Récit d'une vie de nuit - ChapItre 8
Récit érotique écrit par Mathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Récit d'une vie de nuit - ChapItre 8
A partir de 2007, les années se sont écoulés, Friedrich se fatigue très vite et sa santé décline depuis quelques années, mes 50 ans ont été la vraie dernière grosse fête que Friedrich est organisé et joyeusement participé. Nos fréquentations se sont clairsemées, quelques fidèles sont restés. La journée je suis plus une garde malade qu’une maitresse de maison. Mon appétit sexuel est toujours fort, Friedrich en est conscient. Marc devient mon amant régulier. Depuis mon anniversaire Evelyne à intégrés notre groupe libertin, elle ne loupe aucune invitation. Evelyne et moi devenons également très complice pour le bonheur de Friedrich. Notre belle quadra se laisse tenté par de jeunes mâles vigoureux, Maryse est devenue notre esthéticienne presque privée, la boutique de Carole notre garde-robe avec des passages dans les boutiques coquines de la ville pour nos soirées et nos plaisirs.
Le jacuzzi est quotidiennement utilisé, nous l’avons aménagé en la plaçant sous une véranda. Evelyne passe ses pauses chez nous. J’ai pris le parti de vivre presque nue. Les rares moment ou Friedrich se sent en forme je profite pleinement de cela avec lui. Mais l’ambiance coquine décline entre nous, j’en suis peinée, Evelyne joue son rôle psychologue autant qu’amante. Elle me changer les idées. Marc à toujours ma préférence et me le rend bien. Peut-être que mes années de luxure sont gravées en moi dans mon ADN.
2010, année tragique, Friedrich me quitte pour ces 73 ans. Les amis sont présents pour ses adieux, Myriam, Mickaela et Eike ont fait le déplacement pour ce dernier hommage. A ce titre je ne les ai plus revues depuis. Comme il l’avait préparé je ne suis pas être dans le besoin. Notre immeuble reste toujours bien occupé, les entreprises que nous employons sont très professionnels, mes amis les plus sincères sont restés près de moi pour me soutenir. Evelyne a été d’un grand secours, sans elle j’aurais certainement baissé les bras et je me serais laisser aller. Evelyne est devenue plus qu’une amie, je l’ai invité dans mes quartiers, elle partage mon lit, mes envies, notre sexualité. Je vais peut-être offenser les lecteurs ou des lectrices, mais notre vie de couple entre Friedrich est moi était très fusionnelle, nos partages toujours consentit, mon premier écart sans Friedrich a été pour mes 50 ans, mais orchestré par Friedrich. J’étais la seule qui n’était pas dans la confidence, mais Marc était un libertin que j’ai partagé avec mon Amour. Alors oui très rapidement j’ai fait mon deuil, certain de mes locataires m’ont tourné le dos. Mais la vie mérite d’être vécue. Des proches m’ont dit que j’étais entouré de vautours, je leur répondais que mon argent je ne l’emmènerais pas au paradis ou en enfer.
Courant 2011, Evelyne et Marc m’ont fait remarquer que je partais en vrille, le jour où ils m’ont surprise dans le salon en sandwich avec deux de mes locataires étudiants (venus demander un délai de paiement). A 55 ans j’ai encore de l’appétit et mon corps ne fait pas son âge, une poitrine encore vaillante, des fesses la fermeté acceptable par une pratique régulière de marche et autre petit maintien en condition, et toujours habillée de façon soignée et qui attire les regards envieux. Oui je plais et j’aime cela. Alors oui si j’ai envie et quelques soit l’âges du séducteur je me laisse faire. Et c’est bon de temps en temps de se sentir désirer et aimer par un jeunot vigoureux. Sans me faire la leçon, car cela n’était pas mon coup d’essai, Evelyne et Marc m’ont remise dans le droit chemin du libertinage contrôlé. Evelyne c’était inscrite sur un site de libertins. Elle m’y a entraîné. Nous faisons des rencontres, principalement dans des soirées privées et pour ma part jamais sans Evelyne ou Marc. Jusqu’au jour où je suis rentré en contact avec un homme. Cet homme m’a plu, nous avons appris à nous connaitre à distance. Et naturellement j’ai freiné mes extravagances car il me tardait de le retrouver derrière nos écrans. Evelyne et Marc se sont voient très souvent, chez l’un chez l’autre, chez moi.
