le froid. Je la rassurait en lui disant que vu le silence alentours et au regard de l'horaire, il n'y avait rien à craindre.
Un petit effort supplémentaire et nous nous sommes retrouvés tous les deux entièrement nus comme des vers sur la terrasse, les habits au sol. Elle: installée sur son fauteuil ; moi: face à elle, je l'enjambais. Mon sexe coulissait entre ses seins pendant que je lui massais le haut du dos et les épaules, et qu'elle me caressait les fesses. Nous continuions à discuter de ce repas. En approchant ses doigts de mon anus elle me demandait si on y glisserait pas une petite carotte, je l'embrassait et l'invitait pour le moment à juste y glisser ses doigts et à s'occuper de ma petite saucisse avec sa bouche.
Elle commença à caresser mes bourses d'une main puis me pris en bouche tandis qu'elle sondait mon anus de son majeur, j'en profitais pour lui caresser les seins et lui faire des papouilles sur la tête.
Avant que je ne jouisse, elle se releva et désirait que je lui mette ma petite saucisse dans ses autres lèvres, elles étaient particulièrement humides et il ne fut pas compliqué de s'y introduire. Je lui caressais le clitoris de la main droite en même temps que nos bassins ondulaient. De la main gauche je tenais l'un de ses seins alors qu'elle s'agrippait à la table. L'un comme l'autre nous n'avons pas mis longtemps à jouir, je déversais toute ma sauce en elle tandis qu'elle bloquait ma main sur son sexe pour que j'arrête les caresses.
Nous avons rapidement pris nos affaires au sol, et quatre à quatre nous avons grimpé l'escalier pour nous glisser dans notre lit entièrement nus, lovés l'un contre l'autre, nos bras enlacés.
Compte tenu de la météo nous avions décidé de faire un barbecue, des crudités, et nous avons opté pour un repas en terrasse sous les voiles d'ombrage. Le repas était accompagné de boissons fraîches et pour certains d'entre nous, alcoolisées... Flavie et Carl sont arrivés vers 19h, le repas a commencé après un long apéritif, vers 22h, quand la température commençait à redescendre et que nous commencions à être plus alerte.
A plusieurs reprises des allusions douteuses avaient fusé dans la soirée avec ma compagne "je vais prendre du concombre ça va me faire du bien par cette chaleur", "je te mets une petite saucisse ma chérie", tout cela accompagné de regards complices... Par ailleurs au fur et à mesure que nous débarrassions la table et que nous nous retrouvions dans la cuisine des petites caresses sur les fesses ou des baisers s'échangèrent...
La soirée se déroulait bien et nos amis partirent vers 2h du matin.
La température était redescendue à un niveau agréable autour de 25-26 degrés. Une fois tout rangé, le lave vaisselle en route, et le silence revenu sur la terrasse nous nous sommes posés dans nos fauteuils un verre à la main et discutions de l'instant passé avec Carl et Flavie. Le coup de fatigue était passé et nous étions bien installé.
Je ne saurai vous dire comment les choses ont dégénéré, je sais juste que j'en étais à l'origine... J'ai commencé à déboutonner mon short, à caresser les seins de mon épouse et que rapidement je me suis retrouvé les fesses à l'air sur la terrasse, mon sexe en érection, les bretelles de sa robe sont tombées des épaules et malgré ses gloussements et ses alertes sur le fait qu'on pourrait nous voir, sa robe est rapidement arrivée sur ses hanches, ses seins pointaient mais ce n'était pas par le froid. Je la rassurait en lui disant que vu le silence alentours et au regard de l'horaire, il n'y avait rien à craindre.
Un petit effort supplémentaire et nous nous sommes retrouvés tous les deux entièrement nus comme des vers sur la terrasse, les habits au sol. Elle: installée sur son fauteuil ; moi: face à elle, je l'enjambais. Mon sexe coulissait entre ses seins pendant que je lui massais le haut du dos et les épaules, et qu'elle me caressait les fesses. Nous continuions à discuter de ce repas. En approchant ses doigts de mon anus elle me demandait si on y glisserait pas une petite carotte, je l'embrassait et l'invitait pour le moment à juste y glisser ses doigts et à s'occuper de ma petite saucisse avec sa bouche.
Elle commença à caresser mes bourses d'une main puis me pris en bouche tandis qu'elle sondait mon anus de son majeur, j'en profitais pour lui caresser les seins et lui faire des papouilles sur la tête.
Avant que je ne jouisse, elle se releva et désirait que je lui mette ma petite saucisse dans ses autres lèvres, elles étaient particulièrement humides et il ne fut pas compliqué de s'y introduire. Je lui caressais le clitoris de la main droite en même temps que nos bassins ondulaient. De la main gauche je tenais l'un de ses seins alors qu'elle s'agrippait à la table. L'un comme l'autre nous n'avons pas mis longtemps à jouir, je déversais toute ma sauce en elle tandis qu'elle bloquait ma main sur son sexe pour que j'arrête les caresses.
Nous avons rapidement pris nos affaires au sol, et quatre à quatre nous avons grimpé l'escalier pour nous glisser dans notre lit entièrement nus, lovés l'un contre l'autre, nos bras enlacés.
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