Récit d'une vive de nuit

- Par l'auteur HDS Mathy -
Récit érotique écrit par Mathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Récit d'une vive de nuit Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Récit d'une vive de nuit
Bonjour je me présente, Martine 64 ans, oui une « granny ». Une amie m’a convaincu de partager ma vie ici car elle émoustillerait certainement quelques lecteurs. Je ne suis pas une écrivaine. Alors pardonnez-moi mes fautes et mes erreurs de français.
Je suis une femme que l’âge a marquée, 1,69, 70kg une poitrine très généreuse, mais il y a 45 ans j’étais une jeune fille de 19 ans au physique très agréable aux cheveux longs et blond et des yeux bleu-gris. Sortie de mon adolescence, pleine de vie, je voulais me lancer dans la vie active avec juste en poche un diplôme de secrétaire. Je postule dans quelques entreprise, les recruteurs avaient plus le regard figé sur mes seins que sur mon CV, si vous voyez le tableau. Au grès de mes sorties, et mes fêtes nocturnes un jour outre-Rhin une annonce m’interpelle. C’est ainsi que je propose mes services et je deviens serveuse dans un bar d’ambiance nocturne, qui passer une certaine heure devient un lieu plus libéré. Mais il y a 45 ans on ne parlait pas encore de club libertin ou club échangisme mais plus bar à entraineuses ou bar à « putes ». Et les lieux restaient confidentiels. Le Bar qui m’a accueilli avait deux faces, un coté tout publics et passer l’heure prescrite il devenait plus léger, les filles « légères » avaient toutes plus de 21 ans et donc moi je restais une simple serveuse en salle avant et derrière le bar après. L’ambiance était feutrée, les filles incitaient à boire plus qu’a câliner ou plus encore, du moins pas dans la salle principale. Le propriétaire avait conçu son établissement de sorte qu’après un petit couloir il y avait 4 petits salons qui se « louaient » pour inviter les filles ou les couples qui venaient ou venaient.
Mon statut de jeune fille avantagée par la nature me valut beaucoup de propositions, des hommes insistaient mais la patronne qui veillaient sur nous savait les remettre en place. Heureusement pour moi parfois. Le boulot me plaisait, et payait bien. Je ne me projetais pas sur mon avenir à mes 21 ans. Mais la semaine de mon anniversaire la patronne et le patron m’on convoquée en matinée dans le bureau. Leur demande fut très directe, veux-tu poursuivre et augmenter ton salaire en travaillant en salle à partir de ce week-end comme tu aurais l’âge ? Je suis restée figée, Olga sublime quadra et femme de Friedrich, c’est levé et a tourné autour de moi en me disant, que cela serait triste de ne pas profiter de tes atouts de beauté et de ce que la nature t’a donné. Sans autre procès elle ouvre son chemisier et me montre sa poitrine, et me dit c’est ça que les hommes aiment et notre bouche. Friedrich rigole derrière son bureau. Olga me décrit le nouvel aspect du boulot. Elle me demande si j’ai déjà eu des expériences sexuelles, j’ai dû rougir, je n’avais pas vraiment eu de relation sexuelle, quelques touche-touche avec des garçons des embrassades. Etonnée elle me rassure et me dit que tout s’apprend, (lol). En tournant autour de moi, ses seins à l’air, la situation me semble inconfortable mais pas désagréable. Elle me pose plein de questions de plus en plus intimes, Friedrich nous regarde, puis se lève et va prendre 3 verres dans le meuble et nous sert une coupe. Nous trinquons, et parlons, la discussion est très orientée et de plus en incontrôlable pour moi. J’ai vidé 2 ou 3 coupes et les bulles ont eu foi de mes barrières. Olga a vite compris qu’il était temps d’être plus direct et est venue près de moi. Olga invite Friedrich à nous rejoindre moi dans le fauteuil et elle derrière moi, elle pose ses mains sur ma poitrine, sans attendre et elle relève mon débardeur et laisse apparaitre mon soutien-gorge qui pris très vite la même place que mon débardeur. Olga me dit je vais t’apprendre à utiliser ta bouche, après tu me dira si tu veux aller en salle. Elle m’a guidé et j’ai pris le sexe du patron guidé par Olga. J’ai pris très vite gout a ce plaisir. Elle m’a fait par de quelques astuces pour accroitre le plaisir, comme masser les testicules et jouer de la langue. Qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je deviens ? Je prends plaisir à cette douceur, Olga me remplace, je l’observe, j’apprends. Olga me demande si je suis encore vierge ? Elle me dit que je vais me faire baiser. Je suis stupéfaite mais je suis aussi chaude que la braise, je retire ma culotte que je constate humide. Olga me pose dans le canapé à 4 pattes (position que je n’ai jamais prise) et il se présente derrière moi, et me pénètre doucement. Me voila dans l’engrenage, je prends mon plaisir et m’exprime, je jouis et Friedrich se retire et offre à Olga son éjaculation qu’elle prend en bouche en prenant soin d’être sous mon regard.
