Redécouverte
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Redécouverte
Je suis cadre supérieur dans une grande boite, contrairement aux autres, qui sont sous mes ordres, je mène ma barque comme je l'entends. J'ai des contraintes bien sur. Je ne me plaints pas du tout.
A 40 ans je suis assez sexy pour avoir des jeunes qui me cherchent.
A dire vrai-je ne m'occupe plus des mâles depuis des lustres. Ce n'est pas que je préfère les femmes, quoique de temps en temps je me laisse aller à adorer Lesbos.
Ce que je préfère et de loin, cela depuis mes 15 ans c'est la masturbation. J'ai même eu grâce à ce vice, mes premiers rapports sexuels avec un type de mon âge vers 18 ans. Je garde encore le souvenir de sa queue dans mon vagin et du peu de plaisir que j'ai eu.
J'en ai eu avec une copine qui elle préférait les filles aux garçons. Avec elle j'avais des orgasmes à répétition. Elle m'a même défoncé la pastille : je n'en ai pas jouis.
Plus tard en fac, je me suis payé un joli godemiché. Je lui suis restée fidèle longtemps. Mes désirs allant vers des plaisirs solitaires de plus en plus hard, je me suis payé d'autres godes. J'ai ensuite penché pour des boules de geisha. Le plaisir était triple, d'abord en les mettant. Pour mettre le première j'en jouissais puis, la seconde: j'en jouissais également. Je ne parle pas des plaisirs que j'avais souvent en marchant, au point d'être obligée de m'appuyer sur un mur quelconque en jouissant. C'est plus tard que je me suis acheté un gode pour le sac: il me servait pendant les cours en fac. Par la suite je suis entrée dans la boite où je suis toujours, j'ai grimpé les échelons sans piston.
Maintenant j'ai une bonne collection de godes et autres objets féminins : gode anal, gode point G, gode vibrant pour la douche.
Je ne m'ennuie jamais dans mes moments de calme: il m'arrive souvent de me masturber au bureau. Je porte des jupes ouvertes sur le coté. Il est déjà arrivé qu'un subordonné vienne me voir: je n'arrête pas mon plaisir comme ça: si j'ai en route les boules de geishas vibrantes, je suis la seule à le savoir: j'en jouis d'avantage.
Ainsi va ma vie: je ne regrette pas d'être seule: j'ai le principal, ma collection. Pourtant depuis hier un changement imprévu c'est produit. Ma secrétaire m'a surprise quand je me branlais avec le gode spécial point G. J'étais sur le point de jouir, j'avais les yeux fermés, j'avais un fantasme particulier: j'étais entre les mains de trois hommes, le premier me baisait, le deuxième m'enculait et je suçais le troisième. Je le l'ai vue que quand elle était fesses contre mon bureau, la jupe à la taille, sans sous vêtements avec deux doigts qui allaient et venaient sur son joli clitoris. Emportée par mon désir, je venais tout contre elle, lui faisais sortir sa main et c'est ma bouche qui venait la lécher. Il y avait pas mal de temps que je n'avais pas sucé une fille. Celle-ci était belle et sexy. Elle me laissait la sucer. J'en profitais pour la faire jouir plusieurs fois.
A son tour elle a voulu me faire jouir. J'avais encore le gode dans le vagin mouillé. Elle l'a manœuvré en le faisant entrer et sortir. Elle accompagnait ses mouvements de sa langue sur mon bouton. Elle m'a faite jouir comme pas souvent.
Nous avons passé la nuit ensemble, chez moi. Je lui ai montré ma collection: elle a voulu essayer ce qui lui plaisait: c'est la première fois que je vois une femme se donner du plaisir. Je l'ai accompagnée un moment, jusque que mon désir pour elle se manifeste. Je l'ai prise dans mes bras, lui ai passée une main sous la jupe. J'ai commencé non pas à la branler, mais à lui mettre un doigt sur son petit trou. Elle fait plus qu'accepter: elle se tend ses fesses vers ma main. Je pénètre son anus largement avec deux doigts. Elle est toujours contre moi, bien serrée, ses lèvres sur les miennes. Je prend un de mes godes (il y en a partout chez moi), le mouille avec ma cyprine et le lui mets. La sodomie lui plait: elle jouit.