Quelques semaines défilent. Le travail d’Éric l’occupe énormément, et doit également concilier une vie de couple compliquée, (en pleine procédure de divorce, 2 enfants encore scolarisés, un couple classique que la routine a tué, bref, après tout moi je suis libre vous l’avez compris). Une occasion se présente de se rencontrer car son boulot doit le mener en lorraine. Nous organisons la rencontre dans un lieu neutre. Nous nous retrouvons au restaurant, il choisit une auberge sympathique. Repas, des échanges de mot d’un couple nouvellement constitué. Nous quittons le resto pour poursuivre dans un bar avec une ambiance musicale agréable. Quelques coupes plus tard, mon regard et mon attention divaguait dans des vapeurs d’alcool. La soirée plutôt bien avancé le pub se vide, et nous suivons. A l’approche de la voiture je lui prends la main, il me pivote et me prends les lèvres. Il me propose de me raccompagner, je sais que Evelyne est à la maison. Lui ne connais pas son existence dans ma vie de tous les jours. Je ne veux pas le laisser partir, je lui demande s’il est pressé de rentrer. Il me dit, non.
Je le conduis chez moi, Evelyne est là, il reste de la lumière sur la terrasse. Mais je ne prends pas le temps de l’avertir. L’ascenseur nous dépose, je le fais entrer dans mon appartement, je distingue Evelyne de dos dans le jacuzzi, un casque sur les oreilles, et évidemment nue. Il me demande qui est-ce, je ne réfléchis pas et lui dis ma coloc et partenaire du moment. J’ai jeté un froid, il tourne les talons et quitte l’appart.
Je file rejoindre Evelyne, le visage fermé. Elle a compris. Je retire mes vêtements et m’installe à côté d’elle. Je lui résume ce rendez-vous, lui dit que je ne pense pas qu’il soit le libertin de son annonce. L’interphone sonne, Evelyne se rend à la porte, dans le plus simple appareil. Son absence semble longue, la porte s’ouvre. Ils parlent ensemble. Evelyne guide Éric vers le jacuzzi, je suis nue dans les bulles, Evelyne me rejoint, Éric se confond en excuse et qui a surréagît. Evelyne, sans se démonter, lui dit : » Vous êtes pudique ? Non ? Alors nous vous attendons… ». Je reste silencieuse, il se déshabille sans complexe, nous découvrons qu’il a des raisons de ne pas avoir de complexe. Il entre dans le jacuzzi, et se place en face de nous, Evelyne entame la discussion et dégèle la situation en exposant la relation qui nous lie, elle et moi. Pourquoi avez-vous fait demi-tour ? Martine est blessée… » « Désolé, j’ai cru avoir été pris pour un con, mais j’ai réfléchi et je devais en parler », explique -t-il. Evelyne renchéri par :« vous mériteriez une punition d’avoir peiné mon amie !» dit-elle assez sérieusement. Il répond : » chiche ». Evelyne et moi nous nous regardons. « Vraiment ? » - « Oui qui de vous deux fantasmes ? », Evelyne sourit, sort du jacuzzi, et me prend la main, nous nous séchons sommairement, pour nous assoir dans le canapé. Evelyne toujours à la manœuvre lui dit faites nous jouir, et montrez-nous vos performances de lècheur. Il prend ma chatte en premier, fraichement épilée, car je le souhaitais ce moment (c’est un critère de qualité pour un homme que de savoir faire jouir une femme sans sa queue), j’avance mon bassin, et je laisse sa langue et ses doigts faire monter la pression. Je halète, je gémis. Je perds Evelyne des yeux, il relève mes cuisses, Evelyne est passée derrière le dossier et retient mes chevilles et ouvre le compas. Cette position a pour effet de lui présenter ma rondelle. Il en profite et pose sa langue dessus, force le passage, j’ai chaud, les doigts d’Éric agacent mon clito et sa langue amuse mon cul. Je jouis. Une giclée s’échappe, éclabousse le visage d’Éric, il me traite de salope, je lui dis « prend moi ». Sans se faire prier, il me culbute assez fort. Me pilonne, je jouis encore très fort, Evelyne, à son tour de me complimenter en disant : « et bien salope, cela fait un moment que tu n’as pas giclé ainsi. » Je souris, Éric aussi éjaculé en moi. Nous nous écroulons dans le divan. Evelyne revient avec son jouet favori et se donne du plaisir face à nous. Je prends le sexe d’Éric et le masturbe. Mes caresses et le live d’Evelyne redonne vigueur à Éric et prends enfin la mesure de son sexe. Je m’agenouille entre ces cuisses et le prends en bouche, lèche son gland et joue et aspire ces grosses couilles imberbes. Il gémit, prends ma tête et imprime le rythme, ces yeux certainement fixés sur Evelyne qui lâche un râle bestial, Éric me maintient son sexe en bouche pour me donner ces giclés épaisses et salées. Nous partons à la douche et nous allons nous coucher tous ensemble.
