Récit d'une vie de nuit - Chapître 6 - histoire érotique

L’entame du XXIème siècle, n’est pas celui que nous espérions, commercialement notre petite entreprise vit bien, comme dirait Baschung elle ne connait pas la crise. Le passage à l’euro est compliqué, mais le plus compliqué est la santé. Myriam est la première touchée, elle nous abandonne presque une demi-année. L’équipe est ravie de la revoir revenir en forme, tant physique que moral malgré les séquelles de sa maladie. Ingrid nous quitte pour fonder une famille et élever une petite, compliqué de la remplacer avec un personnel du même gabarit. En 2003, Friedrich est lui aussi contraint de ralentir, son cœur est fatigué, en pleine soirée il est évacué, opéré, mis en convalescence.

Absent du devant de la scène prêt d’une année, Myriam, Agnès, Alexander et moi dirigeons l’affaire. L’équipe a accueilli une allemande de l’est, Eike, une femme d’une telle beauté que même Alexander en est tombé amoureux. Masseuse de profession et épicurienne, elle a choisi de travailler avec nous.

Agnès a vite compris que Eike allait lui faire d l’ombre. Mais à aucun moment son statut au sein de l’équipe ne changerait bien au contraire. L’état de santé de Friedrich qui approche les 70 ans se dégrade. C’est alors que de longues discussions animent nos dialogues et les réunions hebdomadaires du staff. Myriam, Agnès, Alexander, évidemment Friedrich et moi avons le pouvoir de décision, Eike qui est devenue un atout dans l’espace « wellness », à un avis consultatif déterminant, et le personnel (2 serveuses et 1 serveur) qui subit des turn-over régulier assite passif aux réunions. A l’issue du réveillon de 2004, Friedrich annonce qu’il propose l’établissement à la vente. Stupeur dans le staff. Mais Friedrich ne peu plus continuer, et je me rallie à sa décision. Friedrich fait marcher son réseau, fait estimer le bien, personnellement je suis époustouflé par la valeur du bien. De plus il ne reste presque plus de crédit à rembourser.

2005 est une année ou les visites, les études par d’éventuels repreneurs, quelques conditions sont immuables, reprise du personnel souche (Myriam fin de la cinquantaine, et surtout gérante du sex-shop, Agnès qui atteint la mi-quiqua, et responsable du wellness, Alexander expert reconnu parmi la population homo, bien que depuis l’arrivée de Eike est bi) et donc Eike qui, par sa plastique exceptionnelle, attire les billets. Parmi les investisseurs potentiels, un se détache du lot, un homme d’une cinquantaine d’année, prêt à reprendre le personnel, toute la propriété, mais bien évidemment coince sur le chèque à établir.

Friedrich propose à cet homme d’être un visiteur privilégié pendant la durée de son choix à la fréquence de son choix. Pendant près de 2 mois cet est venu, en spectateur, puis mateur, pour finir par être un acteur. Il a gouté au savoir faire de tout le staff, oui tout le staff. Avec une préférence pour Eike, même Alexander a fait ces preuves avec lui. Fin novembre, nous recevons un courrier, et une invitation pour staff de le rejoindre chez lui en compagnie de nos hommes de lois. Dans son courrier il nous disait que cela scellera ou pas le compromis de reprise.

En cortège, nous rejoignons Helmut chez lui. Nous arrivons vers 16 heures devant un portail fermé, un interphone, nous nous annonçons. Le portail s’ouvre, nous entrons, et apercevons la maison simple mais grande, du terrain, piscine, belles voitures que nous distinguons dans un garage certainement volontairement laissé ouvert pour nous impressionner. Helmut nous accueille avec, à ces côtés, une jeune femme qui semble tout droit sorti d’un magazine people. Katarina, belle slave, nous prie de nous installer dans le salon autour de la table, sont déjà là les hommes dont une femme juriste. Nous étamons les présentations, Friedrich un peu fatigué par le voyage me laisse la main. Le tour de table est fait, les études sont effeuillées, les « hommes » de Helmut posent des questions nous répondons sans masque. La juriste épluche toutes les lignes qui semblaient pouvoir poser des difficultés. Je me souviens de cette ambiance pesante, pire que lors de nos divers contrôle et « mise en examen » par des « complots » perturbateurs. Un Ambiance de film noir. Nos hôtes s’excusent et s’absente. Katarina nous tient compagnie, nous propose des rafraichissements, musique, nous invite dans une salle de jeu ou trône un billard et un bar. Une barmaid nous propose un cocktail maison. L’attente est longue Katarina et Eike fond plus ample connaissance, elles forment un duo de charme exceptionnel.