Nous allons dans la chambre, nous nous déshabillons chaque une de notre coté: Je compare nos corps: mes seins sont à peu de chose près comme les siens, ainsi que ma taille, par contre mes hanches sont plus développées. Nous nous embrassons comme de jeunes amantes. Nous nous caressons. Moi j'ai un faible pour sa poitrine et son ventre, elle semble préférer mes fesses. Elle arrive même à me mettre deux doigts dans mon anus. Je n'ai pas souvenir que quelqu'un ne m'ai jamais fait une pareille chose si intime.
Je descends ma main vers son sillon. J'y trouve une foule de trésors cachés: ses lèvres gonflées, l'entrée de son sexe, et surtout le plus recherché son clitoris. Je l'ai sucé il n'y a pas longtemps. Je le caresse maintenant. Elle se cabre sur ma caresse, comme je me cabre à cause de sa main dans mon anus. Nous jouissons ensemble. Cette fois nous nous passons de jouets spéciaux: nos langues et nos doigts doivent suffire à moins d'une brusque envie de pénétration.
Sans même réfléchir je l'enjambe pour lui passer la langue sur son sexe. Elle n'hésite pas une seule seconde à me rendre la pareille. Je suis obligée de baisser un peu la tête pour arriver à son bouton. Elle doit lever la sienne. Elle fait plus que me sucer, elle me met encore ses doigts dans l'intimité de mon petit trou. J'adore. J'aime sentir ses seins contre mon ventre, comme j'aime sentir les siens contre le mien.
Je ne peux me retenir de jouir plusieurs fois, comme elle.
Nous sommes amoureuses. Nous agissons ainsi: aucune limite à nos amours. Nous utilisons les godes comme nous nous aimons: nous nous baisons largement Elle m'a appris à apprécier la sodomie, moi qui avais ça en horreur.
Il faut dire que je ne suis pas sa première maîtresse: elle en avoue trois avec les quelles elle a vécue et sans doute d'autres de passages.
Pour les passages, elle m'entraîne un jour dans une soirée un peu spéciale: peut être une quinzaine de personnes. La plus part des gens sont nus, les hommes bandent, les femmes se donnent soit à des hommes soit à de femmes.
Mon amoureuse me présente à un homme plutôt charmant. Il me fait un baise main avant de me prendre dans ses bras. Si j'avais été seule j'aurai refusé. Mais poussé ainsi et par un besoin de comparaison je le laisse faire quand il me donne un baiser comme je les aime. Il me caresse la poitrine: c'est moins doux qu'avec une fille, c'est plus excitant, surtout devant tout le monde. Je sens sa queue bandée grossir de plus en plus. Il a envie de moi. Je ne sais pas encore si j'ai envie de lui. Je sais que j'ai un creux dans le bas ventre, je sais qu'il saura le combler. Ainsi il me couche sur un divan, j'écarte les jambes, il se met juste au milieu. Je n'ai pas à le guider: il me pénètre lentement d'une façon plus douce que j'ai quand je me sert d'un gode. Je sens mes tissus du vagin se serrer contre son sexe. Il me la mise à fond. Il reste ainsi un petit moment sans bouger. L'instinct ou le désir de lui, font que je vais et viens autour de sa bite. Je ressens un plaisir montant. Je ne sens même plus son poids sur mon corps.
Soudain l'impossible se produit je sens mon sexe se serrer contre le sien: je jouis. Je sens son sperme quand à son tour il jouit. Nous restons lui en moi, moi sous lui, Je sens maintenant seulement les poils de son torse: c'est très agréable.
