Remise de décoration
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Remise de décoration
Quelle façon pourrais-je trouver pour aborder cette nana. Je la trouve belle, la plus belle de toutes celles qui m'entourent. La réception est ce qui se fait de mieux dans genre remise de la légion d'honneur à une personnalité dont je me fous totalement : j'étais invité. Je ne pouvais refuser. La remise de la décoration entraînait beaucoup d'applaudissements. Je faisais comme les autres, sauf que je ne le faisais que du bout des doigts, comme elle. Je devais rester jusqu'au bout, au moins jusqu'au vin d'honneur.
Ce n'est qu'à ce moment que je pouvais parler à cette fille. Nous bavardons un moment quand elle me demande si les discours et autres fadaises m'intéressent : pas du tout.
- Alors si vous voulez on pourrait partir tous les deux seuls, ce serait plus poli que si je m'en vais seule.
- Bien sur, je vous accompagne où vous voulez.
- Très bien, alors allons boire un pot juste à coté.
Nous voilà partis sans que personne ne nous remarque.
- Ouf, enfin du calme, je commençais à bouillir d'impatience !
- Vous connaissiez le récipiendaire ?
- Juste de vue, j'étais entraînée de force.
- Par qui grand dieu ?
- Par mon père qui connaît tout le monde.
Je doute un peu de son aventure. Personne ne peut venir de force à une telle cérémonie, sauf moi, sans doute. Elle peut-être.
Nous nous installons à une table à l'écart, là où personne de nous vois, et prenons le fameux verre. Venant après un kir que prendre d'autre ? Nous optons pour un café. Nous bavardons un bon moment de la pluie, de la remise de décoration. Petit à petit nous voila partis dans des délires impossibles à raconter. Elle pose sa main sur mon bras.
- Peut-on se tutoyer ?
- Bien sur, ça ne ma gêne pas du tout.
- Alors embrassons-nous.
Je ne demande pas pourquoi. Elle doit bien se douter de mon désir pour elle. Enfin si vite et venant de plus d'une femme, c'est assez rare. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je pensais qu'un simple baiser suffisait : pas du tout, je sens sa langue sur mes lèvres. Elle veut un véritable baiser. A mon tour de lui mettre la langue dans la bouche. Nous restons ainsi pour un contact qui fait parti des plus longs que j'ai connus. Il faut reprendre haleine. Nous nous séparons un instant : elle me souri gentiment.
- C'était un bon baiser. On peut le recommencer ?
- Quelle question ? bien sur !
Nous nous embrassons à nouveau. Nous restons encore longtemps bouche à bouche. Cette pensée me fait rire. Je suis obligé de cesser notre embrassade pour rire. Elle m'en demande la raison. Quand je lui explique la raison de mon hilarité, elle aussi en rit.
- Au secours, je suis en train de me noyer.
- J'arrive.
Nous reprenons encore notre baiser. Est-ce ce rire commun ou les baiser, j'ai encore plus envie d'elle. Non seulement je l'embrasse : je pose ma main sur son genou. Sa main vient sur la mienne. Je pense qu'elle va me repousser. Elle monte un peu ma main, indiquant ainsi le chemin que je dois suivre. Je vais vers son sexe, en caressant l'endroit le plus doux, l'intérieur de ses jambes. Elle ouvre petit à petit ses cuisses. J'arrive vers une culotte bien mouillée. Je ne suis pas le seul à avoir envie d'aller plus loin. Je bande depuis un moment: elle a du s'en apercevoir. Je m'insinue dans son intimité à la recherche de son bouton. Elle pose sa main sur ma bosse, me masse à travers le pantalon. Nous ne pouvons plus rester dans ce bistrot.
Il se fait tard, pratique, elle veut que je l'invite dans un restaurant qu'elle connaît, pas loin. Allons pour ce restaurant. Nous y mangeons rapidement, nos esprits sont ailleurs. Nous nous embrassons souvent. Quand je suis sur que personne ne nous regarde je lui passe vite fait ma main sous sa jupe.
- Je suis trop excitée.
- Allons quelque part.
- D'accord, mais où ?
- Pourquoi pas chez moi ?
- Ou chez moi, c'est à deux pas.
- D'accord, allons chez toi.
Ni une ni deux, nous arrivons dans mon appart. Ce n'est pas bien grand, suffisant en tout cas pour ce qui va se passer.
Nous nous embrassons encore, je lui remets ma main plus haut immédiatement, elle sort la bite du pantalon. Nous nous branlons un peu. Elle a repéré le lit, m'y conduit en me tenant par la queue. Nous sommes nus très vite, il nous tarde de nous caresser à peu près partout. Ce que j'aime chez elle c'est qu'elle sait s'arrêter avant d'aller au bout : elle me permet de la faire jouir, par contre si elle me masturbe elle arrête avant qu'il ne soit trop tard. Nous cessons d'être cote à cote. Elle se tourne la tête au pied, m'enjambe pour offrir son bouton, prend ma pine en bouche, me descend le prépuce avec ses lèvres. Je sens ses lèvres glisser sur mon gland : elle pourrait être la championne des fellations si une telle discipline excitait. Sa langue tourne autour de mon bout avant qu'elle me prenne presque en entier.
