Retrouvailles
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2012 dans la catégorie Plus on est
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Retrouvailles
Nous avions 20 ans et nous avons commencé à baiser ensemble pour la première fois lors de nos études en fac. Elle était très belle et bien faite et surtout très sexy. Nous étions logés dans le même immeuble. Nos rencontres, furtives au début sont devenues quotidiennes et chaudes. Nous recherchions toujours de nouvelles façons d'avoir des plaisirs plus fort. Nos nuits de fin de semaines étaient très "hots". Elle aimait se branler sous la douche avec le jet dirigé vers son clitoris, elle se servait souvent d'un godemiché que nous avions choisi ensemble sous le regard égrillard du vendeur. Elle aimait se faire baiser et enculer. J'aimais aussi me masturber, surtout devant elle, pendant sa douche. Bref nous aimions nous donner du plaisir. Les vicissitudes de la vie nous ont séparées. Mon poste me conduisait loin l'un de l'autre et elle restait sur place.
Et enfin un jour j'étais enfin nommé dans notre ville. Nos retrouvailles ont étés naturellement chaudes.
Nous nous sommes retrouvés chez elle un soir. Je la voyais enfin de près après ces longues années. J'avais cherché des proies faciles et suffisamment chaudes pour baiser. Ce qui ne m'empêchait pas de me branler souvent en pensant à celle qu'au fond de moi j'aimais.
A peine réunis nous nous sommes embrassés longuement à tel point que je bandais. Elle s'en apercevait rapidement et collait son corps contre le mien. Elle me demandait de la branler comme avant. Je lui mettait une main juste sous sa jupe et remontai vers son entrejambe. Elle ne portait pas de sous vêtements et je pouvais enfin retrouver son clitoris que j'aimais tant sucer. Elle écartait les jambes et dirigeait ma main, comme si j'avais oublié où se trouvait son bouton. Je lui massais et caressais son clitoris comme elle aimait: elle ne tardait pas à jouir.
Nous allions dans la chambre pour enfin faire l'amour. Enlacés je pouvait lui posé des questions qui me trottait dans la tête: avait-elle eu beaucoup d'amants et comment elle jouissait avec eux. Sa réponse était franche: elle avait baisé beaucoup avec pas mal d'hommes et elle se branlait toujours autant. Pour me le prouver, elle sortait de sa table de nuit le gode que nous avions choisi et elle se le mettait directement dans le con et jouissait encore devant moi sans aucune pudeur: j'avais retrouvé la fille d'avant.
Après cette dernière masturbation elle me demandait de venir la baiser. J'attendais ce moment là depuis longtemps. Elle levait les jambes, choses qu'elle ne faisait pas avant et offrait entièrement sa vulve à ma bitte. Je rentrais facilement en elle. Elle posait ses jambes de part et d'autre de mes hanches. Nos vas et viens étaient très synchrones. Notre jouissance fut commune. Je déchargeais dans son con et elle me retenait en elle. Heureusement je ne débandais pas. Je me retournais et venais mettre ma tête entre ses jambes pour aller la sucer. Elle aimait ça, je le savais et de son coté elle prenait ma pine dans sa bouche et l'avalait presque en entier. Je sentais sa langue lécher tout mon gland, comme elle savait que j'aimais. Elle aspirait enfin ma queue pendant que ma langue léchait sa moule. Elle jouissait plusieurs fois. Pour ma part je n'arrivais pas à avoir d'orgasme.
Elle ne m'en voulait pas: c'était pour elle le moment de me donner son cul. Elle se mouillait le petit trou avec sa cyprine et dirigeait ma bite vers elle qui s'était mise en levrette. Je rentrais lentement en elle et je retrouvais les même sensations qu'il y avait 10 ans: son cul était toujours tellement accueillant que je ne résistais pas longtemps: nous avons joui ensemble.
Nous nous sommes reposés un moment tout en nous câlinant: surtout moi qui lui caressais les seins et l'embrassais dans le cou. De son coté elle me caressait le pubis et arrivait à redresser ma bite. C'était l'heure de la masturbation. Elle se remettait le godemiché non pas dans le con mais dans le cul et ma main allait et venait sur mon mandrin. Nous regardions ce que faisait l'autre et nous le commentions: ta main est rapide sur la bite ou je vois bien le gode quand tu te le rentre dans le cul. Nos jouissances étaient très fortes.
Le lendemain nous avons recommencé. C'est à la fin de nos amours qu'elle me demandait si j'avais déjà fait l'amour en public, parce qu'elle aimait bien le faire de temps en temps. Je n'avais jamais fait cette chose là, mais je ne demandais pas mieux que d'essayer.