Finalement je me suis tournée vers les femmes et surtout la masturbation en oubliant le principal : une vrai bite dans mon con.
A 40 ans je suis assez sexy pour avoir des jeunes qui me cherchent.
A dire vrai-je ne m'occupe plus des mâles depuis des lustres. Ce n'est pas que je préfère les femmes, quoique de temps en temps je me laisse aller à adorer Lesbos.
Ce que je préfère et de loin, cela depuis mes 15 ans c'est la masturbation. J'ai même eu grâce à ce vice, mes premiers rapports sexuels avec un type de mon âge vers 18 ans. Je garde encore le souvenir de sa queue dans mon vagin et du peu de plaisir que j'ai eu.
J'en ai eu avec une copine qui elle préférait les filles aux garçons. Avec elle j'avais des orgasmes à répétition. Elle m'a même défoncé la pastille : je n'en ai pas jouis.
Plus tard en fac, je me suis payé un joli godemiché. Je lui suis restée fidèle longtemps. Mes désirs allant vers des plaisirs solitaires de plus en plus hard, je me suis payé d'autres godes. J'ai ensuite penché pour des boules de geisha. Le plaisir était triple, d'abord en les mettant. Pour mettre le première j'en jouissais puis, la seconde: j'en jouissais également. Je ne parle pas des plaisirs que j'avais souvent en marchant, au point d'être obligée de m'appuyer sur un mur quelconque en jouissant. C'est plus tard que je me suis acheté un gode pour le sac: il me servait pendant les cours en fac. Par la suite je suis entrée dans la boite où je suis toujours, j'ai grimpé les échelons sans piston.
Maintenant j'ai une bonne collection de godes et autres objets féminins : gode anal, gode point G, gode vibrant pour la douche.
Je ne m'ennuie jamais dans mes moments de calme: il m'arrive souvent de me masturber au bureau. Je porte des jupes ouvertes sur le coté. Il est déjà arrivé qu'un subordonné vienne me voir: je n'arrête pas mon plaisir comme ça: si j'ai en route les boules de geishas vibrantes, je suis la seule à le savoir: j'en jouis d'avantage.
Ainsi va ma vie: je ne regrette pas d'être seule: j'ai le principal, ma collection. Pourtant depuis hier un changement imprévu c'est produit. Ma secrétaire m'a surprise quand je me branlais avec le gode spécial point G. J'étais sur le point de jouir, j'avais les yeux fermés, j'avais un fantasme particulier: j'étais entre les mains de trois hommes, le premier me baisait, le deuxième m'enculait et je suçais le troisième. Je le l'ai vue que quand elle était fesses contre mon bureau, la jupe à la taille, sans sous vêtements avec deux doigts qui allaient et venaient sur son joli clitoris. Emportée par mon désir, je venais tout contre elle, lui faisais sortir sa main et c'est ma bouche qui venait la lécher. Il y avait pas mal de temps que je n'avais pas sucé une fille. Celle-ci était belle et sexy. Elle me laissait la sucer. J'en profitais pour la faire jouir plusieurs fois.
A son tour elle a voulu me faire jouir. J'avais encore le gode dans le vagin mouillé. Elle l'a manœuvré en le faisant entrer et sortir. Elle accompagnait ses mouvements de sa langue sur mon bouton. Elle m'a faite jouir comme pas souvent.
Nous avons passé la nuit ensemble, chez moi. Je lui ai montré ma collection: elle a voulu essayer ce qui lui plaisait: c'est la première fois que je vois une femme se donner du plaisir. Je l'ai accompagnée un moment, jusque que mon désir pour elle se manifeste. Je l'ai prise dans mes bras, lui ai passée une main sous la jupe. J'ai commencé non pas à la branler, mais à lui mettre un doigt sur son petit trou. Elle fait plus qu'accepter: elle se tend ses fesses vers ma main. Je pénètre son anus largement avec deux doigts. Elle est toujours contre moi, bien serrée, ses lèvres sur les miennes. Je prend un de mes godes (il y en a partout chez moi), le mouille avec ma cyprine et le lui mets. La sodomie lui plait: elle jouit.
