Récit d'une vie de nuit - Chapître 5

- Par l'auteur HDS Mathy -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Récit d'une vie de nuit - Chapître 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2020 dans la catégorie Plus on est
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Récit d'une vie de nuit - Chapître 5
Nous vivons un rythme de croisière très intéressant. Friedrich et moi, soutenu par Myriam, devenu associée et gérante de la boutique, qui mène son affaire d’une main de Maîtresse. Myriam a quitté son mari, redevenue libre et expérimentée dans ce monde nocturne, Myriam a adopté un look autoritaire qui a fait se développer une clientèle nouvelle. Myriam est devenu la maitresse d’un homme qui la vénérait, devenu un client très assidu il a su amadoué Myriam. Au fil du temps ce dernier a transformé Myriam en Domina, au point de payer ces services (je dirais plutôt ces sévices). M. Albert l’appellera-t-on était devenu son soumis dans notre établissement, Myriam utilisait le donjon pour leur plaisir. Ils invitaient de temps en temps des voyeurs. Elle y prenait plaisir, et lui en redemandait, au point que son cheptel grandissait. Son carnet de bal des salopes comme elle disait ne désemplissait pas. Elle mettait son art en place même hors des heures d’ouverture. Il faut dire que Myriam est une superbe quadra, sur qui le temps n’a pas de prise. Et savait se mettre en valeur. Elle adorait à un tel point que le sexe classique ne lui procurait plus de plaisir, et que de détenir le pouvoir de faire ou ne pas faire jouir ses soumis la comblait. Le donjon commençait à faire des fans, Myriam devait laisser sa place plus souvent qu’a son tour.

Bientôt 2000, logique, la fin d’un millénaire, la fin annoncée de la monnaie nationale, bref le monde est bousculé. Nous constatons que ce monde du libertinage d’assouvissement de fantasmes est en plein essor, les suggestions s’orientent de plus en plus dans des espaces de relaxations coquins, la piscine ne suffit plus.

Alors les fonds et l’envies d’évolution sont présents. Appuyé par notre banque (disons plus du banquier qui se sent redevable), nous débutons des travaux. La cave qui servait de réserve sera transformé pour accueillir le côté BDSM avec un espace commun et deux espaces privatifs dont un dédié aux jeux liquides, L’espace existant va être repensé. Création, de jacuzzi, sauna, et salle de bien être, la salle principale sera une salle conviviale ou des attitudes coquines seront permise mais tous les actes se rapprochant de la pornographie seront interdite (comme actuellement). Les sanitaires seront agrandis, pour permettre des jeux coquins. Les travaux prennent près de 6 mois, avec une fermeture de près d’un mois. Nous avons peur que cette fermeture ai une incidence sur notre activité.

Le mois de fermeture a été mise à profit pour recruter des filles et des garçons élégants (sexy surtout), maitrisant les massages relaxants et aussi sexuels. Dure entreprise. Friedrich, Myriam et moi ainsi que 2 réguliers de Myriam avons fait passer les entretiens et les aptitudes d’embauches. 2 femmes et un homme ont satisfait à nos ambitions : une femme mature de l’âge de Myriam, une jeunette et un jeune apollon gay (dommage pour ces dames).

Pour contrer cette période délicate, Nous optons pour un week-end d’inauguration. Nous contactons nos habitués, en leur offrant un carte VIP, reconduite d’une année pour tout parrainage. La partie « wellness » un service supplémentaire, sauf pour les VIP. Mais pour ce week-end d’ouverture tout est accessible. Nous enregistrons un franc succès. Nos serveuses et serveurs sont resté fidèles, la salle ne désemplit pas, la boutique enregistre des achats. Pour l’occasion nous avions fait confectionner des collations sous forme de buffet. L’idées à plus, nous décidons de poursuivre pour un essai. Le week-end est un succès exceptionnel. Nous attendons le verdict des chiffres, mais surtout de la boite à idée du « FLAMIGOSROSA ». Des centaines d’avis, aucun avis destructeur, le pied. Nos nouvelles recrues nous ont fait part de leur satisfaction malgré la fatigue. Notre jeunette a même avoué avoir pris plaisir à masser des femmes et des hommes très motivés qui n’hésitaient pas à la caresser. Pour la partie « wellness » les employés sont libre de leur tenue pour satisfaire les clients. J’ai très vite constaté que Agnès travaillait nue en talon et bas, Ingrid plus réservée en ensemble de lingerie, basket le premier soir puis escarpins à talons le second soir, quant à Alexander oui était en pantalon torse nu.

