QUI FRAPPE A LA PORTE ?

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : QUI FRAPPE A LA PORTE ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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QUI FRAPPE A LA PORTE ?
Ce matin-là, je me trouvais seul dans la maison quand on frappa à la porte. A cet instant deux solutions venaient à moi, soit continuer à visionner le film de cul où alors aller ouvrir. D’ailleurs, du côté de la porte l’inconnue se défouler de nouveau dessus, et de manière plus forte, à fracasser la pauvre ouverture. Je me devais au plus vite me décider.
Et si c’était ma belle-mère ? Surtout qu’elle me savait seul en ce lundi. J’étais dans un tel état d’excitation qu’elle serait la bien venue. Il m’en fallut pas plus pour me diriger vers l’entrée, après m’être passé un peignoir.
Que fut ma surprise en ouvrant, de tomber non pas sur Belle-maman mais sur Emilie la copine de ma fille. Une petite brune avec un corps à la fore d’un petit sablier, ses hanches étaient bien creusées, ce qui avait pour effet de faire ressortir son derrière comme une pomme, bonne à croquer.
-Quand même ! me fit-elle en forçant le passage.
Pris de cours, je lui offrais un coca et me servis un café. Nous prîmes place sur le divan. Je dois l’avouer, elle me rendait un peu tendu, elle avait ses jambes gainées de noir en s'affalant dans le divan, cela lui formait un triangle entre ses cuisses qui tendait son short en nylon.
Sans savoir le but de sa visite, nous nous mirent à discuter de chose et d'autres, et pour vous dire j'avais ressenti quelques palpitations devant sa beauté ingénue, mais je n'en étais pas trop fier car elle était l’amie de ma fille.
Puis elle se leva, un besoin naturel. Pour ça elle passa devant moi faisant valser son derrière. Je devais vous dire que mon sexe commençait à pointer automatiquement. Heureusement pour moi mon peignoir cachait mon début d'érection.
A son retour la coquine, se mit à sautiller dans le salon. Puis fit glisser son tee-shirt en se dénudant le haut du corps, ses nichons fermes et tendus par deux petits tétons marrons apparaissaient.
Toujours assis, je lui lançais quelques regards furtifs en me demandant si elle allait carrément se foutre à poil, car moi et je débutais une forte érection.
Pas le moins du monde gênée, elle saisit son short de ses pouces qui suspendait à sa taille fine, je voyais clairement l'apparition d'un porte-jarretelle noir en dentelle et au fur et à mesure qu'elle démoulait tout délicatement son short, elle stoppait juste avant l'apparition de son dessous. De mon côté, mon sexe formait un chapiteau sous mon peignoir. Elle matait mon entrejambe tout en se mordant la lèvre inférieure. Je défis la ceinture qui maintenait encore fermé mon seul vêtement. Mon gland suintait. Emilie pour sa part appuyait sèchement sur ses pouces qui faisaient chuter son short à ses chevilles. Mes yeux sortirent de leurs orbites en voyant la coquine dans une tenue que je dirais super sexy.
Elle s’approcha alors de moi. Je la contemplais des pieds à la tête, elle avait toujours aux pieds ses talons aiguilles noir. Sans aucun doute à sa mère Annick. Ses bas affinaient encore plus ses jambes et au milieu de son porte-jarretelle en dentelle noir, une petite culotte, elle aussi noire, qui séparait sa chatte en deux et qui recouvrait la moitié de sa toison brune brut de pomme. Pas après pas, elle continuait à avancer paisiblement en lorgnant mon sexe qui bandait dur.
Elle enroula ses doigts autour et me branla fermement que je contractais en la matant dans les yeux, elle s'appliquait à me décalotter le gland qui coulait sur son poignet. De mon côté, je glissais les miens dans sa culotte. Elle m’empoigna ma queue des deux mains et continuait à me pomper, nos bouches se rencontrèrent pour un baiser profond et langoureux. Mon autre main passait dans son dos pour écarter l’élastique de sa culotte qu'elle avait entre les fesses et tracer de mes doigts sa fente comprimée par ses muscles fessier. Nos gémissements remplissaient le silence gênant. Me lâchant du baiser dans un bruit de ventouse saliveuse, elle me prit en bouche.