Au petit matin, j’ouvre les yeux, Evelyne est collée à moi, une main sur mon sein. Éric est sur le ventre, je pose ma mais sur son dos et je glisse vers son cul. Mes caresses le réveillent, il se tourne ma main entre en contact avec son sexe qui ne tarde pas à me saluer de la plus belle des façons. Je lui dis d’ouvrir le meuble de chevet, de poser un préservatif, et me prendre le cul. Sans se faire prier, il s’exécute. Je me positionne en mode chatte en chaleur, caresse mon sexe, sans me préoccuper d’Evelyne. Il approche sa bite bien dure, enduit mon trou de lubrifiant, puis pousse délicatement sur ma porte anale. Timidement il tapote ma rondelle, mes doigts dans ma chatte sont humides. Comme une désespérée je l’incite à m’enculer. Ma supplique est telle qu’il enfile sa vingtaine de cm de long sur un bon 5 cm de diamètre d’un mouvement sec. La violence de pénétration de son mandrin dans ma rondelle m’arraché un cri. A-t-il éclaté mon cul de chienne ? il reste fiché, le temps que mon cul épouse la forme de son sexe. Evelyne ouvre les yeux, assiste au spectacle se sa queue dans mon cul et ces boules que je sens percuter mon périnée. Evelyne me caresse les seins et pince mes tétons. Je jouis, il se retire, et en voleuse, Evelyne retire la capote et profite de l’éjaculation d’Éric pour s’en abreuver. J’entraine Éric sous la douche, Evelyne prépare le café. Je prends soin de laver Éric. Je m’attarde sur ces fesses, entre ces fesses, caresse sa rondelle, savonne son sexe, ses boules, il a envie de pisser, je tiens sa bite et dirige son jet sur mes cuisses et mon pubis. Je l’embrasse, et me libère aussi.
Nous nous séchons, je suis troublée par mon geste. Nous allons petit-déjeuner, Éric prend congé. Je reçois un sms, Merci pour tout, superbes moments, je n’ai pas les mots outre deux superbes salopes. Merci Martine, je vous veux à moi très vite. Je lui réponds, que toutes nos portes te sont ouvertes. Je partage avec Evelyne déjà en consultation. Evelyne aussi me traite de salope, je la remercie.
Voilà une page en train de s’ouvrir… J'espère ne pas être trop ennuyeuse...
Le jacuzzi est quotidiennement utilisé, nous l’avons aménagé en la plaçant sous une véranda. Evelyne passe ses pauses chez nous. J’ai pris le parti de vivre presque nue. Les rares moment ou Friedrich se sent en forme je profite pleinement de cela avec lui. Mais l’ambiance coquine décline entre nous, j’en suis peinée, Evelyne joue son rôle psychologue autant qu’amante. Elle me changer les idées. Marc à toujours ma préférence et me le rend bien. Peut-être que mes années de luxure sont gravées en moi dans mon ADN.
2010, année tragique, Friedrich me quitte pour ces 73 ans. Les amis sont présents pour ses adieux, Myriam, Mickaela et Eike ont fait le déplacement pour ce dernier hommage. A ce titre je ne les ai plus revues depuis. Comme il l’avait préparé je ne suis pas être dans le besoin. Notre immeuble reste toujours bien occupé, les entreprises que nous employons sont très professionnels, mes amis les plus sincères sont restés près de moi pour me soutenir. Evelyne a été d’un grand secours, sans elle j’aurais certainement baissé les bras et je me serais laisser aller. Evelyne est devenue plus qu’une amie, je l’ai invité dans mes quartiers, elle partage mon lit, mes envies, notre sexualité. Je vais peut-être offenser les lecteurs ou des lectrices, mais notre vie de couple entre Friedrich est moi était très fusionnelle, nos partages toujours consentit, mon premier écart sans Friedrich a été pour mes 50 ans, mais orchestré par Friedrich. J’étais la seule qui n’était pas dans la confidence, mais Marc était un libertin que j’ai partagé avec mon Amour. Alors oui très rapidement j’ai fait mon deuil, certain de mes locataires m’ont tourné le dos. Mais la vie mérite d’être vécue. Des proches m’ont dit que j’étais entouré de vautours, je leur répondais que mon argent je ne l’emmènerais pas au paradis ou en enfer.