Très vite la réputation de notre nouvel établissement s’est répandue comme une trainée de poudre. L’activité bas son plein, la boutique offre des produits érotiques, ce qui boost les chiffres, les salons de massages sont presque tout le temps occupé, nos masseuses et masseurs savent satisfaire la clientèle.

Pour le passage à l’an 2000, nous programmons un réveillon qui devait laisser des traces dans les mémoires. Mais un contre temps à plié toutes nos ambitions grandioses. Le 26 décembre 1999 une partie de notre club est touché par Lothar. La partie habitation perd de sa toiture, l’électricité est coupée. 4 jours pour tenter de sauver le réveillon. Le courant revient, la remise en état s’accélère et reste mobilisé sur la partie festive. Le 31 décembre le club sera ouvert. Nous logons à l’hôtel car l’appartement n’a pas encore fait l’objet de l’expertise. Une partie de notre programmation notamment le gargantuesque repas chaud de la soirée a été revue et évolué en buffet froid mais très rafiné. Nous accusons une déflation de la clientèle, un petit tiers d’annulation il n’en reste pas moins qu’une grosse centaines de libertins seront présents. Qu’importe, nous sommes tous mobilisés et motiver pour faire oublier la tempête. Myriam nous réserve une surprise. Elle arrive avec 3 femmes et 2 hommes. Elles nous les présentent, les filles sont streaptiseuses de charme et les hommes des chippendales. Des filles d’une trentaine d’années, aux plastiques très agréables. Myriam nous en fait l’éloge, en les qualifiants même de sacrés salopes. Les deux hommes sont eux aussi des spécialistes, qui donne du plaisir à tous les sexes. C’est jour de fête alors allons-y… Nous faisons le tour pour que ces occasionnel se familiarise, Agnes accompagne notre petit monde dans le coté wellness, puis Myriam les accompagne au sous-sol. Agnès les suit, dans la pièce principale, Agnès adopte des positions très évocatrices, jusqu’à faire tomber sa blouse, se poser dans la balançoire. Myriam entre dans le jeu, attache Agnès et invite qui veut s’occuper d’elle. L’œil interrogateur l’un des beau gosse s’enhardi et lèche la belle Agnès, pose une capote sur sa queue raide, puis enfile Agnès telle une bête. Agnès ne tarde pas à jouir. Le mâle se retire et pose sa queue sur la rondelle d’Agnès à tour de rôle nos nouveaux approche d’Agnès, les filles la caresse et le second beau gosse enfile sa queue dans sa bouche. Alors qu’Agnès est bâillonnée par cette belle bite son premier assaillant perce sa rondelle très réceptive. Les deux jouissent quasiment simultanément. Cela démarre bien. Agnès est détachée et va se refaire une fraicheur. Myriam dans un sourire complice leur souhaite la bienvenue. La visite se poursuit dans une ambiance plus feutrée.

L’heure d’ouverture se précise, nos trois occasionnels ont été coacher par Myriam. Toutes les trois sont vêtue d’une robe à la coupe identique large dos nue, ajouré sur les côtés, un décolleté qui ne masque presque rien du débordement mammaire, et une longueur qui ne couvrira certainement rien de leur intimité une fois assises. Quant aux hommes il porte un string, un col de chemise et un nœuds papillons.

Les premiers convives arrivent les hommes sont tous dans des tenues sobres, élégantes, les femmes après avoir retirée leur manteau annonce plus la couleur de leurs intentions. Nos convives s’installent font connaissance, consomment, nos recrues sont sollicités nos deux chippendales ont un franc succès, certaines n’hésitent pas à glisser quelques billets pour soupeser le paquet voir en évaluer buccalement les dimensions. La soirée s’annonce chaude, je remarque quelques coquines entres elles et qui n’hésite pas à sortir des accessoires. D’autres désinhibées s’intéressent à leur partenaire, en se glissant docilement entre leurs cuisses, certaines ouvrent les leurs cuisses pour laisser un accès à leurs intimités. L’ambiance est chaude, des allers et venus dans les salons, vers les sous-sols sont continus, Myriam et moi veillons à la propreté des lieux et leur hygiène. La fête est un succès, et minuit n’a pas encore sonné, certain cherche des forces soit au buffet, au bar ou dans la boutique. Myriam me fait signe de la suivre pour me montrer une femme qui a été attachée sur la balançoire et entouré d’une nué d’homme tous le sexe à l’air, recouvert de protection et à la chaine vienne enfiler la chatte ou le cul de cette gourmande, chacun jouit et laisse le contenu préservatif dans des verres. Je reste par curiosité, Myriam aussi. Cette coquine au statut de soumise est bientôt délaissée. Son sexe est mouillé, son anus brillant de sa mouille, et totalement distendu par les assauts répétés. Son partenaire avance, la caresse, lui pince les seins, elle gémit. Il la détache et il se saisit des verres remplit du sperme des nombreux baiseurs. Elle revêt sa robe et le couple remonte.

