Rencontre avec une fille chaude - histoire érotique

Je la regarde depuis un moment les yeux dans le vague. Les transports en communs ont ceci de bien: on peut se regarder ainsi. Brusquement un arrêt brutal me sort de ma léthargie. Cette fois je la regarde bien: elle est assez grande, brune plutôt sexy. C'est le début des chaleurs, elle porte une simple jupe à fleur surmontée d'un corsage blanc assez translucide. Je remarque qu'elle relève souvent le bas de sa jupe pour aller se gratter une cuisse, ou plutôt entre les cuisses, pas très haut, suffisamment pour que mon cerveau mouline à 100 à l'heure. J'ai envie qu'elle lève sa jupe jusqu'en haut pour bien voir son sexe. Cela reste un rêve.
Enfin le place juste à coté de le mienne se libère: elle vient s'asseoir près de moi, entre le passage et la fenêtre. Quand elle est installée je m'aperçois qu'elle a posé sans le faire exprès, une partie de sa jupe sur ma cuisse. Je regarde mieux: ce faut mouvement fait qu'elle a découvert l'autre cuisse qui m'apparaît nue. Je me demande jusqu'à quel point ce n'est pas volontaire, d'autant plus qu'elle arrange encore sa jupe plus sur ma cuisse. Je pousse un peu ma jambe contre elle: elle me sourit. Je lui rends son sourire. Nous voila parti dans une petite discussion assez orientée. Elle me cherche en me racontant sa vie affective: elle est seule, sans personne à coté d'elle pour la soutenir un peu. Son copain est parti, elle ne l'a pas remplacé.
Bref, je comprends surtout qu'elle est la recherche d'une aventure sinon sentimentale, au moins physique. Il ne faut pas me dire certaines choses deux fois: elle est en manque, je peux la satisfaire. Pour la consoler je lui demande de venir avec moi: j'ai un remède infaillible. Comme beaucoup de femme elle est curieuse de savoir de quoi il s'agit. Je ne lui dis rien. Ce n'est que quand nous rentrons dans cet hôtel qu'elle comprend enfin. Elle a un moment de recul. Je la retiens par un baiser.
Elle succombe rapidement: nous entrons à peine dans une chambre banale quand je lui mets encore mes lèvres sur les siennes. Ma langue part à la recherche de la sienne qui répond à ma sollicitation. Je la serre contre moi, l'enlace, lui mets immédiatement une main sur les fesses. Je soulève sa jupe bien légère. Je soulève bien plus haut que la décence l'autorise. Je suis quand même surpris de ne pas trouver ce que j'attendais, ne serait-ce qu'un string; Ses fesses nues m'attirent encore plus. Ma langue entre encore plus profond sans sa bouche. Ma main passe entre ses fesses arrive vers son petit anus. Il me semble bien ouvert pour une fille qui a tout perdu.
Enfin elle s'occupe de moi: son ventre vient me masser la queue qui bande. Elle le fait fort bien, elle s'arrange pour descendre la fermeture éclair, pour arriver finalement à sortir ma bite. Elle ne me fait rien de particulièrement sensuel, elle se contente de la toucher lentement, sans me branler.
Je met un doigts dans son anus: il entre plus que facilement, du coup je rajoute la suite pour lui branler le cul. Non seulement elle me laisse faire, mais en plus elle m'indique comment la faire jouir par ce trou. J'écoute ses conseils: je dois simplement lui faite aller et venir mes doigts. Et souvent quand je suis bien au fond, les y laisser un moment sans bouger. Elle me fait bander encore plus: j'ai un besoin urgent de la lui mettre. Je la pousse sur le lit, les fesses en l'air. Je n'ai rien à lui dire: elle sait ce que je projette: ses mains viennent se poser sur la raie pour mieux écarter les globes. Je lui crache sur le cul, lui metsdessus ma bite et y rentre immédiatement. Je fais comme elle semble aimer, Je la lui mets à fond, fais des allers et venus, et souvent je m'arrête quand je suis au plus profond d'elle. Je reste immobile avant de recommencer. Ce rythme me convient aussi, ma jouissance est encore lointaine. Pas la sienne en tous cas, je sens son sphincter s'ouvrir et se fermer souvent à chaque orgasme qu'elle a et il y en a beaucoup. Je me demande même comment elle fait pour jouir autant.
Je la tourne, lui arrache ses vêtements, oh, pas grand-chose, juste la jupe et son corsage. Je me jette sur ses seins que je n'avais pas encore vu: des magnifiques mamelles dignes de Rubens. Je les caresse longuement, j'embrasse longuement les tétons qui réagissent en bandant un peu. Je me mets de telle manière que je peux lui mettre ma pine entre les seins. Elle est assez dévergondée pour d'elle-même serrer ses seins contre ma bite. Elle la fait coulisser pour me branler. Elle sens que je vais jouir: elle ouvre sa bouche pour recevoir mon sperme. Elle en récupère une bonne partie, l'avale comme une friandise. Comme je débande, elle s'assoit au dessus de moi, passe ses mains sur sa chatte longuement pour se branler. Que fait un homme devant ce genre de spectacle: il bande.
Cette fois je vais la prendre comme une fille qui aime se faire mettre. Je la caresse longuement, surtout le clitoris. J'embrasse même le sexe entier avant d'entrer ma langue dans sa moule. Je vais entre ses jambes bien écartées. Encore cette fois j'entre sans autre préparation. Après tout c'est elle qui a le feu aux fesses.
Dès que je la lui mets, elle recommence à gémir. Elle accompagne mes mouvements tout en jouissant presque sans arrêt. Quand je jouis encore elle jouit aussi.
Nous nous rhabillons. Elle me veut comme amant. Son ex ne vivait pas avec elle, il butinait de droite de de gauche, elle s'en moquait du moment qu'il la baisait. J'accepte de genre de marché à condition quelle participe aussi avec une autre femme à mes baises: elle l'a déjà fait et trouve qu'une baise entre fille est agréable si un homme est là pour la satisfaire également