Courant 2011, Evelyne et Marc m’ont fait remarquer que je partais en vrille, le jour où ils m’ont surprise dans le salon en sandwich avec deux de mes locataires étudiants (venus demander un délai de paiement). A 55 ans j’ai encore de l’appétit et mon corps ne fait pas son âge, une poitrine encore vaillante, des fesses la fermeté acceptable par une pratique régulière de marche et autre petit maintien en condition, et toujours habillée de façon soignée et qui attire les regards envieux. Oui je plais et j’aime cela. Alors oui si j’ai envie et quelques soit l’âges du séducteur je me laisse faire. Et c’est bon de temps en temps de se sentir désirer et aimer par un jeunot vigoureux. Sans me faire la leçon, car cela n’était pas mon coup d’essai, Evelyne et Marc m’ont remise dans le droit chemin du libertinage contrôlé. Evelyne c’était inscrite sur un site de libertins. Elle m’y a entraîné. Nous faisons des rencontres, principalement dans des soirées privées et pour ma part jamais sans Evelyne ou Marc. Jusqu’au jour où je suis rentré en contact avec un homme. Cet homme m’a plu, nous avons appris à nous connaitre à distance. Et naturellement j’ai freiné mes extravagances car il me tardait de le retrouver derrière nos écrans. Evelyne et Marc se sont voient très souvent, chez l’un chez l’autre, chez moi.
Quelques semaines défilent. Le travail d’Éric l’occupe énormément, et doit également concilier une vie de couple compliquée, (en pleine procédure de divorce, 2 enfants encore scolarisés, un couple classique que la routine a tué, bref, après tout moi je suis libre vous l’avez compris). Une occasion se présente de se rencontrer car son boulot doit le mener en lorraine. Nous organisons la rencontre dans un lieu neutre. Nous nous retrouvons au restaurant, il choisit une auberge sympathique. Repas, des échanges de mot d’un couple nouvellement constitué. Nous quittons le resto pour poursuivre dans un bar avec une ambiance musicale agréable. Quelques coupes plus tard, mon regard et mon attention divaguait dans des vapeurs d’alcool. La soirée plutôt bien avancé le pub se vide, et nous suivons. A l’approche de la voiture je lui prends la main, il me pivote et me prends les lèvres. Il me propose de me raccompagner, je sais que Evelyne est à la maison. Lui ne connais pas son existence dans ma vie de tous les jours. Je ne veux pas le laisser partir, je lui demande s’il est pressé de rentrer. Il me dit, non.
Je le conduis chez moi, Evelyne est là, il reste de la lumière sur la terrasse. Mais je ne prends pas le temps de l’avertir. L’ascenseur nous dépose, je le fais entrer dans mon appartement, je distingue Evelyne de dos dans le jacuzzi, un casque sur les oreilles, et évidemment nue. Il me demande qui est-ce, je ne réfléchis pas et lui dis ma coloc et partenaire du moment. J’ai jeté un froid, il tourne les talons et quitte l’appart.