Nous allons dans la chambre, nous nous déshabillons chaque une de notre coté: Je compare nos corps: mes seins sont à peu de chose près comme les siens, ainsi que ma taille, par contre mes hanches sont plus développées. Nous nous embrassons comme de jeunes amantes. Nous nous caressons. Moi j'ai un faible pour sa poitrine et son ventre, elle semble préférer mes fesses. Elle arrive même à me mettre deux doigts dans mon anus. Je n'ai pas souvenir que quelqu'un ne m'ai jamais fait une pareille chose si intime.
Je descends ma main vers son sillon. J'y trouve une foule de trésors cachés: ses lèvres gonflées, l'entrée de son sexe, et surtout le plus recherché son clitoris. Je l'ai sucé il n'y a pas longtemps. Je le caresse maintenant. Elle se cabre sur ma caresse, comme je me cabre à cause de sa main dans mon anus. Nous jouissons ensemble. Cette fois nous nous passons de jouets spéciaux: nos langues et nos doigts doivent suffire à moins d'une brusque envie de pénétration.
Sans même réfléchir je l'enjambe pour lui passer la langue sur son sexe. Elle n'hésite pas une seule seconde à me rendre la pareille. Je suis obligée de baisser un peu la tête pour arriver à son bouton. Elle doit lever la sienne. Elle fait plus que me sucer, elle me met encore ses doigts dans l'intimité de mon petit trou. J'adore. J'aime sentir ses seins contre mon ventre, comme j'aime sentir les siens contre le mien.
Je ne peux me retenir de jouir plusieurs fois, comme elle.
Nous sommes amoureuses. Nous agissons ainsi: aucune limite à nos amours. Nous utilisons les godes comme nous nous aimons: nous nous baisons largement Elle m'a appris à apprécier la sodomie, moi qui avais ça en horreur.
Il faut dire que je ne suis pas sa première maîtresse: elle en avoue trois avec les quelles elle a vécue et sans doute d'autres de passages.
Pour les passages, elle m'entraîne un jour dans une soirée un peu spéciale: peut être une quinzaine de personnes. La plus part des gens sont nus, les hommes bandent, les femmes se donnent soit à des hommes soit à de femmes.
Mon amoureuse me présente à un homme plutôt charmant. Il me fait un baise main avant de me prendre dans ses bras. Si j'avais été seule j'aurai refusé. Mais poussé ainsi et par un besoin de comparaison je le laisse faire quand il me donne un baiser comme je les aime. Il me caresse la poitrine: c'est moins doux qu'avec une fille, c'est plus excitant, surtout devant tout le monde. Je sens sa queue bandée grossir de plus en plus. Il a envie de moi. Je ne sais pas encore si j'ai envie de lui. Je sais que j'ai un creux dans le bas ventre, je sais qu'il saura le combler. Ainsi il me couche sur un divan, j'écarte les jambes, il se met juste au milieu. Je n'ai pas à le guider: il me pénètre lentement d'une façon plus douce que j'ai quand je me sert d'un gode. Je sens mes tissus du vagin se serrer contre son sexe. Il me la mise à fond. Il reste ainsi un petit moment sans bouger. L'instinct ou le désir de lui, font que je vais et viens autour de sa bite. Je ressens un plaisir montant. Je ne sens même plus son poids sur mon corps.
Soudain l'impossible se produit je sens mon sexe se serrer contre le sien: je jouis. Je sens son sperme quand à son tour il jouit. Nous restons lui en moi, moi sous lui, Je sens maintenant seulement les poils de son torse: c'est très agréable.
Finalement je me suis tournée vers les femmes et surtout la masturbation en oubliant le principal : une vrai bite dans mon con.
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