Le compte à rebours annonce l’arrivée de l’an 2000. Vive l’an 2000, bonne année, et comme un réflexe universel, tout le monde quitte ses vêtements, les seuls vêtus sont le staff. Une sorte d’énorme partouze s’organise, dans l’assemblée je distingue notre couple, l’homme verse du champagne dans les coupes de sperme et notre soumise, un à un avale les verres. Il prend sa bouteille pend soin de retirer la collerette de la bouteille. Il installe sa complice dans le divan lui enfile la bouteille et boit le champagne à sa chatte. Ailleurs les mélanges des corps, les gémissements animent le club, des femmes fontaines libère leur plaisir. Je contiens mes émotions, entre colère de voir ces clients oubliant les règles, le plaisir de voir ce monde éprouver tant de plaisir, et l'ampleur du travail de remise en état qui nous attend avant la prochaine réouverture. Je prends Friedrich avec moi allons dans le bureau et je veux qu'il me baise.

Quand nous redescendons la salle semble ne pas avoir désemplit. Myriam fait des affaires avec sa boutique, nous croisons deux hommes en laisse sortant de la boutique et qui prenne le chemin du sous-sol. dans un des salons je vois des couples qui se mélangent loin des bousculades de la salle. Dans la douche commune deux femmes sont à genou, au collier qui caractérise leur statut. Elles se font arrosées par les hommes qui passent telle des pissotières. Terrible vision excitante. La nuit d'euphorie, l'alcool et le sexe, commence à avoir le dessus. L'énergie manque et la foule se dissipe, 8h00 du matin nous voila seul. La surprise de Myriam, les 5 extras sont toujours là. J'entame une première mise en état des lieux. Tout le monde met la main à la pâte. Friedrich invite tout le monde au bureau. Propose de fêter la soirée ensemble. Il remercie nos extras et leur remet leur salaire. Deux des steaptiseuses demande si elles peuvent profiter du sous-sol avec les deux chippendales. Ils semblent plutôt d'accords mais fatigué. Myriam quitte le bureau et revient en leur donnant deux pilules, Les filles se déshabillent et leur disent "on vous attend". Les filles sont déjà à l'œuvre quand nous les rejoignons. Le jeu dure et les filles semblent infatigables et qu'aux mâles c'est plus compliqué. Il est près de midi quand enfin nous nous accordons du repos. Sommairement nous aménageons les salons en dortoir car nos appartements ont un peu souffert de Lothar. Vers 18 ou 19 h, nous émergeons, décalés nous prenons une collation. Je fais le tour du propriétaire. Je suis dépité par l'ampleur du chantier de désolation qui s'ouvre à mes yeux. Demain dimanche il fera jour, je regagne l’hôtel avec Friedrich....

Myriam, Agnès, Ingrid, Alexander Friedrich et moi, assumons la corvée de nettoyage, le traiteur vient récupérer ces ustensiles. Le container a verre, vide la veille est remplit, des centaines d'emballage de capote jonche le sol, les traces de sécession intimes maculent toute la salle le tout accompagné d'odeur immonde mais qui nous rappelle qu'ils ont aussi l'odeur des DM (Deutschemarks avant l'euro pour les plus jeune qui lirait). Mais nous avons aussi trouvé quelques trésors, près de 300DM, 3 portefeuilles faciles à rendre, dont un copieusement garni, quelques bagues, dont une que sa propriétaire est revenue très vite récupérer (un solitaire de fiançailles), sans oublier une panière de lingerie, étrangement les hommes sont plus soigneux car je n’ai pas souvenir d’avoir trouvé de dessous masculin. Pendant une quinzaine de jours nous avons créé un totem des oublis qui a amusé nos clients. Nous passons Dimanche et une partie du lundi à remettre en état.

Nous avons passé un réveillon fabuleux, un moment de bonheur avant le retour aux réalités...

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