Je file rejoindre Evelyne, le visage fermé. Elle a compris. Je retire mes vêtements et m’installe à côté d’elle. Je lui résume ce rendez-vous, lui dit que je ne pense pas qu’il soit le libertin de son annonce. L’interphone sonne, Evelyne se rend à la porte, dans le plus simple appareil. Son absence semble longue, la porte s’ouvre. Ils parlent ensemble. Evelyne guide Éric vers le jacuzzi, je suis nue dans les bulles, Evelyne me rejoint, Éric se confond en excuse et qui a surréagît. Evelyne, sans se démonter, lui dit : » Vous êtes pudique ? Non ? Alors nous vous attendons… ». Je reste silencieuse, il se déshabille sans complexe, nous découvrons qu’il a des raisons de ne pas avoir de complexe. Il entre dans le jacuzzi, et se place en face de nous, Evelyne entame la discussion et dégèle la situation en exposant la relation qui nous lie, elle et moi. Pourquoi avez-vous fait demi-tour ? Martine est blessée… » « Désolé, j’ai cru avoir été pris pour un con, mais j’ai réfléchi et je devais en parler », explique -t-il. Evelyne renchéri par :« vous mériteriez une punition d’avoir peiné mon amie !» dit-elle assez sérieusement. Il répond : » chiche ». Evelyne et moi nous nous regardons. « Vraiment ? » - « Oui qui de vous deux fantasmes ? », Evelyne sourit, sort du jacuzzi, et me prend la main, nous nous séchons sommairement, pour nous assoir dans le canapé. Evelyne toujours à la manœuvre lui dit faites nous jouir, et montrez-nous vos performances de lècheur. Il prend ma chatte en premier, fraichement épilée, car je le souhaitais ce moment (c’est un critère de qualité pour un homme que de savoir faire jouir une femme sans sa queue), j’avance mon bassin, et je laisse sa langue et ses doigts faire monter la pression. Je halète, je gémis. Je perds Evelyne des yeux, il relève mes cuisses, Evelyne est passée derrière le dossier et retient mes chevilles et ouvre le compas. Cette position a pour effet de lui présenter ma rondelle. Il en profite et pose sa langue dessus, force le passage, j’ai chaud, les doigts d’Éric agacent mon clito et sa langue amuse mon cul. Je jouis. Une giclée s’échappe, éclabousse le visage d’Éric, il me traite de salope, je lui dis « prend moi ». Sans se faire prier, il me culbute assez fort. Me pilonne, je jouis encore très fort, Evelyne, à son tour de me complimenter en disant : « et bien salope, cela fait un moment que tu n’as pas giclé ainsi. » Je souris, Éric aussi éjaculé en moi. Nous nous écroulons dans le divan. Evelyne revient avec son jouet favori et se donne du plaisir face à nous. Je prends le sexe d’Éric et le masturbe. Mes caresses et le live d’Evelyne redonne vigueur à Éric et prends enfin la mesure de son sexe. Je m’agenouille entre ces cuisses et le prends en bouche, lèche son gland et joue et aspire ces grosses couilles imberbes. Il gémit, prends ma tête et imprime le rythme, ces yeux certainement fixés sur Evelyne qui lâche un râle bestial, Éric me maintient son sexe en bouche pour me donner ces giclés épaisses et salées. Nous partons à la douche et nous allons nous coucher tous ensemble.
Au petit matin, j’ouvre les yeux, Evelyne est collée à moi, une main sur mon sein. Éric est sur le ventre, je pose ma mais sur son dos et je glisse vers son cul. Mes caresses le réveillent, il se tourne ma main entre en contact avec son sexe qui ne tarde pas à me saluer de la plus belle des façons. Je lui dis d’ouvrir le meuble de chevet, de poser un préservatif, et me prendre le cul. Sans se faire prier, il s’exécute. Je me positionne en mode chatte en chaleur, caresse mon sexe, sans me préoccuper d’Evelyne. Il approche sa bite bien dure, enduit mon trou de lubrifiant, puis pousse délicatement sur ma porte anale. Timidement il tapote ma rondelle, mes doigts dans ma chatte sont humides. Comme une désespérée je l’incite à m’enculer. Ma supplique est telle qu’il enfile sa vingtaine de cm de long sur un bon 5 cm de diamètre d’un mouvement sec. La violence de pénétration de son mandrin dans ma rondelle m’arraché un cri. A-t-il éclaté mon cul de chienne ? il reste fiché, le temps que mon cul épouse la forme de son sexe. Evelyne ouvre les yeux, assiste au spectacle se sa queue dans mon cul et ces boules que je sens percuter mon périnée. Evelyne me caresse les seins et pince mes tétons. Je jouis, il se retire, et en voleuse, Evelyne retire la capote et profite de l’éjaculation d’Éric pour s’en abreuver. J’entraine Éric sous la douche, Evelyne prépare le café. Je prends soin de laver Éric. Je m’attarde sur ces fesses, entre ces fesses, caresse sa rondelle, savonne son sexe, ses boules, il a envie de pisser, je tiens sa bite et dirige son jet sur mes cuisses et mon pubis. Je l’embrasse, et me libère aussi.
Nous nous séchons, je suis troublée par mon geste. Nous allons petit-déjeuner, Éric prend congé. Je reçois un sms, Merci pour tout, superbes moments, je n’ai pas les mots outre deux superbes salopes. Merci Martine, je vous veux à moi très vite. Je lui réponds, que toutes nos portes te sont ouvertes. Je partage avec Evelyne déjà en consultation. Evelyne aussi me traite de salope, je la remercie.
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