Le lendemain donc nous allions chez des amis à elle et une très belle femme sexy nous ouvrait la porte, nous demandait de nous déshabiller ce que tous firent. Sauf elle qui devait assurer un minimum de service. Dons nus nous nous sommes séparée: elle abordait une autre femme un peu plus jeune qu'elle et je les voyais s'embrasser et se caresser jusqu'au moment où elles se branlaient. J'en étais un peu jaloux. Puis une belle femme venait vers moi en me demandant si je voulais bien venir avec elle et son compagnon pour une double pénétration: je lui plaisait beaucoup ainsi et surtout que ma bite. Je l'accompagnais et je me trouvais en face d'un autre homme:nous examinions chacun le sexe de l'autre: il bandait bien et je commençais à être en érection. Sa compagne nous disait que nos étions bien montés pour elle. Elle m'embrassait et me demandait de la branler. Je passais ma main entre ses jambes et trouvais un clitoris relativement petit, comparé à celui de celle que j'aimais. Mais il était suffisamment développé pour que je lui prodigue les caresses qui la faisaient jouir. Enfin elle me demandait de la baiser. Pour ce là j'étais obligé de me baisser pour rentrer dans son con. Une fois dedans je la baiser quand je sentais contre ma pine la bite qui l'enculait. Son compagnon lui caressait les seins lentement et très légèrement. Je ne sais combien de temps avait duré notre partie, mais je sais que nous avons joui presque ensemble. Cette fille aimait être prise à la fois par devant et par derrière. Elle aurait voulu que je continu encore avec eux. Mais une autre fille très blonde, presque blanche m'invitait: elle m'avait vu baiser l'autre femme et voulait qu'à mon tour je l'encule: elle se penchait vers l'avant, écartais ses fesses avec ses mains et mouillait son cul avec de la salive. Je me mettais derrière elle et sans autre forme de procès je l'enculais. Elle se branlait et je remuais facilement dans ce cul facile.
L'heure tournait et je voulais revoir mon amie: elle finissait une baise avec un grand bonhomme avec semble-t-il beaucoup de plaisir. Elle me revenait et elle faisait une proposition à très haute voix: nous allons nous donner en spectacle et baiser devant tout le monde. Pour cela elle montait sur une table au centre de la pièce et les participants avertis venaient autour de nous: je pouvais voir les bite en érection et le femme avec les mains sur le bas ventre.
Elle s'installait jambes en l'air et je montais sur elle, la bite qui visait son sexe. J'y rentrais et elle mettait ses jambes autour de mes hanches, comme elle aimait. Nous avons entamé une baise qui durait, durait...Enfin elle jouissait et montrait à tous son cul où elle voulait que j'aille. Les voyeurs se branlaient devant tous et nous nous aimions: je l'enculais et elle ne cessait de soupirer pour enfin dire qu'elle jouissait.
Nous avons quitté nos hôtes et une fois rentré elle m'expliquait qu'il lui était nécessaire de temps en temps d'avoir une relation homo et baiser devant les autres. L'expérience que j'avais eue me donnait à penser que pour moi c'était devenu aussi une drogue.
Nous sommes mariés et nos relations sexuelles sont toujours aussi chaudes. Nous continuons à peu près une fois pas mois à nous rentre dans des partouzes où elle ne manque jamais de relation féminine. Souvent nous choisissons ensemble nos partenaires.
Et enfin un jour j'étais enfin nommé dans notre ville. Nos retrouvailles ont étés naturellement chaudes.
Nous nous sommes retrouvés chez elle un soir. Je la voyais enfin de près après ces longues années. J'avais cherché des proies faciles et suffisamment chaudes pour baiser. Ce qui ne m'empêchait pas de me branler souvent en pensant à celle qu'au fond de moi j'aimais.
A peine réunis nous nous sommes embrassés longuement à tel point que je bandais. Elle s'en apercevait rapidement et collait son corps contre le mien. Elle me demandait de la branler comme avant. Je lui mettait une main juste sous sa jupe et remontai vers son entrejambe. Elle ne portait pas de sous vêtements et je pouvais enfin retrouver son clitoris que j'aimais tant sucer. Elle écartait les jambes et dirigeait ma main, comme si j'avais oublié où se trouvait son bouton. Je lui massais et caressais son clitoris comme elle aimait: elle ne tardait pas à jouir.
Nous allions dans la chambre pour enfin faire l'amour. Enlacés je pouvait lui posé des questions qui me trottait dans la tête: avait-elle eu beaucoup d'amants et comment elle jouissait avec eux. Sa réponse était franche: elle avait baisé beaucoup avec pas mal d'hommes et elle se branlait toujours autant. Pour me le prouver, elle sortait de sa table de nuit le gode que nous avions choisi et elle se le mettait directement dans le con et jouissait encore devant moi sans aucune pudeur: j'avais retrouvé la fille d'avant.
Après cette dernière masturbation elle me demandait de venir la baiser. J'attendais ce moment là depuis longtemps. Elle levait les jambes, choses qu'elle ne faisait pas avant et offrait entièrement sa vulve à ma bitte. Je rentrais facilement en elle. Elle posait ses jambes de part et d'autre de mes hanches. Nos vas et viens étaient très synchrones. Notre jouissance fut commune. Je déchargeais dans son con et elle me retenait en elle. Heureusement je ne débandais pas. Je me retournais et venais mettre ma tête entre ses jambes pour aller la sucer. Elle aimait ça, je le savais et de son coté elle prenait ma pine dans sa bouche et l'avalait presque en entier. Je sentais sa langue lécher tout mon gland, comme elle savait que j'aimais. Elle aspirait enfin ma queue pendant que ma langue léchait sa moule. Elle jouissait plusieurs fois. Pour ma part je n'arrivais pas à avoir d'orgasme.