Sa tête balançait dans tous les sens, ses cheveux sombre voltigeaient, elle me suçait comme une folle, nos mains entrelacées étaient sur le divan, elle faisait buter parfois la tête de mon sexe dans sa gorge en essayant de faire des gorges profondes en salivant sur mes poils, elle léchait goulûment toute ma queue en se la tapant sur la figure. Je ne sais toujours pas comment j’ai fait pour ne pas jouir.
Puis elle se releva. Elle me grimpait dessus en prenant place sur mes cuisses et en faisant cogner mon sexe très dur sur son bas ventre. On se souriait et elle s'écartait la culotte, de l'autre main elle pointait mon gland devant l’entrée de sa chatte. Je sentais la sensation agréable de ses lèvres intimes recouvrir mon gland. J’avais sous mes rétines sa toison brune, très belle. Je lui pinçais les tétons en massant ses seins tout durs. La coquine se frottait à moi au lieu de s'empaler sur ma verge.
Emporté par mon excitation, je lui attrapais les hanches et l'abaissais délicatement sur mon sexe, je palpitais en même temps qu'elle se détendait. Je lui répondais d'un signe de la tête et continuais à empaler son bassin qui se tortillait et enfin nos poils pubiens touffus se rencontraient et j'envoyais ma tête en arrière. Elle me faisait un mouvement de tête affirmatif et elle entamait une chevauchée gémissante en se basculant en arrière, ses cheveux dansaient, la base de sa toison s'était légèrement ouverte en deux et elle se ramonait sur ma verge.
Elle s'emboîtait en claquant ses fesses sur mes cuisses durant de magnifiques minutes. Elle se penchait en avant afin que je gobe ses tétons. J’empoignais les hanches et me mis à la pistonner de toutes mes forces, à en perdre le souffle. On avait tenu de la sorte jusqu'à essoufflements car on avait trouvé une cadence impeccable même avec ses refoulements sur moi. A chaque fois que nos corps se butaient, ses fesses en pomme se déformaient en claquant, ses cheveux explosaient et ses seins vibraient.
Ne sachant pas si elle prenait la pilule, je fis sortir ma queue de son fourreau et me branlais. Je m'astiquais violement la queue. Ma bite se gonflait encore plus à la pensée d’arroser ses seins de mon jus et j’avais du mal à tenir plus longtemps. C’était tout simplement trop bon et le visuel était trop parfait. J‘étais au bord d’éjaculer.
- Oui, Alain ! Envoie ta crème ! Donne-moi ton jus d’amour ! Donne ton sperme !
Je tirais ma bite au bord de l’explosion et j’envoyais une salve de sperme entre ses deux seins et dans le creux de son cou. La giclée suivante balafrait de gauche à droite ses deux seins.
Jet après jet, je décorais le corps d’Emilie pour finir sur sa touffe de sa chatte.
- Alain…huuummm, tu es incroyable !
- Et moi il me semble qu’il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas l’un sur l’autre !
- En effet !. Dit-elle en caressant sa poitrine pour recueillir mon sperme sur ses doigts et les porter à sa bouche.
L’instant d’après, je me plaçais entre ses cuisses. Elle était si trempée que ses poils collaient à l’intérieur de ses cuisses. Son sexe était doux. Juteux et moite comme une mangue trop mûre.
Quand je plongeais dans son ventre, entre les poils gluants collés à ses cuisses, elle poussa un soupir satisfait.
Elle se cramponnait à mes épaules, ses jambes gainées nouées sur mes épaules et dans cette position arrivait à tordre son corps dans tous les sens. À chaque aspiration elle faisait un bruit de gorge, comme si l’air lui manquait. Ses yeux étaient révulsés et son visage devenait violet. Elle avait déjà dû jouir deux ou trois fois, presque en silence.
Elle m’avoua quelques heures plus tard qu’elle avait fait cela par pur curiosité, mais aussi ça à cause de sa mère. Qu’un jour en entrant du lycée, elle avait surpris une discussion de sa mère en tête à tête avec sa cousine Béatrice, et qu’elles parlaient de moi. Béatrice avouait à ma mère qu’elle me connaissait à l’époque où nous vivions tous deux à la ZUP. Que j’étais un suceur de chatte, qu’il ne fallait pas m’en promettre. Béatrice avait même relaté l’aventure avec Sophie, une autre fille du quartier. Pour faire bref, elles m’avaient toutes deux pissées dessus pour mon plus grand plaisir, d’ailleurs. Et pour les remercier je les avais sucées réciproquement.
J’avais retenu de cette excellente discussion que je ne laissais pas Annick de Marbre. Et cela tomber bien !

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