Moi, j'ai sur ma bouche sa moule, ma langue en parcours tous les détours. Elle manifeste son plaisir par de légères plaintes. Je passe d'abord sur son anus où je ne m'attarde que pour constater qu'elle aime ma langue à cet endroit. Mes lèvres à l'entrée de son vagin, le bout de ma langue pour arriver enfin sur son clitoris. J'aspire avant de le lécher. Je dois faire ce qu'il faut : elle jouit rapidement. Pour se "venger, elle me suce à fond. Elle garde mon sperme dans la bouche. Je pensais qu'elle allait le cracher : pas du tout ! Elle le garde un bon moment dans la bouche avant de l'avaler
- Tu as bon goût.
- Toi aussi, quand tu jouis, surtout la deuxième fois.
- Si tu veux, on s'embrasse pour échanger nos goûts…
- Tu ne serais pas un peu salope ?
- Non pas un peu, beaucoup !!
Elle se remet normalement vers moi, pend mes lèvres, nous nous embrassons. Je trouve mon goût sur sa langue, comme elle trouve le sien. Nous restons ainsi pour que je reprenne des forces. Elle me caresse à sa façon : je bande à nouveau.
Elle se couche sur le dos, un coussin bien installé sous ses fesses, pour mieux voir. Les jambes écartées m'appellent. Je vais sur elle. Je me débrouille sans elle pour poser le bout de ma queue sur son vagin. Elle regarde sans arrêt : ça l'excite encore plus. Je rentre en elle très lentement. Je rentre en peut être 3 minutes. C'est trop long. Elle donne un grand coup de rein, et me voilà au fond de son vagin. Nous restons immobiles un instant pour savourer notre union. Je commence les vas et viens qu'elle accompagne. Je la sens jouir plusieurs fois autour de ma bite. Je sors d'elle avant de jouir.
- Je veux t'enculer !
- Maintenant ?
- Si tu veux bien.
- Alors allons y, fais moi jouir du cul.
- Tournes toi.
Elle se met en levrette, se mouille l'anus, en y entrant même deux doigt, comme pour préparer le terrain. Je vais sur elle. Elle prend ma queue pour la diriger. Je suis juste au vestibule sans bouger. Elle s'impatiente. Alors je rentre dans son cul lentement, ne sachant si elle était étroite ou non. Je constate qu'elle a l'habitude de se faire mettre par là. Je la lui rentre à fond. Je sens son sphincter se contracter à chaque jouissance.
C'est ainsi qu'elle me fait jouir une dernière fois. Enfin une dernière fois pour aujourd'hui : nous n'allons pas nous lâcher comme ça !!!
Ce n'est qu'à ce moment que je pouvais parler à cette fille. Nous bavardons un moment quand elle me demande si les discours et autres fadaises m'intéressent : pas du tout.
- Alors si vous voulez on pourrait partir tous les deux seuls, ce serait plus poli que si je m'en vais seule.
- Bien sur, je vous accompagne où vous voulez.
- Très bien, alors allons boire un pot juste à coté.
Nous voilà partis sans que personne ne nous remarque.
- Ouf, enfin du calme, je commençais à bouillir d'impatience !
- Vous connaissiez le récipiendaire ?
- Juste de vue, j'étais entraînée de force.
- Par qui grand dieu ?
- Par mon père qui connaît tout le monde.
Je doute un peu de son aventure. Personne ne peut venir de force à une telle cérémonie, sauf moi, sans doute. Elle peut-être.
Nous nous installons à une table à l'écart, là où personne de nous vois, et prenons le fameux verre. Venant après un kir que prendre d'autre ? Nous optons pour un café. Nous bavardons un bon moment de la pluie, de la remise de décoration. Petit à petit nous voila partis dans des délires impossibles à raconter. Elle pose sa main sur mon bras.
- Peut-on se tutoyer ?
- Bien sur, ça ne ma gêne pas du tout.
- Alors embrassons-nous.
Je ne demande pas pourquoi. Elle doit bien se douter de mon désir pour elle. Enfin si vite et venant de plus d'une femme, c'est assez rare. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je pensais qu'un simple baiser suffisait : pas du tout, je sens sa langue sur mes lèvres. Elle veut un véritable baiser. A mon tour de lui mettre la langue dans la bouche. Nous restons ainsi pour un contact qui fait parti des plus longs que j'ai connus. Il faut reprendre haleine. Nous nous séparons un instant : elle me souri gentiment.
- C'était un bon baiser. On peut le recommencer ?
- Quelle question ? bien sur !
Nous nous embrassons à nouveau. Nous restons encore longtemps bouche à bouche. Cette pensée me fait rire. Je suis obligé de cesser notre embrassade pour rire. Elle m'en demande la raison. Quand je lui explique la raison de mon hilarité, elle aussi en rit.
- Au secours, je suis en train de me noyer.