Elle ne m'en voulait pas: c'était pour elle le moment de me donner son cul. Elle se mouillait le petit trou avec sa cyprine et dirigeait ma bite vers elle qui s'était mise en levrette. Je rentrais lentement en elle et je retrouvais les même sensations qu'il y avait 10 ans: son cul était toujours tellement accueillant que je ne résistais pas longtemps: nous avons joui ensemble.
Nous nous sommes reposés un moment tout en nous câlinant: surtout moi qui lui caressais les seins et l'embrassais dans le cou. De son coté elle me caressait le pubis et arrivait à redresser ma bite. C'était l'heure de la masturbation. Elle se remettait le godemiché non pas dans le con mais dans le cul et ma main allait et venait sur mon mandrin. Nous regardions ce que faisait l'autre et nous le commentions: ta main est rapide sur la bite ou je vois bien le gode quand tu te le rentre dans le cul. Nos jouissances étaient très fortes.
Le lendemain nous avons recommencé. C'est à la fin de nos amours qu'elle me demandait si j'avais déjà fait l'amour en public, parce qu'elle aimait bien le faire de temps en temps. Je n'avais jamais fait cette chose là, mais je ne demandais pas mieux que d'essayer.
Le lendemain donc nous allions chez des amis à elle et une très belle femme sexy nous ouvrait la porte, nous demandait de nous déshabiller ce que tous firent. Sauf elle qui devait assurer un minimum de service. Dons nus nous nous sommes séparée: elle abordait une autre femme un peu plus jeune qu'elle et je les voyais s'embrasser et se caresser jusqu'au moment où elles se branlaient. J'en étais un peu jaloux. Puis une belle femme venait vers moi en me demandant si je voulais bien venir avec elle et son compagnon pour une double pénétration: je lui plaisait beaucoup ainsi et surtout que ma bite. Je l'accompagnais et je me trouvais en face d'un autre homme:nous examinions chacun le sexe de l'autre: il bandait bien et je commençais à être en érection. Sa compagne nous disait que nos étions bien montés pour elle. Elle m'embrassait et me demandait de la branler. Je passais ma main entre ses jambes et trouvais un clitoris relativement petit, comparé à celui de celle que j'aimais. Mais il était suffisamment développé pour que je lui prodigue les caresses qui la faisaient jouir. Enfin elle me demandait de la baiser. Pour ce là j'étais obligé de me baisser pour rentrer dans son con. Une fois dedans je la baiser quand je sentais contre ma pine la bite qui l'enculait. Son compagnon lui caressait les seins lentement et très légèrement. Je ne sais combien de temps avait duré notre partie, mais je sais que nous avons joui presque ensemble. Cette fille aimait être prise à la fois par devant et par derrière. Elle aurait voulu que je continu encore avec eux. Mais une autre fille très blonde, presque blanche m'invitait: elle m'avait vu baiser l'autre femme et voulait qu'à mon tour je l'encule: elle se penchait vers l'avant, écartais ses fesses avec ses mains et mouillait son cul avec de la salive. Je me mettais derrière elle et sans autre forme de procès je l'enculais. Elle se branlait et je remuais facilement dans ce cul facile.
L'heure tournait et je voulais revoir mon amie: elle finissait une baise avec un grand bonhomme avec semble-t-il beaucoup de plaisir. Elle me revenait et elle faisait une proposition à très haute voix: nous allons nous donner en spectacle et baiser devant tout le monde. Pour cela elle montait sur une table au centre de la pièce et les participants avertis venaient autour de nous: je pouvais voir les bite en érection et le femme avec les mains sur le bas ventre.
Elle s'installait jambes en l'air et je montais sur elle, la bite qui visait son sexe. J'y rentrais et elle mettait ses jambes autour de mes hanches, comme elle aimait. Nous avons entamé une baise qui durait, durait...Enfin elle jouissait et montrait à tous son cul où elle voulait que j'aille. Les voyeurs se branlaient devant tous et nous nous aimions: je l'enculais et elle ne cessait de soupirer pour enfin dire qu'elle jouissait.
Nous avons quitté nos hôtes et une fois rentré elle m'expliquait qu'il lui était nécessaire de temps en temps d'avoir une relation homo et baiser devant les autres. L'expérience que j'avais eue me donnait à penser que pour moi c'était devenu aussi une drogue.
Nous sommes mariés et nos relations sexuelles sont toujours aussi chaudes. Nous continuons à peu près une fois pas mois à nous rentre dans des partouzes où elle ne manque jamais de relation féminine. Souvent nous choisissons ensemble nos partenaires.
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