Tel le roi et sa cours, Helmut entre avec sa suite. « Nous avons entendu et conclu une proposition, si Friedrich et Madame veulent bien nous suivre. ». Nous suivons accompagné de notre avocat et comptable, les autres sont priés de rester dans la salle. Helmut nous tend un document, Friedrich n’a pas le courage de lire le document et je m’en charge. J’ouvre la reliure, et je lis écrit noir su blanc qu’il acceptait tous les termes du contrat sans restriction au prix convenus. Je ne peux pas retenir plus longtemps une vague d’émotion. Je présente le document à nos hommes de lois, Helmut nous invite à quitter la pièce afin de les laisser conclure. Helmut, me laisse annoncer la bonne nouvelle. La barmaid sort le champagne, Eike, folle de joie, s’empresse d’embrasser tout le monde. Elle ne voulait pas devoir quitter ce boulot.

Les « hommes en noirs » viennent faire leur compte-rendu, et prennent congés ce petit monde nous quitte, Helmut glisse une enveloppe dans les mains de chacun d’eux et leur offre une coupe. Ces gens ne tardent pas et qui le domaine. Seule la juriste reste. Helmut nous présente : « Michaela, mon épouse, Katarina sera une des futures gérantes de votre établissement. Et Eike et Katarina soigneront à merveille l’image de notre club. Si vous permettez Mickaela va passer une tenue plus adaptée ou plutôt moins sévère... Elle nous rejoint, dans une robe très légère et très courte, des talons aiguilles d’une marque très prisée, sa poitrine lourde ondule et les tétons joue à cache-cache avec le tissu.

Après ces premières émotions dissipées, un repas nous est servi, un excellent repas à vrai dire. Katarina nous propose de passer sous la véranda où la piscine à bain bouillonnant nous attends afin de nous distraire avant le dessert. Katarina retire ces vêtements, invite Alexander et Eike à l’imiter, Agnès et Myriam suivent.

La piscine prend très vie des aires de salle de jeux érotiques, Eike partage Alexander avec Katarina, Agnès et Myriam joue entre elle. Mickaela et moi discutons, c’est une libertine dans l’âme. Elle a fait ces premières armes grâce à son cul comme elle aime a le raconter, et a sauvé quelques situations dont celle d’Helmut qu’elle a épousé. L’ambiance se réchauffe, Mickaela commence a être très tactile et je suis déjà très excitée, elle retire sa robe et m’aide à retirer mes vêtements. Elle Glisse entre mes cuisses et m’ouvre la chatte pour me lécher sous le regard passionné des deux hommes restés à table Helmut. Sans trop d’effort je jouis en lâchant une giclé sur le visage de ma lécheuse. Je rends la pareil, une fois le plaisir atteint nous plongeons dans la piscine. Nous passons un moment dans la piscine, la jeune barmaid qui semble imperturbable, nous sert du champagne au bord de la piscine. Après le dessert pris dans les tenues du moment, nous prenons congés et nous sommes accompagné dans nos appartements afin de repartir le lendemain reposé.

Nous signons peu de temps après l’acte de vente de l’établissement dons la session s’effectuera après le carnaval 2005. Néanmoins Helmut, Mickaela et Eike occupe déjà les lieux afin de faire connaitre aux habitué les futurs repreneurs. Friedrich n’est presque plus présent dans l’établissement. Il se consacre à trouver un lieu de chute pour prendre une retraite bien méritée comme il dit.