Le temps de reprendre mes esprits, je prends conscience que cela me plait, que j’y ai pris du plaisir. Un peu affolée, je demande quelques renseignements sur l’avenir qui m’est réservé si j’acceptais. Olga me rassure m’explique que j’aurai le temps de me faire une place et une « clientèle ». Je ne m’oppose pas à la proposition d’autant que mon salaire pourrait être multiplié par 2 ou 3. Olga me dirige vers un vestiaire et me dis de me choisir une tenue qui pourrais être ma personnalité. Chacune des filles a son style, le mien je le découvre un pantalon en cuir qui laisse visible les fesses et mon entre jambe et un gilet porté sans soutif laissé deviner l’abondance mammaire et arrogante de mes 21 ans, et aux pieds des sandales à talons. Olga me félicite sur mon choix. Me voici paré pour la deuxième partie de soirée. En salle dans la première partie, nous sommes toutes en jupe, bas, chemisier et chaussures confortables. Le lieu ne change de statut qu’a partir de 23 heures. Je vous rappelle nous sommes dans les années 70 et les mœurs pas aussi libérés que maintenant du moins « public ».
A l’heure je prends mon service derrière le bar, Olga est plus présente à mes côtés. Je ne passerais en salle que samedi car mon anniversaire est vendredi. La semaine se passe vendredi le staff organise un petit brunch en mon honneur, 21 ans, voilà ça y est. Friedrich me demande devant tout le monde si j’acceptais de rejoindre les jeunes filles en salle ? J’ai dû rougir et j’annonce que j’acceptais de poursuivre l’aventure. Je me souviens très bien que la plus ancienne des serveuses (32ans), et venue prés de moi et m’a totalement dévêtu, et j’ai enfile ma nouvelle tenue à la différence près que je ne portais pas de culotte si de soutien-gorge, et que je laissais apparaitre une toison blonde fourni. J’ai été obligée, sans me déplaire, de m’exhibée sur les tables dans l’arrière-salle comme une sorte de baptême, de dépucelage ou accession à ce nouveau statut. Nous clôturons et je me remets en tenue de service, je me souviens que ma culotte et mon SG avaient disparus, j’ai assuré le service nue sous mes vêtements.
Olga, le vendredi soir ou plutôt samedi matin, veille de mon passage de l’autre côté m’invite à la rejoindre pour affiner mon lendemain. Je suis autorisée à ne venir qu’à partir de 22h pour assurer la nuit, et elle me dit que coté extra le samedi est assez calme car souvent la clientèle est formée de couple cela permettra de découvrir l’ambiance. (Oui car avant j’assurais les après-midis puis vers 23h j‘étais libérée).
J’arrive, Olga me harponne me m’emmène au bureau pour les dernières recommandations (Olga est très prévenante avec ces employées et je pense que c’est la raison du peu de turn-over chez les filles). Elle me rappelle que l’ambiance a changée, les boissons sont plus le champagne que la bière, et que les petits salons sont là dans un but très précis de satisfaire les demandes particulières des clients. Je l’avais bien compris et surtout bien enregistré le test et l’instruction reçu dans le bureau. JE quitte le bureau et part me changer, j’enfile ma tenue de cowgirl, mes escarpins talons hauts. Passe derrière le bar pour débuter tranquillement et observer comme l’a conseillé Olga.
Je ne vais pas vous mentir j’ai le trac, ma tenue attire déjà les regards de deux clients dont un me demande si je suis nouvelle, et j’ai répondu oui….
Je ne vais pas vous saouler avec de grands récits, j’attends vos commentaires et savoir si je dois poursuivre…. Au plaisirs chers lecteurs, et j’espère chères lectrices…

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Texte coquin : Récit d'une vive de nuit
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