- J'arrive.
Nous reprenons encore notre baiser. Est-ce ce rire commun ou les baiser, j'ai encore plus envie d'elle. Non seulement je l'embrasse : je pose ma main sur son genou. Sa main vient sur la mienne. Je pense qu'elle va me repousser. Elle monte un peu ma main, indiquant ainsi le chemin que je dois suivre. Je vais vers son sexe, en caressant l'endroit le plus doux, l'intérieur de ses jambes. Elle ouvre petit à petit ses cuisses. J'arrive vers une culotte bien mouillée. Je ne suis pas le seul à avoir envie d'aller plus loin. Je bande depuis un moment: elle a du s'en apercevoir. Je m'insinue dans son intimité à la recherche de son bouton. Elle pose sa main sur ma bosse, me masse à travers le pantalon. Nous ne pouvons plus rester dans ce bistrot.
Il se fait tard, pratique, elle veut que je l'invite dans un restaurant qu'elle connaît, pas loin. Allons pour ce restaurant. Nous y mangeons rapidement, nos esprits sont ailleurs. Nous nous embrassons souvent. Quand je suis sur que personne ne nous regarde je lui passe vite fait ma main sous sa jupe.
- Je suis trop excitée.
- Allons quelque part.
- D'accord, mais où ?
- Pourquoi pas chez moi ?
- Ou chez moi, c'est à deux pas.
- D'accord, allons chez toi.
Ni une ni deux, nous arrivons dans mon appart. Ce n'est pas bien grand, suffisant en tout cas pour ce qui va se passer.
Nous nous embrassons encore, je lui remets ma main plus haut immédiatement, elle sort la bite du pantalon. Nous nous branlons un peu. Elle a repéré le lit, m'y conduit en me tenant par la queue. Nous sommes nus très vite, il nous tarde de nous caresser à peu près partout. Ce que j'aime chez elle c'est qu'elle sait s'arrêter avant d'aller au bout : elle me permet de la faire jouir, par contre si elle me masturbe elle arrête avant qu'il ne soit trop tard. Nous cessons d'être cote à cote. Elle se tourne la tête au pied, m'enjambe pour offrir son bouton, prend ma pine en bouche, me descend le prépuce avec ses lèvres. Je sens ses lèvres glisser sur mon gland : elle pourrait être la championne des fellations si une telle discipline excitait. Sa langue tourne autour de mon bout avant qu'elle me prenne presque en entier.
Moi, j'ai sur ma bouche sa moule, ma langue en parcours tous les détours. Elle manifeste son plaisir par de légères plaintes. Je passe d'abord sur son anus où je ne m'attarde que pour constater qu'elle aime ma langue à cet endroit. Mes lèvres à l'entrée de son vagin, le bout de ma langue pour arriver enfin sur son clitoris. J'aspire avant de le lécher. Je dois faire ce qu'il faut : elle jouit rapidement. Pour se "venger, elle me suce à fond. Elle garde mon sperme dans la bouche. Je pensais qu'elle allait le cracher : pas du tout ! Elle le garde un bon moment dans la bouche avant de l'avaler
- Tu as bon goût.
- Toi aussi, quand tu jouis, surtout la deuxième fois.
- Si tu veux, on s'embrasse pour échanger nos goûts…
- Tu ne serais pas un peu salope ?
- Non pas un peu, beaucoup !!
Elle se remet normalement vers moi, pend mes lèvres, nous nous embrassons. Je trouve mon goût sur sa langue, comme elle trouve le sien. Nous restons ainsi pour que je reprenne des forces. Elle me caresse à sa façon : je bande à nouveau.
Elle se couche sur le dos, un coussin bien installé sous ses fesses, pour mieux voir. Les jambes écartées m'appellent. Je vais sur elle. Je me débrouille sans elle pour poser le bout de ma queue sur son vagin. Elle regarde sans arrêt : ça l'excite encore plus. Je rentre en elle très lentement. Je rentre en peut être 3 minutes. C'est trop long. Elle donne un grand coup de rein, et me voilà au fond de son vagin. Nous restons immobiles un instant pour savourer notre union. Je commence les vas et viens qu'elle accompagne. Je la sens jouir plusieurs fois autour de ma bite. Je sors d'elle avant de jouir.
- Je veux t'enculer !
- Maintenant ?
- Si tu veux bien.
- Alors allons y, fais moi jouir du cul.
- Tournes toi.
Elle se met en levrette, se mouille l'anus, en y entrant même deux doigt, comme pour préparer le terrain. Je vais sur elle. Elle prend ma queue pour la diriger. Je suis juste au vestibule sans bouger. Elle s'impatiente. Alors je rentre dans son cul lentement, ne sachant si elle était étroite ou non. Je constate qu'elle a l'habitude de se faire mettre par là. Je la lui rentre à fond. Je sens son sphincter se contracter à chaque jouissance.
C'est ainsi qu'elle me fait jouir une dernière fois. Enfin une dernière fois pour aujourd'hui : nous n'allons pas nous lâcher comme ça !!!
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